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Romaindu83

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818 commentaires

Le 26/02/2014 à 17h 36

C’est un sujet qui est loin de me faire rire. Carton rouge à ceux qui prennent ce sujet à la rigolade !<img data-src=" /> Peut-être ne se sentent-ils pas concerné non plus… Ah, le nombrilisme, un des maux de l’être humain, dans notre société actuelle… et pourtant moderne !<img data-src=" />



Caché derrière des pseudos et derrière l’anonymat (bien que tout est relatif), certaines personnes s’en donnent à coeur joie pour dénigrer ceux qui sont différents d’elles : les personnes de couleurs, les homosexuels, les handicapés, les malades mentaux et j’en oublie… la liste est longue et ne s’arrête pas au racisme.



C’est tellement plus facile devant son ordinateur de dénigrer une personne… plutôt que d’avoir à l’affronter tête à tête, dans une discussion, dans la vrai vie.<img data-src=" /> Les réseaux sociaux, ces derniers temps, sont des endroits où pullulent des lâches, qui utilisent le monde artificiel (Internet) pour dire toute la haine qu’ils ont envers d’autres personnes. Heureusement que sur les réseaux sociaux, on côtoie aussi le meilleur ! <img data-src=" />



La meilleure solution serait d’ignorer ces personnes, de ne pas leur faire de publicité. Mais pour une personne victime de racisme, par exemple, c’est bien compliqué de faire abstraction de tels commentaires. En cela, le site internet-signalement.gouv.fr répond aux demandes de ces victimes. Certes, l’enquête n’aboutira peut-être pas sur un condamnation… mais c’est déjà bien qu’un tel site puisse exister : à aucun moment je n’ai cru que ce site permettrait de faire de la délation…

Le 25/02/2014 à 16h 01

A part ça, le Bitcoin est le paradis des crypto-monnaie, le must dans le genre… Le Bitcoin est même plus sûr que les véritables monnaies. Tu parles…<img data-src=" />



Je n’ai jamais été utilisateur de Bitcoin, ne lui faisant aucune confiance, et ce n’est pas cette actu qui me fera changer de position.<img data-src=" /> Je ne suis d’ailleurs utilisateur d’aucune monnaie électronique.



Les monnaies électroniques, qu’elles soient crypto-monnaies ou pas, peuvent connaître de telles débâcles. Il n’y a rien d’étonnant dans tout cela. A part un naïf, qui peut croire que les crypto-monnaies sont à l’abri de tous les vices que les véritables monnaies peuvent éventuellement connaître ?<img data-src=" />

Le 22/02/2014 à 18h 47







sr17 a écrit :



Ca fait juste 30 ans que des pseudo analystes prédisent que la console tuera le jeu sur PC. Ils ont du oublier quelques détails <img data-src=" /> Par exemple, que les jeux sont créés sur des ordinateurs.



Les tablettes/smartphone remplacer les PC ? D’abord l’usage n’est pas le même. Je vois mal les entreprises remplacer leurs postes de travail par des tablettes : la productivité en prendrait un sérieux coup.



Par contre, je vois bien à terme les tablettes et les ordinateurs portables fusionner au profit d’un ordinateur-tablette à clavier détachable. Parce que techniquement, les tablettes sont juste des ordinateurs avec un OS édulcoré. Il est évident qu’a terme, cela évoluera.







As-tu remarqué que quand bien même le développement d’un jeu vidéo nécessite un PC, le plus souvent, ce jeu vidéo sera édité pour les consoles. Peut-être que plus tard, il aura droit à un portage pourri vers le PC. Mais en tout état de cause, le marché du jeu vidéo console assome le marché du jeu vidéo PC. Tu auras remarqué que, bien qu’il existe Steam, Origin, Ubiplay et compagnie, ceux sont les consoles qui profitent le plus des sorties de jeux vidéo. Il ne faut pas faire l’autruche…



Je suis un PCiste, mais pour autant, par rapport à tous ces abrutis qui gueulent sur les forums dédiés aux jeux vidéo, je sais reconnaître que le vent a changé de direction : le PC n’est plus la plate-forme favorite des éditeurs. Je veux bien que les PCistes défendent ad viternam leur plate-forme, mais leurs commentaires en deviennent ridicules tellement ils arrivent à nier la situation actuelle… ils font systématiquement des dénis de réalité…



