#Le brief du 05 juin 2023

WWDC 2023 : la keynote d’Apple débutera à 19 h, suivie par la  Platforms State of the Union à 22h30

WWDC 2023 : la keynote d’Apple débutera à 19h, suivie par la  Platforms State of the Union à 22h30

Le 05 juin 2023 à 05h30

La grand-messe annuelle débutera ce soir, pour se terminer à la fin de la semaine. La keynote « débutera avec la présentation des mises à jour enthousiasmantes qui arriveront sur toutes les plateformes Apple dans le courant de l’année », explique la société. Des annonces sur le matériel pourraient suivre.

Elle sera suivie par la Platforms State of the Union à partir de 22h30 : « Les développeurs découvriront comment perfectionner leurs apps en plongeant au cœur des nouveaux outils, des nouvelles technologies, et des évolutions des différentes plateformes Apple ».

Un site dédié à la WWDC est disponible par ici.

Le 05 juin 2023 à 05h30

WWDC 2023 : la keynote d’Apple débutera à 19 h, suivie par la  Platforms State of the Union à 22h30

Meta annonce son casque de VR Quest 3 dès 569,99 euros, le Quest 2 passe à 349,99 euros

Meta annonce son casque de VR Quest 3 dès 569,99 euros, le Quest 2 passe à 349,99 euros

Le 05 juin 2023 à 05h30

La maison mère de Facebook ne tarit pas d’éloges : « une meilleure résolution, de meilleures performances, des améliorations au système Meta Reality […] ainsi qu’un format plus ergonomique ». Il est animé par un SoC « Snapdragon de nouvelle génération ».

Il faudra encore attendre pour avoir plus de détails techniques. Il sera disponible dans le courant de l’année à partir de 569,99 euros avec 128 Go de stockage.

De leur côté, les Quest 2 et Quest Pro auront prochainement droit à une mise à jour logicielle. Meta annonce une « augmentation de 26 % des performances du CPU et de 19 % de la vitesse du GPU pour les Quest 2 et de 11 % pour les Quest Pro ». 

Enfin, à partir du 4 juin, le prix du Quest 2 est passé à 349,99 euros pour 128 Go et 399,99 euros pour 256 Go.

Le 05 juin 2023 à 05h30

Meta annonce son casque de VR Quest 3 dès 569,99 euros, le Quest 2 passe à 349,99 euros

Capsule habitable Starliner : le vol habité de nouveau repoussé

Capsule habitable Starliner : le vol habité de nouveau repoussé

Le 05 juin 2023 à 05h30

On pourrait presque croire à un gag, mais il n’en est rien : le vol de la capsule de Boeing est de nouveau retardé… à une date indéterminée. Aux dernières nouvelles, il devait avoir lieu en juillet.

Comme le rapporte SpaceNews, deux problèmes doivent être corrigés avant de partir direction l’espace : des attaches des parachutes moins résistantes que prévues et du ruban adhésif qui s’est révélé être inflammable.  

Conséquence de ces découvertes : « Boeing a décidé à l’unanimité qu’il fallait apporter des correctifs. Nous avons décidé de suspendre les préparatifs de la mission CFT », a déclaré Mark Nappi, vice-président et directeur de programme pour CST-100 Starliner chez Boeing.

Le 05 juin 2023 à 05h30

Capsule habitable Starliner : le vol habité de nouveau repoussé

« Name and shame » : la DGCCRF épingle six influenceurs

« Name and shame » : la DGCCRF épingle six influenceurs

Le 05 juin 2023 à 05h30

Depuis le début de l’année, la repression des fraudes dispose d’une nouvelle arme dans son arsenal : le « name and shame » sur les injonctions, en plus des sanctions administratives. 

La DGCCRF rappelle que les influenceurs, comme toute autre entreprise, doivent « respecter les dispositions du code de la consommation lorsqu’ils font la promotion de produits ou services. Les injonctions qui leur sont adressées les rappellent à l’ordre et invitent leurs abonnés à la vigilance ».

On retrouve le compte @leadorables géré par Léa Montchicourt, @debledgaetan de Gaëtan Debled, et @simoncastaldi de Simon Castaldi pour des partenaires commerciaux non présentés comme tels. 

