Dans un discours offensif sur la Chine, en pleine guerre commerciale, le vice-président américain Mike Pence a adressé quelques mots à Google.
La société prépare un moteur dédié au marché chinois, compatible avec ses exigences de censure, nom de code Dragonfly.
« Google doit immédiatement cesser le développement de cette application Dragonfly, qui renforcera la censure du Parti communiste et compromettra la vie privée des clients chinois » a lancé Pence.
En froid avec la Silicon Valley depuis l'élection présidentielle de 2016, le parti républicain accuse régulièrement les plateformes de biais politique.
Le président de Google, Sundar Pichai, aurait été invité au Congrès par des Républicains pour s'expliquer sur plusieurs questions, dont son aventure chinoise.
Commentaires (8)
#1
Il faut pousser le raisonnement jusqu’au bout : si Google doit arrêter de compromettra la vie privée des clients, qu’ils soient chinois ou non, ils peuvent fermer boutique !
#2
C’est marrant, j’aurai pensé que les US aimerait récupérer
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des données chez « l’ennemis »
#3
Deux commentaires, deux abonnés, deux illettrés.
Coïncidence ?
#4
Oui tu as raison, ma dysorthographie et mon soutien financierfond de moi un abruti
#5
« Google doit immédiatement cesser le développement de cette application Dragonfly, qui renforcera la censure du Parti communiste et compromettra la vie privée des clients chinois »
J’ai ri.
#6
quand on te dit que les Américains ne veulent que le bonheur de l’humanité…
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#7
Perso, je trouve que ce n’est pas une si mauvaise idée.
Après, ça reste très politique mais il est vrai que l’on peux se demander où son les intérêts de chacun.
#8