Quand aux tablettes et aux smartphones qui pourraient remplacer le PC, je n’y crois pas, bien que le marché des smartphones et des tablettes est devenu plus rentable que celui du PC. Pour les constructeurs, le PC n’est plus un fer de lance dans la vente informatique ! Mais là aussi, on peut continuer à faire l’autruche…<img data-src=" /> Cependant, dans les années à venir, le PC fixe pourrait être représenté par le PC tout en un. Il est simple d’utilisation, il a un écran tactile et, enfin, il ne prend pas beaucoup de place. Les constructeurs misent d’ailleurs sur le PC tout en un pour relancer le marché du PC fixe. Cela ne veut pas dire que le PC avec tour va disparaître, mais qu’il ne correspond plus aux besoins du plus grand nombre. Mais là encore, on peut faire l’autruche et dire qu’une majorité de gens apprécie toujours avoir un PC avec une tour…


Le 21/02/2014 à 18h 21







coket a écrit :



Et chez nous aussi ce sera différent. Les lobbies de la culture ont fait leur basse besogne. Netflix devra développer du contenu local et sans doute obéir aux quotas habituels tirés de l’exception “culturelle” à la française <img data-src=" />



Si on peut changer de pays, ça n’est pas gênant (à part pour les allergiques à l’anglais), mais je n’y crois pas. Sauf VPN bien sûr.







Notre exception culturelle française a des défauts, mais elle a permis de faire prospérer, entre autre, notre cinéma. Que sort-il désormais des studio Cinecitta, en Italie ? Des studios de Babelsberg ou Bavaria, en Allemagne ? Et dans les autres pays européen ?



Le cinéma français n’aura jamais été aussi prolifique, mais j’admet que de voir des acteurs surpayés ou des films qui sont rentabilisés avant même leur sortie en salle me fait tiquer. L’exception culturelle française n’est pas à supprimer mais à revoir.



Il n’y a aucune raison qu’un service de SVOD étranger qui veut s’installer en France n’ait pas à participer à notre exception culturelle. Il est vrai que, outre notre chronologie des médias, c’est ce qui a toujours dissuadé Netflix de poser ses pieds en France. Mais personne ne l’oblige à venir chez nous. L’exception culturelle française existe depuis 1959. Ce n’est pas parce qu’un acteur étranger de SVOD va venir en France qu’on va tout chambouler pour lui.


Le 21/02/2014 à 17h 23







Dez a écrit :



La question est surtout de savoir quel sera le catalogue proposé…

Car les 36 mois pour les films en VOD c’est toujours d’actualité.



Donc bon, autant avoir un VPN aux US et passer par leur service complet, même si il arrive en France, si il doit le faire avec tous les carcans actuels… bof.







Ah ben tiens ! Le Ministère de la Culture ne va pas faire une exception pour Netflix. Il a d’ailleurs averti clairement le service américain qu’il devra respecter l’exception culturelle française mais aussi la chronologie française des média (36 mois d’attente avant de pouvoir proposer un film, pour un service de SVOD).



Mais est-ce que Netflix est réellement se qu’attendent les Français ? Est-ce que la SVOD va réellement faire redécoller le marché de la vidéo en France ? Rien n’est moins sûr, au regard de nos contraintes, qui dissuade les Internautes d’utiliser de tel service (je pense surtout à ses trois ans d’attente avant de pouvoir proposer un film [c’est un délai d’attente très long]).



Quoiqu’il en soit, concernant l’actualité, ce serait un pied de nez de la part de Orange envers ses concurrents, si il est le seul à l’offrir. Les autres n’auraient plus qu’à sortir la vaseline, si vous voyez ce que je veux dire.

Indubitablement, Orange, ex Wanadoo, ex France Telecom, possède de nombreux atouts comparé à ses concurrents. Que ses détracteurs le veuillent ou non, l’opérateur historique est LE mastodonte de l’Internet et des télécommunications en France. Ca pèse beaucoup dans les accords que l’on peut passer avec des plate-formes. Les atouts de Orange face à ses adversaires, que cite PC INPact, sont importants, ont de la valeur, peuvent faire pencher la balance envers Orange.



