#Le brief du 25 avril 2022

LeBrief fait une courte pause pour le reste de la semaine

LeBrief fait une courte pause pour le reste de la semaine

Le 25 avril 2022 à 07h41

Le 25 avril 2022 à 07h41

LeBrief fait une courte pause pour le reste de la semaine

La CJUE se prononcera mardi sur l’article 17 de la directive droit d’auteur

La CJUE se prononcera mardi sur l’article 17 de la directive droit d’auteur

Le 25 avril 2022 à 07h41

Demain, la Cour de justice de l’UE rendra un arrêt de grande chambre particulièrement attendu. Il concerne la solidité juridique de l’article 17 de la directive sur le droit d’auteur. 

L’enjeu, résumé par les services de la CJUE : « Le législateur de l’Union peut-il, dans le respect de la liberté d’expression, imposer certaines obligations de surveillance et de filtrage à certains intermédiaires en ligne, à condition, toutefois, que ces obligations soient encadrées par des garanties suffisantes ? »

L’affaire a été poussée devant la Cour de justice de l'UE à la demande de la Pologne qui considère que l’article 17 viole la liberté d’expression et d’information. L’avocat général de la CJUE a rendu en juillet dernier des conclusions nuancées, sans adopter les vues françaises qui militent pour un blocage préventif de l’ensemble des contenus reproduisant des œuvres sur les plateformes. 

Le 25 avril 2022 à 07h41

La CJUE se prononcera mardi sur l’article 17 de la directive droit d’auteur

+ 56 % de chiffre d’affaires,+ 21 % d’impôts pour la régie publicitaire d’Amazon France

+ 56 % de chiffre d'affaires, + 21 % d'impôts pour la régie publicitaire d'Amazon France

Le 25 avril 2022 à 07h41

« Les revenus publicitaires d'Amazon explosent en France mais pas ses impôts », titre La Lettre A. Son chiffre d'affaires publicitaire atteint en effet « 520 millions d'euros en France en 2021, en hausse de 56 % sur un an [...] contre 32 % pour l'ensemble du chiffre d'affaires publicitaire mondial d'Amazon ».

Cette performance ferait d'Amazon le troisième plus gros acteur mondial de la publicité numérique, derrière Google et Meta, qui auraient respectivement généré 3 et 1,8 milliards d'euros l'an passé.

Mais « chapeautée par une holding luxembourgeoise, la régie a toutefois payé seulement 790 000 euros d'impôts », soit 21 % de plus que l'an passé, le bénéfice d'Amazon Online France n'ayant été que de 2,04 millions d'euros, « grevé par plus de 470 millions d'euros de "charges opérationnelles facturées par des entreprises liées" ».

Le 25 avril 2022 à 07h41

+ 56 % de chiffre d’affaires,+ 21 % d’impôts pour la régie publicitaire d’Amazon France

Twitter fait le ménage dans les publicités remettant en cause le changement climatique

Twitter fait le ménage dans les publicités remettant en cause le changement climatique

Le 25 avril 2022 à 07h41

Dans un billet publié vendredi soir sur son blog, Twitter explique que les publicités « trompeuses » sur le changement climatique sont désormais bannies.

Si des publicités « contredisent le consensus scientifique », elles seront donc supprimées de la plateforme. La séparation du bon grain de l’ivraie sur la base de « sources faisant autorité », notamment l’Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC, Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) des Nations Unies.

« Nous pensons que ce déni climatique ne devrait pas être monétisé sur Twitter, et que les publicités biaisées ne devraient pas détourner l’attention des conversations importantes sur la crise climatique », a indiqué Twitter.

L’entreprise évoque un contexte spécifique. Les conversations sur le développement durable auraient augmenté de 150 % en 2021, celles sur la décarbonation de 50 %, ou encore celles sur la réduction des déchets de 100 %.

Twitter a promis de publier bientôt un cadre clair sur le sujet.

