Le message avait été initialement lancé sur Twitter par Aude Nyadanu (cheffe de projet à Assistance Publique - Hôpitaux de Paris), mais face au nombre important de retours la communication passe désormais par un formulaire en ligne.
Parmi les profils recherchés : « trois DataScientists avec compétences Spark, Python (si possible expérimentés), un data engineer expérimenté connaissant les formats de données OMOP et FHIR, un dev fullstack, un expert SolR ».
Commentaires (14)
#1
Des volontaires ? Ils n’envisagent pas de payer les gens expérimentés ?
#2
" /> Mais bien sur que si, t’auras un salaire de technicien de surface sans heures sup. " />
#3
Il peuvent aussi envisager de payer très chers une boite qui fera du code propriétaire et qui signeras d’un autre coter un partenariat avec un autre groupe privé pour faire passer ses produits en priorité :https://www.developpez.com/actu/291986/Les-logiciels-utilises-par-des-medecins-p…
Le tout a grand coup d’argent publique.
C’est pas si con d’impliquer les citoyens dans la vie public.
De plus en temps de crise c’est beaucoup plus rapide de bosser avec des volontaire que de faire des contrats
Faudrait que ce soit fait de manière plus systématique mais sans que ce soit gratuit.
#4
Il y a un entre deux entre ‘engager’ une équipe de volontaires et intégrer un progiciel. La solution recherchée ici est du custom, c’est pas comme si on manquait en France d’entreprises qui font des SI custom dont TU es propriétaire du code et tout autre asset développé pendant le contrat, avec engagement de résultat (marché public oblige).
Au passage, ‘dev fullstack’ me fait toujours déplu : les paradigmes de programmation et les langages utilisés sur le font et le back me laissent dubitatif concernant une personne qui serait experte dans les deux domaines. Pas qu’être moyen dans les deux domaines (au mieux…) soit grave en soit, mais quid des problèmes qui pouvaient être anticipés par un expert, voire résolus seulement par un expert ? Finalement, mieux vaut un vrai dev front et un vrai dev back qu’un moyen fullstack, c’est peut être même avantageux économiquement à la fin.
#5
#6
Parce qu’il n’a pas eu le temps de finir sa phrase : “quoi qu’il en coute… en vie humaine”. Faut pas croire qu’il va parler pognon avec le pécore moyen.
#7
#8
Il est très possible que le problème ne soit pas tant l’argent, que les procédures de recrutement très longues et très lourdes. (Et qu’on ne peut pas simplifier, même quand « nous sommes en guerre », pas question de faire bouger l’administration.)
#9
Excellent " />
#10
Volontaire ne veut pas dire bénévole.
Des bénévoles Croix Rouge, volontaires, sont rémunérés pour faire du transport de personnes contaminées.
#11
ou comment ne plus seulement profiter de la générosité des personnels soignants. Après tout par les temps qui courent il y aura bien d’autres bonnes âmes charitables à lessiver.
#12
#13
Alors, les gens dans le domaine ils sont en télétravail, donc pour les avoir, il faudra s’adresser à des sociétés ou avec un peu de chance tomber sur un indep qui a un peu de temps…
#14
Concernant le dev fullstack ce n’est pas une abberation mais un besoin qui est né avec les start-up où on est obligé de tout faire.
Il faut le voir comme un médecin généraliste.