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Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
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261 commentaires

 Les boutiques culturelles et high-tech sont-elles vouées à mourir ?

Le 12/01/2013 à 12h 56






LordFPL a écrit :




  • Construction des centres de stockage là où le m² est le plus faible


    • Explosion du marché du transport (c’est déjà le cas depuis un moment… regardez le nombre de filiales de la poste créées ces dernières années ;))



      Ton analyse est bonne, et c’est probablement ce qui va se passer.
      Mais dans le fond, j’ai bien peur que cela ne fasse que déplacer le problème sur les coût de l’énergie (pétrole pour le transport routier, électricité pour le TGV). Sans compter l’impact environnementale.



      brazomyna a écrit :

      En ce sens, certains produits issus du libre (Redhat, Qt, …) qui vendent du service avec un logiciel qui ne set finalement que de produit d’appel , ceux la sont sans doute ceux qui ont un modèle économique précurseur de l’IT dans les entreprise.



      Ce modèle est en fait très fragile.

      A une époque je travaillais dans une très grosse SSII française, et il revenait beaucoup moins chère d’employé quelqu’un de compétent, quite à le former, que de payer pour se type de service, bien que la technologie “produit d’appel” soit utilisé.

      Aujourd’hui je travaille en asie du sud-est, je ne vise pas l’international, juste le marché local. J’ai la réputation de payer relativement bien, comparé à d’autre, un ingénieur spécialisé va me coûté environ 1000€ en thailand (presque 8 fois le smic local), et 450€ au cambodge (15 fois le smic local), et bien sur à compétence équivalentes (ces ingénieurs ont été formé en france, japon ou USA…). Mais comme je le disais, j’ai la réputation de payer bien, on peut trouver moins cher… Je dors sur mes deux oreilles hein, j’ai pas le sentiment de voler du boulot à des européens, vue que je ne travaille que sur les marchés thai et cambodgien.

      En rapport avec mon CA il m’est juste impossible de payer RedHat, Qt, MongoDB ou autre société pour le service associé… Donc ce business model ne fonctionne que pour l’hémisphère nord du globe pour le moment…

      Le jours ou ces sociétés offriront leur service à partir de l’inde, du cambodge, ou de la thailnde, ils pourront proposé des prix cassés bien entendu. Et ainsi dans les métiers de l’IT on se retrouvera dans exactement la même situation que l’industrie actuellement…

      Au final, j’ai pas l’impression que ce soit la solution miracle…



      Idiot Proof a écrit :

      -30 -40 -50 … et jusqu’a -70% et bien a -80% tous les acteurs gagnent encore de l’argent alors la rentabilité <img data-src=" />



      Les soldes sont le seul moment de l’année ou des distributeur ont le droit (légalement) de ventre à perte. Le but des soldes pour un petit commerçant n’est pas de gagner de l’argent, mais de limiter les pertes sur les invendus.



      Idiot Proof a écrit :

      et comme le Gvt perçoit la TVA a tous les étages du mille feuille plus il y ‘a d’intermédiaires mieux c’est <img data-src=" />



      Tu oublies un paramètre important.

      Une société ne paye au gouvernement que la différence entre ce qu’elle a payé en TVA à ses prestataires, et ce qu’elle à perçu en vendant son bien ou service. En réel, la TVA n’est payé qu’une fois sur un produit.



      steinfield a écrit :

      Je parie un copec que dans XX années, on aura un clic à faire sur un site pour faire un appel VOIP à un conseiller, qui pourra être de très bon conseil.



      Dans les pays d’asie où y’a la culture du service, ceux là où on t’offre un verre d’eau bien avant de te donnre le menu dans un resto, c’est déjà le cas, et on voit bien que les enseigne n’offrant pas un conseiller, par téléphone ou par chat, sur un site, son désavantagé par rapport aux autres.



      brazomyna a écrit :

      Un exemple (incomplet, mais) concret: même si je voue une profonde sympathie des employés d’Arcelor à Gandrange (j’habite à 50km de là-bas), envisager de maintenir leurs ‘quelques’ emplois à grands coups de millions d’euros d’argent public (genre nationalisation ou énième subvention publique à l’entreprise privée), c’est une faute économique. Au delà de l’aspect ‘émotionnel’, le raisonnement posé voudrait qu’on préfère investir cet argent là dans les emplois d’avenir (nouvelles technologies, recherche, formation). Parce que un euro investi dans le mainten artificel d’un emploi aujourd’hui au lieu d’investir dans l’avenir, c’est 10 euros de perdus pour l’emploi de la génération suivante.



