Romaindu83
est avec nous depuis le 24 février 2009 ❤️
Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
Repassez plus tard ?
818 commentaires
Racisme sur Internet : 1 300 signalements transmis pour enquête à la police
Le 26/02/2014Le 26/02/2014 à 17h 36
C’est un sujet qui est loin de me faire rire. Carton rouge à ceux qui prennent ce sujet à la rigolade !" /> Peut-être ne se sentent-ils pas concerné non plus… Ah, le nombrilisme, un des maux de l’être humain, dans notre société actuelle… et pourtant moderne !" />
Caché derrière des pseudos et derrière l’anonymat (bien que tout est relatif), certaines personnes s’en donnent à coeur joie pour dénigrer ceux qui sont différents d’elles : les personnes de couleurs, les homosexuels, les handicapés, les malades mentaux et j’en oublie… la liste est longue et ne s’arrête pas au racisme.
C’est tellement plus facile devant son ordinateur de dénigrer une personne… plutôt que d’avoir à l’affronter tête à tête, dans une discussion, dans la vrai vie." /> Les réseaux sociaux, ces derniers temps, sont des endroits où pullulent des lâches, qui utilisent le monde artificiel (Internet) pour dire toute la haine qu’ils ont envers d’autres personnes. Heureusement que sur les réseaux sociaux, on côtoie aussi le meilleur ! " />
La meilleure solution serait d’ignorer ces personnes, de ne pas leur faire de publicité. Mais pour une personne victime de racisme, par exemple, c’est bien compliqué de faire abstraction de tels commentaires. En cela, le site internet-signalement.gouv.fr répond aux demandes de ces victimes. Certes, l’enquête n’aboutira peut-être pas sur un condamnation… mais c’est déjà bien qu’un tel site puisse exister : à aucun moment je n’ai cru que ce site permettrait de faire de la délation…
Le Bitcoin encore secoué après la fermeture de la plateforme Mt.Gox
Le 25/02/2014Le 25/02/2014 à 16h 01
A part ça, le Bitcoin est le paradis des crypto-monnaie, le must dans le genre… Le Bitcoin est même plus sûr que les véritables monnaies. Tu parles…" />
Je n’ai jamais été utilisateur de Bitcoin, ne lui faisant aucune confiance, et ce n’est pas cette actu qui me fera changer de position." /> Je ne suis d’ailleurs utilisateur d’aucune monnaie électronique.
Les monnaies électroniques, qu’elles soient crypto-monnaies ou pas, peuvent connaître de telles débâcles. Il n’y a rien d’étonnant dans tout cela. A part un naïf, qui peut croire que les crypto-monnaies sont à l’abri de tous les vices que les véritables monnaies peuvent éventuellement connaître ?" />
HP résiste à la crise et augmente ses ventes de PC
Le 22/02/2014Le 22/02/2014 à 18h 47
Pas de Netflix dans les box de Free, SFR, Bouygues et Numericable ?
Le 21/02/2014Le 21/02/2014 à 18h 21
Le 21/02/2014 à 17h 23
Selon EA, le marché dématérialisé dépassera le marché physique dans 2 ans
Le 21/02/2014Le 21/02/2014 à 17h 34
Je tiens tout de même à dire que le marché de la dématérialisation à un défaut de taille.
L’utilisateur est pied et main liés à un service. Autrement dit, si le service coule, pour diverses raisons, l’utilisateur perdra ses jeux vidéos. Les rapatrier ? Pourquoi pas, si cela est possible avant que le service ferme ses portes. Mais vu le poids des jeux vidéos aujourd’hui, où les stockera-t-il ? Pour certains utilisateurs, même un disque dur de 3 To ne saurait suffire pour stocker tous leurs jeux vidéos.
Etre pied et main liés à un service entend aussi subir son bon vouloir : par exemple, si avec un éditeur, l’accord de licence est cassé, le service peut retirer le jeu manu militari et le joueur n’aura que ses yeux pour pleurer.
Qu’elles s’appelles Origin, Ubiplay ou Steam, les utilisateurs sont pieds et mains liés à ces plates-formes pour pouvoir utiliser leurs jeux vidéos. Pour moi, c’est tout le contraire d’un avantage. Certains préfèrent faire les autruches et ne pas voir cette anguille sous la roche. Dommage…
Les Numériques quitte la galaxie LDLC, FLCP actionnaire majoritaire
Le 19/02/2014Le 19/02/2014 à 16h 46
Le 19/02/2014 à 15h 17
Personnellement, ce qui m’a toujours dérangé avec Les Numériques, c’est sa fracture avec le monde extérieur. Je m’explique : les produits que le site présente sont chers, très chers. J’ai toujours trouvé Les Numériques comme étant un site élitiste, qui ne s’adresse pas à la classe moyenne inférieure, où les revenus vont de 12 000 à 20 000 euros par an. Or, en France, cette classe moyenne inférieure est majoritaire !
