Créer une fake news sur Facebook, c'est aussi simple que de dépenser 50 $

Créer une fake news sur Facebook, c’est aussi simple que de dépenser 50 $

Créer une fake news sur Facebook, c'est aussi simple que de dépenser 50 $

Un an après l’élection de Donald Trump, sur fond de désinformation, les nombreuses mesures de Facebook contre le phénomène semblent bien peu efficaces.

Larry Kim, patron de MobileMonkey, a monté un faux média en ligne, publié une actualité (visiblement) mensongère et envoyé le tout sous forme de publicité sur Facebook, en ciblant précisément les membres politiquement conservateurs du réseau social.

Résultat : la réclame a été validée en quelques minutes, avec un score de pertinence de 7/10. Elle a touché plus de 4 600 personnes pour 53 dollars. Le contenu a généré beaucoup de commentaires et partages, titillant la fibre politique des internautes visés. Pour Kim, il est donc toujours aisé de diffuser de fausses informations, malgré les promesses de la société.

Cette dernière, vertement critiquée pour son rôle dans l’élection présidentielle de 2016, multiplie les ponts avec les médias, les outils de signalement de contenus trompeurs et compte valider manuellement les publicités politiques. Les effets restent encore à prouver.

Commentaires (2)


On peut voir aussi ça comme une bonne pub pour Facebook.

Finalement c’est “utilisez le système de pub de facebook pour 53$ seulement vous touchez 4.600 personnes réceptives au message avec possibilité d’un effet boule de neige, le retour sur investissement est donc important”.








Mythe_Railleur a écrit :



On peut voir aussi ça comme une bonne pub pour Facebook.

Finalement c’est “utilisez le système de pub de facebook pour 53$ seulement vous touchez 4.600 personnes réceptives au message avec possibilité d’un effet boule de neige, le retour sur investissement est donc important”.





c’est clair <img data-src=" />







LeBrief’ a écrit :



Cette dernière, vertement critiquée pour son rôle dans l’élection présidentielle de 2016…





Mode avocat du diable : ça revient un peu à exécuter le messager, non ? C’est pas Facebook qui a voté et ça évacue un peu facilement la responsabilité de ceux qui prennent ce qu’ils entendent au café du coin (réseau social s’il en est, du temps où ça ne passait pas par l’interweb) pour parole d’évangile sans aucune vérification…

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