Si Netflix doit réellement venir s’installer en France (cela reste une arlésienne pour le moment), nous verrons bien comment cela se passera. Si les autres opérateurs se sentent lésés, nul doute qu’ils feront appel à l’ARCEP, de toute façon.


Le 21/02/2014 à 17h 34

Je tiens tout de même à dire que le marché de la dématérialisation à un défaut de taille.



L’utilisateur est pied et main liés à un service. Autrement dit, si le service coule, pour diverses raisons, l’utilisateur perdra ses jeux vidéos. Les rapatrier ? Pourquoi pas, si cela est possible avant que le service ferme ses portes. Mais vu le poids des jeux vidéos aujourd’hui, où les stockera-t-il ? Pour certains utilisateurs, même un disque dur de 3 To ne saurait suffire pour stocker tous leurs jeux vidéos.



Etre pied et main liés à un service entend aussi subir son bon vouloir : par exemple, si avec un éditeur, l’accord de licence est cassé, le service peut retirer le jeu manu militari et le joueur n’aura que ses yeux pour pleurer.



Qu’elles s’appelles Origin, Ubiplay ou Steam, les utilisateurs sont pieds et mains liés à ces plates-formes pour pouvoir utiliser leurs jeux vidéos. Pour moi, c’est tout le contraire d’un avantage. Certains préfèrent faire les autruches et ne pas voir cette anguille sous la roche. Dommage…

Le 19/02/2014 à 16h 46







lossendae a écrit :



J’ai donné dans mon commentaire précédent un exemple simple.

Les tests sur Theverge.com, site on ne peux plus généraliste qui ne donne que tres tres peu de détail technique et concentre leurs review sur le ressenti.



Les numérique vont donner quelque chiffres complémentaires appuyés par des processus un peu plus scientifique, sans être spécialiste.



Pour moi, les numériques sont sur le même créneau, plus accessible, plus grand public.

Les numériques c’est un UFC que choisir exclusivement sur le net.







Les Numériques s’adresse à un public de technophiles, ou, du moins, qui a déjà une culture high-tech. Le profane s’y perdra complètement dans les tests et les articles. Les Numériques est un site pour un public averti.



Et il s’agit, également, d’un site pour un public ayant un certain niveau de vie. La quasi totalité des produits qu’ils testent reste du rêve pour bon nombre de Français, tant les prix sont élevés, quand ils ne sont pas exorbitants. Les Numériques n’est pas un site pour le grand public. Il ne l’a jamais été. Il faut être pragmatique. A temps plein et au smic, c’est un revenu d’environ 1120 euros net. Impossible avec un tel revenu de s’acheter les produits testé par Les Numériques ou alors… il ne faut vivre que pour la high-tech….


Le 19/02/2014 à 15h 17

Personnellement, ce qui m’a toujours dérangé avec Les Numériques, c’est sa fracture avec le monde extérieur. Je m’explique : les produits que le site présente sont chers, très chers. J’ai toujours trouvé Les Numériques comme étant un site élitiste, qui ne s’adresse pas à la classe moyenne inférieure, où les revenus vont de 12 000 à 20 000 euros par an. Or, en France, cette classe moyenne inférieure est majoritaire !

Les Numériques se borne à tester des produits que la plupart des gens ne peuvent pas s’offrir. De plus, je trouve aussi que ce site est très loin des préoccupations de la plupart des Français, en matière de high-tech. Deux exemples : Les Numériques testent très, très peu de produits low-cost. Et quand ils testaient encore les galettes, quand est apparu le blu-ray, ils ont rapidement arrêté de tester les DVD, alors qu’ils se vendent toujours beaucoup plus que les blu-ray. Cherchez l’erreur !

Je suis désolé, mais ce site s’adresse à des bobos, à ceux qui peuvent s’offrir du rêve et du haut de gamme. Moi, personnellement, quand je vais flâner sur Les Numériques, je ressens un grand malaise.



Tout ce que je souhaite, c’est que Les Numériques se soient pas, sur le court terme, mains et poings liés au bon vouloir de leur actionnaire majoritaire. L’actionnaire majoritaire peut parfois (souvent ?) imposer ses directives et laisser peu de liberté au patron. J’espère aussi que les rédacteurs resteront le plus impartial possible dans leurs tests et leurs articles. Autrement dit, qu’ils n’aient pas à subir la volonté de l’actionnaire majoritaire d’imposer une nouvelle ligne éditoriale qui serait moins neutre. J’ai envie de dire que cela ne changerait pas grand chose, de toute façon : en effet, depuis un bon moment maintenant, des critiques fusent à l’égard des rédacteurs, qui écriraient des tests qui seraient devenus trop arbitraires.

