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Okki

est avec nous depuis le 11 novembre 2009 ❤️

Bio

Linuxien depuis 1996, actuellement sous Fedora avec l'environnement de bureau GNOME.

I ❤️ systemd, Flatpak, PipeWire, Wayland… et toutes les nouveautés qui font hérisser le poil des grincheux (sauf si ça vient de Canonical 😝)

1318 commentaires

Le 27/05/2015 à 22h 00







kyrios123 a écrit :



J’ai même un Monsieur de 74 ans qui s’est mis à la photo numérique et qui avait besoin d’un logiciel pour les retoucher. J’ai trouvé Krita, j’ai passé quelques heures à apprendre les bases avec lui et maintenant il s’en sort à merveille et m’apprend même quelques trucs.







Même s’il était un peu plus généraliste au départ, Krita se dirige désormais clairement vers un logiciel de dessin, peinture, illustration…



Pour du traitement photo, je serais plutôt parti sur darktable pour traiter les fichiers raw (développement, balance des blancs, exposition…). Dans ce domaine, il existe également digiKam et RawTherapee.



Puis ensuite GIMP et le plugin G’MIC pour faire de la retouche. Ce dernier possède par exemple un excellent algorithme pour supprimer un objet de l’image et reconstruire les parties manquantes.


Le 27/05/2015 à 21h 15

Sous GNOME, fourni de base, t’as l’outil Disques. Tu sélectionnes ton disque dans la liste, puis dans le menu, tu choisis Formater le disque… (ou sinon, raccourci Ctrl-F).



L’outil permet également de modifier les partitions ou les points de montage, créer ou restaurer des images disque (par exemple, créer une clé USB bootable depuis un fichier .iso), tester les performances du disque, vérifier la santé depuis les données SMART, modifier certains paramètres (cache en écriture, mise en veille…)



Les gens ont toujours tendance à aller chercher des outils tiers à gauche à droite, alors que bien souvent, les vrais environnements de bureau (GNOME et KDE) proposent déjà de base tout le nécessaire.

Le 27/05/2015 à 21h 04

Je préfère infiniment la solution Freedesktop basée sur AppStream, avec des fichiers AppData fournis en amont par les différents projets, en même temps que les sources de leurs applications. Ce qui permet de proposer une solution libre, standard, implémentable et réutilisable par tout le monde.



C’est ce qui a permis d’obtenir Logiciels sous GNOME ou Muon sous KDE, qui fonctionnent aussi bien sous Fedora que sous Arch. Et on peut même en faire des versions web.



De toute façon, plus le temps passe, plus je pense qu’Ubuntu n’aura fait que diviser et affaiblir le libre, en réinventant sans cesse la roue, et en étant compatible qu’avec eux-même.

Le 27/05/2015 à 18h 54

Tu parles du grand public, et ensuite tu enchaînes uniquement sur des exemples qui concernent les entreprises et le besoin d’applications métier.



Pour faire du dessin vectoriel (Inkscape) ou matriciel (Krita), du traitement photo (darktable), de la 3D (Blender), jouer les DJ (Mixxx), faire du traitement audio (Ardour), créer le journal du lycée ou de l’asso (Scribus)…



Dans le cas de la retouche photo avec GIMP, j’ai envie de faire un petit paragraphe séparé pour rappeler l’existence d’un incroyable projet français, le plugin G’MIC, qui lui offre un nombre hallucinant de possibilités supplémentaires de haut niveau. Son développeur principal, David Tschumperlé, écrivant régulièrement des articles récapitulatifs des dernières avancées sur LinuxFR, je vous invite à y jeter un coup d’oeil :






Le 27/05/2015 à 18h 30

Si GNU/Linux ne perce pas, c’est pour une toute autre raison.



Le grand public n’a pas envie de choisir une distribution et un environnement de bureau, télécharger ladite distribution sur Internet, créer une clé USB bootable, aller dans le BIOS pour configurer la séquence de boot pour que ça se fasse sur l’USB, lancer l’installation, partitionner son disque, répondre aux quelques questions, prier pour que tout son matériel soit bien supporté et pleinement fonctionnel, configurer son environnement…



Non, l’utilisateur souhaite un produit pleinement fonctionnel dès le départ. Aller chez Carrefour ou dans un Apple Store, voir commander sur Amazon, sortir l’appareil du carton, brancher la prise et l’utiliser.



En partenariat avec Dell et HP, Ubuntu est pré-installé sur des machines dans 1500 points de vente en Chine, 850 en Inde, 500 en Amérique du Sud… Et plus récemment, ils se sont également lancés en Russie et au Royaume-Uni.



Aux dernières nouvelles, Ubuntu annonçait avoir plus de 25 millions d’utilisateurs. Et franchement, je doute que ce soit tous des développeurs et autres experts de la ligne de commande ;)

Le 27/05/2015 à 18h 15

La dernière Debian stable ne fournit qu’un vieux Xfce 4.10 d’il y a trois ans. Ensuite, si tu veux un environnement de bureau bien intégré et avec des technologies modernes, franchement, il vaut mieux opter pour GNOME ;)



Logiciels (la logithèque GNOME) ne t’aurait proposé que des logiciels graphiques qui s’intègrent bien dans ton environnement (entrée dans le menu, icône, description, mots clés pour les recherches…)



En ce qui concerne l’association des types de fichiers, ça ne se fait pas automatiquement, mais c’est normal. Que ce soit des JPEG ou des MP4, comment savoir si tu souhaites les associer à un visionneur de photo / lecteur de vidéos, ou à un logiciel de retouche / montage ? Néanmoins, ça se configure en deux cliques de souris.



