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Framasoft lance la première partie de son MOOC sur les CHATONS

Framasoft lance la première partie de son MOOC sur les CHATONS

Le 05 décembre 2019 à 09h20

Les CHATONS (Collectif des Hébergeurs Alternatifs, Transparents, Ouverts, Neutres et Solidaires) sont pour rappel une initiative de l’association française, destinée à promouvoir les hébergeurs responsables et respectueux de la vie privée, selon une charte spécifique.

En partenariat avec La Ligue de l’Enseignement, Framasoft lance un MOOC sur les CHATONS, dont la première partie – « Internet : pourquoi et comment reprendre le contrôle ? » – est maintenant disponible.

Objectif de ce premier cours, « mieux saisir les enjeux et les impacts qu’ont les géants du web sur nos vies numériques ». Viendront ensuite deux autres parties, l’une sur la manière de monter une « structure apte à proposer des services hors GAFAM », l’autre sur les pistes « pour administrer l’infrastructure technique ».

L’association s’excuse à demi-mot, car le projet aurait dû sortir beaucoup plus tôt. Plus d’un an de retard sur le planning imaginé initialement, entre soucis personnels et problèmes de séquençage pédagogique.

Le 05 décembre 2019 à 09h20

Commentaires (11)

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plus d’un quoi de retard ?

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Pour coller à l’actu, je dirais un train ou un wagon <img data-src=" />

(et courage a ceux qui sont en pleine galère).

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C’est un bon début. J’avais vu une présentation d’un Chaton lors du Paris Open-source Summit précédent, je me demandais comment en créer un… c’était pas clair. Mais le projet avait quand même l’air vendeur, on parle de reprendre le contrôle de nos données en utilisant des outils dont le contrôle nous appartient et dont les données ne seront pas utilisées par des entreprises à des fins lucratives, telles les GAFAM



Cela dit, les MOOC permettant d’intégrer un projet aux CHATONS n’est pas encore fait, hâte de le lire. J’ai quelques idées de projets à faire pour moi, si augmenter l’échelle et en faire un CHATON devient envisageable, je vais peut-être m’y mettre

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C’est la mode en France de traduire séminaire/conférence politique par “cours, université, …” ?

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127.0.0.1 a écrit :



C’est la mode en France de traduire séminaire/conférence politique par “cours, université, …” ?







Bah, on dit bien un MOOC à la place d’un CLOT. Plus rien ne m’étonne dans le digital.<img data-src=" />


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De toute façon on voit tout le respect qu’ils ont pour la langue française en mettant des points au milieu des mots pour des histoires de séparer les sexes et de rendre le masculin exclusif aux hommes, un truc comme ça.



Je leur ai déjà dit, et donc je boycotte toutes ces tentatives (pavées de bonnes intentions mais sacrément têtues et sourdes aux critiques) de dégrader notre langue et d’initier une guerre des sexes sur un front supplémentaire et crucial, le langage. Je préfère encore utiliser des GAFAM qui écrivent français que ces trucs en langue dégradée.

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Heu… le premier cours, ça ne serait pas prêcher des convertis dans sa propre église ?



Les mecs qui viennent suivre cette formation, c’est pour installer ou utiliser CHATONS, ils sont déjà convaincu de l’utilité.









TroudhuK a écrit :



De toute façon on voit tout le respect qu’ils ont pour la langue française en mettant des points au milieu des mots pour des histoires de séparer les sexes et de rendre le masculin exclusif aux hommes, un truc comme ça.





Personnellement, je n’aime pas, tout d’abord car ça ne se lit pas. Ma petite voix dans même tête quand je lis bug devant à cette typographie.

Après, comme tu sembles le dire, ce façon d’écrire met encore plus au premier plans la distinction des sexes, ils les séparent.

Enfin, linguistiquement, il y a un écart entre genre grammatical et genre biologique (une baleine reste féminin quand bien même c’est un mâle). Pour simplifier, le genre grammatical masculin en français est la fusion du genre masculin latin avec le neutre. Cela s’observe par exemple dans l’utilisation de genre pour rester neutre (par exemple pour un acronyme). Le genre féminin est donc a part, il se distingue au lieu de réunir, il sépare. Si le but est la non discrimination, il ne faudrait pas n’utilisait pas le féminin.


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J’ai trouvé aussi que Framasoft s’arcboutait trop sur l’écriture inclusive. Je trouve qu’ils ont défendu bec et ongles cette manière d’écrire rendant pénible la lecture.

Je me suis donc éloigné d’eux depuis quelques années. Je n’ai plus envie de lire leurs articles.



&nbsp;Mais j’ai découvert quand même un super CHATONS : www.zaclys.com

Leur offre Cloud est pas mal.

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Je suis d’accord, on peut retourner le problème dans tous les sens, cette façon d’écrire et de parler (celles et ceux, toutes et tous…) est absurde (sauf si l’objectif est bien d’accentuer la guerre des sexes et le déclin de la langue française en France) et lourde.



Temporairement, pour essayer et rappeler l’existence des femmes, qu’on a tous oubliée c’est vrai, pourquoi pas, mais en fait un genre de “combat d’une vie”, d’orgueil de “moi j’ai tout compris et j’impose ça aux autres et ceux qui sont contre sont des …”, c’est très pénible.

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Faut pas compter sur moi pour déchiffrer leur écriture inclusive.

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tazvld a écrit :



Heu… le premier cours, ça ne serait pas prêcher des convertis dans sa propre église ?



Les mecs qui viennent suivre cette formation, c’est pour installer ou utiliser CHATONS, ils sont déjà convaincu de l’utilité.





Pas mieux. Ca doit être une grosse dépense d’énergie pour quel résultat ? Alors qu’ils disent qu’ils vont fermer des services car ils ne peuvent pas tout maintenir et devenir un Framagoogle…


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