Intel dépose un brevet sur une puce dédiée au minage de Bitcoin

Le 04 décembre 2018 à 10h14
1 min
Sciences et espace
Sciences
L'industrie du minage de cryptomonnaies est secouée par la chute des cours. Le réseau Bitcoin par exemple est même touché depuis deux mois par une chute sans précédent de la puissance de calcul déployée. Il y a une raison à cela : les importants coûts énergétiques liés au minage ne sont plus couverts par la valeur des bitcoins ainsi récupérés.
Intel pourrait toutefois avoir la solution en poche, si l'on se fie au brevet numéro 10 142 098 qui lui a été accordé cette semaine. Le fondeur estime avoir développé un système composé de plusieurs processeurs et de puces spécialisées (ASIC) capable de miner du bitcoin de façon plus efficace.
Il ne reste désormais plus qu'à attendre de voir si ce brevet se transformera en produit disponible sur le marché, et à comparer ses performances avec ce que Bitmain peut proposer.
Le 04 décembre 2018 à 10h14
Commentaires (5)
Abonnez-vous pour prendre part au débat
Déjà abonné ? Se connecter
Cet article est en accès libre, mais il est le fruit du travail d'une rédaction qui ne travaille que pour ses lecteurs, sur un média sans pub et sans tracker. Soutenez le journalisme tech de qualité en vous abonnant.
Accédez en illimité aux articles
Profitez d’un média expert et unique
Intégrez la communauté et prenez part aux débats
Partagez des articles premium à vos contacts
Abonnez-vousLe 04/12/2018 à 10h43
Y’en a encore qui achètent du matos pour miner ?
La période du “gold rush” semble être bien passée, et acheter du matos exprès pour ça me fait douter pour la rentabilité
Le 04/12/2018 à 10h53
Mais Bitcoin est mort, non?
Le 04/12/2018 à 13h03
Le 04/12/2018 à 13h08
Il parlait du Bitcoin en particulier (il est techniquement dépassé) et tu parles en général des cryptomonnaies.
" />
Le 05/12/2018 à 07h37
Pas d’accord, Bitcoin n’est pas techniquement dépassé.
Son protocole est volontairement peu changeant sur la première couche (=> stabilité et sécurité dans le temps), et les évolutions et la scalabilité passent par de secondes couches, comme par exemple avec le Lightning Network.