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crocodudule

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2757 commentaires

Le 24/08/2018 à 11h 16







Drepanocytose a écrit :



C’est beau ça… quand c’est pour des handicapés on 0eut se permettre d’être hors la loi, et même on en fait une norme.. Joli !





Tu peux respecter les deux, la norme handicapé et l’obligation de ne pas filmer l’espace public, cf. les caméras que j’évoque plus haut.



En revanche, la norme pour les handicapés est super chiante pour les valides grands ; je dois systématiquement me plier pour retirer au DAB, payer en caisse, sonner aux portes, franchement 80cm de haut pour une personne qui fait 2 mètres c’est bien galère.


Le 24/08/2018 à 11h 04







Jarodd a écrit :



Cette décision revient à dire que 99.99% des caméras de sonnette sont dans l’illégalité… La caméra filme forcément le domaine public, puisqu’elle permet l’accès à la propriété privée !

La solution : mettre une sonnette “audio”, qui permet de filtrer les entrées comme avec une caméra… Je n’ai jamais compris ce besoin de voir la personne. C’est utile uniquement si c’est une personne muette qui sonne !





Sauf erreur, la mini camera est obligatoire pour être en conformité avec les nomes handicapés (les sourds).



Par contre, je ne pense pas que toutes soient illégales, beaucoup ont un genre de loupe (comme un objectif macro) qui rend incompréhensible la prise de vue si la personne n’est pas à quelques centimètres de la caméra (on va dire un mètre max).


Le 24/08/2018 à 11h 00







brazomyna a écrit :



donc mon système basé sur une occultation logicielle serait en accord avec la législation. Intérressant.



Tu aurais des sources ?





Je suis incapable de te citer l’année (à la louche 2010 ou 11), mais si tu cherches dans les rapports annuels de la CNIL tu trouveras tout un passage consacré à la vidéosurveillance et ce qu’elle accepte ou non et comment. (De mémoire ça concernait des caméras de police municipale qui filmaient les rues mais encore les façades dont les logements, imposant de masquer par logiciel les zones privées).


Le 24/08/2018 à 10h 04







Tandhruil a écrit :



Qu’est ce qui est considéré comme une caméra de surveillance.

Si le flux vidéo n’est pas enregistré (contrôle visuel de qui sonne à l’interphone par exemple) je en suis pas sur que ça pose un problème.



Edit : Oups désolé pour le doublon





La prise de vue de la camera ne doit pas aller sur la voie publique, pour le cas où la caméra ne peut pas faire autrement, alors la CNIL demande d’équiper le dispositif d’éléments (matériels ou logiciels) qui vont occulter ou flouter la zone de l’image portant sur l’espace public.



La question de l’enregistrement est autre, la CNIL imposant de poursuivre un but légitime par cet enregistrement, des délais très stricts de conservation et de tracer qui peut y avoir accès.


Le 24/08/2018 à 09h 59

“Que Gérard Collomb vienne préciser le régime encadrant ces appareils de vidéoprotection peut sembler pour le moins saugrenu”

Mais non avec l’affaire benalla et son audition à l’assemblée, il a eu l’occasion de réviser le sujet <img data-src=" />



J’en profite s’agissant de la vidéosurveillance pour linker un excellent article du monde sur le sujet, son absence de contrôle et son inefficacité largement documentée:

lemonde.fr Le Monde

Le 24/08/2018 à 10h 15







tontonCD a écrit :



Pour se rapprocher d’autres sujets, les robots (deep learning, etc) sont en train de dépasser les médecins pour les diagnostics (en progression) et à terme les remplaceront, ils décideront bientôt de qui sera embauché ou licencié dans les sociétés (en voie de progression), et dans notre cas, sont décideurs dans le domaine de la censure, car c’est bien de ça qu’il s’agit. Beaucoup d’inquiétude pour l’avenir en somme.





Le plan marketing a fait long feu et les résultats de ces fameux robots a largement recadré les choses sur la prétendue supériorité des nonos les petits robots par rapport à l’humain:

. Médecine: http://mashable.france24.com/tech-business/20180727-ia-watson-ibm-medecins-cancer

. Droit (long mais très détaillé) : http://www.precisement.org/blog/Intelligence-artificielle-en-droit-derriere-la-hype-la-realite.html&nbsp;


Le 23/08/2018 à 16h 24







pipoux a écrit :



Autant, je pense, qu’on ne peut pas demander à Google de vérifier la légitimité des demandes de référencement, autant il serait souhaitable que les sites qui se sont vu retirer des liens, puissent être informé par google (si ce n’est pas le cas) des coordonnées de celui qui a demandé le déréférencement afin que, si la demande est abusive, puisse se retourner devant les tribunaux et demander des dommages et intérêts conséquents, ce qui devrait&nbsp; calmer un peu ces demandes de déréférencement abusives.





