Le fondateur du réseau social s'exprime dans les colonnes du Wall Street Journal, du Monde et de quelques autres titres européens. Facebook fêtera ses 15 ans le 4 février.
Le texte est censé corriger des idées reçues sur le modèle du mastodonte publicitaire, déclarant (encore) que le ciblage est une demande des internautes eux-mêmes. Il justifie donc l'étude de leurs centres d'intérêt et rappelle que la société ne vend pas leurs données, seulement un ciblage fondé sur leur analyse.
Pour Business Insider, le choix du WSJ est l'élément le plus intéressant de cette tribune, destinée à rassurer les investisseurs et les responsables politiques. Les scandales sont nombreux depuis trois ans, entre l'ingérence russe dans l'élection américaine de 2016 et l'affaire Cambridge Analytica, partage de données de membres (jusqu'à 87 millions) avec une société de profilage électoral en 2014.
Commentaires (15)
#1
Ouai, on y crois moyen, surtout quand à coté le mec dit des truc du genre :
Zuck: Yeah so if you ever need info about anyone at Harvard
Zuck: Just ask
Zuck: I have over 4,000 emails, pictures, addresses, SNS
[Redacted Friend’s Name]: What? How’d you manage that one?
Zuck: People just submitted it.
Zuck: I don’t know why.
Zuck: They “trust me”
Zuck: Dumb fucks
edit sauce :https://en.wikiquote.org/wiki/Mark_Zuckerberg
#2
#3
C’est louche cette volonté de nuire a facebook qui pourrait presque être utiliser comme outil de surveillance massif par le gouvernement US
Qui veux vraiment la mort de facebook ???
#4
Toujours du mal avec cette p^ratique du monde de mettre des tribunes derrière un paywall
#5
le ciblage est une demande des internautes eux-mêmes publicitaires pour rentabiliser leurs campagnes
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#7
#8
Tout le monde a déjà quitté Facebook, il y a rien de plus hasbeen que de demander à quelqu’un son Facebook.
#9
?!?
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C’est pour ça que Facebook gagne autant d’argent, probablement que les publicitaires ne se rendent pas compte que ce sont des gens inactifs qu’ils ciblent parce qu’ils sont tous incompétents et qu’ils ne regardent jamais leurs statistiques de call tracking et qu’ils sont incapables de détecter du churn
#10
Bah en soit c’est pas faux, mais à la nuance près que ça vaut pour les technophiles ou les gens qui sont un peu préoccupé par leur intimité, et ce n’est pas la majorité du tout.
Perso j’y suis juste pour messenger car mes amis utilise cet outils (et c’est le cas de pas mal de gens), pour le reste il ne se passe plus rien sur mon profile depuis des années.
#11
Ce n’est pas ce qui se passe sur les profils qui est monétisé (enfin pas directement) donc tu es bien actif dessus si tu consultes, même à contrecoeur.
#12
Effectivement, et je n’ai pas dit le contraire
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L’idée en revanche c’est qu’au vu de mon activité dessus (à moins de consulter mes conversations) il ne peuvent pas en tirer grand chose en termes d’analyse comportementale à mon sujet (du moins pas avec des données récentes)
Comme on m’a appris au cours d’une formation axé sécu de l’info, l’idée c’est pas d’être complétement hermétique à ce genre d’outils quitte à ce “coupé du monde”, mais plutôt de les utiliser avec parcimonie et de contrôler les entrées.
Car c’est bien de vouloir forcer les GAFAM à être clean sur le traitement des données perso (et il faut continuer) mais les responsables sont également ceux qui transmettes en premier l’info sans prendre en compte les conséquences, et ces personnes là on besoins d’être sensibiliser plus fortement à ce genre de choses, c’est un travail dans les deux sens selon moi. Et il y a encore du chemin à faire
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#14
Je te retourne le compliment
Pour moi ils ont passé les 2milliards d’utilisateurs mensuels actifs début 2017 et si leur croissance a été un peu moindre en 2018 ils sont toujours en croissance et gagnent des milliards de dollars annuellement.
#15
Ils savent combien de temps tu consultes quoi et en retirent les tendances actuelles, je pense que la consultation sans poster est monétisable, même s’ils préfèrent probablement que les gens postent et taguent eux même leur humeur sur leurs posts.
Pour les conversations possiblement via de l’analyse sémantique ou des graphes de relations mais je ne connais pas assez leurs pratiques dans le détail.