Je ne m’intéresse pas à IPv6 parce qu’il semble être pensé pour une logique de machines, pas une logique d’utilisateurs. Et donc même si après un pénible apprentissage on pourrait saisir la logique, il faut admettre qu’en apparence ça reste complexe…
…surtout pour un usage pour particuliers, avec de l’équipement basique comme une box.
C’est pas particulièrement complexe, il suffit d’avoir en tête à quoi correspondent les 4 préfixes pour pas faire de bétise, en revanche une ipv6 est très peu mémorisable.
Mais lorsque l’administration de l’ipv6 sera aussi bien gérée par les box que l’ipv4, alors on utilisera probablement des alias pour les machines plutôt que de manipuler des ipv6 à rallonge.
Le
08/10/2019 à
08h
03
empty a écrit :
L’adresse de lien local fe80:: est faite pour ça.
Elle est présente sur tous les devices sans configuration ni DHCP.
Et elle n’est pas routée.
Je le comprends comme toi, “c’est fait pour ça”, du coup je comprends pas pourquoi dans l’essentiel des explications sur l’ipv6, les ULA sont présentées comme inutiles alors que précisément pas.
Le
07/10/2019 à
21h
07
Ricard a écrit :
Heu… non. J’ai l’ipv6 activée sur ma Freebox (Delta), avec le pare-feu et j’ai gardé mon réseau local en IPv4. " />
J’ai absolument pas envie (ni besoin) d’un réseau local en IPv6.
Je me suis mal exprimé, je suis dans la même situation.
Ce que je voulais dire c’est que si tu veux en l’état utiliser l’ipv6 pour tes appareils derrières la freebox, t’as pas le choix ou tu fermes tout ou rien car le firewall pour l’ipv6 ne permet aucun paramétrage. Donc au final j ai juste la box qui a une ipv6 et tous les appareils sur le lan restent en ipv4 (ce qui dommages car mes 2 serveurs ont des firewall bien configurés et pourraient très bien fonctionner en ip publique ipv6.
Le
07/10/2019 à
16h
21
renaud07 a écrit :
Tu as oublié les ULA, qui sont l’équivalent des ipv4 privées. Même si en pratique elles servent peu, puisque on peut tout faire avec la publique.
Puisque tu le pratiques, ton avis m’intéresse.
Pourquoi ne pas systématiquement utiliser les ULA (qui sont effectivement souvent présentées comme inutiles) pour les appareils qui ne doivent en aucun cas être accessibles depuis l’extérieur ?
A l’inverse des recommandations que l’on trouve, je trouve que c’est une mesure de sécurité qui ne coute rien et qui évite d’exposer inutilement une machine à une éventuelle faille et surtout à la paresse de l’utilisateur et/ou du constructeur qui ne va pas mettre à jour sa machine.
Le
07/10/2019 à
16h
14
BlueTemplar a écrit :
Quel est l’intérêt des redirections en IPv6 ?
Pour le pare-feu centralisé sur le routeur, c’est un peu normal - par exemple tu ne va pas t’amuser à avoir dans ta maison une entrée ouverte à tout le monde de l’extérieur, et puis des portes - certaines fermées, d’autres non - donnant sur les chambres , le salon, la cuisine, la salle de bains… Non, tu va avoir une seule porte d’entrée fermée, et puis c’est tout !
Si tu parles d’un appareil qui doit être joignable par une IP publique, aucun, tu lui laisses son IPv6 publique.
Mais comme indiqué, je parle de la mauvaise gestion des box, si tu prends l’exemple du firewall de la freebox, celui-ci ne sait faire que du tout ou rien. Du coup, si tu te dis ben j’utilise l’ipv6 pour mon serveur, tous les autres appareils de ton réseau se retrouvent à poil (peut-être que l’on peut à la mano attribuer des ULA uniquement, mais pas testé).
Pour résumer l’ipv6 n’est pas le problème, mais la gestion partielle sur les box actuelles oui.
Le
07/10/2019 à
08h
54
dylem29 a écrit :
En réseau local, je pense rester en IPv4 un bon moment.
Les adresses IPv6 sont beaucoup trop longues pour s’en rappeler. " />
De même; avoir une IPv6 pour la box n’est pas un problème (certes un peu plus long à saisir), c’est en revanche nettement moins pratique sur un petit réseau local.
Pour moi la principale difficulté à la généralisation de l’ipv6, se sont les box car pour la redirection et le firewall elles ne sont pas encore au point sur l’ipv6, pour l’instant c’est le principal frein (et si ça perdure, on va revenir au bon vieux routeur indépendant pour s’assurer d’avoir des redirection fiables et de ne pas inutilement exposer des appareils qui n’ont rien à faire avec une ip publique notamment car ils n’ont pas de firewall intégré, ce qui est hélas le cas de pas mal d’objets connectés).
La cjue donne des pistes mais on manque effectivement d’exemples…. la patate chaude dans les mains des juges nationaux encore et toujours
Clairement la CJUE se défausse et sur un sujet qui est au cœur de la liberté d’expression.
Il faut pas être grand clerc pour imaginer que l’on va partir d’un contenu initial illicite, pour en profiter pour charger la mule de l’injonction en mettant toutes les formules simplement critiques à l’égard du “nom de la personne”.
Les dommages collatéraux sont impossibles à évaluer tellement ils sont nombreux.