Les Numériques se borne à tester des produits que la plupart des gens ne peuvent pas s’offrir. De plus, je trouve aussi que ce site est très loin des préoccupations de la plupart des Français, en matière de high-tech. Deux exemples : Les Numériques testent très, très peu de produits low-cost. Et quand ils testaient encore les galettes, quand est apparu le blu-ray, ils ont rapidement arrêté de tester les DVD, alors qu’ils se vendent toujours beaucoup plus que les blu-ray. Cherchez l’erreur !
Je suis désolé, mais ce site s’adresse à des bobos, à ceux qui peuvent s’offrir du rêve et du haut de gamme. Moi, personnellement, quand je vais flâner sur Les Numériques, je ressens un grand malaise.
Tout ce que je souhaite, c’est que Les Numériques se soient pas, sur le court terme, mains et poings liés au bon vouloir de leur actionnaire majoritaire. L’actionnaire majoritaire peut parfois (souvent ?) imposer ses directives et laisser peu de liberté au patron. J’espère aussi que les rédacteurs resteront le plus impartial possible dans leurs tests et leurs articles. Autrement dit, qu’ils n’aient pas à subir la volonté de l’actionnaire majoritaire d’imposer une nouvelle ligne éditoriale qui serait moins neutre. J’ai envie de dire que cela ne changerait pas grand chose, de toute façon : en effet, depuis un bon moment maintenant, des critiques fusent à l’égard des rédacteurs, qui écriraient des tests qui seraient devenus trop arbitraires.
Irrational Games ferme définitivement ses portes
Le 19/02/2014Le 19/02/2014 à 16h 28
Le 19/02/2014 à 16h 13
Square-Enix songe au portage de la saga Final Fantasy sur PC
Le 19/02/2014Le 19/02/2014 à 15h 21
Free fête ses 15 ans, de l’ADSL à moins de 30 euros à la téléphonie mobile
Le 18/02/2014Le 18/02/2014 à 20h 16
Le 18/02/2014 à 19h 03
Je ne suis pas certain que les tarifs agressifs de Free ait amélioré la situation de l’Internet en France. Les prix sont tirés vers le bas, certes, mais les services aussi car tous les opérateurs doivent bien rogner sur quelque chose pour pouvoir faire baisser le prix de leurs différents abonnements, afin de s’aligner un maximum sur ceux de Free.
D’aucuns supputent également que Free est à l’origine de destruction d’emploi car pour arriver à tenir des abonnements à des tarifs bas, les opérateurs seraient obligé de diminuer leur masse salariale. Qu’en est-il réellement ?
La guerre Orangenautes vs Freenautes me gonfle passablement. Ca n’apporte rien. C’est du ramassis de conneries toutes les deux lignes. Il serait bon surtout de voir quelles conséquences des tarifs aussi bas ont eu sur les services, sur les infrastructures et sur les emplois.
L’Espagne compte elle aussi mettre en place une taxe Google pour la presse
Le 18/02/2014Le 18/02/2014 à 18h 55
C’est l’Union Européenne dans son intégralité qui devrait se mettre d’accord pour faire plier Google. Pour cela, ça passait par une harmonisation fiscale des entreprises, avec la fin des paradis fiscaux européens, comme le Luxembourg ou l’Irlande.
Google est un géant, mais si l’Union Européenne était vraiment une Union, ce mastodonte fermerait sa gueule et se plierait aux lois européennes.
L’Éducation nationale se dote d’une Direction du numérique pour l’éducation
Le 18/02/2014Le 18/02/2014 à 18h 51
Les ventes de disques Blu-ray encore bien loin de celles des DVD
Le 14/12/2013Le 16/12/2013 à 16h 33
Le 15/12/2013 à 23h 31
Concernant la France, et uniquement la France, il serait bon de se demander également si les Français attendent nécessairement une image de qualité supérieure à celle du DVD. Autrement dit, les Français sont-ils en attente perpétuelle de définition toujours plus importante ? Moi, j’en doute. Je pense, au contraire, que leurs yeux se prélassent très bien du 720x576 lignes. Pour un passionné de cinéma ou un technophile, c’est loin d’être suffisant, mais pour un Français lambda, c’est très convenable. “Très convenable”, je pèse mes mots. Les Français, si ils peuvent profiter de la HD via les chaînes de télévision, n’en sont pas plus friands que ça, qu’ils aient 15 ans, 20 ans, 30 ans, 50 ans ou 80 ans… On retrouve ce peu d’intérêt envers la haute définition dans toutes les classes d’âge et toutes les classes sociales. La simple définition reste potable ; elle permet de regarder un film… que demander de plus ?
