À l’université de Cambridge, un robot capable d’éplucher une salade
Le 01 octobre 2018 à 09h24
2 min
Sciences et espace
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Il ne s'agit pas d'une machine révolutionnaire, mais de combiner différentes techniques que nous connaissons déjà, expliquent les chercheurs.
Lorsqu'une salade est récoltée, la première couche de feuille est enlevée avant l'empaquetage. Un travail répétitif que les chercheurs veulent automatiser « en raison de la demande croissante de nourriture, des conditions climatiques changeantes et de la disponibilité réduite du travail manuel ».
L'approche semble fonctionnelle pour le moment, mais elle est encore largement plus lente que la même tâche réalisée par un humain. En effet, le processus fonctionne correctement dans 50 % des cas, avec un temps moyen de 27 secondes pour éplucher la couche supérieure de la salade… quand un humain ne met que quelques secondes pour le même résultat.
Pour les chercheurs, c'est surtout un défi à relever : « Le pelage des feuilles de laitue est un problème de robotique intéressant du point de vue de l'ingénierie car les feuilles sont molles, elles se déchirent facilement et la forme de la laitue n'est jamais acquise ». La technique ainsi développée pourrait facilement s'adapter à d'autres aliments comme le chou-fleur.
Le 01 octobre 2018 à 09h24
Commentaires (21)
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Abonnez-vousLe 01/10/2018 à 14h17
Le 01/10/2018 à 14h47
Le 01/10/2018 à 15h17
Le 01/10/2018 à 15h20
Ta statistique au doigt mouillé (ou issue de l’INP Institut National de la Pifométrie) est fausse selon moi :-) .
Quand bien même elle serait proche de la vérité, ça laisse 10 % de cas où on a dit quelque chose d’avéré.
Le 01/10/2018 à 15h24
Ce n’est pas ma théorie mais la sienne : je n’ai fait que reprendre son propos ( de 90% jusqu’à incorrectes).
Les 10 % sont la raison pour laquelle j’ai parlé seulement de doute sérieux. " />
Le 01/10/2018 à 16h30
Le 01/10/2018 à 19h08
Le 02/10/2018 à 05h59
Région parisienne pour les tests des journaux ? Si oui ça correspond pas à la réalité de tout le monde.
Le 02/10/2018 à 12h09
En ne considerant qu’un aspect pratique on pourrait facilement comprendre qu’avec la phrase :
« en raison de la demande croissante de nourriture, des conditions climatiques changeantes et de la disponibilité réduite du travail manuel »
les chercheurs on voulu dire :
« l’homme a faim mais malgré ce constat il a la flemme de participer a la transformation de sa propre nourriture »
Donc dans un avenir proche , profitant d’un savoir faire amélioré, ces chercheurs nous démouleront certainement de la merde pour un usage alimentaire.
Car l’homme , en plus d’avoir faim , a de plus en plus de mal a digérer…
Le 02/10/2018 à 14h30
Le 02/10/2018 à 14h40
Ailleurs qu’en RP c’est pas toujours aussi évident. J’habite dans une région touristique et hors saison c’est plus difficile de trouver du taf même dans la restauration. D’ailleurs les salaires ne sont pas les mêmes, preuve que ça manque moins de main d’oeuvre. Et je pense qu’il y a pire comme des départements déserts en toute saison. Bref, difficile de tirer une généralité d’études toutes effectuées en RP.
Dans une grande ville même hors RP j’imagine que ça doit aller par contre oui.
Le 02/10/2018 à 17h39
Le 03/10/2018 à 08h32
75% des stat disent n’importe quoi, Apone. 30% des gens savent ça " />
Le 01/10/2018 à 10h06
“de la disponibilité réduite du travail manuel”
Mais que fait Jonathan ! Vite, au boulot, on arrête de lambiner, sinon Emmanuel ne va pas être content !
Il lui suffit de traverser la Manche pour trouver du boulot.
Le 01/10/2018 à 11h42
de la disponibilité réduite du travail manuel
C’est sûr que quand on n’est pas prêt à payer un salaire, la main d’œuvre se fait plus rare.
Le 01/10/2018 à 11h45
Dans le cas de la restauration, c’est vrai pourtant.
Le 01/10/2018 à 11h56
27 secondes, avec 50% de réussite ? Le robot fait déjà mieux que moi !
Le 01/10/2018 à 12h52
Qu’est-ce qui est vrai ?
Le 01/10/2018 à 12h59
qu’on peut trouver du taff en traversant la rue
Le 01/10/2018 à 13h06
Alors, ce n’est pas si vrai que cela : de nombreux journalistes ont testé après l’affirmation de Macron.
Et comme son message (à OlivierJ) était après celui de vampire7, je me demandais s’il approuvait ce contenu.
Quand on ne paye pas suffisamment pour un métier qui a plein inconvénients, il n’est pas étonnant que l’on ne trouve pas de candidats.
On parle du marché de l’emploi et on voit bien que ce n’est pas un vrai marché : la pénurie de main d’œuvre ne fait pas augmenter les salaires. Dans un vrai marché, les salaires augmenteraient jusqu’à ce que l’offre soit attractive.
Le 01/10/2018 à 13h38