Le 19/02/2014 à 16h 28







Fuinril a écrit :



Je ne savais pas qu’en France la dissolution d’une société était interdit…. C’est étrange, il y a pourtant un chapitre consacré à ça dans le droit des sociétés <img data-src=" />









Oui, enfin les procédures ne sont pas les mêmes qu’aux Etats-Unis. Et tu comprend très bien ce que je veux dire.<img data-src=" />


Le 19/02/2014 à 16h 13







DarkMoS a écrit :



C’est quand même un sacré conard… Au lieu de quitter le studio et recréer une structure plus petite à côté, il le ferme et fout des centaines de personnes au chômage…







Dans un pays où les salariés sont protégés et où un patron ne peut pas fermer sa boîte manu militari librement, ça choque. Après tout, la France n’est-elle pas un pays communiste… Tu ne le savais pas ? Je te l’apprend ! Et ce n’est pas une blague : les Américains nous considèrent comme des communistes…



La fermeture d’Irrational Games est l’exemple même du modèle ultra-libéral, que certains voudraient voir arriver en France : patrons libres de faire ce qu’ils veulent de leur entreprise et de leurs salariés, flexibilité à outrance et j’en passe des vertes et des pas mûres… Il paraîtrait qu’un tel modèle pourrait relancer la croissance en France… Un mal pour un bien… fragiliser le “statut” de salarié pour relancer une économie…



Quoiqu’il en soit, avec ses “Bioshock”, Irrational Games aura permis de montrer que l’on peut toujours très bien développer des jeux vidéos massivement solitaires, avec un fort potentiel d’attractivité. A l’heure où les éditeurs ne pense plus que multijoueur, ça fait du bien. Les “Bioshock”, ceux sont des jeux vidéos avec un scénario complexe, mais attrayant et qui tient la route. Ceux sont des jeux vidéos avec un gameplay efficace, pensé pour le clavier et la souris. Ceux sont des jeux vidéos qui ne demandent pas des foudres de guerres pour pouvoir afficher de beaux graphismes. Ceux sont des jeux vidéos où la bande originale et les doublages sont de haut niveau.

La franchise “Bioshock” va perdurer… je verrais bien. les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent.


Le 19/02/2014 à 15h 21







240-185 a écrit :



Peut-être ont-ils aussi oublié que si la version PC de FF7 était tout juste correcte, celle de FF8 était calamiteuse ? Ils ont oublié le synthé Yamaha de FF8 qui entrait en conflit avec le Synthé Yamaha de FF7, l’ergonomie pensée à l’arrache (Pas d’option dans le menu pour quitter, c’était Alt-F4 à l’arrache) et la résolution bloquée en 640x480 ?







On parle bien de portage, donc il n’y a pas à être déçu ou surpris… tu me diras que les portages PC peuvent être plus travaillés, mais bon…


Le 18/02/2014 à 20h 16







Vanilys a écrit :



Ahem.

Pourquoi est-ce que les 3 opérateurs ont eu une amende record de 534 millions d’euros avant l’arrivée de Free, pour entente illicite ?

http://www.zdnet.fr/actualites/orange-sfr-et-bouygues-telecom-condamnes-a-une-am…

Avec comme stratégie un relèvement des prix et l’adoption de mesures telles que la priorité donnée aux forfaits avec engagements (au détriment des cartes prépayées) ou la facturation par paliers de 30 secondes après une première minute indivisible.



Donc, les pauvres petits, tu penses qu’ils ont dû rogner sur leurs marges monstrueuses pour s’aligner sur les prix de Free ? Hooooo… je vais les plaindre <img data-src=" />







Je voudrais que les Internautes, du moins certains Internautes, et les Freenautes en particulier, cessent de donner des leçons à la France entière, parce qu’ils seraient désormais chez l’opérateur le plus intègre de tous. Free est mercantile, comme les autres. Pour attirer des Internautes, il pratique des tarifs agressifs.