C’est toujours fascinant de voir nos politiques pondent des taxes et croire qu’elles vont servir de base à une discussion cordiale.
C’est hélas comme d’hab, ils ont absolument déjà tout décidé puis après mettent en place la “concertation”, juste là google a pas droit en parallèle à un grand débat et la mise en place d’une plate-forme.
Le
04/10/2019 à
14h
01
C’est même plus du droit là, ça relève du bon sens.
Et s’il s’agit de mieux répartir les richesses, c’est par l’impôt que cela se fait, non en créant un rente nouvelle de droit voisin aux bénéfices de certains et non de la collectivité.
Ça me fait penser qu’en France on a des sites sur lesquels il y a des cookie “nécessaires” impossible a désactiver.
C’est là que l’articulation de l’arrêt est prise de tête. Une lecture à la lettre fait qu’il est nécessaire d’être informé de l’existence de tout élément mis sur notre “terminal” et donc même les cookies à pure finalité technique, mais sans qu’il soit besoin de demander un quelconque consentement pour ces derniers (puisque à défaut de consentir, il y aura “obstacle au stockage”).
Le
03/10/2019 à
13h
51
Caïn a écrit :
je n’ai pas compris,
ça veu dire que pour le dépôt de n'importe quel cookie (nécessaire au fonctionnement du site et traqueurs) nécessite l'accord explicite du user?
Les dispositions suivantes ne doivent pas être interprétées "différemment selon que les informations stockées ou consultées dans l’équipement terminal de l’utilisateur d’un site Internet constituent ou non des données à caractère personnel, au sens de la directive95/46 et du règlement 2016/679":
1- Directive 95⁄46
Art.2 h)
«consentement de la personne concernée»: toute manifestation de volonté, libre, spécifique et informée par laquelle la personne concernée accepte que des données à caractère personnel la concernant fassent l'objet d'un traitement.
2- Directive 2002⁄58:
Art.2 f)
le "consentement" d'un utilisateur ou d'un abonné correspond au "consentement de la personne concernée" figurant dans la directive 95/46/CE.
Art.5 3°)
Les États membres garantissent que l'utilisation des réseaux de communications électroniques en vue de stocker des informations ou d'accéder à des informations stockées dans l'équipement terminal d'un abonné ou d'un utilisateur ne soit permise qu'à condition que l'abonné ou l'utilisateur, soit muni, dans le respect de la directive 95/46/CE, d'une information claire et complète, entre autres sur les finalités du traitement, et que l'abonné ou l'utilisateur ait le droit de refuser (changer en 2009 par donner "son accord") un tel traitement par le responsable du traitement des données. Cette disposition ne fait pas obstacle à un stockage ou à un accès techniques visant exclusivement à effectuer ou à faciliter la transmission d'une communication par la voie d'un réseau de communications électroniques, ou strictement nécessaires à la fourniture d'un service de la société de l'information expressément demandé par l'abonné ou l'utilisateur.
3- RGPD:
Art.4:
11. «consentement» de la personne concernée, toute manifestation de volonté, libre, spécifique, éclairée et univoque par laquelle la personne concernée accepte, par une déclaration ou par un acte positif clair, que des données à caractère personnel la concernant fassent l'objet d'un traitement;
Art.6:
Le traitement n'est licite que si, et dans la mesure où, au moins une des conditions suivantes est remplie:
a) la personne concernée a consenti au traitement de ses données à caractère personnel pour une ou plusieurs finalités spécifiques;
L'article 5 3° de la Directive 2002/58 répond à ta question. My 2 cents ^^
Le
03/10/2019 à
13h
16
Je note deux choses très intéressantes dans cette décision, d’une part la CJUE estime que la notion de cookie technique vs/ cookie avec données à caractère personnel est un mauvais raisonnement:
1°/ Considérant 70: "[...] toute information stockée sur l’équipement terminal de l’utilisateur d’un réseau de communications électroniques relève de la vie privée de l’utilisateur, qui doit être protégée au titre de la convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales. Cette protection s’applique à toute information stockée sur cet équipement terminal, indépendamment du fait qu’il s’agisse ou non de données à caractère personnel et vise,notamment, comme il ressort de ce même considérant, à protéger les utilisateurs contre le risque que des identificateurs cachés ou autres dispositifs analogues pénètrent dans l’équipement terminal de ces utilisateurs à leur insu".
Et d'en conclure (considérant 71) : "Eu égard aux considérations qui précèdent, il convient de répondre à la
première question [visant notamment l'article 4.11 du RGPD = déf. du consentement] ne doivent pas être interprétés différemment selon que les informations stockées ou consultées dans l’équipement terminal de
l’utilisateur d’un site Internet constituent ou non des données à caractère personnel, au sens de la directive95/46 et du règlement 2016/679".
2°/ Surtout, pour la CJUE le passage de l'exigence d'un consentement implicite (par la poursuite de la navigation) à consentement actif (accord), semble pouvoir être vu comme datant de la mise à jour de la Directive 2002/58 par la 2009/136/CE (fin considérant 56) : "La directive 2009/136 a introduit une modification substantielle du libellé de cette disposition, en substituant à cette expression [« droit de refuser »] les termes « donné son accord ». La genèse de l’article 5, paragraphe 3, de la directive 2002/58 tend ainsi à indiquer que le consentement de l’utilisateur ne peut dorénavant plus être présumé et doit résulter d’un comportement actif de ce dernier".
