Selon un rapport, plus de 24 millions de dossiers médicaux seraient accessibles, 47 500 en France

Selon un rapport, plus de 24 millions de dossiers médicaux seraient accessibles, 47 500 en France

Selon un rapport, plus de 24 millions de dossiers médicaux seraient accessibles, 47 500 en France

Greenbone, société allemande spécialisée dans la cybersécurité, tire la sonnette d'alarme : des données médicales seraient librement et facilement « accessibles en raison de négligence au niveau de la configuration de ces systèmes. Beaucoup n'ont aucune protection, comme un mot de passe ou du chiffrement ».

Les serveurs censés être sécurisés laisseraient en fait fuiter des informations hautement confidentielles : « noms, les dates de naissance, dates et détails des examens, médecins traitants, cliniques et analyses médicales consultables et, dans certains cas, téléchargeables ». Aux États-Unis, des numéros de sécurité sociale sont également de la partie.

Au total, « plus de 24 millions d'enregistrements, combinés avec plus de 700 millions d'images » seraient accessible selon Greenbone. Tout le monde est concerné (ou presque) puisque les serveurs se trouvent dans 52 pays à travers le monde. 

Un rapport détaillé a été mis en ligne. On y découvre que la France ne serait pas épargnée avec des dossiers de 47 500 patients, pour 2,67 millions d'images accessibles. 

Commentaires (6)


Ça sent le service d’hébergement de radio ça 😅


Ça ressemble à une méconnaissance de la norme DICOM avec des serveur pas bien configurés…


Malheureusement le corps médical français n’est que le reflet de la société française qui maitrise mal les tenants et aboutissants du numérique.


On va commencer à sentir passer les effets de la digitalisation <img data-src=" />








Jarodd a écrit :



On va commencer à sentir passer les effets de la digitalisation <img data-src=" />







Surtout par la prostate.<img data-src=" />



Rn même trmps les médecins ne sont pas des informaticiens, et pourtant de plus en plus d’entre eux (presque tous je suppose) utilisent des PC avec des logiciels spécifiquespécifiques et parfois un NAS qui stocke les donnés médicales en local. Bref, ça ne m’étonne pas. Et ça m’inquiète cela dit.


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