Y a une infraction prévue pour les demandes abusives , encore faut-il agir&nbsp; (de mémoire un an et 15 000 € )


Le 23/08/2018 à 15h 33

Là les choses sont graves, on est plus dans l’indignation préventive tout en se drapant des grands principes.




Là la liberté d'expression a été objectivement entravée par une entité économique afin de museler un représentant démocratiquement élu qui alerte sur son travail normatif.      






L'atteinte est double, la liberté d'expression de cette député d'une part, mais encore celle des citoyens européens (étant rappelé que la liberté d'expression recouvre tout autant le droit d'informer que celui d’accéder à l'information).      






D'ailleurs, il est souhaitable qu'une association comme la quadrature tente une action du fait de la violation du principe de neutralité du net, non pas seulement à l'égard de ce groupe de pression mais à l'égard de google, qui n'a pas respecté notre réglementation: ici, rien de manifestement illicite ne lui permettait de désindexer sur une simple demande.

Le 23/08/2018 à 15h 39







Patch a écrit :



Mais avant de “tuer” cette fameuse “exception culturelle francaise”, faudrait déjà qu’elle existe. Jusqu’à présent je n’ai encore rien vu qui faisait exception en France par rapport au reste de la planète…






Je serai moins catégorique pour le passé, mais effectivement, il faut avoir à l'esprit que travail de sape de l'industrie culturelle française d'aujourd'hui est la rente de Me GIMS de demain :eeek2:

Le 23/08/2018 à 15h 22







Mearwen a écrit :



Le problème quand t’es au gouvernement c’est que tu as une sorte de “crédit politique” a dépenser. Chaque réforme coute un certain crédit, or typiquement la réforme de l’Hadopi coutait cher en terme de crédit politique&nbsp; ( Ayant droit accusant le gvt de “tuer” l’exception culturelle fr, opposition de droite dénonçant un gouvernement laxiste avec les délinquants , …. ) pour un gain en retour quasi nulle ( Qui se préoccupe d’Hadopi A part 4 gus dans un garage ;) ) .




Le crédit politique est assez dur a gagner, il ne doit donc être&nbsp; dépensé que pour des choses utiles politiquement&nbsp; ou alors on finit le nez dans le tapis. ( Genre réforme apl à -5 € / Gain de 32,5 M€/mois c'est a dire rien pour un cout politique monstrueux).








Certes je le comprends sans mal, mais je pense que sur le sujet de l'Hadopi du courage politique sur la décision de la fermer, le tout doublé d'un vrai plan d'action pour la culture aurait du permettre d'emporter le morceau sans y laisser trop de plume.      



&nbsp;

Surtout que si les lobbyistes avaient tenté une campagne de dénigrement, il était relativement facile de leurs renvoyer dans les dents le niveau de la copie privée et le système de gestion des droits des nayantdroits; avec les sommes brassées, l’opacité du système et le fait que les auteurs sont bien souvent les dindons de la farce, il était facile de mettre à terre ces oisifs parasites face à l’opinion publique.


Le 23/08/2018 à 15h 17







Commentaire_supprime a écrit :



…et leur a offert un placebo que personne n’a eu, par la suite, les couilles de faire sauter. Joli…






 C'est exactement ça

Le 23/08/2018 à 13h 35

Ca résumé très bien la déception que ce mandat a été.



Je veux bien les croire lorsqu’ils disent qu’ils ne voyaient que des avantages à la fermeture de l’Hadopi, mais que craignant d’être pris entre deux feux (nayantdroits / monde du numérique), ils ont préféré simplement la mettre au placard.



Sauf que lorsqu’on a la Présidence de la République, l’Assemblée Nationale, le Sénat et l’essentiel des pouvoirs locaux, il me semble qu’on peut se permettre de faire preuve de courage politique: fermer l’Hadopi, même si cela doit froisser quelques lobbyistes biens gras, adopter des mesures sur la rémunération des auteurs et le financement de la culture, favoriser l’émergence de plateformes en adéquation avec les besoins des auteurs (et leurs permettant de reprendre le pouvoir sur l’industrie culturelle) et les moyens des “consommateurs” (même si je déteste ce terme s’agissant de culture).



S’ils en ont été à se déculotter pour éviter de ferme ce tambour vide qu’est l’Hadopi qui n’a de valeur qu’aux yeux d’un microcosme très fermé, on comprend finalement pourquoi il a été fait si peu de choses (au final le mariage pour tous, progrès incontestable mais qui ne peut à lui seul rattraper 5 ans d’inaction et d’occasions manquées, pour au final créer giscard2.0 ).

Le 23/08/2018 à 10h 30







psn00ps a écrit :



Sur les smartphones, le DNS n’est pas modifiable il me semble.