Voila pour moi les deux principaux apports de cet arrêt, lequel permet de soutenir implicitement que tout internaute est en droit de demander le respect de l'obligation de recueillir un consentement actif dès maintenant.
J’ai pensé exactement la même chose concernant la formulation et le phrasé. Impossible de comprendre la véritable origine de leur départ. C’est noyé sous des couches et couches d’abstractions et de termes génériques.
Moi aussi je peux en faire : “Il faut donner les moyens de développer une politique volontariste d’accélération des mouvements innovants et progressistes afin de décupler l’envie et la volonté au sein des equipes et des managers pour féderer les passions et les compétences” => “Donnez des sous !”
Oui c’est exactement. J’ignorais que ce charabia avait été encore employé.
Le
02/10/2019 à
09h
06
Ils semblent découvrir que la “tartuffe nation” n’était que de la com., c’est positif.
En revanche, le verbiage de communication-managériale de l’email est vraiment désolant, je les donne pas gagnant pour “s’émanciper” avec des formules aussi vides de sens.
Ah ben ça fait plaisir… Avec un tel ratio entre ce qui aurait pu être demandé et ce qui l’est dans l’accord, vraiment ça va dissuader les GAFA de ne pas payer l’impôt…
Je me fait l’avocat du diable mais potentiellement, il n’y aurait pas un abus de position dominante ?
Google semble en effet profiter de sa position dominante de "kiosque virtuel" pour imposer aux journaux en ligne de renoncer à la rémunération pour l'affichage d'extrait.
A partir du moment où la reprise d’extrait et/ou résumé des articles s’accompagne d’une obligation de payer, c’est terminé, ça contrevient à la liberté d’entreprendre, donc on peut pas l’exiger.
Je sais plus sur quel sujet mais y a déjà des arrêts de la CJUE sur la question.
En fait, sur la loi complète, il faut descendre dans la page pour trouver l’article 20 ou faire “CTRL+F article 20”, mais c’est vraiment trompeur parce que l’on voit tous les chapitres de l’ancienne version de la loi comme abrogé.
Oui c’est pour ça que j’avais pensé que les ordonnances avaient buguées et que le texte était toujours pas modifié (j’ai même pas eu l’idée de faire une recherche dans la page puisque le passage où devait se trouver l’article 20 est mentionné comme abrogé).
Merci encore :)
Le
01/10/2019 à
14h
18
Par contre, Marc l’a annoncé sur twitter, la CJUE vient de rendre une décision sur les cookies qui va calmer un peu tout le monde (aussi bien les marketeux publicitaires que la CNIL sur son effet différé du RGPD).
J’attends son commentaire avec impatiente, car y a du lourd (et une question qui reste en suspend) … teasing…
Le
01/10/2019 à
14h
16
fred42 a écrit :
Non, cet article a été modifié par l’ordonnance du 12 décembre 2018 suite au RGPD. Le RGPD est d’ailleurs cité plusieurs fois dans cet article.
La publication sur légifrance de cette loi du 6 janvier est trompeuse : elle commence par faire apparaître comme abrogée l’ancienne loi avant de publier le nouveau contenu de la loi.
Donc la voie pénale me semble possible.
Bien vu, car si on va directement sur la Loi y a juste plus rien (du coup n’ayant pas fait particulièrement attention je cherchais à savoir si les ordonnances réécrivant la Loi de 78 n’avaient pas été contestées par le vote au Parlement reportant l’actualisation de la Loi). " />
Grosse erreur de legifrance pour le coup
Le
01/10/2019 à
10h
44
“elles ne lient ni le juge civil ni le juge pénal.”
Il dit qu’il voit pas le rapport, les infractions définies aux articles 226-16 et suivants du Code pénal n’ont toujours pas été actualisées à la suite de la Loi de “transposition” du RGPD, pas plus qu’après les Ordonnances réécrivant la Loi informatique et liberté.
Par exemple, l’article 226-16 du Code pénal dans son 2° alinéa vise le 3° du III de l’article 20 de la Loi de 78, lequel article est abrogé depuis le 1° juin 2019.
Et s’agissant des Juridictions civiles, bon courage pour établir l’existence d’un préjudice, lequel conditionne bien évidemment le succès de l’action.
Du coup, les explications des professionnels sur les Juridictions civiles et pénales sont totalement fumeuses.
“La délibération de la CNIL n’est pas contraignante. Le gouvernement peut donc l’ignorer et passer outre.”
Beaux joueurs, ils vont dire qu’il y aura une information préalable sur bercy.gouv.fr car “notre collecte est loyale et licite, on respecte à la lettre le RGPD (qui protégè de rien s’agissant des autorités publiques pour peu qu’un texte existe)” et hop on peut lancer l’opération flicage de masse des réseaux sociaux.
Demander la publication de l’algo (son principe de fonctionnement et éventuellement son code source) va être très drole …
Pour le coup, si je tape souvent sur la CNIL, là elle n’impose pas, elle ne fait qu’appliquer les dispositions du RGPD à la problématique du cookies (et sauf erreur le fait que poursuivre ne vaut pas consentement est déjà exposé dans une ligne directrice du Comité exG29 et/ou du délégué européen aux données).
(A la limite c’est sa recommandation antérieure au RGPD que la CNIL avait posé une règle totalement arbitraire de conservation max de 13 mois d’un cookie, en revanche sur ses dernières lignes directrices elle ne fait que lire le RGPD à mon sens).
