Jnetjur
est avec nous depuis le 23 juin 2011 ❤️
Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
Repassez plus tard ?
22 commentaires
Données des pharmacies et IQVIA : la CNIL s’explique et va mener des contrôles
Le 18/05/2021Le 18/05/2021 à 20h 02
J’ai bien compris, je réagis plutôt aux commentaires. Je me fais l’avocat du diable :) Sous prétexte qu’il s’agit de données concernant notre santé, il faudrait le consentement à tout prix parce que c’est une société privée derrière, pardon, une société américaine, le mal absolu et qui en plus gagne beaucoup d’argent, le diable en personne !
Le 18/05/2021 à 14h 02
Pourquoi demander le consentement dans ce cas précis ? L’autorisation de la CNIL permet d’obtenir la garantie que les données sont traitées de manière respectueuse des personnes (doublement pseudonymisées et tutti quanti). Allez y pour retrouver la personne derrière la carte vitale !
C’est justement dans un intérêt public (la santé publique) que ce traitement est autorisé. Si l’on devait consentir à tout mes amis, vous ne sauriez plus où donner de la tête !
Que des contrôles soient déclenchés pour ne pas oublier le cadre de l’autorisation est par contre très bien venu !
Et si, en 2020, on sauvegardait enfin nos données ?
Le 13/01/2020Le 14/01/2020 à 09h 00
Oui pour l’instant, je n’ai pas eu l’occasion de faire une restauration complète sur mon ordi. Mais j’imagine qu’il faudra passer par l’outil de windows 7. L’outil windows 10 est assez basique et permet quand même de restaurer un fichier assez facilement dans le même genre que Time Machine (d’après mes souvenirs lointains de Time Machine par contre :) )
Le 13/01/2020 à 16h 15
L’outil de sauvegarde de Windows 10 est hyper simple. Sois tu branches ton DD externe de temps en temps pour la sauvegarde sinon tu le branches à la box sur le réseau. Pour le coup, je trouve que c’est aussi simple que Time Machine de Mac.
La CNIL inflige 100 000 € d’amende à Darty pour négligence auprès de son sous-traitant
Le 09/01/2018Le 12/01/2018 à 16h 49
Il s’agit du non cumul des peines pénales et des amendes administratives. Ca ne veut pas dire que l’amende administrative relève de la matière pénale.
Les règles de droit pénal ne s’appliquent pas en l’espèce. Mais en effet, ça empêche les poursuites devant le juge pénal pour les mêmes faits et la même infraction/manquement. On ne peut pas dire qu’il y a eu condamnation pénale pour autant.
J’avais pas compris que le =! consistait en : c’est différent.
Il s’agit uniquement de terminologie.
Le 12/01/2018 à 16h 25
Non, rien à voir avec le conseil constitutionnel. Les amendes administratives de la CNIL relèvent de la jurisprudence du conseil d’Etat. Ca n’a rien à voir avec la matière pénale !
Pénal = parquet (procureur de la République et tribunal correctionnel).
Le 10/01/2018 à 11h 50
Attention, la sanction de la CNIL est une amende administrative et non pénale. Il ne s’agit pas d’une sanction pénale.
L’accès aux métadonnées par l’AMF censuré par le Conseil constitutionnel
Le 21/07/2017Le 21/07/2017 à 12h 47
Heu le contrôle a priori existe déjà depuis sa création.
Ensuite, sans QPC, ce genre de censure n’aura jamais pu arriver.
Quant au fait que les constatations n’auraient pas dû avoir lieu, il faut relativiser. La décision de la CJUE est très proche (décembre 2016) et les constatations sont sûrement bien plus anciennes à quelques années près. La position de la CJUE n’était pas si prédictible.
Ces contrôles prennent du temps et je pense qu’effectivement, la censure immédiate aurait fait sauter un bon nombre de procédures et donc de potentielles fraudes financières.
Comment pondérer les intérêts ? Entre des moyens d’enquête certes élargies et pas aussi contrôlés que le voudrait l’UE et une mise en conformité qui nécessite dès lors le temps législatif.
Quel est le préjudice in fine ?
La Croix bloque l’accès à ses articles en cas de navigation privée
Le 22/02/2017Le 23/02/2017 à 12h 43
Rien à voir, La Croix est plutôt centre gauche comme journal (le frère de Vincent Peillon y travaille d’ailleurs).