Je ne suis pas économiste, mais j’ai quelques notions que tout profane devrait normalement avoir. Qui tarifs agressifs dit obligatoirement devoir rogner sur quelque chose. Les Freenautes n’apprécient pas qu’on dise que leur opérateur est un opérateur low-cost. Mais le qualifier de low-cost n’est pas le dénigrer. C’est tout simplement expliquer que, comme les marques low-cost, il faut bien que Free diminue les coûts sur quelque chose pour pouvoir proposer des prix aussi bas. Parce je doute fortement que les tarifs de Free soit vraiment ce que vaut l’Internet en France. Oui, l’opérateur historique et les autres ont pendant longtemps pratiqué des prix bien trop chers, mais Free ne pratique t-il pas des prix trop bas ?



Les services, les infrastructures, les emplois, les salaires, la hotline, ect… Pour pratiquer des prix aussi bas, Free doit nécessairement baisser ses coûts quelque part.



Les clients y trouvent leur compte. Mais sur le long terme, à pratiquer des tarifs aussi bas, est-ce Free ne deviendra-t-il pas un contre-exemple, qu’il ne faut pas suivre ? Je pose la question. Je n’ai pas vraiment de réponse. Mais une chose est sûr : je n’adulerais pas Xavier Niel et son entreprise, Free.


Le 18/02/2014 à 19h 03

Je ne suis pas certain que les tarifs agressifs de Free ait amélioré la situation de l’Internet en France. Les prix sont tirés vers le bas, certes, mais les services aussi car tous les opérateurs doivent bien rogner sur quelque chose pour pouvoir faire baisser le prix de leurs différents abonnements, afin de s’aligner un maximum sur ceux de Free.



D’aucuns supputent également que Free est à l’origine de destruction d’emploi car pour arriver à tenir des abonnements à des tarifs bas, les opérateurs seraient obligé de diminuer leur masse salariale. Qu’en est-il réellement ?



La guerre Orangenautes vs Freenautes me gonfle passablement. Ca n’apporte rien. C’est du ramassis de conneries toutes les deux lignes. Il serait bon surtout de voir quelles conséquences des tarifs aussi bas ont eu sur les services, sur les infrastructures et sur les emplois.

Le 18/02/2014 à 18h 55

C’est l’Union Européenne dans son intégralité qui devrait se mettre d’accord pour faire plier Google. Pour cela, ça passait par une harmonisation fiscale des entreprises, avec la fin des paradis fiscaux européens, comme le Luxembourg ou l’Irlande.



Google est un géant, mais si l’Union Européenne était vraiment une Union, ce mastodonte fermerait sa gueule et se plierait aux lois européennes.

Le 18/02/2014 à 18h 51







Tirr Mohma a écrit :



Rien que ça, ils en ont pour au moins 10 ans à faire les diagnostics et à prendre les mesures qui s’imposent.







Excuse-moi, mais même si ils ont dix ans de retard, ce n’est pas le numérique à l’école qui apprendra à lire, à écrire et à compter à nos chères têtes blondes.



De plus, le numérique à l’école n’aura aucune incidence sur le classement PISA, de l’OCDE. Ce n’est pas le numérique qui va réduire les inégalités sociales à l’école. Pire, le numérique pourrait aggraver la situation. La fracture numérique est déjà grande en France, et les élèves qui n’ont pas la chance d’avoir le numérique chez leurs parents risquent d’être déboussolé.



Et puis, le numérique ne remplace par un maître/maîtresse et professeur… Non mais sans rire… La France a peut-être des années de retard concernant le numérique à l’école, mais je ne suis vraiment pas certain que cela soit une priorité pour l’Education Nationale. Pour être franc, un élève idiot ne deviendra pas intelligent grâce au numérique.


Le 16/12/2013 à 16h 33







jeje07 a écrit :



on est plusieurs a avoir expliqué que le priorité pour les gens c’est souvent d’avoir un grand écran. Après blu ray ou DVD, pas mal de gens s’en moquent et ne savent meme pas ce qu’apporte le blu ray.

je connais des personnes avec un joli écran plat HD dans le salon et un lecteur DVD….. et pourtant des gens qui ont largement les moyens de s’acheter un lecteur blu ray a 100 euros…..







C’est une réalité que beaucoup de passionnés et de technophiles ne veulent pas voir. Les rêves les plus beaux sont ceux que l’on s’invente. D’où le fait que je dis que ces personnes devraient se faire une raison.