A moins que ce ne soit possible sur les nouveaux Android ?





Je sais pas mais y a toujours la solution du proxy (en voyage c’est VPN lequel me donne accès à mon proxy, oui je sais j’aime la complication ^^ ).


Le 23/08/2018 à 10h 00

Je vais pas pleurer pour ces sites, néanmoins la mesure de filtrage des DNS n’est fondée que sur le trouble manifestement illicite ici.



J’ai pas souvenir qu’en cette matière (les jeux en ligne) c’était suffisant jusque là.



Avec les précédentes décisions sur les nayantdroits qui ont pu obtenir en référé des filtrages, et ici le même résultat (certes en la forme), j’ai le sentiment qu’obtenir un filtrage me semble de plus en plus facile et rapide. Chose qui n’est pas anodine lorsqu’on sait qu’on est dans des procédures rapides pour les unes et “d’urgence et de l’évidence” pour les autres et où par définition, certains débats ne peuvent pas être abordés (ou de façon expéditive pour du en la forme des référés).

Le 23/08/2018 à 09h 35







Babouche kebab a écrit :



Oui, le Pi est vraiment intéressant, on avait même fait une étude de coût avec le responsable réseau de l’établissement, mais la direction nous avait ri à la gueule&nbsp;<img data-src=" />&nbsp;À la place ils ont fait un leasing de 60k€ sur 5 ans pour l’achat de 100 tablettes apple parce que ça en jette plus et que le directeur du collège possède un macbook, un iphone, un ipad et une iwatch.

Il faut voir aussi qu’on fait maintenant partie des épreuves du brevet des collèges, et question programmation il faut une certaine unité sur le plan national parce que les épreuves se font sur papier et que tous les élèves doivent avoir vu la même chose, question de compréhension d’énoncé et de lien avec la programmation apprise en maths avec le logiciel Scratch. De ce côté, si on fait bien le boulot c’est pas mal avec MakeBlock qui est basé sur de l’arduino (on ne programme pas directement en C mais avec une interface assez intuitive et ludique).

Les élèves font rapidement des trucs assez sympa en utilisant capteurs et actionneurs, genre ouverture de porte avec rfid, économies d’énergies,etc. même si je préfère pour ma part leur faire fabriquer des robots de combat et des machines à bulles automatiques.

Ce qui me gène un peu, c’est qu’on est plus ou moins bloqué avec une marque, mais bon à défaut d’avoir mieux





C’est très dommage d’être ainsi lié à une marque et pour un matériel plus ou moins adapté, par contre c’est déjà génial les utilisations proposées aux élèves, j’aurais surkiffé gamin (bien plus qu’avec la couture…).


Le 23/08/2018 à 09h 33







Commentaire_supprime a écrit :



Intéressant vos avis…



Pour l’aspect pédagogique, je retiens comme intéressant le Raspberri Pi pour faire de l’automatisme industriel. Là, c’est quelque chose de concret, qui peut parler aux gamins.



Autre chose, mais c’est plus personnel, l’emploi d’un tableur pour tout ce qui est problèmes mathématiques. Ça permet l’expérimentation, la visualisation des résultats et la formalisation des données. J’aurais aimé y avoir droit quand j’ai fait des maths au lycée, par exemple.



D’autres applications ?





Le Pi peut être utilisé sans mal en bureautique, tu as notamment la suite libreoffice de disponible, mais aussi tous les softs habituels; les navigateurs classiques, lecteurs audio et video etc…



Tu ajoutes qu’en plus tu peux bénéficier de tous les outils linux destinés aux malvoyants (ou autre handicap) voire aux périphériques (chose qu’une tablette ne fera jamais), ça semble la solution idéale.



C’est l’intérêt de cette petite bête, elle est sacrément polyvalente et robuste (en 5 ans d’utilisation j’ai eu qu’un transfo qui a claqué et c’était le jour de l’installation du linky…), seul des traitements lourds lui sont inaccessibles et il me semble que c’est pas problématique à ce niveau (et ça limitera le détournement par les élèves à faire de l’ému ^^ ).


Le 23/08/2018 à 09h 12







SebGF a écrit :



C’est encore une fois bien con, un Raspberry Pi 3 avec une Raspbian ça fait un micro ordinateur parfaitement fonctionnel et manipulable pour un prix totalement dérisoire…



C’est quand même dingue de voir que l’éducation soit l’un des principaux postes de dépense de l’Etat, et qu’il soit aussi mal géré (comme la majorité de l’argent public vous me direz)… Ca dépense pour des conneries inutiles, mais à côté ça paie les enseignants au lance pierre, ne les forme quasi pas et les moyens alloués aux établissements sont dérisoires.