Pour les remontées d’erreurs, me semble qu’on a des notifications à ce sujet. Mais comme, je touche du bois, ça fait un bon moment que je n’ai pas rencontré le moindre problème matériel, je ne pourrais le confirmer.

Le 03/05/2015 à 20h 31

En parlant de ça, au Royaume-Uni, Ebuyer vient de proposer une gamme de machines sous Ubuntu.

Le 29/04/2015 à 09h 04







athlon64 a écrit :



mais y a t il un moyen rapide de savoir quels sont les jeux Steam compatibles Linux depuis Windows ou Mac OS X parce que ca ne propose que ceux compatible avec la plateforme sur laquelle Steam est installé)







Tu peux parcourir la liste des jeux compatibles Linux depuis le site web de Steam.


Le 28/04/2015 à 20h 38







Dark Abaddon a écrit :



Ne serait que ces saveurs pour tous peut poser problème… Comment quelqu’un qui n’y connait rien peut-il choisir quelle saveur lui convient? Et ne me dis pas qu’il fait des recherches sur internet parce que ce n’est pas comme ça qu’il sera avancé, soyons honnête, et ne me dis pas non plus q’il fait des essais et qu’il choisit ce qu’il préfère parce qu’il est évident que Mr Toutlemonde ne va pas péter son install de Windows pour essayer un ubuntu (ou autre mais il essaierait sûrement ubuntu vu que c’est le premier proposé par son ami google) et prendre le risque de se retrouver privé de pc pendant quelques jours (et le dualboot n’est pas une option puisque les tutos sont écrits en hébreux cryptés <img data-src=" />).







Je souhaite juste rebondir sur ce point. De nos jours, quasiment toutes les distributions Linux ont un mode live CD par défaut. Ce qui signifie que t’insère ton CD ou ta clé USB, tu boot dessus, et tu te retrouve directement sur l’environnement de bureau Linux qui est proposé par défaut, sans avoir eu besoin d’installer quoi que ce soit, et sans que ça ai touché à la moindre donnée sur le disque dur.



Ce qui permet de tester facilement et sans risque de nombreuses distributions et environnements de bureau (et encore, de nos jours, il est dans doute plus rapide de passer par VirtualBox). Et si l’utilisateur est satisfait, alors il peut se lancer dans une véritable installation.



Mais oui, on est d’accord, il ne le fera pas XD







Cedrix a écrit :



Suffit de regarder Android… Base Linux mais aucun choix de customisation avancée pour garder une certaine cohérence.







Il existe des environnements de bureau, tel que GNOME, qui misent beaucoup sur la simplicité d’utilisation. Et pour qu’un logiciel soit simple, il ne faut pas qu’il propose une tonne d’options dans tous les sens, de laisser pouvoir tout modifier ou autre.



On obtient donc un environnement épuré, dont on ne peut absolument pas modifier ou casser l’interface de base par accident, et dont les possibilités de personnalisation ne sont pas nombreuses par défaut. Ça ne signifie pas que ce n’est pas possible, mais clairement, de base, l’utilisateur doit vraiment suivre un chemin balisé, et la customisation est plutôt réservée aux utilisateurs avancés.



Et à mon avis, cet environnement est infiniment plus simple et adapté aux débutants, que ne peut l’être Windows, qui tente de satisfaire tout le monde.


Le 28/04/2015 à 19h 40







freechelmi a écrit :



En quoi ubuntu ne remplit pas ces conditions ? C’est a mon avis la distrib qui remplit le mieux ces 3 critères, on peut lui reprocher d’autres points bien sur.







De nombreuses distributions et environnements de bureau sont effectivement particulièrement simples à installer et utiliser de nos jours.



Mais déjà que les gens ont majoritairement peur de modifier autre chose que leur fond d’écran, je ne les vois pas se lancer dans une telle aventure. À mon avis, tant qu’il n’y aura pas un constructeur pour proposer un produit tout prêt, comme peut le faire Apple, il ne faut pas espérer grand chose.



Si Ubuntu a déjà plus de vingt millions de d’utilisateurs, c’est surtout parce ce qu’ils ont un accord avec Dell pour commercialiser des machines avec Ubuntu pré-installé, dans 800 points de vente en Inde, 500 en Amérique du Sud…



C’est vraiment ce qu’attendent les gens. Qu’on fasse le boulot à leur place ;)


Le 28/04/2015 à 07h 42







Dark Abaddon a écrit :



Euh non, s’il ne veut pas choisir, il ne prend rien du tout et il reste avec son Windows pré-installé. Tous les PC grand public sont livrés avec Windows donc sans réelle volonté de changement, l’utilisateur n’ira pas remplacer son Windows par un Linux.







