La Questure de l’Assemblée nationale vient d’autoriser « le recrutement d’un ingénieur data scientist et de deux développeurs data science à temps partiel, sur un contrat à durée déterminée d’un an, pour assurer la maintenance et la poursuite du développement » du simulateur LexImpact.
Le fameux outil, jusqu’ici développé dans le cadre d’une start-up d’État de la DINUM, notamment à partir du logiciel OpenFisca, se révèle particulièrement utile lors des débats sur l’impôt sur le revenu.
Et pour cause : il permet de chiffrer des projets de réforme, soit en estimant les impacts sur des « foyers fiscaux types », soit en évaluant « les impacts macros (...) sur la population et les recettes de l’État ».
Commentaires (10)
#1
Ils ont fait une faute de frappe : ils voulaient sans doute dire LexiNpact " />
#2
LexINpact plutôt, non ?
Sinon je suis surpris qu’un texte officiel de l’Assemblée Nationale parle de “data scientist” et “data science”.
Edit : grillé pour le premier point (mais en même temps c’était tellement évident).
#3
Arf j’arrive bien sûr trop tard
#4
le monde change, ma pauvre dame." />
#5
Et pour ceux qui cherchent les codes sources :
https://github.com/betagouv/leximpact-client et https://github.com/betagouv/leximpact-server
#6
Les devs qui acceptent des conditions pareilles doivent pas être beaucoup " />
#7
CDD d’1 an, temps partiel…. quand on est data scientist, on peut exiger mieux!!
#8
Si on propose 1000€ la journée ca peut valoir le coup (a voir ce que veut dire temps partiel quand meme)
#9
#10
A la limite ca reste interessant. Ca te laisse largement de quoi prendre un autre contrat à coté, je connais peu de client qui n’accepteraient pas 1 jour de congés par mois :).