#Le brief du 16 octobre 2024

VirtualBox corrige de nombreux problèmes avec le noyau Linux et Windows 11 24H2

Le 16 octobre 2024 à 16h02

La nouvelle mouture du client de virtualisation embarque à son bord nombre de corrections pour des problèmes touchant Linux et Windows. On retrouve ces modifications dans les versions 7.0.22 et 7.1.4.

La mouture 7.0.22 corrige ainsi le problème des machines virtuelles qui ne voulaient pas se supprimer entièrement quand elles étaient configurées avec un fichier Unattended, des soucis de clignotement d’image, des problèmes multiples avec le déploiement TPM dans les machines Windows 10 et 11, ou encore un problème avec les DLL de Windows 11 en version 24H2. On note également un support initial du noyau Linux 6.12.

La version 7.1.4 reprend en partie ces correctifs et en ajoute d’autres. Le pilote LsiLogic MPT SCSI est ainsi de retour pour les configurations EFI. Celles-ci peuvent à nouveau utiliser aussi le démarrage réseau. Dans une configuration NAT, VirtualBox 7.1.4 peut en outre restaurer l’état d’une sauvegarde 7.0.X. La nouvelle mouture permet également d’activer la mise à jour automatique des composants invités additionnels.

Les deux nouvelles versions peuvent être téléchargées depuis le site officiel.

Le 16 octobre 2024 à 16h02

VirtualBox corrige de nombreux problèmes avec le noyau Linux et Windows 11 24H2

DMA : X n’est pas un gatekeeper, selon la Commission européenne

DMA : X n’est pas un gatekeeper, selon la Commission européenne

Le 16 octobre 2024 à 15h40

Après enquête, la commission européenne conclut que X n’est pas un contrôleur d’accès, ou gatekeeper, au sens du Digital Markets Act. 
La décision vient clore le processus d’enquête ouvert le 13 mai 2024 contre le réseau social.

La commission indique notamment avoir conclu que X n’était pas une plateforme importante permettant aux entreprises d’atteindre des utilisateurs finaux. 


La décision de la Commission permet à la plateforme d’Elon Musk d’éviter les régulations les plus lourdes du règlement.

Depuis son rachat par Elon Musk, le réseau social a perdu une large part de ses clients publicitaires, au point que son patron a poursuivi un groupe d’annonceurs en justice en août au motif qu’ils organiseraient le « boycott » de sa plateforme.

Le 16 octobre 2024 à 15h40

DMA : X n’est pas un gatekeeper, selon la Commission européenne

Android 15 est disponible en version finale pour les Pixel

Android 15 est disponible en version finale pour les Pixel

Le 16 octobre 2024 à 10h00

Le nouveau système mobile de Google est diffusé depuis hier soir. Il est disponible pour tous les smartphones compatibles : Pixel 6, Pixel 6 Pro, Pixel 6a, Pixel 7, Pixel 7 Pro, Pixel 7a, Pixel Tablet, Pixel Fold, Pixel 8, Pixel 8 Pro, Pixel 8a, Pixel 9, Pixel 9 Pro, Pixel 9 Pro XL, et Pixel 9 Pro Fold. Si vous avez participé à la phase de test, la bêta 4.2 sera mise à jour vers la version finale via un petit téléchargement.

Android 15 ne se démarque pas par une foule de nouveautés. Certaines sont quand même appréciables, dont les mesures anti-vol. L’IA est mobilisée pour détecter les vols à l’arrachée, soit un mouvement brutal suivi d’une accélération. Auquel cas, le smartphone se verrouille. Ce verrouillage peut être déclenché depuis un autre appareil avec le numéro de téléphone. Bon point, Google va répercuter cette fonction sur tous les appareils disposant d’Android 10 au moins. En outre, la réinitialisation de l’appareil aux paramètres d’usine ne peut plus se faire sans le mot de passe du compte Google.

Entre autres nouveautés, signalons également le retour prédictif pour empêcher les fermetures accidentelles d’applications, des retours haptiques quand on règle le volume ou la luminosité depuis les paramètres rapides, l’adaptation des vibrations à l’environnement, la possibilité de rassembler des applications dans un dossier privé et protégé, une séparation des fonds pour les écrans d’accueil et de verrouillage, une réorganisation des paramètres, etc.

On notera également que les applications qui cibleront Android 15 (niveau 35 du SDK) pourront afficher leur interface en mode « bord à bord ».

Enfin, les Pixel ont droit à un lâché de fonctions, dont beaucoup basées sur l'IA, tout particulièrement Gemini. Il est également possible d'isoler des sons pour les supprimer dans des vidéos. Un traitement spécial apparait pour les clichés réalisés sous l'eau, un renforcement du mode nuit pour l'astrophotographie, ou encore un suivi des pollens dans l'application Météo.

