En 1979, Atari lançait ce qui deviendra un de ses jeux les plus connus : Asteroids. Plus de 35 ans plus tard, l'éditeur, ou plutôt ce qu'il en reste, a décidé de redonner un coup de jeune à sa franchise, avec Asteroids : Outpost, un jeu de survie où il ne sera pas seulement question de casser des cailloux.

Aussi improbable que cela puisse paraître, Asteroids, le jeu sorti sur borne d'arcade à la fin des années 70 va avoir le droit à son propre reboot d'ici quelques trimestres. Depuis tout ce temps, il a eu le droit à une infinité de portages sur des plateformes allant du Game Boy jusqu'à la Xbox 360 avec, à chaque fois, des graphismes améliorés (il faut dire qu'on part aussi de très très loin), mais le projet récemment dévoilé par l'éditeur a une tout autre ampleur qu'une simple refonte visuelle.

Il est ainsi question d'Asteroids : Outpost, un jeu de survie, uniquement annoncé sur PC pour l'instant. Le joueur y incarnera un mineur qui devra collecter des ressources afin de subsister, se fabriquer des équipements, gagner de l'argent en vendant ses créations à d'autres mineurs, le but étant de se fabriquer sa propre forteresse.  Vous remarquez des similitudes avec DayZ, H1Z1 ou Rust ? C'est normal, le principe de tous ces jeux est très proche de celui proposé par le futur titre d'Atari.

Finalement, les seuls points communs avec le volet original concernent le fait que tout ceci se déroule sur une planète inconnue (dans l'espace donc) et que régulièrement, des astéroïdes riches en ressources viendront marteler le sol  de ce nouveau monde. Atari semble donc plus vouloir faire vibrer la corde sensible de ses clients  de la première heure que proposer une réelle suite.

Pour parachever le cliché, ce reboot d'une franchise oubliée sera proposé dans un premier temps par le biais de Steam Early Access, à une date qui n'a pas encore été communiquée. Il ne lui manque plus que des zombies, et tous les artifices du moment seront là. Si vous souhaitez en apprendre davantage sur ce titre, l'éditeur se propose de vous tenir au courant des dernières nouvelles, sur cette page, malheureusement encore bien vide.