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85 commentaires

Pourquoi la CJUE a validé la taxe France Télévisions sur les FAI

Le 27/06/2013 à 11h 40






Maywen a écrit :

Et avec une “contribution” de 0,9 %, on se demande pourquoi l’on est passé de 30 € à 33 € par mois… <img data-src=" />

Ou alors, j’ai oublié une taxe dans le calcul <img data-src=" /> <img data-src=" />


Le passage de 30 à 33€ est dû à l’augmentation de la TVA sur le service TV fournit avec les box.



Les petites hypocrisies d’Aurélie Filippetti sur Hadopi

Le 05/06/2013 à 13h 50






eliumnick a écrit :

Si il n’y a ni porte ni vigile bon courage le magasin pour justifier le vol…

Et oui, dans la vie réel, si tu ne te protèges pas tu n’es pas couvert.



Heu pas couvert par ton assurance… ça change pas que c’est du vol…



Le 05/06/2013 à 11h 29






ze_fly a écrit :

Ah donc si j’arrive a copié un morceau de barback no problem si je zappe le passage en caisse? <img data-src=" />

“Non mais comprenez moi M.Le Vigile, c’est pas du vol c’est de la copie!”

C’est une excuse bidon. Si tu profites d’un bien que tu as acquis de manière illégal c’est du vol. Que la personne volé dispose encore du bien ou non. L’hypocrisie du “non mais c’est de la contrefaçon, et puis c’est pas des pertes puisque j’aurai pas acheté”.

Cette gonflance là <img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />



Perdu:

Le vol est la soustraction frauduleuse de la chose d’autrui.

Article 311-1 du Code Pénal


Pour qu’il y ait soustraction, il faut que la personne volée ne dispose plus du bien. Sinon c’est pas du vol. <img data-src=" />

C’est d’ailleurs pour ça que quand les ayants droits poursuive quelqu’un un justice, c’est pour contre-façon pas pour vol.



Obama veut affaiblir les « patent trolls » via une série de mesures

Le 04/06/2013 à 12h 39






sylware a écrit :

En aucun cas il s’agit d’empêcher à d’autres avec la même intelligence et suffisamment de capacités, d’atteindre le même résultat (en gros, faire leur R&D à eux). Si on souhaite ne pas se taper la R&D et arriver au même résultat, des accords avec ceux qui ont fait la R&D seraient largement suffisants.


Le but des brevets à la base c’est le partage de la connaissance, c’est un accord entre un inventeur et la société : l’inventeur dévoile son invention au public en échange de quoi il a l’exclusivité sur son invention pendant un temps donné.
Au final les connaissances de tout le monde augmentent et les inventeurs peuvent quand même rentabiliser leurs inventions pendant un certain temps.

Supprimer les brevets et mettre en place le système que tu décris (si B veut utiliser l’invention de A, elle doit passer un accord avec ou faire sa propre R&D), alors la seule option viable pour les inventeurs est de garder les cœurs des inventions secrets (Tant que le secret n’est pas découvert, l’inventeur a une jouissance complète et perpétuelle de l’invention).



Le ministère de la Culture s’intéresse au marché de l’occasion numérique

Le 04/06/2013 à 12h 17






Natsume a écrit :

Je me fais la meme réflexion en fait.

Nous sommes dans le domaine numérique. Il n’y a pas d’usure d’un produit physique. Pas de cession de matériel lors de la vente. Pas de 1ere ni 2e main. Que de la copie sans perte.

De ce point de vue, il ne devrait meme pas y avoir de concept de “vente d’occasion”
Et d’ailleurs même, à quoi correspond la notion de “1ere vente” en numérique ?

Autant dans le domaine des ventes physiques je peux comprendre.
Autant dans le domaine numérique, j’aimerais qu’on me précise ce qui est vendu avant de me prononcer.



+1, il faut savoir ce qui est vendu pour savoir ce qu’on peut en faire.

Et en ce qui concerne la musique numérique, il me semble que ce qui est vendu n’est pas le fichier, mais un droit de copie du fichier. Quand Mr X paie 1€ à Apple, Apple laisse Mr X réaliser une copie du fichier original présent sur les serveurs d’iTunes. Du coup Mr X a obtenu légalement (la copie est réalisée en accord avec les ayants droits, accords Apple/Universal & co) un fichier audio et peut donc l’utiliser pour son usage personnel (écoute, copie privée, …). Mais il ne peut pas revendre ce fichier, car tout ce qu’il peut faire c’est fournir une copie de son fichier, or cette copie n’est pas autorisée par les ayant droits, donc illégale (contre-façon).