Le 25 avril 2022 à 07h41

Twitter fait le ménage dans les publicités remettant en cause le changement climatique

Accord provisoire sur le Digital Services Act (DSA)

Accord provisoire sur le Digital Services Act (DSA)

Le 25 avril 2022 à 07h41

Un accord provisoire a été trouvé entre le Conseil et le Parlement européen sur le DSA, ou Digital Services Act. Un nouveau corps de règles pour réguler les plateformes, hébergeurs et places de marché qui fournissent leurs prestations en Europe, peu importe leur localisation géographique. 

Des règles spécifiques s’appliqueront aux très grandes plateformes et très grands moteurs de recherche, ceux ayant plus de 45 millions d’utilisateurs actifs par mois dans l’Union européenne. En dessous du seuil, les micro et petites entreprises « seront exemptées de certaines nouvelles obligations » prévient le Conseil. 

« Le DSA introduit une obligation pour les très grandes plateformes et services numériques d’analyser les risques systémiques qu’ils engendrent et de mettre en place une analyse de réduction des risques ». Cette analyse portera notamment sur « la diffusion de contenus illégaux », « les manipulations de leurs services ayant un impact sur les processus démocratiques et la sécurité publiques », ou encore « les effets néfastes sur les violences basées sur le genre, sur les mineurs et les conséquences sérieuses sur la santé physique ou mentale des utilisateurs »

« Les plateformes accessibles aux mineurs devront mettre en place des mesures de protection particulières pour assurer leur sécurité en ligne, en particulier lorsqu’elles ont connaissance qu’un utilisateur est un mineur » ajoute le Conseil. « Les plateformes auront également l’interdiction de lui présenter des publicités ciblées basées sur l’utilisation de ses données personnelles telles que définies dans le droit de l’Union ». 

« L'accord politique provisoire trouvé aujourd'hui doit être approuvé par le Conseil et le Parlement européen avant de passer aux étapes formelles de la procédure d’adoption de chaque institution ».

À l’instar de notre explication ligne par ligne du texte initial, nous reviendrons sur les rouages de ce futur règlement, une fois celui-ci publié au Journal officiel de l’UE.

Le 25 avril 2022 à 07h41

Accord provisoire sur le Digital Services Act (DSA)

Microsoft améliore sa Reply-all Storm Protection dans Exchange

Microsoft améliore sa Reply-all Storm Protection dans Exchange

Le 25 avril 2022 à 07h41

En 2020, Microsoft avait lancé une fonction au nom évocateur : Reply-all Storm Protection. Il s’agissait de lutter contre les tempêtes se déclenchant quand une personne, volontairement ou par erreur, clique sur le bouton « Répondre à tous ». Avec les grincements de dents que l’on imagine.

Le service avait alors un fonctionnement simple : détecter automatiquement ces échanges et proposer de les stopper. En mai 2021, la protection avait été renforcée, passant de 5 000 personnes pour le seuil de déclenchement à 2 500, et la durée de blocage de 4 à 6 heures par défaut. En outre, ces paramètres devenaient modifiables, avec possibilité par exemple d'abaisser le seuil à 1 000 personnes.

Cette fonction, destinée aux grandes structures, fait l’objet en ce moment de plusieurs améliorations. D’une part, la réception d’un rapport hebdomadaires sur les éventuelles actions prises, accompagné de statistiques. Ces dernières et les emails liés peuvent être exportés en CSV. Cette fonction est en déploiement et tous les comptes l’auront d’ici fin mai.

D’autre part, la personnalisation des paramètres peut maintenant se faire depuis l’Exchange Admin Center, et plus uniquement via Remote PowerShell.

Enfin, un système personnalisable d’alertes permettra aux administrateurs d’avertir certaines personnes ou catégories de personnes du déclenchement d’une tempête. Des règles spécifiques seront ajoutées. Le déploiement commencera bientôt et s’étalera jusqu’à fin juillet.