On est bien d’accord…


Le 22/08/2018 à 14h 22







Babouche kebab a écrit :



Non, ça ne se fait plus depuis au moins un dizaine d’années, maintenant les projets réalisés sont des projets collectifs qui restent dans l’établissement alors qu’avant c’étaient des petits objets que l’élève ramenait chez lui une fois terminé (d’où la “justification” de la participation des familles)



C’est mieux comme ça à mon avis, on peut partir sur des choses plus ambitieuses que le porte-clé lumineux en kit ou l’alarme de cartable et j’en passe.





Oui je comprends que ça peut être compliqué.

&nbsp;



Babouche kebab a écrit :



D’ailleurs, les perceuses à colonne ne sont plus autorisées pour les élèves par exemple… Dans la pratique, on leur fait toujours utiliser, et on les cache le jour de l’inspection sinon c’est le caca nerveux assuré (en revanche, une perceuse à main est autorisée, va comprendre question sécurité).&nbsp;





&nbsp;<img data-src=" />





Babouche kebab a écrit :



Le gros problème de la techno, c’est que le programme est vaste et chaque prof peut l’interpréter à sa manière, et on peut aboutir à de grosses disparités dans l’enseignement au sein d’un même collège (sans compter la proportion désolante de profs qui n’ont rien à envier aux caricatures). Surtout avec les changements de programmes, depuis 2004 que j’enseigne, j’en suis à ma 4eme réforme au collège, et 2eme au lycée où je fais de la mécanique en sciences de l’ingénieur





C’est dommage que les choses soient pas mieux pensées et financées, car si vous pouviez avoir un Pi par élève vous pourriez faire de la prog, jouer avec moteurs pas à pas et bricoler de l’électronique etc…, tout en permettant aux autres profs d’utiliser la machine en bureautique, pour faire des recherches, diffuser des médias etc… (le programme pour l’enseignement de raspberry est vraiment super complet et bien pensé je trouve, même si je n’ai pas la prétention d’avoir des compétences particulières en ce domaine).



Mais comme tu le dis, outre le budget d’acquisition (qui serait modeste), ca veut aussi dire former les profs et définir un contenu cohérent pour l’enseignement.



Bref, ça doit pas être évident de garder la motivation tous les jours…



Edit: Après une petite recherche, manifestement l’éducation nationale a un temps voulu s’intéresser à la machine, mais si je me base sur le lien, c’est par la façon la moins intuitive et ludique qu’ils présentent la machine:

http://eduscol.education.fr/sti/ressources_techniques/raspberry-pi-un-pc-pedagogique-pour-moins-de-100-euros-2nde-partie-technologie


Le 22/08/2018 à 13h 56







SebGF a écrit :



En effet, un Netbook aurait une bien meilleure praticité, performance et versatilité sur la durée qu’une tablette.

D’autant qu’en termes de tarifs, c’est kif kif (en moyenne 300€) et côté poids, moins de 2kg.





Et pour une interface pour bosser qui me semble nettement plus appropriée; prétendre étudier et travailler dans des documents textes sans avoir de clavier me semble juste une aberration.


Le 22/08/2018 à 13h 45







Monsieur le Chat a écrit :



Quand on voit le prix des bouqins obligatoires, je vois pas pourquoi les remplacer par des tablettes serait plus cher, au contraire. Y aura toujours un marché de l’occaz, chacun fait ce qu’il veut. Mais oui, l’éducation, meme nationale, ca coutera toujours un peu… En plus, la meme tablette pourra etre utilisée sur plusieurs années.



&nbsp;Et puis apprendre avec des applications interactives, c’est quand mme vachement plus aguichant pour les gosses !





A mon avis le débat n’est plus là, il est évident que les gosses doivent avoir une formation au numérique (sans&nbsp; totalement remiser le papier).



En revanche, en terme d’efficacité et surtout de durée de vie, je doute qu’une tablette soit la meilleure solution, ces machines vieillissant très très mal.



Les deux que j’ai sont bonnes pour le recyclage, la première au bout d’un an est devenue extrêmement lente sans qu’aucune manip ne me permette d’améliorer les choses, les deux après trois ans ne tiennent absolument plus la charge et sont économiquement irréparables, le tout sans mise à jour du constructeur depuis des lustres.



A coté, j’utilise encore ma brouette de WIND U100 en voyage; ce truc a 10 ans, était lancé à un prix similaire à une tablette milieu de gamme d’aujourd’hui et, sauf la batterie qui ne dure plus que quelques minutes, rien ne déconne.


Le 22/08/2018 à 13h 34







Babouche kebab a écrit :



Pour ma part, en technologie,





Est-ce qu’il se pratique, comme à mon époque (ancien combattant tout ça…), une contribution demandée aux&nbsp; élèves pour financer un projet en techno ? Et si oui de quel montant (je peux me tromper mais on devait probablement donner dans les 50 francs à l’époque).