Ce problème n’existait pas sur les support physique, puisque quand on revend un CD on revend la copie originale ( on ne crée pas une nouvelle copie).

Pour les logiciels c’est encore différent puisque ce qui est acheté est une licence d’utilisation, le logiciel fourni n’est que le moyen d’exploitation de cette licence. Donc lorsqu’on revend un logiciel, on revend la licence. Et c’est là que le jugement de la CJUE est intéressant, c’est qu’il dit qu’à partir du moment où la licence a été vendue, peut importe les conditions et clauses de celle-ci, celui qui possède cette licence peut en faire ce qu’il veut et surtout la revendre à qui bon lui semble.



Xbox One : « l'Europe est un marché critique » pour Microsoft

Le 24/05/2013 à 13h 28






Jed08 a écrit :

C’est tout réfléchis je crois :)
http://www.mcvuk.com/news/read/publishers-to-receive-cut-of-xbox-one-pre-owned-s…



Ca reste illégal:



lorsque le titulaire du droit d’auteur met à la disposition de son client une copie – qu’elle soit matérielle ou immatérielle – et conclut en même temps, contre paiement d’un prix, un contrat de licence accordant au client le droit d’utiliser cette copie pour une durée illimitée, ce titulaire vend cette copie au client et épuise ainsi son droit exclusif de distribution. En effet, une telle transaction implique le transfert du droit de propriété de cette copie. Dès lors, même si le contrat de licence interdit une cession ultérieure, le titulaire du droit ne peut plus s’opposer à la revente de cette copie.

.



Le 24/05/2013 à 13h 17

Si l’Europe est un marché critique pour Microsoft, ils feraient bien de lire le jugement de la CJUE :
Anglaishttp://curia.europa.eu/jcms/upload/docs/application/pdf/2012-07/cp120094en.pdf
Françaishttp://curia.europa.eu/jcms/upload/docs/application/pdf/2012-07/cp120094fr.pdf

Et de réfléchir à leur politique sur l’occasion <img data-src=" />


« Dans le numérique, il n'y a (pas) que des geeks » dit-on aux jeunes filles

Le 30/04/2013 à 09h 02






mightmagic a écrit :

Je pense que tu sais très bien que si un mot a une origine, c’est que le sens en découle et garde un lien.
Le terme geek a une connotation devenue plus positive mais à l’origine c’était plus négatif.



Le lien entre geek et fou, ne s’expliquerait-il pas simplement par le faite qu’une passion peut s’apparenter à de la folie pour les non passionnés ?
Par exemple, quand on parle de folie et de passion amoureuses ?



mightmagic a écrit :

Même si on regarde la définition du site, il y aurait pas beaucoup de geek car 90% des geeks qui courent acheter le dernier iphone ou assimilés doivent être tout sauf pointu en informatique.



Et là tu confonds geeks et technophiles


La différence entre « Geek » et « technophile » est simple, puisque radicale : le technophile est simplement celui qui apprécie l’usage d’un téléphone portable, d’un ordinateur, d’Internet, en bref, des nouvelles techniques (à la différence du power user qui utilise les fonctions avancées de ces appareils). Or, si tous les Geek ou presque sont technophiles, un utilisateur de téléphone portable n’est pas nécessairement un Geek.

Cf http://fr.wikipedia.org/wiki/Geek#Confusions



Le 30/04/2013 à 08h 48






mightmagic a écrit :

http://fr.wiktionary.org/wiki/geek

Fou ou pas, ça reste de toute façon péjoratif et tout sauf positif.
ëtre traité de fou est aussi pire qu’être traité d’imbécile. Avec” pas très futé” j’étais gentil sur l’origine.

Même si le mot geek a pris une connotation positive entre temps, cela reste négatif même si moins pire comme nolife, nerd et autres qualificatifs encore plus péjoratifs.



Déjà il ne faut pas confondre origine et sens d’un mot. C’est pas parce que “geek” vient de “geck” qui veut dire fou, que geek veut dire fou.