Ah oui, ok. On était pas sur la même longueur d’onde. Tu pensais sincèrement que les gens allaient comparer différentes distributions et environnements de bureau, en télécharger une, créer une clé USB, se lancer dans l’installation, re-partitionner leur disque dur, pour finalement configurer eux-même leur système ? XD



Il est bien évident que si Linux devait se vendre un jour, ça serait parce qu’il existe un produit prêt à l’emploi, qu’il suffit d’acheter et de brancher la prise pour le voir s’allumer et être aussitôt fonctionnel.


Le 28/04/2015 à 07h 37







Dark Abaddon a écrit :



Et même sans aller jusqu’aux considérations techniques abordées dans cette discussion, le simple fait qu’il y ait x distribs différentes avec x environnements graphiques différents suffira à rebuter 99% des utilisateurs grand public.







C’est vrai qu’il n’existe qu’un constructeur automobile, qu’une marque de prêt à porter, de téléviseurs, de smartphones ou tout ce que tu veux.







Dark Abaddon a écrit :



Non parce qu’il ne faut pas se voiler la face, Mr Toutlemonde (et pas forcément que lui d’ailleurs), il n’a pas envie de se prendre la tête pendant des heures à trouver LA version de Linux qui va lui convenir alors qu’il a un Windows qui tourne dans le PC. Et il a encore moins envie de se prendre la tête à devoir configurer des choses. Donc il va rester sur son Windows.







On est d’accord. Les gens ne choisissent pas Android ou iOS, mais le gadget qui les contient. Demain tu te met à vendre une machine sexy sous Linux qui répond à un besoin, et ils l’achèteront.







Dark Abaddon a écrit :



Après, s’il y avait une distrib a forte visibilité, simple et accessible, je dis pas… Mais à l’heure actuelle, ce n’est clairement pas le cas.







Ubuntu ? hmmm… Ubuntu ? Attend, laisse moi réfléchir deux secondes. Ubuntu ?



Clairement je ne les aime pas, mais on entend toujours parler que d’Ubuntu. Même s’ils sont moins populaires ces derniers temps. Mais ça vaut également pour tous les autres.


Le 28/04/2015 à 07h 18







Cedrix a écrit :



Ton dernier point confirme donc le fait que le principe même d’imposer Linux ne changera rien de ce que l’on connait aujourd’hui avec Windows/Apple. Ce Linux commercial sera “le méchant pas beau” de la galaxie communautaire qui ne comprendra toujours pas pourquoi le grand public ne s’intéresse pas à sa distribution n°43 qui a un magnifique gestionnaire de mémoire partagée.







Oh, c’est déjà le cas avec Ubuntu. Ils ont plus de 20 millions d’utilisateurs. Il y a donc fort à parier que l’écrasante majorité d’entre eux ignorent même ce qu’est le libre, et ce que ça pourrait leur apporter.



Tout comme on ne peut pas dire qu’Ubuntu ai grandement contribué à l’écosystème. Ils n’ont quasiment fait que des projets prévus pour ne fonctionner que chez eux, dans le but de voir les développeurs développer non plus des applications Linux, mais des applications Ubuntu. À mon avis, c’est bien pour ça qu’ils avaient développé leur propre système d’init, leur propre serveur d’affichage, leur propre environnement de bureau et SDK… avec des API qui ne sont disponibles que chez eux.



Mais ça n’empêche pas les autres distributions de continuer à vivre leur vie à côté.







lossendae a écrit :



Toujours la même rengaine.



Tu réalises qu’il y a beaucoup de gens qui n’ont rien a carrer que se soit libre (entierement ou pas), et quitte à te choquer, qui apprécient les OS populaires et proprio (que ce soit OSX ou Windows).







Je suis tout à fait d’accord avec toi. Énormément de gens n’en auront jamais rien à foutre, tant que ça ne les touche pas personnellement.



Maintenant, le libre ce n’est pas que du code. Je serais donc curieux de voir le succès que pourrait rencontrer un projet qui met en avant le respect de l’utilisateur, de sa vie privée (sujet plutôt à la mode en ce moment), la protection de ses données… Même si je me doute bien que, tout comme pour l’écologie, ça ne devrait pas non plus déchaîner les foules. Mais je n’en demeure pas moins curieux du petit succès que ça pourrait avoir.



Mais bon, encore une fois, il faudrait déjà avoir un produit simple, élégant et convivial à proposer.


Le 28/04/2015 à 06h 39







Cedrix a écrit :



Pour celui qui compare Android et Linux, j’ai bien rigolé. Combien de R&D pour le PC du carrefour avec Windows dessus ? Et combien pour un nouveau Smartphone ?







Un smartphone n’est qu’un ordinateur comme un autre. Il est juste plus petit. Tout comme de nombreux fabricants chinois proposent déjà des modèles low cost, comme il existe des PC low cost. L’inverse est également vrai, dans les deux cas.







Cedrix a écrit :



Tu vas aussi expliquer comment on crée un driver parce que le vendeur le supporte pas ?