Le 22/08/2018 à 11h 08







Paratyphi a écrit :



Ouais, un gamin qui va se pointer (un jour de BYOD) avec son laptop contenant sa musique, ses films, steam etc, j’ai du mal à l’imaginer en train de travailler de façon studieuse…





Et surtout, ça va nécessairement mettre les gosses en situation d’inégalité/jalousie.



Certains gamins auront des veilles bouses moisies, d’autres auront le dernier appel.



En plus pour l’enseignant ça va être sympa à gérer d’avoir du matos différents, des os différents et le tout vérolé… Il va passer plus de temps à mettre en état l’équipement des gamins qu’à faire faire des trucs dessus.


Le 22/08/2018 à 11h 02







Nerg34 a écrit :



Le concept était complètement con et démagogique à la base. Pour ceux qui critiquent Macron, je rappel qu’on doit cette merveille non financée à notre ancien Président. Il était évident que tôt ou tard ça allait s’arrêter.





Mais ne t’énerves pas, personne n’accuse macron d’être plus nul que ses prédécesseurs <img data-src=" />


Le 22/08/2018 à 10h 53







graveen a écrit :



Sans être méchant, l’investissement ce n’est pas que l’achat du matériel (qui plus est d’entrée de gamme, donc potentiellement low-cost - l’écran). C’est aussi l’installation, le déploiement, la maintenance.




Là où je te rejoins, c'est qu'une solution basée sur du Pi serait un peu moins coûteuse. Bon dans le collège que je connais, c'est déjà le cas, mais ça pourrait bénéficier du support de l'EN que ca serait une excellente chose.








T'inquietes t'es pas méchant ^^      





Oui je le comprends et comme tu le relèves sur Pi il serait facile d’arrêter un écosystème os/logiciels/matériels cohérent et d’organiser son déploiement le tout pour un coût maîtrisé.&nbsp;


Le 22/08/2018 à 10h 29







Trit’ a écrit :



Bon, beaucoup de ces même lycéens s’avèrent ne pas être très soigneux, et on en retrouve pas mal en revente sur eBay…



 La macronie, c’est un gouvernement de droite pure, voire d’extrême-droite avec la politique migratoire. WikiLeaks vient tout récemment de révéler que le programme macroniste est quasiment identique à celui que voulait appliquer Fillon (les seules différences portant sur les « paramétrages » des mesures communes aux deux candidats).







Y a pas besoin de lire wikileaks, la Loi Asile et Immigration qui revient sur un principe de base de notre République, à savoir le droit du sol à Mayotte, donne déjà la couleur.


Le 22/08/2018 à 10h 26







Commentaire_supprime a écrit :



Je ne suis pas sûr que l’utilisation de tablettes ait un intérêt pédagogique quelconque. Mais je ne demande qu’à voir…






Moi non plus, en revanche je pense qu'un projet basé sur un Pi (ou équivalent) peut faire l'affaire pour un investissement par élève d'un peu plus de 100 € (Pi + accessoires dont écran).

Le 22/08/2018 à 10h 11

Le plan BYOD fait furieusement penser à l’article 22 qui dispose que “chacun se débrouille(*) comme il peut” <img data-src=" />



(*= c’est pas la version littérale naturellement)



&nbsp;

Le 22/08/2018 à 13h 18







Commentaire_supprime a écrit :



Cadeau, c’était sur ce topic.





Ah oui je l’avais oublié celui-ci <img data-src=" />


Le 21/08/2018 à 15h 08







Commentaire_supprime a écrit :



+1, rien à rajouter sur ton avis qui est aussi le mien.



Bon, le pimpim qui voulait faire banquer Google va peut-être revenir pour nous faire sa propagande, grand moment de troll en vue…





Zut je l’ai raté celui-ci ! <img data-src=" />


Le 21/08/2018 à 15h 04

Pétition check.



La situation de lobbying des ayants droits d’un coté et des GAFAS de l’autre, fait que finalement l’intérêt du citoyen européen est totalement ignoré.



Les positions énoncées ne visent qu’à sanctuariser les intérêts économiques des uns ou des autres en sabrant la liberté d’expression pour les premiers, en se foutant allégrement de la rémunération des auteurs pour les autres (alors qu’ils ne produisent pas le contenu qui attire les gens sur leurs plateformes).



Au final, le débat vise moins à définir des rapports économiques bénéfiques pour les européens qu’à savoir qui des deux groupes de lobbyistes va se partager le grisbi.



C’est désolant et très démobilisateur pour ceux qui croient en la construction européenne (dont je suis).