Le
30/09/2019 à
08h
54
Jarodd a écrit :
! (le site chinois à la Aliexpress font actuellement des promos marquées “French Days”… " /> :facepalm:)
" />
Le
30/09/2019 à
08h
48
vizir67 a écrit :
Ainsi, la poursuite de la navigation ne vaudra pas expression de ce consentement. …
que la ‘Q.D.Net’ puisse, encore, attaquer cette décision, alors là……….ça me laisse sur le cul !!!
– mais, de QUEL côté sont-ils, donc ?
Sauf erreur la quadrature du net n’attaque pas le fait que la poursuite de la navigation ne vaudra plus consentement (ou alors c’est bien planqué dans le recours), mais que la CNIL prétende avoir une marge d’interprétation s’agissant de l’entrée en vigueur du RGPD.
Sur la question des cookies la CNIL prétend qu’elle peut décaler les exigences du RGPD au moins de juin 2020.
Néanmoins la question de l’entrée en vigueur du RGPD est encadrée par le Règlement lui-même (et Loi de “transposition”), tombant le 25 mai 2018. On voit pas en quoi la CNIL pourrait prétendre avoir la moindre marge de manœuvre pour moduler la date d’entrée en vigueur du règlement européen et de la Loi française, du coup je suis de l’avis de la quadrature.
Le
30/09/2019 à
08h
35
Ce qui a de bien avec l’action de la CNIL c’est que celle-ci fait l’unanimité contre elle, aussi bien pour les défenseurs des libertés sur le net (dont la protection des données) que pour les poutreurs de données de profession, pas un seul n’est satisfait " />
Ca pourrait être l'occasion de remettre les choses dans le bon sens, par exemple savoir que bercy va se livrer à une campagne de suivi des utilisateurs de Facebook pour en déduire une éventuelle incohérence avec leurs déclarations fiscales, ça y a quelques années s'était le scandale assuré. Maintenant et après des années atermoiements de la CNIL couronnés avec succès par le RGPD attaqué de tous les cotés, on voit que loin d'être limité, le flicage par des boites privées ou par les autorités publiques ne s'est jamais aussi bien porté...
Certes, mais au moins ils pourraient faire semblant.
Le
26/09/2019 à
17h
30
“négociation, non sans menace”
On dirait la “concertation” s’agissant de la réforme de la Justice ou des retraites: “on peut discuter de tout sauf de ça, ça et puis ça et ce truc ça sera comme ça et pas autrement”.
C’est amusant, la “recevabilité de la plateforme” lorsque cette dernière dégomme le droit du travail et ubérise les salariés pour les transformer en faux autoentrepreneurs sans la moindre protection, là ça ne pose aucun problème et pas un seul d’entre eux ne se parent des grands principes pour crier au scandale.
Mieux, lorsque la Chambre sociale de la Cour de cassation remet les pendules à l’heure, ils s’empressent de rédiger une charte-avenant pour aider ces plateformes à continuer d’exploiter ces bagnards modernes.
Mais lorsque cela concerne les lobbys surpuissants des groupes de presse et des ayants-droits, là par contre on peut crier à la censure et à la violation des valeurs démocratiques, ceci afin de remettre en cause la “recevabilité des plateformes”.
Pourtant je ne consulte jamais RTL, Europe 1 ou 20 mn " />
Je doute également de la perspicacité de l’algo, mon canard local je dois le consulter tous les trois mois grand max, google doit nous caler dans un profil qui prend en compte d’autres éléments (localisation manifestement pour moi)
Le
26/09/2019 à
09h
12
Tandhruil a écrit :
Lorsqu’on regarde les articles mis en avant par Google Actu, ce sont essentiellement les sites de franceinfo, LCI, RTL, Europe 1, ou 20 Minutes…
Même s’il y avait rétribution ça n’aiderait pas beaucoup la presse écrite.
Ca c’est le fruit de l’algo google, par exemple ma pomme c’est le monde et le canard local qui sortent le plus.
Le
26/09/2019 à
08h
40
Patch a écrit :
J’aurais plutôt dit que l’urgence sociale est avant tout d’arrêter de brader le patrimoine francais qui rapporte (surtout à une période où on n’arrête pas de dire qu’il manque de l’argent pour tout), mais ce n’est que mon opinion…
L’un et l’autre sont liés, c’est pas le moment de brader les actifs détenus par la collectivité, pas plus que de renoncer aux impôts des géants du net pour soutenir l’investissement de cette même collectivité.
Le
25/09/2019 à
15h
54
David Assouline il a vraiment pas mieux à faire que se mobiliser pour la création d’une énième droit voisin ?
Il a pas le sentiment que l’urgence sociale commande de se battre pour arriver à faire payer leurs impôts à Google & co pour financer la collectivité et non de créer une nouvelle rente à destination de certains ?
C’est dramatique, c’est ce comportement (et comme à l’époque avec l’HADOPI qu’ils ont eu la trouille de supprimer) qui fait que ces personnes sont incapables de représenter une quelconque alternative crédible à ce que l’on doit subir, nous condamnant inexorablement à utiliser le dernier untel sorti du chapeau comme simple repoussoir des extrêmes.
Je n’ai pas retrouvé mon message (j’ai peut-être fermé mon compte forum).