On ne demande pas au chef du rayon micro de chez Carrefour d’installer lui-même Linux, et encore moins de développer des pilotes pour les parties non supportées. Plusieurs centaines de modèles Dell, IBM, HP, Lenovo… sont déjà certifiés Ubuntu. C’est donc censé être parfaitement bien supporté, et être commercialisable sans problème.







Cedrix a écrit :



Personnellement je n’y crois pas… Et meme si un jour Linux s’impose, combien à parier qu’un Microsoft/Amazon/Ubuntu sera derrière pour la puissance commerciale ? Et alors là, tes arguments de libriste voleront en éclat…







Personne n’a jamais dit le contraire. Il est bien évident que pour faire mieux que System76 et s’imposer auprès du grand public, il faudra un certain budget marketing. Mais que ce soit Ubuntu ou Microsoft Linux qui s’impose auprès des Michus, n’aura strictement aucune importance. Il existera toujours nombre de distributions communautaires, qui privilégieront le libre.


Le 27/04/2015 à 23h 27







Cedrix a écrit :



En lisant ces 11 pages de commentaires, on a compris pourquoi Linux ne sera jamais un OS grand public populaire…







Si GNU/Linux ne perce pas, c’est tout simplement parce qu’aux yeux des consommateurs, il n’existe pas. Quand un Michu souhaite acheter un ordinateur chez Carrefour, il ne voit que du Windows.



Les gens auront donc un système à base de Linux, quand un constructeur s’y intéressera. Ce qui est déjà le cas de Google avec Android ou ses ChromeBooks, tous deux basés sur du Linux. Comme quoi, ça ne dérange pas l’utilisateur de changer, à partir du moment où on lui vend un produit qui répond à son besoin.



Mais voilà, encore une fois, il faut avoir quelque chose à lui vendre.


Le 27/04/2015 à 18h 53







ledufakademy a écrit :



En dev : c simple le premier qui code est fait son POC (proof of concept) gagne !

C’est ainsi , à ce jeux le lobbying redhat à gagné .







Je ne suis pas d’accord. systemd n’a pas été le premier, et Red Hat avait même adopté upstart (le système d’init du concurrent Canonical) pour l’une de ses versions de RHEL.



Lennart a tout d’abord développé systemd en temps que projet personnel, a du faire face aux réticences de Red Hat, s’améliorer au fil des versions, pour finalement convaincre de plus en plus de distributions que sa solution était la meilleure, et d’être adoptée un peu partout.


Le 27/04/2015 à 17h 56







ledufakademy a écrit :



Et le truc très gênant c’est le spectre d’implication de systemd sur le système d’exploitation : les mainteneurs et dev. de KDE, XFCE etc pourront nous en parler plus en détail !







Billet de blog d’un développeur de KDE, qui explique tout ce que leur apporte systemd : How does systemd relate to Plasma?



ps: c’est Lennart Poettering, et non pas Leonard ;)


Le 30/04/2015 à 05h 04

Tu peux toujours faire un don pour que Christian Hergert ai encore plus de temps pour bosser sur Builder ;)

Le 28/04/2015 à 06h 01







SebGF a écrit :



UK, USA, Canada, Chine, Taïwan, Brésil, c’est lequel le paradis fiscal là dedans ?







Comme on parlait revenus, je faisais référence aux chiffres financiers. Ils sont basés sur l’Île de Man, qui est un paradis fiscal (mais bon, tu me diras, ils font comme tous les autres), et comme ils ne sont pas côtés en bourse, ils n’ont aucune obligation de publier quoi que ce soit.


Le 27/04/2015 à 22h 59







Konrad a écrit :



Entièrement d’accord. Vu que Canonical ne vend pas Ubuntu pour les particuliers, ça leur ferait une belle jambde d’avoir davantage de parts de marché mais ça ne leur rapporterait pas un kopec.







Comme ils sont très opaques, basés dans un paradis fiscal et j’en passe, nous n’avons aucun chiffre.



Maintenant, le marché du poste de travail ne se limite pas aux particuliers. De nombreuses entreprises peuvent souhaiter déployer un parc de machines sous Ubuntu, et prendre du support auprès de l’éditeur. Que ce soit pour des particuliers ou des entreprises, la distribution pour le poste de travail reste la même.



Tout comme il y a peut être des accords commerciaux entre Dell et Ubuntu, qui rapportent de l’argent à ce dernier, malgré la gratuité de la distribution.



Et pour conclure, que ça leur rapporte ou non, d’avoir de grandes parts de marché (que ce soit ou non chez les particuliers), donne plus de poids à la distribution et à son éditeur, qui peut ensuite plus facilement aller voir tel ou tel éditeur ou constructeur, tout en étant écouté avec sérieux.



Enfin bon, ça c’est dans la théorie. Dans la pratique, Red Hat fait énormément pour le libre et le desktop sous Linux, réussi à imposer qu’une machine ne soit certifiée Red Hat qu’à la condition de ne contenir que des drivers libres et j’en passe. Mais du côté de Canonical, leur contribution reste une grande blague XD



(ouais ouais, fallait bien que je troll un peu)


Le 27/04/2015 à 16h 47







Rozgann a écrit :



Corrige moi si je me trompe…







C’est le cas, et t’as du rater mon précédent post qui en parlait ;)


Le 27/04/2015 à 04h 00

Pour ceux qui seraient plutôt GNOME qu’Unity, je viens de publier un billet de blog sur Ubuntu GNOME 15.04.