Le 16 octobre 2024 à 10h00

Android 15 est disponible en version finale pour les Pixel

L’inventeur des Bulletin Board System (BBS), Ward Christensen, est mort

L’inventeur des Bulletin Board System (BBS), Ward Christensen, est mortWard Christensen et le premier BBS / BBS : The Documentary

Le 16 octobre 2024 à 09h41

Co-inventeur du Computer Bulletin Board System (CBBS), Ward Christensen est mort à l’âge de 78 ans le 11 octobre, aux États-Unis.

Aux côtés de Randy Suess, il avait créé le premier BBS à Chicago en 1978, rappelle Ars Technica.
 Le système permettait aux propriétaires d’ordinateurs personnels et d’un modem d’appeler une machine spécifique pour y laisser des messages que d’autres utilisateurs verraient plus tard.

Pensé comme une version numérique du tableau d’affichage d’une mairie, d’une épicerie ou d’une école, il avait donné naissance à une importante activité en ligne dans les années 1980 et 1990. Au fil du temps, les BBS se sont complexifiés jusqu’à permettre d’échanger des documents, voire de jouer.


De fait, avant qu’internet ne devienne largement accessible, les BBS ont permis l’émergence de nombreuses communautés préfigurant le paysage numérique actuel.


Cette sous-culture avait notamment été célébrée dans le documentaire en huit épisodes BBS : the Documentary, désormais accessible sur Youtube. 


Ward Christensen a reçu deux Dvorak Awards, dont un pour « contribution exceptionnelle aux télécommunications PC » en 1992, puis un Pioneer Award de l’Electronic Frontier Foundation l’année suivante.

Le 16 octobre 2024 à 09h41

L’inventeur des Bulletin Board System (BBS), Ward Christensen, est mort

Deux ans de prison avec sursis pour corruption de mineurs pour le youtubeur ExperimentBoy

Deux ans de prison avec sursis pour corruption de mineurs pour le youtubeur ExperimentBoy

Le 16 octobre 2024 à 08h41

Ex-youtubeur connu sous le nom d’ « ExperimentBoy », Baptiste Mortier-Dumont a été condamné à vingt-quatre mois de prison avec sursis pour corruption de mineurs par le tribunal de Val-de-Briey.


Le jugement est assorti d’une interdiction de prendre contact avec les victimes pendant trois ans, de l’interdiction à vie d’exercer une activité en lien avec les mineurs et d’une inscription au fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes.


C’est la première fois qu’un Youtubeur français influent – en 2020, sa chaîne comptait plus d’un million d’abonnés – est condamné de la sorte. 


Trois victimes mineures au moment des faits, dont deux de moins de quinze ans, ont été reconnues par la Justice, précise Mediapart.

À l’été 2020, des récits d’abonnés accusant le vidéaste d’avoir profité de son statut pour demander des échanges à caractère sexuel, des photos intimes, et d’en avoir envoyé en retour à des abonnés ont fait surface. 


Numerama avait publié une enquête rapportant les récits de cinq victimes mineures au moment des faits. 


Baptiste Mortier-Dumont prévoit de faire appel. 


Le 16 octobre 2024 à 08h41

Deux ans de prison avec sursis pour corruption de mineurs pour le youtubeur ExperimentBoy

Après avoir attaqué OpenAI, le New York Times menace Perplexity

Après avoir attaqué OpenAI, le New York Times menace PerplexityPhoto de Jakayla Toney sur Unsplash

Le 16 octobre 2024 à 08h04

Le Wall Street Journal a révélé ce mardi 15 octobre que son concurrent le New York Times avait envoyé une mise en demeure à Perplexity.

Le journal y demande à la startup d'IA générative, entre autres financée par Jeff Bezos, de cesser d'accéder et d'utiliser son contenu pour entrainer ses modèles et pour générer de nouveaux contenus.

Selon le Wall Street Journal, la lettre des avocats du journal accuse Perplexity d'utiliser son contenu, notamment pour créer des résumés et d'autres résultats, et donc de violer ses droits en vertu de la loi sur le Copyright.

« Perplexity et ses partenaires commerciaux se sont injustement enrichis en utilisant, sans autorisation, le journalisme expressif, soigneusement écrit et recherché, et édité du Times », explique la lettre.

Interrogé par le Wall Street Journal, le CEO de Perplexity, Aravind Srinivas, assure que son entreprise est « tout à fait disposée à travailler avec tous les éditeurs, y compris le New York Times ». Il a ajouté : « nous n'avons aucun intérêt à être l'adversaire de qui que ce soit ».

En décembre 2023, le journal avait entamé une procédure judiciaire contre OpenAI cette fois.

Le 16 octobre 2024 à 08h04

Après avoir attaqué OpenAI, le New York Times menace Perplexity

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