Après Marseille, Nantes et Paris, c’est au tour de la capitale de la Gironde. Ces capteurs « vont permettre de recueillir des données sur l’exposition, consultables en temps réel sur l’Observatoire des Ondes ».
« Ils sont implantés dans des lieux très fréquentés, en hauteur, et placés à environ 100 mètres d’une antenne qui devrait être prochainement activée en 5G », explique l’Agence nationale des fréquences.
De nouvelles villes en seront équipées dans les prochaines semaines.
Commentaires (8)
#1
Malin ça, on mesure après avoir installé, comme ça si on se rend compte que l’impact sanitaire est réel alors on se permettra un petit “Ah, flûte ! Bon ben on le saura pour la 6G. Mais là c’est trop tard…”
#1.1
C’est vrai qu’il sera évidement trop tard pour tout éteindre si un jour quelqu’un arrive a prouver le moindre effet.
Ce qui n’est pas encore le cas hein :)
#1.3
Oui, oui, croisons les doigts, croisons les fort ! En attendant, gavons-nous comme des porcs et profitons-en ! Demain est un autre jour, comme on dit.
#1.2
Tout comme tous les DEEE qui s’accumulent en Afrique et en Asie du Sud-Est : il sera bien temps d’assainir ces décharges à ciel ouvert quand la Chine aura fini d’exploiter ses mines de métaux précieux et de minéraux et qu’on aura besoin de recycler tous ces métaux toxiques que des gamins font chauffer au péril de leur santé.
#2
Tiens, un expert FB/Twitter/YT en ondes radio.
#3
Tiens un gars qui s’y connait en tout.
#4
Pour la 5g non.
Pour les microondes https://www.nytimes.com/2020/12/05/business/economy/havana-syndrome-microwave-attack.html
Ce serait bien de faire les tests sur des animaux supérieurs et pas simplement des souris et de rechercher des effets autres que thermiques.
#5
On devrait y ajouter des tests antigéniques pour voir le taux de covid-19 transmis en 5G 😄