Le 26/04/2015 à 20h 43

T’as oublié Sirius, le seul à être libre et à tourner sous Linux (si on fait abstraction du fait que Google Now est également sous Linux) <img data-src=" />

Le 26/04/2015 à 17h 55







freechelmi a écrit :



Dans gnome3 ? on peux rechercher fichiers et applications ( + autres ?)



J’ai très peu utilisé gnome3 mais oui ça m’avait paru assez rapide ( et pas pratique)







De mon côté, je connais très peu Unity, mais quand j’avais brièvement testé Ubuntu 14.04, je l’avais trouvé plutôt limité à ce niveau, avec des possibilités de recherche bien moins nombreuses et efficaces que ce que l’on peut trouver sous GNOME. Ce dernier permettant de faire des recherches d’applications, mais également :





  • les événements de l’agenda

  • des opérations arithmétiques

  • rechercher des caractères spéciaux par leur description Unicode (voir mon billet de blog à ce sujet)

  • ses contacts

  • toutes sortes de fichiers et documents

  • l’heure d’une ville

  • lors de la recherche d’un logiciel non installé, la logithèque propose ce qui est disponible dans les dépôts, ce qui permet d’installer rapidement ce dont on aurait besoin

  • ses machines virtuelles

  • la météo

  • ses mots de passe et autres clés

  • des notes

  • les commandes en cours dans un terminal

  • l’historique web du navigateur



    Et plus encore, avec certaines extensions et autres logiciels fournisseurs de contenus. Depuis le shell, on peut donc rapidement trouver et faire énormément de choses, et donc gagner du temps.


Le 26/04/2015 à 13h 43







gokudomatic a écrit :



La seule question reste de savoir quand tu devras tout réinstaller. Mageia a hérité de la tare d’archlinux d’avoir des updates pouvant casser le système. Sous arch, la question n’est pas de savoir si ton système va être foutu, mais quand il sera foutu.







Je suis sous Arch depuis un bout de temps, et je n’ai encore jamais rencontré le moindre souci. Bon, il est vrai, je n’utilise que des logiciels et drivers libres, ce qui aide un peu ;)



Mais à côté de ça, ça fait un certain temps que Arch ne propose plus directement les éléments à risque (kernel, systemd, environnements de bureau, bibliothèques importantes…) directement à l’utilisateur. Ça passe tout d’abord, plus ou moins longtemps, par un dépôt testing, et si tout est ok, ça passe ensuite dans stable.



Ensuite, tout dépend également de ta fréquence de mises à jour. Là encore, tu risques d’avoir bien moins de problèmes en les faisant quotidiennement ou de façon hebdomadaires, qu’en faisant une unique grosse mise à jour de plusieurs centaines de packages une fois tous les six mois. Mais dans ce cas, il n’y a plus grand intérêt à avoir une distro de type rolling release.



Enfin bon, tout ça pour dire que je suis un utilisateur pleinement satisfait de la stabilité de Arch. Tout en reconnaissant que ce n’est évidemment pas adapté à tout le monde.


Le 24/04/2015 à 17h 31

Dans les vraies distros, Arch a déjà gagné <img data-src=" />

Le 24/04/2015 à 16h 39







tazvld a écrit :



Par exemple, sans logiciel tiers, il est impossible de créer simplement et sans console une tâche régulière, obliger de passer par une ligne de commande pour éditer la crontab (et il faut donc savoir comment c’est codé) ou passer par un outils tiers. Sous windows, il suffit juste de trouver l’outil “Planificateur de tâches”.







Comme tu le signale, l’outil existe (bien que légèrement à l’abandon).



Maintenant, je ne connais pas du tout Ubuntu ou Unity, mais du côté de GNOME, il est vrai que nous n’avons pas un tel outil par défaut, et c’est dommage. Maintenant, c’est aux différentes distributions de le pré-installer, si elles pensent que ça peut être important pour leurs utilisateurs.


Le 24/04/2015 à 16h 06

Bof. Que ce soit Windows ou Ubuntu, le problème reste l’inertie des gens et de l’industrie, ainsi que le marketing que l’entreprise a les moyens de mettre.



De plus en plus de logiciels propriétaires disponibles sous Linux, ne sont généralement proposés que pour Ubuntu. Certains fabricants vont même jusqu’à faire l’amalgame entre Linux et Ubuntu. Dans les configurations requises pour ses jeux, Steam ne met également en avant qu’Ubuntu.



Et sur Next Inpact, bien que nettement plus ouverts vis-à-vis de Linux que leurs concurrents, les articles concernent majoritairement Ubuntu. On en a tout de même eu quelques uns concernant Mint ou Fedora, mais je ne vois rien concernant Manjaro ou elementary OS, qui plairait sans doute beaucoup plus à bien des gens, qu’Ubuntu avec le bureau Unity.



