Revolut fait son mea culpa
Le 05 mars 2019 à 09h37
1 min
Économie
« L'objectif de cette lettre ouverte n'est pas de trouver des excuses ou d'essayer de dénigrer les faits décrits dans l'article, mais d'admettre que nous n'avons pas toujours fait les choses correctement ».
C'est ainsi que Nik Storonsky, le PDG de Revolut, tente de calmer la tempête qui s'est abattue sur son entreprise, accusée de promouvoir une culture toxique auprès de ses employés, notamment en matière de temps de travail.
Le dirigeant ne cherche pas à minimiser les faits, mais assure que son entreprise a profondément changé entre les incidents décrits, qui auraient eu lieu il y a plus d'un an, et aujourd'hui. Si bien que le « turnover » serait passé sous la barre des 3 %.
Des progrès qui auraient été notamment permis par la mise en place d'études semestrielles sur le bien-être des employés et de nouveaux processus plus transparents pour l'évaluation des performances.
Le 05 mars 2019 à 09h37
Commentaires (21)
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Abonnez-vousLe 05/03/2019 à 09h47
#1
Question du jour : peut-on réussir dans le monde de l’entreprenariat en étant moral et éthique ?
Vous avez 42 minutes.
Le 05/03/2019 à 09h49
#2
A des années lumières de Monzo 😂
https://monzo.com/blog/2019/01/30/mental-health/
Le 05/03/2019 à 10h40
#3
Y’a un problème d’emblée dans l’article… Dès le début… Dans le titre : “How we manage mental health”. Est-ce que ça se « manage » vraiment, la santé mentale ? J’dirais que ça se respecte. Et quand j’lis le tas de conneries qui suit… j’ai la confirmation qu’elle est managée, chez Monzo.
On y parle des heures de travail brièvement, vers la fin : “We set flexible working hours”. Cool. Flexible pour qui ? Quid du surmenage ? Quid des méthodes de travail ? Que dalle.
Je m’énerve parce que putain… on vient pas au boulot pour soigner sa santé mentale… On vient au boulot pour travailler ! Et donc il faudrait déjà revoir ses objectifs et ses méthodes de travail et de « management » avant de prétendre se soucier du bien être de ses employés. Parce qu’un travailleur qui peut pas bosser comme il l’entend, qui est bridé par la connerie de sa hiérarchie, ou dont les objectifs n’ont aucun rapport avec son métier et ses qualifications, est mal parti pour être « bien ».
P.S. : J’sais pas comment ils bossent chez Monzo, j’trouve juste que l’article de blog démontre bien l’incapacité à comprendre ce qu’est le travail, et ce que le travailleur en attend. Du reste, il se peut qu’il y fasse bon travailler…
Le 05/03/2019 à 10h42
#4
Oui :) la solution est simple “contre pouvoir” quand tu met un dialogue social dans une entreprise (quelquesoit sa taille) tu relève ces points et tu peux te battre contre.
Sauf que 95% des sociétés voient le dialogue comme cher et inutile, donc ils se comportent en dictateur au service des seuls bénéfices (qu’ils ne redistribueront pas faut pas déconner) ….
Mais des exceptions existes même dans les grandes boites, c’est loin d’être parfait mais quand tu prend un exemple tout bête. Quand Peugeot traverse la période noire d’il y à 7 ans le nouveau boss (Tavares) demande aux syndicats et employé un accord de compétitivité. A la clé si ça marche des hausses de salaires, des primes, des avancées sociales.
La boite s’en sort et dégage maintenant un bénéfice conséquent ! Depuis 3 ans il vers des mega primes de performances pas que aux cadres, ni qu’aux actionnaires mais aux salariés (3200€ pour ceux payés entre 1x et 2x le smic) prime qui s’additionne à l’intéressement d’ailleurs. Ils ont stabilisés les conditions de travail, le rapport salariés/intérimaires a baissé et le dialogue social se fait intelligemment et dans une négociation et une écoute étonnante pour une boite de cette taille.
Pour l’année 2018 chez Peugeot l’enveloppe “primes salariés” sera plus grosse que celle pour les actionnaires ce qui est une sacrée victoire !
Le 05/03/2019 à 11h26
#5
Le 05/03/2019 à 11h39
#6
Le 05/03/2019 à 13h00
#7
Le 05/03/2019 à 13h08
#8
Le 05/03/2019 à 13h08
#9
Hu hu… C’est subtile :p
Le 05/03/2019 à 13h16
#10
Le 05/03/2019 à 13h51
#11
Le 05/03/2019 à 15h42
#12
Le 05/03/2019 à 15h57
#13
[Je ne peux pas éditer mon message ci-dessus]
J’ai oublié de préciser aussi que la santé mentale est un grand sujet de préoccupation chez les employeurs britanniques en ce moment - un peu comme les suicides au travail faisaient la une des quotidiens il y a quelques années en France. Alors certes, le billet de Monzo est un exercice de com’, mais ce qui me déplait, c’est que les 3⁄4 des posts précédents le torpillent alors que vous ne comprenez pas le contexte dans lequel il a été écrit, voire même ne comprenez pas le message lui-même.
Le 05/03/2019 à 16h26
#14
Le 05/03/2019 à 17h26
#15
Le 05/03/2019 à 18h49
#16
“Culture toxique” ?
Moi je parlerais plutot d’exploitation.
Le 06/03/2019 à 07h40
#17
Le 06/03/2019 à 08h33
#18
Et encore… le bétail ne se plaint pas, et il est rarement réfractaire :p
Le 06/03/2019 à 14h08
#19
Le 07/03/2019 à 14h13
#20
Le 08/03/2019 à 09h30
#21
T’étais pas obligé de me répondre. Franchement. Surtout si c’est pour n’avoir lu que ce message et ignoré les autres développements.