Okki
est avec nous depuis le 11 novembre 2009 ❤️
Linuxien depuis 1996, actuellement sous Fedora avec l'environnement de bureau GNOME.
I ❤️ systemd, Flatpak, PipeWire, Wayland… et toutes les nouveautés qui font hérisser le poil des grincheux (sauf si ça vient de Canonical 😝)
1318 commentaires
Noyau Linux 4.4 : de multiples améliorations et corrections en approche
23/11/2015
Le 23/11/2015 à 17h 47
La situation n’a strictement rien à voir. Sous Windows, de base, il s’agit effectivement de pilotes génériques. Mais à côté de ça, les constructeurs fournissent des pilotes complets (mais propriétaires) qu’ils développent eux-mêmes. L’utilisateur peut donc installer ces derniers pour jouir d’une meilleure expérience.
En ce qui concerne Linux, ces mêmes constructeurs ne s’y intéressant généralement pas (il existe tout de même quelques exceptions bienvenues, comme Intel), c’est à la communauté de se débrouiller par elle-même. On tente donc de fournir de base les meilleurs pilotes possibles, puisque il n’y a généralement pas d’autres pilotes fournis à côté (et que nombre d’utilisateurs ne souhaiteraient pas s’emmerder avec des pilotes comme sous Windows).
Les pilotes de cartes graphiques sont plutôt une exception. La carte graphique est, de loin, l’élément le plus complexe de nos machines. Développer des pilotes libres par rétro-ingénierie est un travail de titan. Et pour le reste des pilotes propriétaires (typiquement le cas de certains chipsets Wi-Fi), en général il n’existe pas de pilote libre, et c’est donc ça ou rien.
Le 23/11/2015 à 16h 25
Pour faire quoi ? Avec des distributions comme Manjaro ou Mint, installer le pilote nVidia se fait en deux cliques de souris, et ça se met à jour tout seul par la suite.
En dehors des pilotes graphiques propriétaires, le reste des pilotes (audio, contrôleurs…) sont généralement fournis de base avec le noyau. C’est donc encore plus simple que sous Windows, puisque l’utilisateur n’a rien à installer, et qu’il suffit de mettre à jour le noyau pour mettre à jour quasiment tous les pilotes.
Le 23/11/2015 à 15h 19
Les correctifs sont rétroportés. Même si la version ne change pas, tant qu’il applique bien les mises à jour proposées par sa distribution, tout va bien.
C’est issu de la FAQ sécurité de Debian, mais comme c’est repris par Ubuntu, elle-même reprise par Mint, c’est du pareil au même " />
Le 23/11/2015 à 15h 11
Si tout fonctionne bien chez toi, il n’y a aucun intérêt à changer. Maintenant, si le support de ton matériel n’est pas parfait, de mettre à jour le noyau mettra également à jour la plupart des pilotes, ce qui pourrait éventuellement améliorer la situation.
En passant, Linux Mint 17.3 ne devrait plus trop tarder à sortir.
SteamOS 2.0 : un premier test annonce des performances en deçà de Windows 10
16/11/2015
Le 19/11/2015 à 05h 46
Le 18/11/2015 à 10h 49
Le 18/11/2015 à 02h 17
Le 17/11/2015 à 20h 38
Je trouve les distributions GNU/Linux bien différentes de Windows sur ce point. Là où Windows sera, à peu de choses près, le même pour tous, chaque distribution GNU/Linux est différente et s’adresse à un public différent.
Si on met de côté les distributions spécialisées pour se concentrer sur les généralistes, j’y vois trois grosses familles :
Après, bien évidemment, il y a d’autres questions à prendre en compte, comme l’évolution de la distribution dans le temps et la durée de sa prise en charge. Dans le cas de Manjaro, c’est une rolling release, ce qui signifie qu’on bénéficie régulièrement de mises à jour pour toujours bénéficier des dernières versions. Certains préfèrent, quand d’autres sont exaspérés par le nombre de mises à jour et la possibilité qu’un problème puisse plus facilement survenir. À l’inverse, avec une Debian ou une Ubuntu LTS, on a droit à une certaine tranquillité durant plusieurs années. Mais en contrepartie, il faut faire avec des logiciels un tantinet plus vieux:)
Le choix d’une distribution demande donc une certaine réflexion.
Le 17/11/2015 à 01h 07
Le 17/11/2015 à 00h 56
Le 16/11/2015 à 19h 37
Le 16/11/2015 à 17h 45
Le 16/11/2015 à 16h 50
Le 16/11/2015 à 16h 25
Le 16/11/2015 à 15h 52
Le 16/11/2015 à 15h 24
Comme ça tu pourras nous dire si t’obtiens les mêmes écarts que Phoronix, qui a fait ses tests sous Ubuntu.
NVIDIA OpenGL: Windows 10 Pro vs. Ubuntu Linux Benchmarks
On notera tout de même que pour un certain nombre d’entre eux, ils obtiennent de meilleures performances que sous Windows 10.
Le 16/11/2015 à 15h 11
La version Linux de Firefox 43 s’appuiera sur FFmpeg
18/11/2015
Le 18/11/2015 à 12h 02
Le 18/11/2015 à 12h 01
Le 18/11/2015 à 08h 49
Bien que ce soit le framework multimédia officiel du projet GNOME, GStreamer est multi-plateforme. On le retrouve aussi bien sous Windows et OS X, que sous Android et iOS.