Ici, je parle uniquement de la HD, mais le blu-ray et la HD sont intimement lié. Si les ventes de blu-ray ne décollent pas en France, ce n’est pas uniquement à cause de leurs prix. En plus, sur les sites de vente d’occasion, en effet, on peut en trouver désormais pour moins de 10 euros. Et, parfois, même avec les frais de port, on ne dépassera pas ce prix. J’ajoute que dans le neuf, très souvent, les magasins en durs ou en ligne font des offres spéciales concernant le disque bleu. Non, vraiment, je pense que les Français se foutent complètement de la HD. A fortiori, le blu-ray reste donc marginal. Peut-être que dans les milieux de passionnés et de technophiles, il faudrait se faire une raison.
C’est pour ça que l’arrivée de l’ultra HD me fait doucement rire. Les technophiles français n’ont désormais plus de yeux que pour la 4K et, demain, pour la 8K. Ils ne réclament déjà plus que cela, au point que leur salive dégouline de leur bouche, alors que dans l’Hexagone, elle est encore quasiment inexistante et que les contenus sont aux encore abonnés absents. Mais, avant qu’elle ne se démocratise en France, il faudra déjà que cela soit le cas pour la HD. Bien que les chaînes TV diffusent des programmes en HD, bien que tous les appareils sont désormais certififiés “Full HD” et bien que les sites web d’hébergement de vidéos diffusent aussi de la HD, la majorité des Français n”ont toujours pas assimilés la HD.
Quand à la VoD… Avez-vous vu les prix des vidéos à la demande, surtout en achat définitif ? Les catalogues sont petits et il y a toujours ces foutus DRM. Trop de freins pour que nous adoptions en masse la VoD ! Et la SVoD, en France, souffre d’une chronologie des médias qui ne va pas en sa faveur : elle ne peut exploiter un film que trois ans après sa sortie en salle…
Bref, il n’y a pas de quoi pleurer : tout est normal.
Les boutiques culturelles et high-tech sont-elles vouées à mourir ?
Le 12/01/2013Le 12/01/2013 à 16h 35
Le gros handicap des boutiques culturelles et high-tech est qu’elles ne peuvent pas aligner leurs prix sur ceux d’Internet. Elles ne peuvent pas négocier les prix aussi facilement que les géants du Net, et ont plus d’intermédiaire qu’eux. Quand une boutique vend un produit qui peut-être deux à trois fois plus cher (voire même plus) que le même produit, disponible sur un site de commerce en ligne, cela ne peut que faire réfléchir les acheteurs. Et dans le lot, nul doute que bon nombre se fourniront sur le Web. D’ailleurs, les vendeurs l’avouent plus ou moins : les gens viennent leur poser des questions et voire les produits, puis, une fois qu’ils ont fait leur repérage, ils se dirigent, pour la plupart, sur un site de commerce en ligne.
Mais les boutiques physiques peuvent arriver à s’en sortir. Malgré les difficultés qu’elle rencontre, La Fnac n’a ainsi pas dit son dernier mot. Elles développent une ribambelle de service, comme le développement photo, et elle a aussi ouvert un site de commerce en ligne. Bref, elle s’adapte avec les tendances du moment ! Virgin, à l’inverse, n’a jamais proposé de services quelconques et à part des produits dématérialisés, il ne vend rien via le Net. Une lourde erreur stratégique, qui lui coûte très cher aujourd’hui, avec son dépôt de bilan. Virgin est l’exemple même d’une boutique qui ne s’est pas adaptée à l’essor d’Internet et qui en paie donc le prix aujourd’hui.
Enfin, concernant Virgin et La Fnac, l’autre gros problème est qu’elles ne sont plus que des distributeurs de marchandises. Entendez par là que ces boutiques ne sont plus que là pour vous vendre des produits. Ce qui était alors leur valeur ajoutée, c’est à dire des vendeurs qui connaissent leur domaine et savent vous renseigner, sans pour autant vouloir vous vendre un produit à tout prix, a totalement disparue… C’est bien dommage. Cette valeur ajoutée permettait de les démarquer des sites de commerces en lignes, où l’acheteur ne fait que surfer sur de vulgaires pages Internet.