Ce que je recherchais de mémoire, c’est le paramétrage des rappels par e-mail. Nextcloud proposait uniquement le rappel visuel, or il fallait être connecté. Moi ce que je veux, c’est recevoir un e-mail me rappelant le rdv, et pouvouir en programmer plusieurs (14j avant, puis 7j, puis 2h,…), et personne ne proposait ça (Google Calendar le fait, et c’est couplé avec Lightning sur Thunderbird). J’avais demandé au dév de Nextcloud si c’était prévu de l’ajouter, et il m’avait répondu que ce n’était pas prévu (car personne d’autre ne demandait ça). Je ne sais pas aujourd’hui si ça existe ou pas.
Finalement j’ai trouvé mon bonheur chez Infomaniak, mais c’est une société commerciale, pas un chaton (mais au moins je ne suis pas retourné chez Google…). Ca rejoint ce que je disais plus haut, ce désengagement de Framasoft risque de pousser les utilisateurs vers des solutions commerciales, la plupart non libres. Je paye, il y a un contrat qui me garantit que mes données ne vont pas disparaitre du jour au lendemain, et que quelqu’un fera le nécessaire en cas de défaillance technique. On parle de données sensibles, donc il faut un minimum de sécurité pour l’utilisateur, et cet aspect n’existe pas chez la plupart des chatons, qui font leur serveur chez eux, ça reste de la “bidouille” (ce n’est pas péjoratif), l’admin peut se barrer 3 semaines en vacances et laisser se sutilisateurs en plan. Framasoft est une assoc mais il y avait ce côté “service pro” qui rassurait (et je comprends qu’ils ne peuvent pas l’assurer au quotidien).
J’ai pas fait attention si je peux créer depuis nextcloud une alerte récurrente avec notif mail, chez moi c’est le logiciel métier qui le permet, le synchronise dans outlook lequel le balance sur nextcloud (lequel est repompé sur mon téléphone, et inversement si je veux).
Je regarde ce qui est possible de faire uniquement via nextcloud dès que j’ai 5 min.
Le
25/09/2019 à
13h
41
Jarodd a écrit :
Il faudrait que je retrouve mon message, ça date de plusieurs mois. Je crois que c’était une question sur le service agenda, car c’est pour lequel j’ai eu le plus de problème en abandonnant Google.
Pour l'agenda j'utilise les plugins de nextcloud qui le gère bien (caldav pour synchroniser sur tout ce qui le gère ;outlook, phone etc...), et tu peux facilement les partager pour faire du collaboratif.
Pour l’instant le seul truc que j’ai vu bien merdouillé avec yunohost c’est l’édition de documents en ligne depuis nextcloud vers collabora online (là j’ai installé cette dernière sur un autre petit serveur à la mano, car ca fonctionne pas correctement).
Le
25/09/2019 à
09h
25
Vincent_H a écrit :
C’est clair " />
Mais euh, c’était juste une petite question de rien du tout " />
Le
25/09/2019 à
09h
03
Framasoft a écrit :
Il faut installer le module MyPads depuis l’administration de votre Etherpad (que vous l’ayez installé via Yunohost ou de toute autre manière), ce qui permet de limiter l’accès à votre pad par mot de passe, ou bien à une liste de comptes créés sur votre instance etherpad.
(bon, par contre, pour toutes les autres questions de support c’est surhttps://contact.framasoft.org , parce que si on se met à faire du support sur les comms de NI, on va plus s’en sortir " /> )
Trop cool merci, j’avais pas vu le lien entre les deux pensant qu’il s’agissant de deux types de pads différents (le danger du pornapplication, t’installes t’installes mais sans lire complétement les descriptions ^^ ) " />
Le
25/09/2019 à
08h
52
Kazer2.0 a écrit :
J’ai pour l’instant jamais testé Yunohost, étant plutôt dans l’optique “à la main” pour comprendre chaque étape et bien maîtriser le truc.
Mais effectivement, si c’est aussi simple que tu le dis, ça devient intéressant pour la démocratisation. Après je pense que ça dépend de l’application que tu sauvegardes. Un PeerTube par exemple, ça ne sera pas aussi simple à mon avis (tu as la base + les divers fichiers vidéos / thumbnail / cache etc).
Je vais peut être regarder un peu plus ça, surtout avec l’ipv6, la possibilité d’héberger plusieurs services distincts chez toi (vu que pratiquement tous te bouffe le 443) sans “trop” de bricolage de façon simple va peut être aider la démocratisation des outils (et surtout leur décentralisation).
Je faisais comme toi, tout à la mano, je pense que c’est important à moment ou un autre pour l’apprentissage.
Mais vient ensuite l’impératif de backup et restauration simple et si possible sans rien avoir à arrêter, et très honnêtement Yunohost et OMV (pour d’autres services) font bien le job. La dernière fois que j’ai craché mon Yuno en voulant faire une manip (non prévue), j’ai mis 10min a réinstallé un Yunohost clean et j’ai laisser tourné la bête 1/2h pour qu’il réintégré la dernière sauvegarde, le tout sans me préoccuper de rien.
Le
25/09/2019 à
08h
26
Framasoft a écrit :
L’auto-hébergement et l’hébergement mutualisé sont pour nous complémentaires. C’est pour cela que nous avons consacré un jour de dev/semaine durant toute une année afin de packager la plupart des logiciels que nous utilisons pour Dégooglisons Internet dans Yunohost, et que vous les y avez trouvé (le fait que ces packages deviennent officiels ou non dépend de la communauté Yunohost, qui a besoin de contributions et de bénévoles, n’hésitez pas à les rejoindre !).
