L'entreprise à la framboise a annoncé sur son blog son entrée officielle à la bourse de Londres en tant que « Raspberry Pi Holdings plc ».
Pour l'entreprise, « c'est un moment décisif pour Raspberry Pi et le début d'une nouvelle phase de notre évolution : l'accès au marché public nous permettra de construire plus de produits que vous aimez, plus rapidement ».
TechCrunch se demande « qui aurait cru que Raspberry Pi, le fabricant d'ordinateurs monocartes bon marché, deviendrait une société cotée en bourse ? ».
Et pourtant, avec une valeur de 2,8 livres sterling à l'ouverture de la bourse ce matin, le titre de Raspberry Pi a rapidement augmenté d'un tiers, faisant passer la valeur de l'entreprise au-dessus des 542 millions de livres (soit 643 millions d'euros) en milieu de journée.
Si on connait les Raspberry Pi comme les nano-ordinateurs qu'on peut bricoler chez soi facilement, l'entreprise rappelle que cette part représente 28 % des ventes en 2023 alors que celle côté « industriel et embarqué » est de 72 %.
Commentaires (11)
#1
Perso les problèmes de surchauffe des derniers modèles m'avaient déjà refroidi 😬
Je ne suis pas trop le sujet, du coup je le demande ici : quelles seraient selon vous de bonnes alternatives au RPI, des cartes polyvalentes grand public, accessibles financièrement et techniquement ?
#1.1
https://www.cnx-software.com
Ou, assez régulièrement aussi et en français ici:
https://www.minimachines.net
Le problème assez récurrent, c'est le suivi logiciel: En général tu as une image (et les patch source, essentiellement kernel/build, correspondants) basée sur une distro type Ubuntu ou Debian qui n'évolue jamais ensuite et avec des patch trop crado pour être poussés/intégrés upstream. Alors sauf à ce que des courageux mettent au propre et s'y attellent, ce qui est rare, vogue la galère...
Rien à voir avec une Raspberry qui est bien suivie, même les premiers PI le sont encore.
En réalité, sauf à avoir besoin des IO (ou qu'elles soient gérées par autre chose qu'un PCH trop peu déterministe chez Intel), l'alternative n'ayant pas ces problèmes c'est d'aller vers les quelques SBC basées x86 qui existent: Là on est sur une install type PC avec totale liberté de choix de distro.
Voir, si on n'a pas vraiment besoin d'une SBC... un mini PC N100 livré avec le stockage/alim/boitier, qu'on trouve pour moins cher qu'un PI5 auquel on ajouterait ces éléments!
Raspberry livre en priorité pour les usages industriels, de toutes manières. Avec des actionnaires derrière, probable que l'on passe de 72% à plus de 90 assez rapidement.
#1.5
Oui le PI est plus cher à hardware égal que d'autres fabricants, mais le support dans la durée et la communauté, c'est sans égal.
Dans plusieurs années, je pourrais encore utiliser les PI4 pour les besoins que j'en ait (essentiellement domotique et gestion de l'irrigation, opensprinkler...), à jour.
#1.2
Je me suis fait la même réflexion :)
Une des conséquences de l'entrée en bourse, c'est possiblement la recherche d'un meilleur rendement financier, et donc la compression des dépenses, et donc du suivi logiciel des versions passées.
#1.3
Historique des modifications :
Posté le 11/06/2024 à 18h16
Je suis comme vous. C'est dommage, j'aimais bien les Raspi. Soumis aux bons vouloirs d'actionnaires qui voudront leurs dividendes, on risque de sortir des modèles libres sur lesquels on peut installer (presque) n'importe quelle distribution et faire à peu près n'importe quoi avec. On aura sûrement des mises à jour plus fréquentes, mais au prix du suivi et de la maintenance. Le pire serait des exclusivités (de cartes mémoires, de périphériques et pilotes...).
#1.8
#1.7
#1.9
#1.10
Et juste en aparté:
La mise sur le marché public est un 3 moyens pour une société pour « récolter des fonds » pour son développement, ça c'est le cas où l’on vend des petits morceaux de la boite et tout le monde a le droit d’en acheter un ou plusieurs morceaux (actions).
Les 2 autres, par endettement, étant :
1 - Emprunt court-moyen-long terme auprès de (quelques) banques (seulement).
2 - Emprunt auprès de milliers – centaines de milliers de créditeurs, tous ceux qui veulent bien nous donner une p’tite pièce, en échange d’une reconnaissance de dettes (titre de créance, ça fait plus classe) et ils récupèreront leurs pièces à la fin, mais bien sûr entre temps, on leur donnera un p’tit kekchose tous les ans pour patienter d’ici là: l’émission d’obligations (ou assez désuet maintenant: « bon au porteur »)
(une obligation est juste une reconnaissance de dettes avec des intérêts annuels. )
Bref...
.
Historique des modifications :
Posté le 12/06/2024 à 15h44
+1 !
Et juste en aparté:
La mise sur le marché public est un 3 moyens pour une société pour « récolter des fonds » pour son développement, ça c'est le cas où l’on vend des petits morceaux de la boite et tout le monde a le droit d’en acheter un morceaux (ou plusieurs).