Le 25 avril 2022 à 07h41

Microsoft améliore sa Reply-all Storm Protection dans Exchange

Apple abandonne officiellement macOS Server

Apple abandonne officiellement macOS Server

Le 25 avril 2022 à 07h41

Il y a longtemps que macOS Server n’était plus un système à part entière, mais une application capable de transformer n’importe quel Mac en serveur, moyennant 20 euros sur l’App Store. Apple assurait cependant le service minimum depuis plusieurs années.

Pour preuve, la dernière mise à jour « majeure » remontait à décembre. La version 5.12 ajoutait simplement le support de Monterey, deux mois après sa disponibilité.

Dans une fiche technique datée du 22 avril, Apple annonce donc l’abandon de macOS Server. Les actuels clients de l’application peuvent pour l’instant continuer de la télécharger et de l’utiliser.

Comme l’indique l’entreprise, les services les plus importants ont été intégrés à macOS (client) depuis High Sierra, notamment Caching Server, File Sharing Server et Time Machine Server. La fiche technique précise d’ailleurs, pour chaque version, les fonctions qui ont été intégrées.

Curieusement, la page produit de macOS Server est toujours en ligne.

Le 25 avril 2022 à 07h41

Apple abandonne officiellement macOS Server

Emmanuel Macron réélu, cap sur les élections législatives

Emmanuel Macron réélu, cap sur les élections législatives

Le 25 avril 2022 à 07h41

À l’issue du second tour de l’élection présidentielle, Emmanuel Macron est réélu avec 58,54 % des voix, selon le décompte du ministère de l’Intérieur. Marine Le Pen enregistre 41,46 % des voix, son plus haut score. En 2017, les résultats respectifs étaient de 66,10 % contre 33,90 %.

Selon un sondage Ipsos-Sopra Steria, « 42% des électeurs d'Emmanuel Macron ont voté pour faire barrage à Marine Le Pen », indique Franceinfo.

La prochaine grande étape politique se déroulera les 12 et 19 juin prochains pour les élections législatives, qui vont permettre de désigner les 577 députés. Le troisième tour, comme le qualifie Jean-Luc Mélenchon qui espère une majorité de députés Insoumis dans l’hémicycle.

Pour Emmanuel Macron, ces législatives seront l’étape inévitable pour espérer mettre en œuvre son programme, grâce à l’appui d’une majorité de députés.

Le 25 avril 2022 à 07h41

Emmanuel Macron réélu, cap sur les élections législatives

Une nouvelle arnaque permet de dupliquer le code de carte bancaire à distance

Une nouvelle arnaque permet de dupliquer le code de carte bancaire à distance

Le 25 avril 2022 à 07h41

Deux ressortissants bulgares ont été interpellés et mis en examen pour avoir déployé un nouveau système d'arnaque à la carte bancaire, révèle 20 minutes.

Ils sont soupçonnés d'avoir installé des « boîtiers pirates dans onze parkings ou stations-service de la petite couronne parisienne entre les mois de février et d’avril. Au total, un peu plus de 300 personnes auraient été victimes de cette arnaque, pour un préjudice estimé à quelque 39.000 euros ».

D'ordinaire, explique une source proche de l’enquête, « les malfaiteurs récupéraient les données contenues sur les pistes bancaires, les 16 chiffres, la date de validité, le cryptogramme, souvent pour les revendre, précise cette même source. Ce qui est nouveau, c’est que cette fois, ils sont parvenus à dupliquer le flux de données qui entre et sort de la puce. »

Ce qui permettait aux escrocs d'effectuer des retraits au moment où les victimes entraient leurs codes dans un autre DAB à quelques kilomètres de là, en temps réel : 

« C’est cette simultanéité qui a mis la puce à l’oreille du GIE. En plus d’alerter les autorités, l’organisme a également mis en place une nouvelle sécurité qui a permis de limiter le préjudice. »

« C’est la première fois que ce type de fraude est détectée sur notre territoire, mais une alerte similaire a été émise à la mi-mars à Londres », précise une source policière.

Le 25 avril 2022 à 07h41

Une nouvelle arnaque permet de dupliquer le code de carte bancaire à distance

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