Merci de votre réponse, j’en profite pour en poser une, est-ce qu’une évolution d’etherpad-framapad sur yunohost permettant de limiter l’accès à une liste d’utilisateurs donnés est envisageable ?
Le
25/09/2019 à
08h
22
Kazer2.0 a écrit :
Pour que ce soit pris en main par n’importe quel “neuneu”, il faut que l’installation soi simple (me semble que c’est pas mal le cas avec Yunohost pour plusieurs choses).
Mais qu’aussi la sauvegarde / restauration soi simple et que la maintenance soi minimal (tout en faisant bien comprendre le concept de backup les backups).
En gros pour moi, il faudrait que la restauration puisse se faire en un minimum de temps avec un minimum de “clique”.
Car seul les “motivés” essayerons de perdre du temps pour apprendre. Les moins motivés vont chercher l’alternative, essayer, trouver ça trop compliqué et abandonner.
Quand tu vois que 90 % de gens ne gère pas leur donnée numérique malgré l’importance qu’elles ont pour eux, tu imagines bien qu’au premier crash, ils vont repasser sur du proprio parce que “c’est gratuit, ça marche et mes données sont sécurisées”.
C’est déjà sympa de penser que je suis pas neuneu, j’ai souvent moins d’égards envers moi-même ^^
Mais précisément yunohost est vraiment bien foutu s’agissant de la sauvegarde, un clic, ça mouline le temps qu’il faut, et tu récupères tes 2 fichiers en ftps pour les stocker où tu veux (perso un copie sur mon poste perso et une copie sur un serveur à distance au boulot). (On doit même pouvoir l’automatiser sans trop de complication).
Le
24/09/2019 à
20h
06
Jarodd a écrit :
Certains parlent de Yunohost. Je leur ai écrit (3 fois !) pour leur poser des questions avant de m’engager. Je n’ai jamais obtenu la moindre réponse. Idem sur leur forum communautaire.
Tu voulais savoir quoi ? Je n ai fait appel au forum qu une fois car je voulais faire un bricolage atypique sur mon nextcloud et j ai eu réponse rapidement (exacte sinon que mon bricolage était en fait une complication inutile).
Le
24/09/2019 à
17h
32
Gats a écrit :
Clairement !!
Si Framasoft ne veut pas que tout ce qui a été fait jusque maintenant soit juste un coup d’épée dans l’eau, il faut travailler sur la facilité de mise en place et de mise à jour des Frama-Apps sur une distro d’auto-hébergement comme Yunohost.
J’ai vu qu’il y avait quelques services Framasoft dans les Apps non-officielles de Yunohost. Mais même moi qui possède mon propre petit serveur, je ne me sens pas du tout capable de faire la maintenance de tous les services dont j’aurais besoin, en partant juste sur un VPS et en faisant tout moi-même.
C’est un peu comme si on me disait « Tiens voilà LFS, tu peux compiler et maintenir ta distro comme tu le souhaites, vas-y tu verras c’est facile ! ». C’est bien beau, c’est rigolo la première fois, mais au quotidien et sur le long terme, c’est juste pas possible.
Donc ce qui serait pas trop mal c’est une petite campagne de don pour intégrer tout ça officiellement dans Yunohost par exemple. Où tout serait aussi simple qu’un « apt update, apt upgrade, apt install ». " />
J’ai notamment installé framapad (eherpad) sur le yunohost, il marche très bien (hélas ne pas pouvoir le limiter à une liste d’utilisateurs donnés a fait que je l’ai abandonné).
Principe de base pour tester sur yunohost: avoir une machine virtuelle où tu bricoles toutes les conneries possibles et pour te faire la main.
Lorsque cela tien la route, tu fais la même chose sur ton VPS (après un backup de ce dernier).
Vu que les journaux subventionnés se copient les uns les autres (ou recopient l’AFP), les titres sont quasiment toujours les mêmes, donc le court extrait permettait de sentir le “ton de l’article”, et de choisir, maintenant ça sera plutôt:
“Macron ce génie” Le Monde
“Macron ce génie” Le Figaro
“Macron ce génie” Libération
“Macron ce génie” Pâte à modeler magasine
…et ça fera fuir le lecteur qui ne sera plus choisir " />
T’es dur avec pâte à modeler magasine, une fois ils ont pourtant titré “Macron, ce petit bonne en mousse” ^^
Le
25/09/2019 à
13h
52
C’était juste totalement prévisible et dit largement ici.
Je ne doute pas que beaucoup vont accepter la licence gratuite pour espérer ne pas perdre en visites et/ou passer devant ceux qui ne le voudront pas.
Qu’ils s’occupent de faire payer ses impôts à Google plutôt que de chercher de nouvelles formes de subventions déguisées à l’égard des groupes de presse. Si nécessaire ça permettra à l’Etat d’améliorer les aides à la presse, mais surtout sa bénéficiera à toute la collectivité, contrairement à la création d’un nouveau droit voisin ridicule.
c’est pour ‘ça’ que je suis partagé “sur cette histoire de D.O.” ?
- est-ce, vraiment, une 'bonne' chose...........................ou pas ?