Ensuite puisque tu sites wikipedia, je t’encourage à lire les premières phrases:


Geek (/gik/), parfois francisé en « guik » est un terme d’argot américain, qui désigne une personne extrêmement pointue dans un domaine précis (souvent lié aux nouvelles technologies). Du fait de ses connaissances pointues, le geek est parfois perçu comme trop cérébral.

Un geek est donc un passionné, pointu dans son domaine qui peut être perçu comme trop réfléchi/intelligent.

On est à l’opposé du “pas très futé”



L'avis du CNNum « n’apporte rien par rapport au corpus législatif actuel »

Le 15/03/2013 à 09h 21






yvan a écrit :

Ben si les prix pouvaient baisser en faisant payer les vendeurs de pubs pour les tuayux perso je suis preneur.


<img data-src=" /> C’est pas comme ça que ça fonctionne. Et ce que tu acceptes à bras ouverts va à l’opposé de la neutralité du net : si les fournisseurs de contenus (ou du pub) doivent financer les tuyaux des FAI, plus personne ne pourra monter une PME innovante sur le web ou internet parce que les frais pour accéder au marcher seront trop élevés (coût des tuyaux).

De manière générale si on veut un Internet neutre, il faut séparer le plu possible fournisseurs de contenus et FAI. Si il y a des liens entre les 2 (de quelque nature que ce soit), on va rapidement avoir des FAI qui privilégieront un fournisseur de contenu A par rapport à B.



yvan a écrit :

La comparaison avec la presse est foireuse parce que les FAIs n’ont absolument aucun besoin de référencement.


Je parlais pas du référencement en particulier, mais les FAI ont besoin des fournisseurs de contenus: pas de contenus sur Internet = pas d’abonnés.
(on va pas payer un abonnement pour avoir des erreurs 404 ^^)



Le 14/03/2013 à 15h 18






yvan a écrit :

Ben justement, prenons le cas le plus connu actuellement : free VS youtube/google, free refuse de payer un service que google monaye, là ça voudrait dire que free serait dans l’incapacité de ‘négocier’ et devrait payer le peering sous peine de prendre une amende?



Il me semble que le problème est plutôt dans l’autre sens: Free (et les autres FAI) demandent à Google (&co) de cofinancer les tuyaux, sous prétexte que les tuyaux servent pour faire passer leurs contenus. Alors que les FAI sont déjà payés par leurs abonnés et que Google paie déjà les tuyaux jusqu’aux nœuds d’interconnexion.

EDIT: un peu comme la presse qui demande a être payée par Google alors que celui-ci lui fournit un service (indexation, visibilité, etc)



Londres : une impressionnante photo panoramique de... 320 gigapixels

Le 21/02/2013 à 10h 36


Si cette image devait être imprimée sur papier, il faudrait une feuille de 24 x 98 mètres.


<img data-src=" /> ça s’imprime sur n’importe quelle taille de papier, le dpi ça se fixe à l’impression


Les ventes de PC s'écroulent en France, le grand public principal fautif

Le 19/02/2013 à 10h 59






ldesnogu a écrit :

On peut tourner autant qu’on veut, ptet que pour les jeunes qui sont nes avec MS et les compatibles IBM, PC = x86, pour moi, c’est n’importe quoi et ca redefinit un terme qui est beaucoup plus general.



<img data-src=" /> “PC” a été redéfinit de “Personal Computer” à “Compatible PC”

Et l’usage commun semble être que les PC sont une sous catégorie des ordinateurs personnels, bien que ça en soit la traduction littéraire. D’ailleurs on parle d’architecture PC, ce qui n’aurait pas de sens si on utilise ta définition.

Là où la confusion s’installe c’est que comme les PC (au sens Compatible PC) représentaient ~100% des ordinateurs grand public, celui-ci tend à reprendre ta définition. Si on ajoute le fait que les CPU PowerPC ne sont pas compatibles PC, que Apple oppose les Mac aux PC (pourtant avec une architecture PC), c’est un peu le bordel <img data-src=" />



Le 19/02/2013 à 09h 49






ldesnogu a écrit :

Tu peux tourner autant que tu veux autour de tes definitions persos, il y a surement une difference entre toi et moi : j’utilisais deja des ordinateurs avant l’IBM PC, et le terme PC, ordinateur individuel, etc. existait deja. Mais tu es libre de t’enfermer dans ta vision revisionniste si elle te fait te sentir mieux <img data-src=" />




C’est pas ma vision, mais un usage commun qui s’est implanté depuis la sortie de l’IBM PC.