Le 21/08/2018 à 16h 14







DoWnR a écrit :



Retour en arrière sur des points importants ? C’est pas exactement ce qu’une quantité considérable de pisseuses influentes sur YT n’arrêtaient pas de demander après la sortie de BF1 qui était devenu trop “casual” ? <img data-src=" />



Perso, après avoir joué aux deux sessions de l’alpha fermée, j’ai du mal à comprendre les commentaires qui le comparent à un mod ou un reskin de BF1, rien que la forte réduction du “time-to-kill”, le “bullet spread” qui est à nouveau prédictible et plus basé sur du RNG, la diminution de l’auto-régénération de la barre de vie, le fait d’avoir à réellement utiliser ses yeux pour voir les ennemis plutôt qu’à tirer sur des pastilles rouges affichées par un appui frénétique sur la touche A, etc.



Alors, oui, graphiquement, ben on voit clairement que c’est un jeu de chez DICE qui tourne sous Frostbite…



Sinon, les points foireux dans l’alpha de BF5, c’étaient pour moi les tanks en carton, le manque cruel de munitions qui force à faire des allées/venues sur les dépôts de munitions, mauvaise balance entre les classes, les icônes de récompenses qui pullulent toujours plus à chaque action effectuée, on va bientôt se choper des récompenses pour avoir réussi à lancer le jeu, fait 10 pas, vidé son premier chargeur… <img data-src=" />





En oui en effet, je l’ai pas test, mais tu le vends bien <img data-src=" />


Le 21/08/2018 à 12h 27

Pffff! Le prix … Ils sont dingues ! C’est moi où la mode des cryptomonnaies permet de pratiquer des tarifs surréalistes ?

Le 21/08/2018 à 11h 15







Fabz31 a écrit :



Intéressant merci.



Par contre je trouve ça bien que ce soit la cnil qui juge de la gravité et non pas la boite trouée.





Je doute que la CNIL soit matériellement en mesure de checker l’ensemble des signalements (j’ai d’ailleurs jamais eu le moindre retour).



Je pense qu’elle analyse les signalements essentiellement si les cases relatives aux informations sensibles sont cochées, à défaut au regard de la masse, ça me semble difficile de faire mieux.



Par ailleurs, je pense que le plus important c’est l’information de la personne concernée (avec l’intérêt du chiffrement qui limite grandement les risques).


Le 21/08/2018 à 09h 58

Néanmoins la question de la pertinence de ce signalement systématique peut se poser.



J’ai du en faire pour divers clients dont la boite mail avait été “piraté” quelques heures mais dont en réalité les serveurs n’avaient quasiment plus aucun mail (et le webmail n’avait aucun contact enregistré) car outlook était paramétré pour tout récupérer et supprimer à chaque envoi/réception., tandis que les postes clients n’étaient pas affectés.



Du coup, changement immédiat du mot de passe par un plus robuste, information de la vingtaine d’adresses mails potentiellement collectée par le pirate, et information de la CNIL via sa fiche de notification, plus signalement sur la plateforme gouv.fr, outre la recommandation d’installer GPG.



Honnêtement, je ne vois pas l’utilité pour la CNIL d’avoir l’info de ce type de piratage sans véritable conséquence sinon dire dans son rapport annuel “on a plein de signalements, c’est cool!”.



A mon avis, cela devrait être limité à un seuil de gravité (nombre potentiel de données récupérées, sensibilités des infos etc…)

Le 20/08/2018 à 16h 22

Si l’info est exacte, et c’est à craindre au regard de la philosophie des textes qui sont en discussion, outre le fait que les filtres des grosses plateformes vont être en mode “tout dézinguer au moindre doute”, les petites plateformes seront incapables de tenir un tel rythme;

. financièrement, elles ne pourront pas mettre en place la techno de filtrage automatique-concon,

. humainement, elle ne pourra pas assurer un filtrage dans les 24h.



La réglementation existante, si on veut bien se donner la peine de l’appliquer, est largement suffisante, mais non on veut de l’automatique, peu importe qu’une telle techno sabre des faux positifs et qu’au passage seules les grosses plateformes soient en mesure de se mettre en conformité.



Finalement et devant de telles évidences on peut se poser la question; sous le légitime but de lutter contre le terrorisme, est-ce qu’on veut pas déstabiliser l’écosystème des petites plateformes au seul bénéfice des géants du net, afin de s’assurer de pouvoir y policer toute publication?



Ils ne pourraient pas mieux s’y prendre pour donner du grain à moudre à tous les complotistes…

Le 20/08/2018 à 16h 06







Le_poilu a écrit :



Tu comprendras qu’on a dépassé le stade où les argumentaires ont besoin d’être “lourd”

La discussion tourne en rond, il n’y a pas d’arguments supplémentaires à opposer d’un côte comme de l’autre, chacun campe sur ses positions/connaissances/croyances…

Donc non je ne perdrais pas mon temps à étoffer.





