L’éditeur n’était manifestement pas satisfait de son interface de partage. Selon les retours des utilisateurs, il était facile de s’y tromper.
La nouvelle sépare donc les fonctions en deux cartes : l’une consacrée aux opérations de partage et la gestion des droits, l’autre au lien. Quand une carte est sélectionnée, l’autre est réduite.
La première carte est dévolue au partage classique, avec invitation de personnes via leur compte Google, niveaux d’autorisations, révocation de droits et ainsi de suite. La nouvelle interface présente plus nettement qui a accès au document, et avec quels droits.
Dans la seconde, Google a ajouté un bouton pour copier le lien, ainsi qu’un menu pour définir le niveau d’action : voir, commenter ou éditer.
Le changement est en déploiement, touchant d’abord les clients G Suite et Drive Enterprise, puis les comptes personnels. L’opération devrait être terminée d’ici deux semaines.
Commentaires (3)
#1
La pire interface de partage, à date, c’est celle de MS Office.
Honnêtement je suis gavé de voir Microsoft sortir des logiciels fait avec le cul (e.g. Teams) et quand même prendre plusieurs dizaines de % de parts de marché… Si c’est pas un monopole, je sais pas ce qui peut convaincre
#2
Completement d’accord. Les mix entre Skype, Skype pour Business, Teams, les groupes et les listes de diffusion, OneDrive et Sharepoint, les partages par liens/personnes et les partages par personnes… on s’y perd franchement. C’est imbuvable.
#3
oui, c’est désolant
je déteste Sharepoint qui est une usine à gaz à gérer
par contre, à côté de cela, je trouve qu’ils ont sorti un excellent logiciel avec PowerBI, même si ça veut dire malheureusement qu’ils vont écraser la concurrence et qu’on va devoir toujours payer plus à terme
en fait, ce qui m’énerve avec Microsoft, c’est qu’autant ils ont l’air de s’être calmé sur Windows, autant sur tout ce qui est Office, ils ne semblent pas avoir beaucoup de concurrence, et ça veut dire qu’on va finir par se faire toujours plus plumer. Il est vraiment temps que ça change.
Il y a quelques années, les autorités publiques faisaient pression sur les prix et cherchaient à passer au libre, aujourd’hui, ça semble terminé et c’est dommage