Déjà tu sembles mettre dans la même catégorie plusieurs termes ( PC, ordinateur individuel, ordinateur personnel, etc.). Alors que je parle seulement du terme “PC”.

Ensuite je ne nie pas que le terme de “personal computer” ait été utilisé avant la sortie de l’IBM PC et qu’IBM n’ait fait que reprendre ce terme pour nommer leur produit. Par contre, c’est un fait que depuis, quand quelqu’un dit “PC”, pour la majorité des gens cela signifie “Compatible PC”.

Et pour illustré ce que je dis :


On utilise alors le sigle PC par opposition aux autres ordinateurs personnels qui ne sont pas compatibles avec ce premier PC : Apple Macintosh, Amiga, Commodore 64, Sinclair, Tandy, etc. Ainsi, la catégorie des ordinateurs personnels nommés PC n’est qu’un sous-ensemble des ordinateurs personnels.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Compatible_PC



Le 18/02/2013 à 16h 00






ldesnogu a écrit :

Si au lieu de taper IBM PC t’avais cherche Personal Computer tu aurais trouve ceci :http://en.wikipedia.org/wiki/Personal_computer

He oui IBM s’est contente d’utiliser un terme deja existant. Donc PC != x86.



Et si tu faisais un peux plus de recherches tu verrais qu’avant les IBM PC, on appelait ça des micro ordinateurs en général.

C’est suite à l’IBM PC et les ordinateurs “PC Compatible” (i.e. les PC), que le terme PC c’est démocratisé.
Et si maintenant les gens confondent ordinateur et PC, c’est parce que la majorité des ordinateurs visibles du grand public sont des PC.

Pour illustrer mon propos :


En 1981, IBM a produit l’IBM PC. Cet ordinateur personnel et ses descendants, les compatibles PC, ont progressivement dominé le marché, approchant les 100 %. Le dernier ordinateur personnel à occuper une place non négligeable dans le marché est le Macintosh d’Apple. Toutefois, la convergence croissante entre le matériel utilisé dans les Macintosh et celui utilisé dans les PC — allant jusqu’à l’adoption, à partir de 2006, de processeurs Intel par Apple — minimisent le fossé traditionnel entre les deux mondes. Les différences principales entre micro-ordinateurs porteront désormais essentiellement sur leurs systèmes d’exploitation.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Ordinateur_personnel#Historique_et_.C3.A9volutions


Ce passage montre bien qu’il y avait une différence entre Mac et PC jusqu’à ce que les Mac utilisent des CPU Intel. Maintenant les Mac sont des PC (faut pas le dire trop fort).
Et attention a ne pas confondre PC et “ordinateur personnel” dans la phrase en gras, l’un n’est pas la traduction de l’autre.



Le 18/02/2013 à 15h 46






Choub a écrit :

Gros malin, un Mac c’est un PC :)



Bah oui un Mac depuis l’adoption de l’architecture Intel, c’est un PC. J’ai jamais dis le contraire.



Le 15/02/2013 à 16h 22






mukumi a écrit :

Faut déjà s’accorder sur la définition de PC. Moi je trouve qu’un Smartphone peut être considéré comme un PC ultranomade.




http://fr.wikipedia.org/wiki/IBM_PC

La définition d’un PC est assez précise. Et si le CPU n’est pas x86 (ou AMD64 maintenant), on appelle pas ça un PC.

Donc un smartphone est un ordinateur ultra portable (CPU ARM en général), mais pas un PC.



Le 15/02/2013 à 16h 06






Lennart a écrit :

Le marché du Personal Computer ne s’écroule pas puisque les tablettes et smartphones sont des Personal Computers ultra nomades, c’est le marché du desktop qui s’écroule.





Enyths a écrit :

<img data-src=" />
Les ordinateurs de bureau sont essentiellement des PC, c’est contradictoire comme phrase.



C’est surtout contradictoire du fait que les smartphones et tablettes ne sont pas des “Personal Computers ultra nomades” (à l’exception des tablettes Win8 x86).



