Le CNRS explique la modélisation mathématique d’une épidémie, en commençant par le modèle SIR

Le CNRS explique la modélisation mathématique d’une épidémie, en commençant par le modèle SIR

Le CNRS explique la modélisation mathématique d’une épidémie, en commençant par le modèle SIR

Le CNRS explique que « la crise sanitaire mondiale du Coronavirus Covid-19 a démontré le rôle des modélisations mathématiques dans la prise de décisions politiques et sanitaires ». « Mais comment sont faites ces modélisations ? Sur quels paramètres se basent-elles ? », interroge le centre national pour la recherche scientifique.

Dans ce premier article, il est question du modèle SIR, un « modèle à compartiments, c’est-à-dire que l’on divise la population en plusieurs catégories » : personnes Saines, Infectées et Retirées (immunisées). « Par conséquent, le modèle SIR ne s’occupe pas directement de prédire la mortalité de l’épidémie, pour cela il faut un autre modèle : le modèle SEIR », qui sera étudié dans un second article promet le CNRS.

Cet article doit « illustrer quelques termes aujourd’hui omniprésents dans les médias tels que « étaler le pic » ou « limiter la hauteur du pic » ». Bien que relativement simple dans son approche, le modèle SIR permet tout de même « d’obtenir une première modélisation d’une épidémie et d’observer l’impact des mesures sanitaires sur son évolution », explique le CNRS.

Attention, il s’agit d’une « piste rouge » nécessitant donc quelques (solides) connaissances en mathématiques pour maîtriser complètement cet article.

Commentaires (11)


“Le CNRS explique que « la crise sanitaire mondiale du Coronavirus Covid-19 a démontré le rôle des modélisations mathématiques dans la prise de décisions politiques et sanitaires ».”

 

La débâcle européenne est tellement grande qu’à leur place je me ferais discret !


C’est clair, le magnifique modèle, petite erreur (ou pessimisme) dans les données de départ et ça annonçait des millions de morts, tous aux abris, à tout prix. Nos gouvernements, qui avaient raison en disant que ce n’était qu’une grippe de plus, ont cédé face aux prévisions délirantes et à la peur panique qu’ils déclenchaient petit à petit avec les mauvaises nouvelles de la gestion chinoise (très similaire…).



Les modèles ont été révisés pour finalement mieux coller à la réalité…



https://www.youtube.com/watch?v=_LG-so-8qwg



On reproche à certains de donner de “faux espoirs”, mais les “faux désespoirs” ça passe ? Niveau conséquences sur la santé et sur tout le reste, ce n’est pas pire ?








TroudhuK a écrit :



Nos gouvernements, qui avaient raison en disant que ce n’était qu’une grippe de plus





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TroudhuK a écrit :



C’est clair, le magnifique modèle, petite erreur (ou pessimisme) dans les données de départ et ça annonçait des millions de morts, tous aux abris, à tout prix.



C’est parce qu’on est tous aux abris qu’il n’y a pas les millions de morts. Et encore, attends un peu de voir ce qui se passera au moment du déconfinement. Un beau rebond est probable.



En vrai, peux-tu citer un seul pays où l’épidémie n’a pas suivi le modèle SIR ?



Petit article sympa qui a 3 semaines :



Ici


Avec taux de mortalité de l’ordre de 0,4%, des millions de mort en France…ce qu’il faut pas entendre 🤣


Pas en France, dans le monde bien sûr.



Oui, ça c’est facile de dire que c’est grâce au confinement, c’est un discours politicien pour se rassurer qu’on prend de bonnes décisions, où est le test avec placebo, où est la preuve scientifique ? Tiens, des pays ne confinent pas et ça va. Bon. D’ailleurs notre confinement est factice, on va quand même faire les courses dans des endroits qui sont des cultures de virus. Évitez de vous mettre dans une position de contradicteur où pour avoir raison il faut espérer un maximum de morts… c’est très inconfortable si on n’est pas malade mental.



Ce qu’on découvre en revanche c’est que le taux d’asymptomatiques est bien plus élevé qu’au début. Donc il faut revoir à la baisse le taux de mortalité, énormément. Jusqu’à arriver… à une grippe normale.


https://medium.com/tomas-pueyo/coronavirus-le-marteau-et-la-danse-bce68d354c0c la version française tant qu’à faire.



Mais ça reste des modèles complètement simplifiés par rapport à la réalité, semblable à tous ceux qui sont servis quasiment chaque année pour chaque grippe, et à chaque fois on s’en foutait, à raison, et c’est maintenant qu’on affole le monde qu’on provoque la catastrophe, la peur entraînant la baisse de l’immunité, soit le truc le plus important pour arrêter des virus. Ça fait des années que l’OMS cherchait à obtenir ce résultat, OMS financée par Gates, lui-même obnubilé par certains thèmes, en particulier la certitude que l’action humaine est déterminante sur la nature.


0.8% de morts tant que l’hôpital suit. Si l’hôpital est submergé et qu’on ne peut pas hospitaliser les malades graves, on serait plutôt autour de 15% de morts.

On peut considérer que c’est acceptable, c’est une question de point de vue.&nbsp;


C’est dingue qu’encore aujourd’hui des personnes n’ont pas compris le problème de ce virus. Et qu’ils continuent d’être totalement à côté de la plaque.



Arrêtez de regarder à droite alors que le problème est à gauche.



On se fiche de la létalité du virus. Comme de l’an 40.



La particularité de ce virus, par rapport à une grippe, c’est sa vitesse de propagation qui envoie des dizaines de milliers de personnes à l’hôpital d’un coup. Et, parmi eux, des milliers en soins intensifs et des milliers en réanimation.



Il est là le souci : la capacité à absorber l’afflux massif de malades et pas seulement du COVID-19. Parce qu’il y a des milliers d’autres malades qui ont aussi besoin d’être rapidement pris en charge.



Donc, le confinement a 2 buts : le premier est de limiter la propagation pour soulager les hôpitaux. Le deuxième, réduire l’accidentologie du quotidien pour, aussi, soulager les urgences.



En temps normal, tu passes déjà ta journée pour être pris en charge par les urgences. C’est une véritable galère. Alors, imagine, dans la situation actuelle, sans confinement, comment une simple fracture de la jambe pourrait devenir un parcours du combattant.



Imagine, tu fais un AVC, mais les hôpitaux de toute la région sont pleins à ras-bord… On fait quoi de toi ?



Sans COVID-19, tu es rapidement pris en charge… Avec le COVID-19… quasiment aucune chance.



Dans le Grand Est, combien de personnes sont mortes uniquement à cause des hôpitaux surchargés ?


Entièrement d’accord, mais ça c’était valable au début, il y a quand même beaucoup de temps qui est passé, une expérience mondiale qui s’est faite concernant la maladie, le traitement, et les médecins (enfin ceux qui se renseignent, on dirait qu’ils sont pas tous au même niveau d’information) savent éviter massivement les hospitalisations, d’une part, et d’autre part on vient de comprendre que les respirateurs doivent aussi être évités et que la plupart des patients peuvent donc être traités à domicile.



Peut-être qu’il faut attendre quelques jours pour que tout ça soit pris en compte massivement et remonte aux bonnes oreilles, mais en tout cas t’es d’accord que si on a fait tout ça pour soulager les réa, et qu’on comprendre que les réa ne sont pas nécessaires, alors on peut remettre en question le confinement.


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