Les 2 autres, par endettement, étant :
- Emprunt court-moyen-long terme auprès de (quelques) banques (seulement).
- Emprunt auprès de milliers – centaines de milliers de créditeurs, tous ceux qui veulent bien nous donner une p’tite pièce, en échange d’une reconnaissance de dettes, et ils récupèreront leurs pièces à la fin, mais bien sûr entre temps, on leur donnera un p’tit kekchose tous les ans pour patienter d’ici là: l’émission d’obligations (ou assez désuet maintenant: « bon au porteur »)
Bref...
Posté le 12/06/2024 à 15h46
+1 !
Et juste en aparté:
La mise sur le marché public est un 3 moyens pour une société pour « récolter des fonds » pour son développement, ça c'est le cas où l’on vend des petits morceaux de la boite et tout le monde a le droit d’en acheter un ou plusieurs morceaux (actions).
Les 2 autres, par endettement, étant :
- Emprunt court-moyen-long terme auprès de (quelques) banques (seulement).
- Emprunt auprès de milliers – centaines de milliers de créditeurs, tous ceux qui veulent bien nous donner une p’tite pièce, en échange d’une reconnaissance de dettes, et ils récupèreront leurs pièces à la fin, mais bien sûr entre temps, on leur donnera un p’tit kekchose tous les ans pour patienter d’ici là: l’émission d’obligations (ou assez désuet maintenant: « bon au porteur »)
Bref...
Posté le 12/06/2024 à 15h50
+1 !
Et juste en aparté:
La mise sur le marché public est un 3 moyens pour une société pour « récolter des fonds » pour son développement, ça c'est le cas où l’on vend des petits morceaux de la boite et tout le monde a le droit d’en acheter un ou plusieurs morceaux (actions).
Les 2 autres, par endettement, étant :
- Emprunt court-moyen-long terme auprès de (quelques) banques (seulement).
- Emprunt auprès de milliers – centaines de milliers de créditeurs, tous ceux qui veulent bien nous donner une p’tite pièce, en échange d’une reconnaissance de dettes (titre de créance, ça fait plus classe) et ils récupèreront leurs pièces à la fin, mais bien sûr entre temps, on leur donnera un p’tit kekchose tous les ans pour patienter d’ici là: l’émission d’obligations (ou assez désuet maintenant: « bon au porteur »)
Bref...
Posté le 12/06/2024 à 15h52
+1 !
Et juste en aparté:
La mise sur le marché public est un 3 moyens pour une société pour « récolter des fonds » pour son développement, ça c'est le cas où l’on vend des petits morceaux de la boite et tout le monde a le droit d’en acheter un ou plusieurs morceaux (actions).
Les 2 autres, par endettement, étant :
- Emprunt court-moyen-long terme auprès de (quelques) banques (seulement).
- Emprunt auprès de milliers – centaines de milliers de créditeurs, tous ceux qui veulent bien nous donner une p’tite pièce, en échange d’une reconnaissance de dettes (titre de créance, ça fait plus classe) et ils récupèreront leurs pièces à la fin, mais bien sûr entre temps, on leur donnera un p’tit kekchose tous les ans pour patienter d’ici là: l’émission d’obligations (ou assez désuet maintenant: « bon au porteur »)
(une obligation est juste une reconnaissance de dettes avec des intérêts annuels. )
Bref...
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Posté le 12/06/2024 à 15h54
+1 !
Et juste en aparté:
La mise sur le marché public est un 3 moyens pour une société pour « récolter des fonds » pour son développement, ça c'est le cas où l’on vend des petits morceaux de la boite et tout le monde a le droit d’en acheter un ou plusieurs morceaux (actions).
Les 2 autres, par endettement, étant :
1 - Emprunt court-moyen-long terme auprès de (quelques) banques (seulement).
2 - Emprunt auprès de milliers – centaines de milliers de créditeurs, tous ceux qui veulent bien nous donner une p’tite pièce, en échange d’une reconnaissance de dettes (titre de créance, ça fait plus classe) et ils récupèreront leurs pièces à la fin, mais bien sûr entre temps, on leur donnera un p’tit kekchose tous les ans pour patienter d’ici là: l’émission d’obligations (ou assez désuet maintenant: « bon au porteur »)
(une obligation est juste une reconnaissance de dettes avec des intérêts annuels. )
Bref...
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#1.4
Je regarderai du coté de https://www.hardkernel.com
J'utilise des hc4 ils sont top, boot sur ssd
Plus de problèmes avec les cartes D
#1.6
- Intel n100 (x86, 64 bits, UEFI)
- 16Go de RAM
- SSD SATA 512Go (sur port m.2 compatible également NVMe)
- 2 ports HDMI
- 2 ports USB 2
- 2 ports USB 3
- 1 port RJ45
- 1 prise jack
- Wifi 802.11ac Realtek (pas très véloce)
- 1 port SATA 2,5" dispo si besoin
Avec alimentation, boitier, câble HDMI...
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Conso: 6,8W à la prise avec un Ubuntu 24.04 avec Gnome 3 en idle.