+30 % de copie privée sur les disques durs externes de 1 To

Le 12/02/2013 à 10h 59






Platoun a écrit :

1 Tio c’est pas 1024 Go, c’est plus que ça <img data-src=" />
C’est vrai que c’est débile (et sans doute illégal de leur part) de considérer un disque de 1024 Go comme étant dans la tranche inférieur ou égal à 1000 Go.

Et PCI oublie évidemment de dire que leurs calculs bizarre font baisser la taxe pour tout ce qui n’est pas à 1024 Go… Ça existe des disques durs avec une capacité affichée de 1024 Go ?


Les disques dur d’1To ils étaient dans quelle tranche avant cette note ?


<img data-src=" />
Je me suis fait avoir.
Bien entendu: 1 Tio = 1024 Gio



Le 12/02/2013 à 09h 46






Khalev a écrit :

Parce que les fabriquant considère qu’un Go c’est 1000Mo alors que le système d’exploitation Windows considère qu’un Go c’est 1024 Mo?
Pour l’article je trouve justifiable selon le S.I. de dire qu’1 To c’est 1000 Go, mais dire que 1024 Go c’est 1000 Go c’est du grand foutage de gueule.



<img data-src=" />

Les autres OS, en particulier Linux affichent des kio, Mio, Gio, Tio, etc.



Le 12/02/2013 à 09h 44


« Un disque dur externe affichant une capacité de « 1 To » ou de « 1024 Go » sera comptabilisé par COPIE FRANCE à hauteur de 1000 Go


Ca sert à quoi de faire des barème si c’est pour dire le contraire dans les notices ?




  • 1To =&gt; 1 000 Go =&gt; Tarif fixe de 20€

  • 1 Tio =&gt; 1 024 Go =&gt; Tarif au Go, car 1024&gt;1000


    Faudrait qu’ils apprennent à compter…

    Sinon, c’est normal que les SSD soient dans la même catégorie que les HDD externes et les NAS ?<img data-src=" />


Wine s'étend sur Android et attend l'offensive d'Intel

Le 04/02/2013 à 11h 16


Il ne faut cependant pas oublier qu’il s’agit d’un système reposant sur une architecture ARM. Si Wine n’est pas vraiment un émulateur, il existera dans tous les cas une perte de performances à cause de l’adaptation nécessaire d’un code conçu originellement pour fonctionner sur une plateforme x86.


<img data-src=" /> Ce passage laisse sous entendre que Wine permettra de faire tourner un exécutable Win32/x86 sur Android/ARM. A priori ce n’est pas le cas et ce n’est pas possible sauf à intégrer une émulateur x86/ARM.

Ce qui me semble plus plausible c’est que :




  • Sur un Android ARM Wine fera touner les appli Win32/ARM (Office)

  • Sur Android x86, Wine fera tourner les appli Win32/x86



Microsoft Surface : une plainte pour publicité mensongère sur l'espace libre

Le 15/11/2012 à 10h 21






Lafisk a écrit :

Euh t’es gentil je connais la différence, si avec un bac + 5 en informatique je sais pas ça …

mais n’empêche que l’utilisateur lambda qui achètes un disque d’une taille XXXGo et arrives chez lui et vois afficher une taille YYYGo d’ailleurs quand tu achètes y’a bien écrit “Go” “To” exemple totalement arbitraire

Donc t’achètes un disque 500Go et t’arrives chez toi tu as 4XXGo affichés … d’où pour moi la publicité “mensongère” l’utilisateur lambda n’a pas connaissance de ces formats et n’en a rien à secouer et il n’a pas à en avoir connaissances … quand tu vends 500Go, tu dois arriver chez toi et avoir 500Go affichés, ce qui n’est pas le cas le plupart du temps peu importe que le mec qui vend est voulu affiché dans tel ou tel format, à lui d’adapter son affichage sur l’emballage



Il n’y a pas de problème avec les emballages. Quand on te vend un DD avec 500Go sur l’emballage, tu as bien 500*10^9 octets.
Par contre quand tu le mets sur ton PC, Windows t’affiches 465 Go, alors que ce sont 465Gio (465*2^30). La faute revient donc à Windows (et tous les autres OS qui font la même erreur).
Dans tous les cas ce n’est pas au mec qui vendeur d’adapter son emballage à un outil de mesure(ton PC) qui ne fonctionne ma correctement.