Alors effectivement fin du débat!


Le 20/08/2018 à 15h 59







Le_poilu a écrit :



Bah bonne chance pour utiliser cet argument devant un tribunal pour justifier une “rupture de contrat”



Euh, rien à voir avec la choucroute…





Tu comprendras que je trouve ton argumentation un peu light …


Le 20/08/2018 à 15h 56







L4igleNo1r a écrit :



Sauf que dans l’un des exemples c’était volontaire et dans l’autre non, en droit ça change beaucoup de chose. EDF dira que a l’époque c’était ce qu’il y avait de mieux pour mesurer, mais maintenant on fait mieux mais que s’il avait pu techniquement a l’époque, il aurai jamais laissé cette marge.





On verra à l’usage, mais je ne serai que très moyennement surpris si les associations de consommateurs devaient obtenir satisfaction pour les cas qui sont à la fameuse limite évoquée par Patch ou Commentaire_supprimé, surtout qu’il est clairement indiqué dans toute la com d’ENEDIS que pour l’utilisateur linky ne change rien, de facto lorsque cela fonctionnait correctement jusque là et que du seul fait du remplacement du compteur ça fonctionne plus, y a nécessairement du changement pour l’utilisateur ^^


Le 20/08/2018 à 15h 30







Pilipooop a écrit :



J’allais prendre le même exemple ^^

&nbsp;

Bref @crocodudule, je ne suis pas d’accord sur le fait que c’est un changement de contrat… C’est justement l’application de ce même contrat !



EDIT : la tolérance est dans le contrat ?





Nul besoin que cela soit dans le contrat à partir du moment où tu peux rapporter l’existence de cette tolérance.



Exemple classique en matière commerciale; un livreur de bagnoles livre le concessionnaire dans son parking pendant des années, ce n’est pas mentionné dans le contrat, c’est la pratique qui est néanmoins mise en œuvre pendant des années.



Si du jour au lendemain le livreur décide de dire c’était une pratique non prévue, je décide d’y mettre un terme en livrant sur le seuil de la concession, le concessionnaire peut gueuler en disant que la pratique commerciale a été modifiée sans son accord (sous réserve de pouvoir démontrer que la livraison sur le parking était la norme depuis des années).


Le 20/08/2018 à 15h 24







Le_poilu a écrit :



Le contrat ne change pas, la méthode de calcul non plus, seul l’équipment de mesure est plus précis.

Si tu as profité d’un équipement ayant une grosse marge d’erreur pendant des année: good for you. Il n’empêche que tu dépassais déjà les termes de ton contrat avant qu’on mette le nouveau compteur.



C’est comme pour les radars sur les routes: la limitation ne change pas quand ils passent d’un radar ayant 20% de marge d’erreur à un laser ayant 5% de marge d’erreur. Si pendant des années tu roulais en comptant sur les 20% de marge, le jour où tu te fais toper par un nouveau radard plus précis tu ne peux t’en prendre qu’à toi-même, le radar n’y est pour rien si tu es au-delà de la limite.





Aucun rapport avec le pénal, si dans un rapport contractuel tu as pendant des années accepté une tolérance de x et que tu changes cette variable, tu changes nécessairement le rapport contractuel instauré jusque là.


Le 20/08/2018 à 15h 04







Pilipooop a écrit :



Ça revient au même : ils ont bel et bien besoin d’un abonnement supérieur, même si ils ne l’utilisent que très rarement.&nbsp;Donc c’est normal qu’ils le payent…

&nbsp;

Si un jour tu demandes un supplément chantilly avec ta glace et que le restaurateur oubli de te le facturer, tu vas pas dire le lendemain “mais hier vous avez oublier, je ne le payerais jamais”…

&nbsp;

Les gens concernés doivent changer d’abonnement ou ne pas lancer tous leurs appareils en même temps, ce qui est préférable pour la communauté…

Bref, ça responsabilise les gens, le voilà le “problème”.





Mais vous avez une vision des rapports économiques très particulière: tu passes un contrat avec des services bien définis, tout le monde exécute ses obligations pendant des années, puis l’une des parties (au hasard celle en position de force) change sa méthode de calcul et estime que finalement le coût de la même prestation doit augmenter, l’autre partie n’a rien à dire et doit casquer le nouveau tarif ou revoir tout son équipement sans broncher ?!?



Après la théorie de l’imprévision, celle de “c’est moi qui décide pour te responsabiliser”, l’utilisateur est pas sous tutelle d’ENEDIS&nbsp; encore ^^


Le 20/08/2018 à 14h 58







Patch a écrit :



C’est bon, t’as gagné, t’as raison, linky même si ca n’apporte absolument rien c’est super ultra génial, on n’a jamais fait et on ne fera jamais mieux.