Tout ça fait qu’au final, à force d’entendre majoritairement parler d’Ubuntu, pour la plupart des gens, Linux = Ubuntu. C’est donc vers cette distribution que les gens vont se tourner, même s’ils pourraient trouver d’autres distributions / environnements de bureau, beaucoup plus adaptés à leurs besoins.

Le 16/04/2015 à 23h 38







Konrad a écrit :



Partout non, mais Linux est de loin le noyau qui supporte le plus d’architectures différentes : exemple de liste







J’avais lu que NetBSD supportait un poil plus d’architectures, mais j’ai la flemme de vérifier XD



Sinon, rien à voir, mais on parle de drivers libres et non Open Source (ce qui est encore autre chose, d’autant plus que certains programmes Open Source peuvent être non libres).


Le 11/04/2015 à 16h 18

Déjà, commencer par faire un backup (perso je backup tout, médias, base de données…). Ensuite, ils conseillent plutôt de faire des migrations incrémentales : passer de 3.5 à 3.7, puis de 3.7 à 3.9, et enfin, de 3.9 à 4.1



https://codex.wordpress.org/fr:Mettre_a_Jour_WordPress

https://codex.wordpress.org/Upgrading_WordPress_Extended#Upgrading_Across_Multip…

Le 30/03/2015 à 01h 08

En dehors du nouveau système de notifications, qui était l’un des gros point noir des versions précédentes, et qui est sans doute le changement le plus visible (la prochaine version devrait également inclure la météo, le rappel des anniversaires et sûrement tout un tas d’autres trucs), toutes les applications ont bénéficié d’ajouts plus ou moins conséquents.



J’ai tenté un récapitulatif dans un billet de blog (qui fut particulièrement long et chiant à préparer), mais j’ai sans doute oublié plein de choses. Puis comme indiqué dans l’intro, ça ne concerne que les ajouts, et non pas les centaines de correctifs.

Le 27/03/2015 à 17h 41







sr17 a écrit :



Le problème, c’est juste que le très grand public n’est pas encore utilisateur de Linux.



Pour l’instant, Linux est toujours une affaire d’utilisateurs chevronnés et de professionnels.







En Europe et aux États-Unis, je te l’accorde. Maintenant, Canonical et Dell se sont associés pour vendre des machines avec Ubuntu pré-installé, dans 850 points de vente en Inde, et 500 en Amérique du Sud.



En mars 2014, Ubuntu annonçait avoir plus de 22 millions d’utilisateurs.


Le 27/03/2015 à 14h 24







Konrad a écrit :



Tout à fait, d’ailleurs j’utilise KDE sur mon desktop parce que je le trouve complet et efficace (par ex. j’adore Kate qui affiche la liste des fichiers ouverts, tellement plus efficace que des onglets quand on a 30 ou 40 fichiers d’ouverts), personnalisable (avec un bon thème il est carrément classe)…







C’est également possible avec gedit (qui est utilisé par GNOME, Unity, Ozon, Budgie…). Suffit de faire F9 pour afficher le panneau latéral, qui te donne le choix entre le navigateur de fichiers (tous les fichiers d’un répertoire, par exemple), ou la liste des documents ouverts.



Sinon, la news n’en a pas parlé, mais nous avons une autre application en pré-version, l’IDE Builder, qui permet une recherche intelligente des fichiers, plutôt que d’avoir cinquante onglets. Ils avaient fait une vidéo de présentation, durant la campagne de dons.


Le 27/03/2015 à 14h 07







Naneday a écrit :



Le problème avec la team GNOME, c’est qu’ils n’écoutent pas ce dernier, et ca se sent







Faut se mettre à leur place. Ils ont une vision de ce que doit être un environnement de bureau simple et cohérent. Parfois, ils peuvent se tromper. À chaque nouvelle version de GNOME, certaines erreurs d’ergonomie sont corrigées. Signe que ce n’était donc pas parfait dès le départ.



Maintenant, s’ils se mettent à accepter les doléances de tous leurs utilisateurs, et sachant que chaque personne a des besoins différents, ça équivaudrait sans doute à recréer KDE, qui existe déjà.



Mais je reconnais qu’en tant qu’utilisateur de GNOME, j’ai parfois un peu de mal à comprendre certaines décisions.


Le 27/03/2015 à 14h 00

Non mais, encore une fois, tu es un utilisateur avancé, et pense en tant que tel. La cible de GNOME ne va pas ouvrir trente six bureaux virtuels. Tous les points que tu soulèves ne la concerne donc pas.



Pour Alt Tab, si je comprends bien ton souci, il existe une option.

Le 26/03/2015 à 22h 52

Il est clair que tu n’es pas la cible de GNOME 3, et qu’il ne te convient pas. Maintenant, quand j’entends les gens râler et se remémorer le bon temps de GNOME 2, j’ai surtout l’impression qu’ils sont persuadés que c’était « leur » projet, qu’il était à eux, et que personne n’aurait du y toucher sans leur consentement.



Et ben non, ce n’est pas comme ça que ça fonctionne. Celui qui décide, c’est celui qui code. Et les développeurs de GNOME ont pris leur décision. Libre ensuite à d’autres de forker pour créer MATE ou Cinnamon.