La portée que veut donner la CNIL à ce droit est très dangereuse, il doit se limiter à l'UE d'une part et d'autre part ne pas concerner les débats d'intérêt général, non pas en fonction du sens que lui donne la CNIL, mais celui donné par nos tribunaux en matière de droit de la presse.
A défaut, la liberté d’expression (et d’information) est nécessairement atteinte.
Dans la première espèce on en a une illustration parfaite: on est parti d’un droit à l’oubli devant protéger une personne lambda qui a publié dans sa jeunesse des photos bourrées et veut éviter que cela le plante pour un recrutement, à une situation où personne concernée par une infraction et annoncée dans la presse prétend limiter la visibilité de ces informations.
2757 commentaires
Internet : « le nombre d’IPv4 en attente d’attribution est supérieur au nombre d’IPv4 restantes »
07/10/2019
Le 08/10/2019 à 08h 07
Le 08/10/2019 à 08h 03
Le 07/10/2019 à 21h 07
Le 07/10/2019 à 16h 21
Le 07/10/2019 à 16h 14
Le 07/10/2019 à 08h 54
Facebook tenu de supprimer les contenus illicites identiques ou équivalents, à l’échelle mondiale
03/10/2019
Le 07/10/2019 à 09h 20
Droits voisins : le PDG de Die Zeit aux antipodes des éditeurs de presse français
04/10/2019
Le 05/10/2019 à 08h 08
Le 04/10/2019 à 14h 01
C’est même plus du droit là, ça relève du bon sens.
Et s’il s’agit de mieux répartir les richesses, c’est par l’impôt que cela se fait, non en créant un rente nouvelle de droit voisin aux bénéfices de certains et non de la collectivité.
Pour la justice européenne, une case précochée ne vaut pas consentement aux cookies
03/10/2019
Le 03/10/2019 à 15h 34
Le 03/10/2019 à 13h 51
Le 03/10/2019 à 13h 16
Je note deux choses très intéressantes dans cette décision, d’une part la CJUE estime que la notion de cookie technique vs/ cookie avec données à caractère personnel est un mauvais raisonnement:
Start-ups d’État : Hela Ghariani et Pierre Pezziardi claquent la porte de la DINSIC
02/10/2019
Le 02/10/2019 à 14h 34
Le 02/10/2019 à 09h 06
Ils semblent découvrir que la “tartuffe nation” n’était que de la com., c’est positif.
En revanche, le verbiage de communication-managériale de l’email est vraiment désolant, je les donne pas gagnant pour “s’émanciper” avec des formules aussi vides de sens.
Fiscalité : Google risquait une amende théorique de 8,2 milliards d’euros
02/10/2019
Le 02/10/2019 à 14h 23
Ah ben ça fait plaisir… Avec un tel ratio entre ce qui aurait pu être demandé et ce qui l’est dans l’accord, vraiment ça va dissuader les GAFA de ne pas payer l’impôt…
La page d’accueil de Next INpact évolue
02/10/2019
Le 02/10/2019 à 13h 22
Moi j’aime bien :)
Droits voisins : le fragile raisonnement de Pierre Louette (Les Échos) face à Google
01/10/2019
Le 01/10/2019 à 15h 09
L’avenir des cookies publicitaires en suspens au Conseil d’État
01/10/2019
Le 01/10/2019 à 14h 25
Le 01/10/2019 à 14h 18
Par contre, Marc l’a annoncé sur twitter, la CJUE vient de rendre une décision sur les cookies qui va calmer un peu tout le monde (aussi bien les marketeux publicitaires que la CNIL sur son effet différé du RGPD).
J’attends son commentaire avec impatiente, car y a du lourd (et une question qui reste en suspend) … teasing…
Le 01/10/2019 à 14h 16
Le 01/10/2019 à 10h 44
“elles ne lient ni le juge civil ni le juge pénal.”
Il dit qu’il voit pas le rapport, les infractions définies aux articles 226-16 et suivants du Code pénal n’ont toujours pas été actualisées à la suite de la Loi de “transposition” du RGPD, pas plus qu’après les Ordonnances réécrivant la Loi informatique et liberté.
Par exemple, l’article 226-16 du Code pénal dans son 2° alinéa vise le 3° du III de l’article 20 de la Loi de 78, lequel article est abrogé depuis le 1° juin 2019.
Et s’agissant des Juridictions civiles, bon courage pour établir l’existence d’un préjudice, lequel conditionne bien évidemment le succès de l’action.
Du coup, les explications des professionnels sur les Juridictions civiles et pénales sont totalement fumeuses.
« Collecte de masse » : la CNIL critique le mégafichier de Bercy
30/09/2019
Le 01/10/2019 à 10h 32
Le 30/09/2019 à 16h 12
“La délibération de la CNIL n’est pas contraignante. Le gouvernement peut donc l’ignorer et passer outre.”
Beaux joueurs, ils vont dire qu’il y aura une information préalable sur bercy.gouv.fr car “notre collecte est loyale et licite, on respecte à la lettre le RGPD (qui protégè de rien s’agissant des autorités publiques pour peu qu’un texte existe)” et hop on peut lancer l’opération flicage de masse des réseaux sociaux.
Demander la publication de l’algo (son principe de fonctionnement et éventuellement son code source) va être très drole …
Cookies : les professionnels des médias et de la pub en ligne attaquent la délibération de la CNIL
30/09/2019
Le 30/09/2019 à 09h 27
“La CNIL impose aux sites d’informer etc…”
Pour le coup, si je tape souvent sur la CNIL, là elle n’impose pas, elle ne fait qu’appliquer les dispositions du RGPD à la problématique du cookies (et sauf erreur le fait que poursuivre ne vaut pas consentement est déjà exposé dans une ligne directrice du Comité exG29 et/ou du délégué européen aux données).
