Pour nos confrères, le site de vente en ligne utilise une « appellation tendancieuse » – Protection acheteurs – pour la commission qu’elle prélève sur les ventes alors qu’elle ne concerne que « les services basiques d’un site de vente en ligne ».
Autre problème, elle serait optionnelle, mais « impossible à refuser » dans la pratique. UFC-Que Choisir met donc la plateforme en demeure et alerte au passage la DGCCRF. Elle demande à Vinted d'indiquer clairement qu’il s’agit d’une commission obligatoire et d’indiquer son montant avant la finalisation de la transaction.
Une vidéo explicative a été mise en ligne.
Commentaires (8)
#1
C’est une bonne chose que cette pratique trompeuse soit mise en lumière.
#2
“Protection”… C’est pas un terme utilisé par la mafia dans ce contexte ? 🤔
#2.1
T’as jamais entendu parler de vidéoprotection ? c’est pareil : du vent.
#3
Devoir payer pour la protection, ça fait très années 1920. J’adore.
#4
Oui, et puis ils ne protègent pas grand chose. Si en tant qu’acheteur tu as un litige avec un vendeur, tu as bien qqn par chat, mais la personne te dit juste de trouver un accord avec le vendeur… Yoohoo !
#5
Exactement comme Rakuten, quoi…
Me suis fait arnaquer suite à un achat chez eux, le réponse “tant pis, démerdez vous avec le vendeur, nous on ne fera absolument rien même avec votre preuve que c’est bien de la contrefacon”. Bizarrement j’ai supprimé mon compte dans la foulée et ne compte pas y retourner un jour…
#6
Les prochains sur la liste, c’est Leboncoin?
Parce que, quand on achète, ce sont exactement les mêmes mots qui sont utilisés pour justifier d’une dime surprise et obligatoire.
#7
Du coup, leboncoin aussi ?
Edit: grilled