Les deux entités sont déjà partenaires et partagent par exemple 28 unités mixtes de recherche. Elles souhaitent désormais aller plus loin dans plusieurs domaines : eaux, chimie verte, carbone renouvelable, approches prédictives et modélisation en biologie et écologie, photosynthèse et biodiversité.
Par exemple, un appel à projets avec 400 000 euros de financement sera lancé par les deux organismes sur le thème des nouveaux modes de production alimentaire et des mutations alimentaires. Ce partenariat scientifique renforcé prévoit également d'explorer des collaborations bilatérales en Europe.
Commentaires (4)
#1
C’est l’INRA, et pas l’INRIA.
#2
ah ah 400k€, une bonne blague. C’est une ANR, soit en gros un financement de 4 ans sur 4 équipes avec dans le lot de quoi payer 1 post-doc ou 1 doctorant.
C’est le problème des projets chez nous : trop d’appel d’offre sur des budgets trop faible. Du coup on passe notre temps à demander 10000 par si, par là, de temps en temps on peut tenir 3 ans avec une ANR (et encore). Sans compter le temps pris pour justifier chaque cents dépensés…
Si on voulait vraiment faire avancer un sujet, c’est des grants de 2⁄3 millions sur 10 ans qu’il faudrait. Plus dure à avoir ok, mais au moins on pourrait travailler et embaucher sereinement et ça vaudrait le coup de prendre 2 mois pour monter le projet.
#3
Tout a fait !
Certain chercheur passent leur temps a chercher de l’argent …
#4
J’avais lu INRIA, du coup je comprenait pas le rapport à l’écologie. C’est l’INRA, du coup OSEF…
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