Un cliché de 9 milliards de pixels cartographie le coeur de la Voie lactée

Le 25/10/2012 à 13h 10






GehNgiS a écrit :

Au Chili

http://fr.wikipedia.org/wiki/VISTA_%28t%C3%A9lescope%29




Le 25/10/2012 à 13h 04






caoua a écrit :

Une question con, mais ce cliché a été prit a quel endroit ?


Au Chili

http://fr.wikipedia.org/wiki/VISTA_%28t%C3%A9lescope%29



Le 25/10/2012 à 12h 56

Les serveurs saturent…
Ce serait bien si il existait une techno qui permettent l échange rapide de gros fichiers et où plus le nombre de demandeurs augmente plus la bande passante dispo augmentent…
Oh, wait!


Bruxelles donne un mois à Paris pour modifier le taux de TVA sur les ebooks

Le 25/10/2012 à 07h 49






Aegis1383 a écrit :

Mais… c’est complètement à côté de la plaque ! Ce qu’on paie, c’est le livre, pas le téléchargement ! Le téléchargement n’est qu’un moyen ici…

Si à la limite on parlait d’abonnement donnant accès à tous les livres… à la rigueur…

Là dessus, je rejoins Aurélie Filippetti… ou alors c’est moi qui comprends de travers ? <img data-src=" />



Je serais d’accord si l’achat d’un livre numérique aboutissait sur l’obtention d’un fichier sans drm. Dans les faits, quand on voit des sites comme Amazon qui proposent des livres avec des DRM qui ne peuvent pas être échangés et où Amazon s’octroie le droit de supprimer à distance n’importe quel livre de n’importe quel Kindle… ça ressemble beaucoup plus à un service qu’à un achat de livre.

Donc pourquoi pas une TVA à 19.6% pour les ebooks avec DRM et à 5.5% pour les ebooks sans DRM.



Une panne du service EC2 d'Amazon rappelle la « fragilité » du cloud

Le 23/10/2012 à 18h 17






peij a écrit :

Déjà, cette notion de minitel 2.0 pour le web, en partie causée par le cloud est un peu forte. La décentralisation d’internet, ce n’est pas uniquement le fait que chacun puisse héberger des choses chez soit, à sa façon, mais je vois plus ça comme le maillage du réseau qui ne s’articule autour d’aucun point central.
Amazon, Microsoft, Google, OVH, Amen, et autres, tous les hébergeurs pourraient tomber d’un coup d’un seul que le réseau fonctionnerait quand même, et je pense que c’est ça le plus important.



Perso, je pense plutôt que le fait de pouvoir heberger ses services chez soit et le fait que le réseau ne s’articule autour d’aucun point central sont 2 conséquences inséparables, de ce qu’est Internet.
En général les comparaisons web/minitel font plus référence au fait que dans le cas d’Internet l’intelligence est dans les postes qui se connectent au réseau. Or l’utilisation qui en est faite par les nouveaux services web met l’intelligence au centre du réseau dans des gros server, comme dans le cas du Minitel. Du coup effectivement la jour où Google plantera, Internet continuera de fonctionner, mais beaucoup de gens de sauront plus s’en servir. Par exemple tous les utilisateurs GMail n’auront plus d’accès à leurs emails. Alors que les protocoles emails sont conçus, tout comme Internet, de manière acentrés.



Le 23/10/2012 à 15h 03






Nathan1138 a écrit :

C’est déjà le cas.

Sérieusement, à quoi sert aujourd’hui un PC offline ?


Au moins autant qu’avant <img data-src=" />

Par contre il ne faut pas confondre un ordinateur online (exemple: Windows 7 avec une connexion ADSL) et un ordinateur où une connexion internet est nécessaire pour accéder aux programmes et fichiers (ChromeOS). Dans le 2ème cas tu es directement dépendant d’un fournisseur (ici Google) et ça se rapproche beaucoup plus d’un Minitel.



Le 23/10/2012 à 14h 56






Nathan1138 a écrit :

Ton serveur FTP qui lui-même ne sera pas à l’abri d’une panne de matos.