@capucine.anav de Capucine Anav est épinglé pour pratiques commerciales trompeuses avec plusieurs griefs à la clé. Même chose pour anthonymat_off d’Anthony Mateo et illancto d’Illan Castranovo. 

Le 05 juin 2023 à 05h30

« Name and shame » : la DGCCRF épingle six influenceurs

Cybersécurité : la DGSE évoque une « pénurie de 15 000 personnes à combler en France »

Cybersécurité : la DGSE évoque une « pénurie de 15 000 personnes à combler en France »

Le 05 juin 2023 à 05h30

« Selon nos estimations, il y a une pénurie de 15 000 personnes à combler dans le domaine de la cybersécurité en France », explique un représentant de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) chargé de recruter de nouveaux talents dans les écoles d’ingénieurs, rapporte Le Monde : « D’ici à 2024, la DGSE cherche à recruter huit cents personnes, dont cent cinquante dans le seul domaine de la cybersécurité. »

Le Monde revient sur le challenge « 404 CTF » (pour capture the flag), « la plus grosse compétition de hacking en France », coorganisé par la DGSE, l’école d’ingénieurs Télécom Sud Paris et un club étudiant de l’école, HackademINT, qui avait réuni « plus de trois mille participants » en 2022, contre un peu moins de 3 000 en 2023 :

« On cherche à mettre le pied à l’étrier à des jeunes pour que, ensuite, ils développent leurs connaissances et peut-être qu’ils choisissent ce domaine, explique le représentant de la DGSE. Qu’ils travaillent à la DGSE ou dans des entreprises privées, c’est une bonne chose pour la sécurité nationale qu’il y ait beaucoup de gens formés à la cybersécurité. »

Le 05 juin 2023 à 05h30

Cybersécurité : la DGSE évoque une « pénurie de 15 000 personnes à combler en France »

La CNCTR et Matignon résisteraient aux demandes de techniques de renseignement visant les écolos

La CNCTR et Matignon résisteraient aux demandes de techniques de renseignement visant les écolos

Le 05 juin 2023 à 05h30

La Lettre A révèle qu' « un bras de fer oppose, depuis plusieurs mois, les services du ministère de l'Intérieur et Matignon, à propos des écologistes radicaux », et que « l'usage de techniques de renseignement à leur encontre fait l'objet de négociations sans concession ». 

La Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement (CNCTR) formulerait en effet de plus en plus de « demandes de précisions » à la DGSI et au renseignement territorial au sujet des techniques de renseignement qu'ils réclament à leur sujet : 

« Selon nos informations, le taux de refus par Matignon reste stable, autour de 1 %, mais augmente en volume en raison d'une hausse globale des sollicitations. Le profil banal de la plupart de ces militants, généralement sans antécédents judiciaires, est l'objet d'appréciations contradictoires. »

Le cabinet de la Première ministre, suivant les avis de la CNCTR, refuserait de « criminaliser la contestation politique et de confondre désobéissance civile et violences collectives de nature à porter gravement atteinte à la paix publique », écrit La Lettre A : 

« Sur recommandation de la CNCTR, certaines demandes écrites ont été rejetées, au motif que les services n'étaient pas en capacité de démontrer que tel "écolo" activiste ciblé s'inscrivait dans un processus de radicalisation violente, menaçant des personnes ou faisant peser, par une atteinte aux biens, une menace sur la paix publique. »

D'après LLA, la proportion de personnes surveillées en France au titre de la « prévention des violences collectives » progresserait « de manière continue depuis le mouvement des gilets jaunes », et aurait même « presque doublé, passant de 2 100 individus en 2018 à plus de 3 500 aujourd'hui, sur un total d'environ 23 000 cibles ».

Mediapart raconte de son côté comment plusieurs militants des réseaux Bassines non merci et des Soulèvements de la Terre, dont de simples cantinières, ont récemment découvert des balises GPS aimantées sous leurs véhicules, ou encore des caméras cachées installées devant leurs domiciles.

Le 05 juin 2023 à 05h30

La CNCTR et Matignon résisteraient aux demandes de techniques de renseignement visant les écolos

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