Maintenant, pour avoir lu la critique de patrick_g, je ne suis pas particulièrement convaincu. Par exemple, pour les bureaux virtuels, je ne passe jamais par le mode activités pour y accéder. J’ai un raccourci clavier ctrl-alt haut/bas que je trouve plus rapide. Ensuite, j’ai toujours détesté le masquage automatique du panel, et ne l’ai donc jamais activé du temps de GNOME 2. Au final, sa critique de plus d’une page, se limite quasiment à ça.



Notons également qu’à l’époque, ils étaient déjà nombreux à apprécier GNOME 3



https://linuxfr.org/users/patrick_g/journaux/l-ergonomie-de-gnome-3#comment-1411…

https://linuxfr.org/users/patrick_g/journaux/l-ergonomie-de-gnome-3#comment-1411…

https://linuxfr.org/users/patrick_g/journaux/l-ergonomie-de-gnome-3#comment-1411…



Et que la plupart des points négatifs qui avaient pu être soulevés à l’époque, ont depuis bien longtemps été corrigés. Ça ne m’étonnerai donc pas que ceux qui râlent encore aujourd’hui, ce sont limités à tester GNOME 3.0 à sa sortie il y a plus de quatre ans de ça, et n’ont jamais retenté depuis.

Le 26/03/2015 à 18h 55

J’ai surtout l’impression que certains tentent de retranscrire une situation typiquement propriétaire et capitaliste sur Linux. Contrairement à Apple ou Microsoft, les différents environnements de bureau libres ne cherchent pas à dominer le monde et conquérir les plus grosses parts de marché.



Ils ont une vision de ce que doit être un bon environnement à leurs yeux. Pour certains, ça sera de pouvoir tout faire et tout configurer dans les moindres détails. Pour d’autres, ça sera de proposer un environnement le plus léger et rapide possible. Pour d’autres encore, ça sera plutôt un environnement qui se veut simple et efficace. Et le fait de rechercher la simplicité, oblige de faire certains compromis.



Au final, ils se contentent de dire « voilà ce qu’on a à proposer ». Libre à l’utilisateur d’adhérer ou non, et de tester plusieurs environnements pour trouver celui qui lui convient le mieux.



Donc non, GNOME n’est pas mauvais. Il ne répond tout simplement pas aux besoins de certains, tandis qu’il sera parfait pour d’autres. La force de Linux, c’est tout de même le choix. Ça me rappel d’ailleurs l’un de mes récents billet de blog, écrit en réponse au test d’un journaliste windowsien qui n’aimait pas Linux, puisque il ne pouvait pas faire exactement les mêmes choses, et de la même façon, qu’il les aurait faites sous Windows.



Linux n’est-il réellement pas prêt pour le desktop ?

http://www.gnomelibre.fr/2015/03/linux-nest-il-reellement-pas-pret-pour-le-deskt…

Le 26/03/2015 à 18h 13

C’est déjà le cas. T’as les noms de projets pour les développeurs, mais dans l’interface, pour les utilisateurs, c’est Analyseur d’utilisation disque, Calculatrice, Capture d’écran, Cartes, Disques, Documents, Fichiers, Gestionnaire d’archives, Horloges, Météo, Musique, Vidéos, Visualiseur d’images, Web…



De plus, chaque programme se voit associé de nombreux mots clés (traduits dans chaque langue), ce qui permet de les retrouver facilement depuis la fonction recherche.

Le 26/03/2015 à 15h 43

Pendant longtemps, Nautilus a été laissé à l’abandon. Durant ce cycle, Red Hat a embauché un développeur pour bosser à temps plein dessus. Et au vu de la roadmap, il y a quelques bonnes choses qui se profilent



https://wiki.gnome.org/Apps/Nautilus/Roadmap

Le 26/03/2015 à 15h 35

Pas tout compris à l’histoire du patch, mais sous GNOME, c’est le composant gvfs qui permet aux différentes applications de pouvoir accéder, de façon transparente, à des partages SMB, FTP, SFTP, MTP, WebDAV… et depuis cette version, également NFS



https://git.gnome.org/browse/gvfs/tree/NEWS



Faut remonter jusqu’à la version 1.23.1, pour voir toutes les nouveautés de ce cycle.

Le 27/03/2015 à 19h 05

(la flemme de lire les 29 pages pour vérifier si on t’a ou non déjà répondu)



Tu devrais basculer sur mpv, fork actif de mplayer, ce dernier étant plutôt au point mort. Et plutôt que de devoir préciser le plugin de sortie à chaque fois que tu souhaites lire une vidéo, tu devrais éditer /etc/mpv/mpv.conf pour y ajouter ao=pulse



ps: désolé, pas pu m’en empêcher <img data-src=" />

Le 24/03/2015 à 11h 32

Ça me rappel un strip. Pourquoi si cher ?

Le 02/03/2015 à 21h 25

En tant que power user, ça ne serait pas plus rapide de taper les premières lettres de ton appli dans les boîtes de recherche GNOME / Unity, whatever, plutôt que de parcourir un menu démarrer pour trouver où cliquer ?