Rejet du recours contre le partenariat entre Microsoft et le ministère de l’Éducation nationale
Le 15/09/2016Le 15/09/2016 à 18h 23
Franchement celui qu’il faut plaindre c’est l’avocat qui n’a pas bien conseillé les associations dans leur action. Il aurait pu anticiper ces points là.
OnePlus 2 : la mise à jour OTA 3.1.0 disponible, des utilisateurs frustrés
Le 06/09/2016Le 07/09/2016 à 12h 18
Ah mais je suis bien d’accord que les MAJ devraient être mieux gérées. Mais dans le cas présent, on a bien une mise à jour avec les derniers correctifs de sécurité sachant que celle d’avant datait de juin dernier.
Ça va, ça fait 3 mois. Dans la vie de mon OP2, j’ai déjà eu 3 MAJ en moins d’un an.
Et puis le problème est plus avec Google qui n’impose pas ses mises à jour dans le système (au moins de sécurité) comme pour MS ou Apple par exemple.
Le 06/09/2016 à 15h 54
La dernière mise à jour ne remontait pas à si longtemps. C’est déjà bien qu’il y en ai une et les gens se plaignent.
SFR Presse : de l’installation forcée à la résiliation impossible
Le 27/05/2016Le 27/05/2016 à 15h 10
Oui, on ne peut pas supprimer l’option.
[Interview] Droit à l’oubli, quand la mémoire sélective s’abat sur le Net
Le 25/09/2014Le 25/09/2014 à 10h 41
Le 25/09/2014 à 10h 29
La CJUE a plutôt consacré le droit au référencement.
Qui peut considérer normal qu’un pareil homme, et ce n’est qu’un exemple, puisse se racheter une virginité et chercher à faire oublier des faits aussi odieux, et un jour pourquoi pas revenir à des hautes fonctions ?
Qui est-il pour se permettre de juger ? Là où je le rejoins, c’est sur la nécessité de passer par le juge afin de garantir une certaine sécurité juridique et sur la nécessité d’avoir des règles claires et précises.
Cependant, je crois que le droit à l’oubli est nécessaire et indispensable. C’est le corollaire de la prescription de la peine et donne son sens à la peine prononcée par le juge.
Chacun a droit à l’erreur et à repartir du bon pied, surtout les délinquants. Comment voulez-vous que de telles personnes se réinsèrent si Google ou autre conservent ad vitam eternam des faits passés qui les empêcheront d’avoir une vie sociale normale.
Il faut croire un peu à la rédemption…
Sanctionné par la CNIL, Google affiche un communiqué sur sa page d’accueil
Le 08/02/2014Le 08/02/2014 à 15h 47
Le 08/02/2014 à 15h 06
[MàJ] Le Conseil d’État examinera jeudi le recours de Google contre la CNIL
Le 03/02/2014Le 08/02/2014 à 15h 35
Ce que je veux dire, c’est qu’il y a une différence entre publier sur le site de la CNIL et faire publier à ses frais sur son propre site une décision, après ça dépend de ce qu’on entend par publier sur un support. Est ce la rendre publique ?
Effectivement, c’est une pratique courante dans les tribunaux classiques, mais bon la CNIL n’est pas un tribunal classique.
Le 08/02/2014 à 14h 50
Le 03/02/2014 à 18h 26
Évidement que la Cnil a des pouvoirs, ils augmentent petit à petit et l’amende max à 150k est une bonne raison pour montrer qu’ils ne sont pas suffisants. Après Google va sûrement se battre sur la publication de la décision qui doit bien les emmerder. D’autant plus que c’est la première fois que la Cnil,semble utiliser cette sanction. Réponse en fin de semaine. À tous les mauvais commentateurs, je vous invite à assister à l’audience pour constater ce qu’il en est.
Deux heures au poste pour une photo de profil d’Isabelle Balkany sur Twitter
Le 13/12/2013Le 13/12/2013 à 13h 44
Quoi que l’on pense des Balkany, l’attitude de ce petit idiot est lamentable. C’est gratuit et nul…
Licenciement : que vaut la preuve par email ?
Le 04/11/2013Le 05/11/2013 à 14h 44
La Cour de cassation ne fait que confirmer que le licenciement est un fait juridique qui se prouve par tout moyen. Donc l’apport de cet email est une preuve recevable et prise en compte avec d’autres éléments. Les formalités de la signature électronique ne sont valables que pour les écrits au sens juridique (contrats par exemple au dessus de 1500 euros) mais très peu utilisées dans le monde des affaires. Cette solution n’est en rien choquante contrairement aux propos de l’employeur.