Et lors de la dernière conférence qui s’est tenue en octobre dernier, on a vu de nombreux intervenants issus de nombreuses entreprises : Samsung, Texas Instruments, Ubicast, Red Hat, Collabora, Igalia… Tout comme on retrouvait également Google en tant que principal sponsor. C’est donc loin d’intéresser uniquement GNOME.
Le 18/11/2015 à 08h 17
Mouais. La liste contenant des bugs datant de 2012, il faudrait voir s’ils n’ont pas été corrigés entre temps. La version 1.6 de GStreamer sortie en septembre dernier en corrigeant par exemple plus de 1400.
Google Maps : jusqu’à 1 To de stockage offert sur Drive avec Local Guides
16/11/2015
Le 16/11/2015 à 15h 18
Tu pourrais également choisir de privilégier OpenStreetMap en tant que bien commun.
Le gouvernement refuse de donner la priorité aux logiciels libres
11/11/2015
Le 15/11/2015 à 17h 08
Le 15/11/2015 à 16h 09
Faudrait voir s’il existe une quelconque jurisprudence à ce sujet, mais je ne suis pas particulièrement convaincu. Ça s’adresse surtout au droit d’auteur traditionnel. Si on prend les licences libres, elles sont par exemple non révocables (par rapport à ton droit de retrait ou de repentir).
L’auteur peut très bien changer la licence après coup, mais ça ne concernera que les futures versions. Les précédentes resteront à jamais sous licence libre. Dans le cas des Creative Commons, en cas de changement de licence pour quelque chose de non libre, Wikimedia se contente de signaler que l’auteur a décidé de changer après coup, mais que ça restera libre sur Wikimedia Commons.
Pour le côté inaliénable, les licences BSD demandaient autrefois à ce que la paternité soit toujours indiquée. Mais par la suite, il y a eu de nouvelles versions de la licence où ce n’était même plus une obligation.
Donc ouais, peut être qu’en France on est plus chiant que la moyenne, mais comme tu le dis, ce n’est clairement pas valable partout.
Le 15/11/2015 à 00h 44
Le 14/11/2015 à 19h 43
Le 12/11/2015 à 23h 48
Le 12/11/2015 à 19h 33
Le 12/11/2015 à 19h 26
Le 12/11/2015 à 10h 49
Le 12/11/2015 à 10h 38
Le 12/11/2015 à 01h 06
Le 11/11/2015 à 23h 52
Le 11/11/2015 à 20h 42
Le 11/11/2015 à 19h 44
Le 11/11/2015 à 18h 17
Le 11/11/2015 à 17h 32
Le 11/11/2015 à 17h 16
Le 11/11/2015 à 16h 51
Le 11/11/2015 à 15h 47
Le 11/11/2015 à 15h 23
Le 11/11/2015 à 11h 45
Le 11/11/2015 à 11h 38
Microsoft : 83 millions d’euros pour la French Tech et l’Éducation nationale
09/11/2015
Le 14/11/2015 à 21h 53
Il y a quelques mois, il y avait eu une excellente réponse d’un fonctionnaire décisionnaire à ce sujet.
Le 11/11/2015 à 17h 58
Le 10/11/2015 à 22h 37
Des Steam Machines chez Alienware et Materiel.net, dès 599 euros
13/11/2015
Le 14/11/2015 à 19h 19
Le 13/11/2015 à 17h 12
Le 13/11/2015 à 13h 10
Le catalogue Steam et la qualité d’un même titre également dispo sur console n’est pas pas forcément le même. On peut donc penser que certains préfèrent le catalogue et le rendu PC.
Maintenant, je pense qu’il faut voir les SteamBox différemment (ce n’est qu’un nom commercial avec un cahier des charges à respecter). En gros, plutôt que de s’embêter à trouver un PC sans Windows pour ne pas dépenser de l’argent inutilement, installer soit-même SteamOS et je ne sais trop quoi d’autre, la personne intéressée a juste à chercher SteamBox dans le catalogue pour obtenir un produit fini sans avoir à s’emmerder.
Alors oui, ce n’est qu’un PC, mais de nos jours, ce qui est important pour les gens, c’est surtout le côté « ne pas avoir à s’emmerder » qui prime. T’achètes, tu branches, ça fonctionne.
Le 13/11/2015 à 12h 53
Au delà du nombre de jeux (on vient d’ailleurs de franchir la barre des 1600 titres), je pense qu’il y a deux points importants à relever. Le premier, c’est que huit des dix jeux les plus populaires sur Steam sont également dispos sous Linux. Le second, c’est qu’on commence à voir arriver des jeux qui sortent désormais simultanément sur toutes les plate-formes, comme Football Manager 2016, qui vient de sortir aujourd’hui.
Sinon, dans les sorties à venir, je remarque tout de même un certain nombre de gros titres : Saints Row IV, Total War: ROME II - Emperor Edition, RollerCoaster Tycoon World, GRID Autosport, Duke Nukem: Manhattan Project, XCOM 2, Batman: Arkham Knight, Payday 2, Project CARS…