Un rapport s’intéresse à l’usage « responsable et acceptable par la société des technologies de sécurité »

Le 10 septembre 2021 à 08h13
1 min
Droit
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Le Premier ministre avait demandé au député Jean-Michel MIS de plancher sur le sujet. Le rapport de plusieurs centaines de pages est désormais disponible.
Les conclusions doivent « permettre de déterminer avec précision les apports des nouvelles technologies qui pourraient être utilisées par nos forces de sécurité », explique le député.
Ce rapport fleuve formule pas moins de 30 recommandations, proposant pêle-mêle de « soutenir le tissu industriel français », « développer l’usage des techniques biométriques », « superviser l’action des forces de sécurité »…
- Télécharger le rapport : 1er volume, 2e volume
Le 10 septembre 2021 à 08h13
Commentaires (5)
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Abonnez-vousLe 10/09/2021 à 09h23
67 pages pour le volume 1 et 345 pages pour les contributions.
Je ne suis pas député, je n’ai pas le temps de lire autant. Et pourtant, c’est mon métier.
Vous ne trouvez pas qu’il y a un problème ?
Le 11/09/2021 à 12h35
Et pourtant (Recommandation 11): “L’inscrire [une expérimentation] dans un débat de société plus large sur l’emploi des nouvelles technologies en matière de sécurité.
Alors on va te faire débattre en société en te donnant un flyer de 5 lignes qui te dira en filigrane que si tu donnes ton consentement moral à ce changement de société, tu vas sauver la vie de dizaines de gens honnêtes, automettre les méchants en prison avant qu’ils lèvent le petit doigt, et on vivra enfin en paix et on pourra se concentrer sur autre chose (à savoir, la pêche à la grenouille).
Le 11/09/2021 à 17h15
Le 13/09/2021 à 07h20
c’est sûr, que d’un point de vue purement technologique, y-aurait
des avantages indéniables pour les FO., mais qu’en est-il de acceptabilité
de nôtre société ?
Le 13/09/2021 à 08h13
Non. Il faut que l’information soit détaillée et exhaustive.
Le député aura une note de synthèse rédigée par ses assistants parlementaires (ou ceux d’un collègue qui partage au sein du groupe parlementaire), c’est leur boulot !