A mon avis, et je me répète, une grande majorité de Français n’attendent pas des définitions toujours plus grande. Autrement dit, ils ne se préoccupent pas de la qualité des vidéos qu’ils regardent. Même si le film qu’ils regardent est en simple définition et bourré d’artefact, ils s’en moquent. Ils auront vu leur film, ils seront contents ou pas (tout dépend si ils l’ont apprécié ou pas) et puis voilà ! Basta ! Ils passeront ensuite à un autre film !



Effectivement, je pense que la taille du téléviseur qu’ils peuvent avoir chez eux les intéressent beaucoup plus. Le paradoxe étant que beaucoup ont un téléviseur de taille moyenne (les Français aiment les diagonales allant de 26 à 40 pouces), parfait pour la HD, même si c’est une marque low-cost… et qu’ils regardent des DVD, quand ce n’est pas un affreux DivX, hyper compressé et mal encodé. Ils ne profitent pas de ce que leur téléviseur pourrait leur apporter. Mais ils ne s’en préoccupent pas non plus, alors…



Il va falloir arrêter de se voiler la face dans les milieux de geeks. Les Français ne rejettent pas la HD, mais n’y voient toujours pas l’intérêt d’en profiter. Et la cause de cette conséquence est à aller chercher du côté des professionnels : éditeurs, constructeurs, ect… A aucun moment, il n’y a eu de la pédagogie qui a été faîte concernant la HD. Il n’y a eu que des campagnes marketing, en France. Les plans de communication n’ont jamais été fait dans le but de promouvoir les avantages de la HD, mais dans le but de la vendre. Et cela n’a pas fonctionné… Avez-vous vu, par exemple, un professionnel vanter les mérites des restaurations HD des films d’époque ?



Rebelote pour l’ultra HD ? Surtout, il faudrait déjà que les Français pensent en majorité “HD” quand ils regardent une vidéo et c’est très loin d’être le cas. La HD ne s’est pas encore démocratisée en France. Dur comme constat ? Peut-être, mais c’est avoir les pieds sur terre que de le faire. L’ultra HD, le Français lambda ne sait même pas de quoi il s’agit. Il se fout déjà de la HD, alors l’ultra HD… Si les professionnels veulent arriver à vendre l’ultra HD en France, il va falloir qu’ils s’y prennent autrement qu’avec la HD. Et cela va être difficile, car l’ultra HD ne s’adressera pas à tout le monde.







jeje07 a écrit :



quant a dire que l’intéret d’un blu ray est limité sur tel ou tel film, désolé mais c’est n’importe quoi….. ce n’est pas parce que tu n’aimes pas certaines catégories de films qu’il faut les dénigrer pour autant. Que ce soit un film d’auteur, un huis clos, un film d’action, le JT, un documentaire, du cirque, intervilles, des concerts, master chef ou tout ce que tu veux, la HD et le blu ray apportent toujours un énorme gain qualicatif.







Avec un blu-ray, l’utilisateur regardera une vidéo en haute définition. Même sur un téléviseur de petite diagonale, il verra une différence entre la SD et la HD, quelque soit le type de film dont il s’agit. Après, comme avec la SD, certains masters HD font peine à voir. Ils y a aussi certains films qui sont en 1080i/25fps et non pas en en 1080p/24fps. Bref, comme avec les DVD, les blu-ray peuvent proposé des ratés ! Mais c’est du côté des éditeurs qu’il faudra aller voir, dans ce cas, pas du côté du téléviseur.


Le 15/12/2013 à 23h 31

Concernant la France, et uniquement la France, il serait bon de se demander également si les Français attendent nécessairement une image de qualité supérieure à celle du DVD. Autrement dit, les Français sont-ils en attente perpétuelle de définition toujours plus importante ? Moi, j’en doute. Je pense, au contraire, que leurs yeux se prélassent très bien du 720x576 lignes. Pour un passionné de cinéma ou un technophile, c’est loin d’être suffisant, mais pour un Français lambda, c’est très convenable. “Très convenable”, je pèse mes mots. Les Français, si ils peuvent profiter de la HD via les chaînes de télévision, n’en sont pas plus friands que ça, qu’ils aient 15 ans, 20 ans, 30 ans, 50 ans ou 80 ans… On retrouve ce peu d’intérêt envers la haute définition dans toutes les classes d’âge et toutes les classes sociales. La simple définition reste potable ; elle permet de regarder un film… que demander de plus ?



