L’Arcom « se réjouit de l’entrée en vigueur » du DSA

L’Arcom « se réjouit de l’entrée en vigueur » du DSA

L’Arcom « se réjouit de l’entrée en vigueur » du DSA

Il est pour rappel en place depuis vendredi 25 aout pour les très grandes plateformes et moteurs de recherche.

L’Autorité en rappelle les grandes lignes :

« Dès aujourd’hui, dix-sept plateformes en ligne (principalement des réseaux sociaux et des places de marchés) et deux moteurs de recherche, chacun utilisés par plus de 45 millions de citoyens de l’Union européenne, et désignés par la Commission européenne, ont l’obligation de se conformer aux obligations les plus exigeantes de ce règlement en matière de protection des publics (atteintes à la dignité humaine, harcèlement, risques spécifiques pour les mineurs, haine en ligne, biais discriminatoires, vente de biens ou services illicites, etc.) et de stabilité de nos sociétés démocratiques (désinformation, appels à la violence, opérations de déstabilisation des élections coordonnées par des États tiers, etc.) ».

Une autorité indépendante doit jouer les « coordinateur pour les services numériques » dans chaque pays. En France, c’est justement l’Arcom. Une deuxième vague entrera en vigueur le 17 février prochain avec des « des obligations – proportionnées à leur taille – aux plateformes ayant moins de 45 millions d’usagers en Europe ».

Commentaires (5)


Y a-t-il déjà des enquêtes de lancées sur la base du DSA à l’encontre des sociétés qui ne sont manifestement pas dans les clous (comme X, par exemple) ?


”(désinformation, appels à la violence, opérations de déstabilisation des élections coordonnées par des États tiers, etc.) “ quelle farce


Assez d’accord, surtout pour le côté désinformation.. quand tu regarde le traitement médiatique de certains événements (politique, manifestations, etc…) par certains journaux (télé, radio, papier..) c’est clairement de la désinformation. Sans compter les paroles de certains politiques..


On lit :




Le Projet de loi visant à sécuriser et réguler l’espace numérique, qui a été adopté en première lecture au Sénat et sera examiné à la rentrée à l’Assemblée nationale, prévoit que ce rôle soit confié à l’Arcom pour la France.




Et on voit que la France n’est pas à l’heure ! L’ARCOM n’est pas contrairement à ce qui est dit dans la brève désignée pour ce rôle, (pas encore).
D’où le conditionnel dans le communiqué de presse de l’ARCOM.


Une autorité administrative se réjouit d’avoir (p-e) davantage d’autorité…



J’ai envie de dire que le contraire aurait été étonnant.


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