Enfin! Ca commence à rentrer ! <img data-src=" />


Le 20/08/2018 à 14h 51







alex.d. a écrit :



Pour la relève du compteur, tu es tenu de laisser à Énedis l’accès à ton compteur au moins une fois par an. Tout le monde a cette clause dans son contrat (même quand tu es en télé-relevé). Donc tu ne peux pas faire durablement obstruction, sinon il y aura rupture de contrat pour non-respect de ta part.





En pratique, j’en connais qui sont systématiquement indisponibles le jour du passage et qui balancent avec photo le relevé après coup depuis des années.


Le 20/08/2018 à 14h 41







Kazer2.0 a écrit :



Ben c’est déjà un changement vu que c’est un appartement neuf, donc je crois qu’il me reste que l’option délinquant <img data-src=" />





Ou tu es masochangiste !&nbsp;<img data-src=" />


Le 20/08/2018 à 14h 40







Commentaire_supprime a écrit :



Le mien est à peu près identique, mais l’afficheur fait deux lignes, et c’est un LCD gris





J’avais celui là et ça fonctionnait nickel notamment le mode heures creuses. D’ailleurs, il faut que je regarde si dans l’interface enedis c’est mentionné depuis l’installation du linky.


Le 20/08/2018 à 14h 24







Kazer2.0 a écrit :



Dans mon appartement construit neuf y’a 1 / 2 ans, j’ai eu un compteur classique avec afficheur pour suivre ma conso. J’vois pas l’intérêt de linky. Mon compteur doit cracher du jus et me fournis la conso que j’ai juste à transmettre après.





Non mais cherches pas ou tu as peur du changement ou tu es un délinquant, y a pas d’autre option il a dit <img data-src=" />


Le 20/08/2018 à 13h 24







wagaf a écrit :



On est tellement habitué à de l’énergie en apparence “illimitée” que toute forme de limitation à notre liberté de la consommer nous semble inacceptable.



Ça sera pourtant une nécessité physique avec les voitures électriques et les besoins d’optimisation progressive de notre consommation.





Y a aussi d’autres solutions que la coupure, l’idée des clusters de production par quartier me semble excellente mais pour l’instant rien n’a été mis dans la Loi pour l’imposer aux Communes lorsqu’elles font de grands ensembles notamment.



(S’agissant de l’automobile, j’ai quelques doutes sur le fait que l’électricité sera nécessairement le modèle du futur).


Le 20/08/2018 à 12h 55







Raknor a écrit :



Les compteurs mesurent la puissance consommée et la répartissent (après calcul), dans des index qui sont affichés sur le compteur. La facturation est réalisée sur ces index (le relevé).



 Si on veut d'autres plans tarifaires, il faut que le compteur les supportent. Or Beaucoup de compteurs pré-linky ne sont pas programmable ou ne supportent pas autre chose que le plan Base et HP/HC (avec intervention d'un technicien pour la sélection du plan). Pour avoir des plans encore différents, il faut changer le compteur.       






 Linky est programmable, et le permet.








 Ok j'entends que linky permet de programmer plus facilement plus de plages horaires (et éventuellement de les adapter au jour le jour), est-ce que cela a du sens pour le producteur comme le fournisseur de connaître à l'échelle du foyer la consommation tous les 30 mins?      






Je vois vraiment pas ce qu'ils peuvent tirer de plus qu'une collecte à l'échelle du quartier? Ceci n'interdisant en rien de programmer toutes les plages horaires voulues sans inutilement récolter des données les foyers individuellement.&nbsp;

Le 20/08/2018 à 12h 50







ytterbium a écrit :



L’idée était alors de permettre la concurrence en permettant des offres innovantes, pas seulement basé sur un prix unique. On pourrait par exemple imaginer une offre avec un tarif variable de l’électricité au cours de la journée, en fonction de la demande sur le réseau. Par exemple un prix bas au milieu de la journée ou de la nuit, et beaucoup plus cher en début de soirée, avec une granularité beaucoup plus fine que le tarif heure creuse/pleine.

Mais de telles offres ne sont pas possibles avec un compteur classique, d’où Linky.





Encore un emploi du terme innovation de façon totalement galvaudée: le tarif heure creuse (en réalité les tarifs car il y a en plusieurs) existe depuis 2005 et les compteurs numériques le gérant depuis la même date, j’ai un compteur (ou plutôt j’en avais un) depuis 2007 ou 2008 de mémoire, avant qu’ils m’imposent le linky y a quelques semaines.


Le 20/08/2018 à 12h 41







Patch a écrit :



Tu connais beaucoup de personnes qui déplombent leur compteur, toi?





Perso j’en connais une mais c’est vraiment l’exception (contraire à la flotte où en campagne j’en connais un paquet).