Ici, je parle uniquement de la HD, mais le blu-ray et la HD sont intimement lié. Si les ventes de blu-ray ne décollent pas en France, ce n’est pas uniquement à cause de leurs prix. En plus, sur les sites de vente d’occasion, en effet, on peut en trouver désormais pour moins de 10 euros. Et, parfois, même avec les frais de port, on ne dépassera pas ce prix. J’ajoute que dans le neuf, très souvent, les magasins en durs ou en ligne font des offres spéciales concernant le disque bleu. Non, vraiment, je pense que les Français se foutent complètement de la HD. A fortiori, le blu-ray reste donc marginal. Peut-être que dans les milieux de passionnés et de technophiles, il faudrait se faire une raison.



C’est pour ça que l’arrivée de l’ultra HD me fait doucement rire. Les technophiles français n’ont désormais plus de yeux que pour la 4K et, demain, pour la 8K. Ils ne réclament déjà plus que cela, au point que leur salive dégouline de leur bouche, alors que dans l’Hexagone, elle est encore quasiment inexistante et que les contenus sont aux encore abonnés absents. Mais, avant qu’elle ne se démocratise en France, il faudra déjà que cela soit le cas pour la HD. Bien que les chaînes TV diffusent des programmes en HD, bien que tous les appareils sont désormais certififiés “Full HD” et bien que les sites web d’hébergement de vidéos diffusent aussi de la HD, la majorité des Français n”ont toujours pas assimilés la HD.



Quand à la VoD… Avez-vous vu les prix des vidéos à la demande, surtout en achat définitif ? Les catalogues sont petits et il y a toujours ces foutus DRM. Trop de freins pour que nous adoptions en masse la VoD ! Et la SVoD, en France, souffre d’une chronologie des médias qui ne va pas en sa faveur : elle ne peut exploiter un film que trois ans après sa sortie en salle…



Bref, il n’y a pas de quoi pleurer : tout est normal.

Le 12/01/2013 à 16h 35

Le gros handicap des boutiques culturelles et high-tech est qu’elles ne peuvent pas aligner leurs prix sur ceux d’Internet. Elles ne peuvent pas négocier les prix aussi facilement que les géants du Net, et ont plus d’intermédiaire qu’eux. Quand une boutique vend un produit qui peut-être deux à trois fois plus cher (voire même plus) que le même produit, disponible sur un site de commerce en ligne, cela ne peut que faire réfléchir les acheteurs. Et dans le lot, nul doute que bon nombre se fourniront sur le Web. D’ailleurs, les vendeurs l’avouent plus ou moins : les gens viennent leur poser des questions et voire les produits, puis, une fois qu’ils ont fait leur repérage, ils se dirigent, pour la plupart, sur un site de commerce en ligne.



Mais les boutiques physiques peuvent arriver à s’en sortir. Malgré les difficultés qu’elle rencontre, La Fnac n’a ainsi pas dit son dernier mot. Elles développent une ribambelle de service, comme le développement photo, et elle a aussi ouvert un site de commerce en ligne. Bref, elle s’adapte avec les tendances du moment ! Virgin, à l’inverse, n’a jamais proposé de services quelconques et à part des produits dématérialisés, il ne vend rien via le Net. Une lourde erreur stratégique, qui lui coûte très cher aujourd’hui, avec son dépôt de bilan. Virgin est l’exemple même d’une boutique qui ne s’est pas adaptée à l’essor d’Internet et qui en paie donc le prix aujourd’hui.



Enfin, concernant Virgin et La Fnac, l’autre gros problème est qu’elles ne sont plus que des distributeurs de marchandises. Entendez par là que ces boutiques ne sont plus que là pour vous vendre des produits. Ce qui était alors leur valeur ajoutée, c’est à dire des vendeurs qui connaissent leur domaine et savent vous renseigner, sans pour autant vouloir vous vendre un produit à tout prix, a totalement disparue… C’est bien dommage. Cette valeur ajoutée permettait de les démarquer des sites de commerces en lignes, où l’acheteur ne fait que surfer sur de vulgaires pages Internet.