(A la limite c’est sa recommandation antérieure au RGPD que la CNIL avait posé une règle totalement arbitraire de conservation max de 13 mois d’un cookie, en revanche sur ses dernières lignes directrices elle ne fait que lire le RGPD à mon sens).
Le 30/09/2019 à 08h 54
Le 30/09/2019 à 08h 48
Le 30/09/2019 à 08h 35
Ce qui a de bien avec l’action de la CNIL c’est que celle-ci fait l’unanimité contre elle, aussi bien pour les défenseurs des libertés sur le net (dont la protection des données) que pour les poutreurs de données de profession, pas un seul n’est satisfait " />
Les obligations de Netflix passeront d’abord par la négociation, non sans menace
26/09/2019
Le 27/09/2019 à 08h 18
Le 26/09/2019 à 17h 30
“négociation, non sans menace”
On dirait la “concertation” s’agissant de la réforme de la Justice ou des retraites: “on peut discuter de tout sauf de ça, ça et puis ça et ce truc ça sera comme ça et pas autrement”.
Et sinon on peut discuter de quoi?
Ben du menu de midi si vous voulez.
Droits voisins de la presse : le psychodrame se poursuit après le bras d’honneur de Google
26/09/2019
Le 26/09/2019 à 12h 25
C’est amusant, la “recevabilité de la plateforme” lorsque cette dernière dégomme le droit du travail et ubérise les salariés pour les transformer en faux autoentrepreneurs sans la moindre protection, là ça ne pose aucun problème et pas un seul d’entre eux ne se parent des grands principes pour crier au scandale.
Mieux, lorsque la Chambre sociale de la Cour de cassation remet les pendules à l’heure, ils s’empressent de rédiger une charte-avenant pour aider ces plateformes à continuer d’exploiter ces bagnards modernes.
Mais lorsque cela concerne les lobbys surpuissants des groupes de presse et des ayants-droits, là par contre on peut crier à la censure et à la violation des valeurs démocratiques, ceci afin de remettre en cause la “recevabilité des plateformes”.
Tartuffes jusqu’au bout…
Canal : « le résultat français de l’entreprise va de nouveau se dégrader »
26/09/2019
Le 26/09/2019 à 12h 03
« d’autres départs d’abonnés se feront sentir, et le résultat français de l’entreprise va de nouveau se dégrader »
Je ne connais plus un abonné autour de moi même chez les “anciens”…
Droits voisins : Franck Riester juge « inacceptable » la proposition de Google
25/09/2019
Le 26/09/2019 à 09h 49
Le 26/09/2019 à 09h 12
Le 26/09/2019 à 08h 40
Le 25/09/2019 à 15h 54
David Assouline il a vraiment pas mieux à faire que se mobiliser pour la création d’une énième droit voisin ?
Il a pas le sentiment que l’urgence sociale commande de se battre pour arriver à faire payer leurs impôts à Google & co pour financer la collectivité et non de créer une nouvelle rente à destination de certains ?
C’est dramatique, c’est ce comportement (et comme à l’époque avec l’HADOPI qu’ils ont eu la trouille de supprimer) qui fait que ces personnes sont incapables de représenter une quelconque alternative crédible à ce que l’on doit subir, nous condamnant inexorablement à utiliser le dernier untel sorti du chapeau comme simple repoussoir des extrêmes.
« Déframasoftisons Internet » : Framasoft fermera progressivement 30 services
24/09/2019
Le 26/09/2019 à 08h 12
Le 25/09/2019 à 14h 46
Le 25/09/2019 à 13h 41
Le 25/09/2019 à 09h 25
Le 25/09/2019 à 09h 03
Le 25/09/2019 à 08h 52
Le 25/09/2019 à 08h 26
Le 25/09/2019 à 08h 22
Le 24/09/2019 à 20h 06
Le 24/09/2019 à 17h 32
L’Arcom, fusion de la Hadopi et du CSA
25/09/2019
Le 25/09/2019 à 14h 02
“Une quête que les internautes pourront enrichir avec leurs propositions. ”
Oui un concours !!!!
Le 25/09/2019 à 14h 01
Arcom ? C’est la ponctuation à Toulouse ça ^^
Pourquoi Google ne paiera pas les droits voisins des éditeurs et agences de presse
25/09/2019
Le 25/09/2019 à 13h 58
Le 25/09/2019 à 13h 52
C’était juste totalement prévisible et dit largement ici.
Je ne doute pas que beaucoup vont accepter la licence gratuite pour espérer ne pas perdre en visites et/ou passer devant ceux qui ne le voudront pas.
Qu’ils s’occupent de faire payer ses impôts à Google plutôt que de chercher de nouvelles formes de subventions déguisées à l’égard des groupes de presse. Si nécessaire ça permettra à l’Etat d’améliorer les aides à la presse, mais surtout sa bénéficiera à toute la collectivité, contrairement à la création d’un nouveau droit voisin ridicule.
CJUE : un droit à l’oubli limité à l’Union, un droit à l’effacement des données sensibles
24/09/2019
Le 25/09/2019 à 08h 38