L’Agencia Española de Protección de Datos, homologue espagnole de la CNIL, vient d’infliger 20 000 euros de sanction à l’encontre d’une entreprise (Daviser Servicios) pour usage illicite d’un système de lecture des empreintes digitales.
Dans sa décision du 30 novembre (en espagnol), elle rapporte que Daviser Servicios avait installé un tel système pour les entrées et sorties, mais également des lecteurs d’empreintes aux fins de sécurité d’accès à la cantine, aux vestiaires, aux toilettes.
Une violation du principe de nécessité, pour la CNIL espagnole, qui considère que d’autres moyens moins intrusifs auraient permis de poursuivre la même finalité.
Commentaires (8)
#1
“sécurité d’accès […] aux toilettes. ”
Mais oui c’est clair!
indispensable.
#1.1
Je serais dans cette société, il y aurait rapidement de la matière fécale sur ces lecteurs là.
#2
La décision est logique.
Si on en croit internet, c’est une entreprise de moins de 50 employés. Je mise sur la direction paranoïaque qui voulait contrôler absolument tout.
#3
ON DIT PAS DIGITAL MAIS NUMÉR[crac]
faites pas gaffe, je fait que passer…
#3.1
Mince, je voulais la faire…
Sinon, ça fait peur tout ce flicage, comment on peut supporter ça sans péter un câble ?
#4
Même si je suis d’accord, quand on publie un commentaire juste pour ça on essaie d’abord d’être soi même irréprochable dans sa langue natale : je faiS -> c’est le présent de l’indicatif, programme d’école primaire.
#5
Tu as oublié le trait d’union entre “soi” et “même” M. l’irréprochable. J’aimerais savoir, au passage, comment tu devines que c’est sa langue maternelle.
Surtout, tu devrais aller au service des objets trouvés, peut-être que quelqu’un y a déposé ton sens de l’humour.
#6
à suprimer