Par exemple, sous GNOME, il y a de grosses icônes pour lister aux débutants les différentes applications installées, mais si je dois lancer une application que je n’utilise pas souvent, par exemple l’ « analyseur d’utilisation des disques » (baobab, de son petit nom, mais il faut le savoir), j’ai plus vite fait de taper l’un des nombreux mots clés associés (stockage, espace disque, nettoyage…) pour le trouver et le lancer.

Le 27/02/2015 à 19h 36







seb2411 a écrit :



Par exemple D-Bus c’est un projet de la Freedesktop fondation, Udev c’est maintenu par un dev de la Linux Fondation…







udev est développé par Kay Sievers, qui est employé par Red Hat.



D-Bus, bien qu’hébergé sur FreeDesktop (tout comme systemd et de nombreux autres projets), a tout d’abord été créé par Red Hat, qui emploie la plupart des développeurs clé (John Palmeri, Colin Walters…)



Après, bien sûr, Red Hat ne fait pas tout. La communauté, ainsi que plusieurs centaines d’entreprises contribuent désormais au libre. Il n’en demeure pas moins que la contribution de Red Hat est cruciale, tandis que celle de Canonical est complètement insignifiante. Et non, Mir ou Unity n’ont strictement aucune importance. Ce sont juste des choix possibles en plus.



Si Red Hat disparaissait demain, le développement de Linux et du desktop seraient sérieusement freinés. Si Canonical disparaissait demain, ça n’aurait aucune importance. Plein d’autres distributions prendraient sa place.


Le 27/02/2015 à 18h 37







Bylon a écrit :



Ce qu’Ubuntu a apporté c’est que Monsieur tout le monde, pour peu d’y mettre un peu du sien et de n’être pas complètement sclérosé, pouvait l’installer et l’utiliser sans souci.







Ça a le don de me filer des boutons, quand je lis ça. Toutes les technologies qui font que Linux est désormais facilement utilisable par n’importe qui (NetworkManager, PulseAudio, D-Bus, DeviceKit, udev, systemd…) ont toutes été développées par Red Hat.



Canonical s’est contenté d’arriver, de prendre une Debian, de distribuer quelques CD et de faire pas mal de marketing. Donc oui, on peut les « remercier » pour la promotion, mais ne surtout pas oublier qu’ils n’en seraient pas là sans tout le travail accompli par Red Hat, Debian et compagnie.


Le 20/02/2015 à 12h 59

Je n’ai rien compris, ni à ton histoire d’hypocrites, ni à ton screen. Qu’est-ce qu’on est censé voir de spécial ? PRiDEHD étant une team scene, il est normal de retrouver leurs releases un peu partout. Même chose pour SRiZ, iWire ou CiTRON, si on reprend les autres teams présentes sur ton screen.

Le 20/02/2015 à 12h 52

Que ce soit GKS ou FTDB (ou ton histoire de Kiwi, comme on peut le constater dans la colonne de gauche), les dons n’étaient possibles que durant quelques jours chaque mois, le temps d’atteindre la somme demandée. Comme ce sont des petits trackers (rien de comparable à t411 ou The Pirate Bay), quelques serveurs suffisent (pour la base de données, le front-end web…), voir également pour la protection anti-DDoS.



Ça tourne autour des 600 euros mensuels. On ne demande que ce qui est nécessaire, et ça part aussitôt dans le paiement de l’hébergeur. Il n’y a pas de complot, et encore moins de fortunes engrangées pour aller se payer une retraite dorée au soleil.



Ensuite, peu importe le tracker, l’admin ne doit rien à sa communauté. Ce n’est pas cette dernière qui prend le moindre risque pénal. Ce n’est pas elle qui stress de voir un jour les flics débarquer à six heures du mat. Ce n’est pas non plus cette dernière qui travaille bénévolement à la gestion du site. Tout comme elle n’a pas non plus payé pour s’inscrire.



Et maintenant, si toi aussi tu veux mon avis, ça sent la personne qui s’est fait bannir, ou qui a fait un don peut de temps avant l’annonce de la fermeture, et qui l’a mauvaise.

Le 20/02/2015 à 12h 31

Le dealer s’enrichit en détruisant des vies.



Là, on parle de l’administrateur d’un tracker privé, sans pubs, qui sortait de l’argent de sa poche pour faire tourner le site quand les dons n’étaient pas suffisants, et qui l’a fait uniquement par amour du partage, puisque il devait sans doute considérer que la culture doit être accessible au plus grand nombre.



Ça fait un peu bisounours dit comme ça, mais faut arrêter de croire que tous les sites de partage ne sont opérés que par des réseaux mafieux, qui le font dans l’unique but de se remplir les poches.



Alors oui, bien sûr, il a enfreint la loi, et il a pris cher. Pas la peine de l’insulter et de le comparer à des monstres.

Le 19/02/2015 à 07h 26

Aucune idée de la façon dont ils gèrent ça sur t411, mais sur FrenchTorrentDB, la triche au ratio est rapidement détectée, ce qui entraîne un ban du site. J’imagine qu’il en va de même sur tous les vrais trackers privés de qualité.