Et qui n’aura pas la même simplicité d’utilisation que Dropbox, son installation suivant / suivant / terminer avec un nom d’utilisateur et un mot de passe, et son fonctionnement transparent (j’entends par là “invisible”) qui convient probablement à 95 % des utilisateurs de ce type de service (dont moi).


Oui, mais encore une fois cela n’a rien à voir avec le cloud.

Tous les serveurs peuvent tomber en panne (et pas que les serveurs).

Et la facilité d’utilisation de Dropbox, vient de son client qui s’exécute sur ton ordinateur. Qui va en tâche de fond surveiller les ajouts/modifications de fichiers puis effectuer les tâches nécessaires (upload, download,…).
Le fait que les serveurs de Dropbox soient hébergés dans un structure de type cloud ou dans une structure classique est totalement invisible pour les utilisateurs de Dropbox.

En aucun cas la facilité d’utilisation de dropbox vient de l’utilisation du cloud. Idem pour tous les autres services grand public dit “cloud”: iCloud & co; de fait ses services méritent simplement le nom de stockage en ligne. Après que le serveur distant soit dans le cloud ou pas, aucune différence pour l’utilisateur final.



Le 23/10/2012 à 12h 46






Nathan1138 a écrit :

Ca dépend des systèmes. Les solutions de synchronisation type Dropbox, qui répliquent les données sur autant de disques durs qu’il y a de machines synchronisées au compte, portent en elle-même leur système de sauvegarde.

Bref, si demain Dropbox tombe, j’ai toujours les copies locales sur mon PC fixe, mon PC de bureau et mon PC portable…


Oui, mais le mécanisme que tu décris n’a rien à voir avec le fait que Dropbox utilise le cloud ou pas. Il est tout a fait possible de reproduire le même système avec un serveur FTP tout ce qu’il y a de plus basique.



Microsoft simplifie la licence d'utilisation de Windows 8

Le 22/08/2012 à 14h 06






after_burner a écrit :

Ça change quoi, si c’est un poste en entreprise tu peux mettre une licence boite, ou une PUL, ou une mise à jour si c’est un poste sous windows. <img data-src=" />

Ça me semble pas plus limité que ce qui ce fait maintenant je veux dire.


[quote:PCI]
Cette dernière, nommée en fait System Builder, est la vraie nouveauté. La version boîte classique disparaît, en même temps que son tarif jugé souvent prohibitif. Bien que le point du transfert de licence vers une nouvelle machine (qui était le point fort de la version boîte) ne soit toujours pas éclairci, Microsoft en simplifie le fonctionnement à travers une nouvelle appellation : la Personal Use License.[/quote]
Du coup comment fait une TPE (donc exit Windows 8 Entreprise) pour installer WIndows 8 sur une machine sans Windows ?



Le 22/08/2012 à 13h 22






after_burner a écrit :

Ben non, ya la PUL on te dit.


Et si c’est pas pour une utilisation perso ?



Le 22/08/2012 à 12h 24






atomcomputer a écrit :

MMh



PERSONAL USE LICENSE (SYSTEM BUILDER) FOR WINDOWS 8 PRO

We do not sell our software or your copy of it – we only license it.Under our license, we grant you the right to install and run that one copy on one computer (the licensed computer) as the operating system on a computer that you build for your personal use, or as an additional operating system running on a local virtual machine or a separate partition, subject to the restrictions outlined under “Are there things I’m not allowed to do with the software?”



Ils indiquent juste que tu as la possibilité d’utiliser cette license en temps que license principale, additionelle ou virtuelle.



L’autorisation d’utiliser cette license dans ces cas, pas autre chose.

Un petit truc qui me chagrine, c’est qu’en France, il me semble, que le coup de la licence ne marche pas.
Il y a soit location du logiciel sur une durée donnée, soit vente d’une copie (ce qui épuise les droits de MS sur cette copie).




Apple devient la plus grosse capitalisation de l'histoire avec 623 milliards de $

Le 21/08/2012 à 06h 58






Eagle1 a écrit :

il faudrait une inflation moyenne d’environ 10% pour que ce soit vrai..


Si on prend $190 milliard de capitalisation pour IBM en 1967 à 10% d’inflation:





  • On arrive à $1300 milliards en environ 20 ans, soit à la fin des années 80.

  • En 2012 (45 ans plus tard) on en serait à $13 849 milliards