      Pragmatiquement et objectivement, tu as tout à fait raison. Mais ça oublie le facteur humain…

      Si c’est toi qu’on vire en t’expliquant que t’appartient à une autre époque, je suis pas sur que t’ait envie de faire autre chose que claquer la gueule du mec qui te dis ça… Pragmatiquement…

      Puis l’ouvrier spécialisé “obsolète” devenu sans emploie, en france en tout cas, il coûtera un peu à la société (chomage de longue durée, ou bien formation pour une réinsertion pro…), dans d’autre pays, ils ferait que crever, et progéniture, elle aura aucun moyen d’étudier un emplois d’avenir…

      Le progrès doit servir l’humanité, pas détruire des familles.



      brazomyna a écrit :

      (accessoirement, pour la petite histoire, BMW est la deuxième entreprise mondiale la plus attractive pour les jeunes diplômés Européens ; sans doute un hasard).



      Non mais ça c’est juste le rêve d’avoir une BM en voiture de fonction =).




Quand Google associe

Le 11/01/2013 à 01h 32






Khalev a écrit :

Comme ça a été dit dans le jugement, “Secte” n’est pas forcément péjoratif (cherche Serge Blisko).



N’empêche que ca reste diffamatoire. L’association d’un nom avec la notion de secte peut porter préjudice.




Tourner.lapache a écrit :

Oui enfin ça reste un processus automatisé qui associe des mots en fonctions des contenus trouvés sur le net et des recherches des gens.



Automatisé ou non, volonté manifeste de nuire ou non, il y a un préjudice potentiel.



Gericoz a écrit :

Encore un type qui essaie de se faire du fric, dommage pour lui cela ne marche pas <img data-src=" />



En france on ne devient pas riche grâce à un procès.



Le 10/01/2013 à 15h 10

Insulte ? Au sens ce légale ce n’en est pas une il me semble. Ca ressemble bien plus à de la diffamation…


[MàJ] Adobe n'offre finalement pas sa suite CS2 complète

Le 08/01/2013 à 17h 45






Citan666 a écrit :




  1. Sur le droit moral, pour info en France aussi on s’asseoit expressément dessus (pour le logiciel uniquement en revanche, pour le reste il y a une forte protection on est d’accord).



    En général le droit moral sur le logiciel est souvent proposé dans un packet type “brevet logiciel”. On est d’accord, c’est pas demain que le problème va se résoudre…



    Citan666 a écrit :


  2. Sur la pédagogie, ma foi j’ai l’impression que tu réfléchis en te basant sur la population française, qui compte quand même une majorité de raclures avares, ignares et égocentriques personnes complètement inconscientes des investissements et équipes présentes derrière un logiciel



    Je serait pas aussi extrême. On ne peut pas demander au gens d’avoir un doctorat en science physique pour avoir le droit d’utiliser un four à micro-onde. Connaitre l’informatique et le droit lié à celle ci, ou même comprendre comment fonctionne une chaine de production de logiciel, ce sont déjà des compétences en soit.




    Citan666 a écrit :


  3. […]
    Quant au fait qu’il fasse du “libre” au sens de la FSF, c’est souvent discuté… Bref…



    Bien sur, je viens titiller un peu avec google.
    Mais ils sont su séduire une communauté de libriste, parmis les moins ayatollah et moins conservateurs. C’est finalement assez récent que google soit mal perçu par certains.



    Citan666 a écrit :

    Quant à ma remarque sur les partenaires commerciaux, tu la biaises exprès on dirait



    Oula, vraiment désolé, j’ai juste pas vu ou tu voulais en venir. Dans le fond on est d’accord. Et pas mal d’entreprise ont déjà des CGU dans le genre, la mienne par exemple, où l’utilisation à venir des données personnelles est très clairement expliqué.

    Mais ce n’est qu’une bonne pratique, pas une obligation. Du moins pour le moment.



Le 08/01/2013 à 16h 29






Citan666 a écrit :

Merci pour cette réponse, ça fait plaisir (sincèrement).<img data-src=" /> On aurait presque de quoi lancer un débat sur plusieurs questions soulevées entre nous deux…



Mais bien volontier.



Citan666 a écrit :

En revanche, du coup je ne comprends pas, quel est ton problème vis-à-vis des rédacteurs du texte des licences ? Qu’il ne soit pas clairement indiqué dans la licence même que ses auteurs en autorisent la libre diffusion etc… ?

Autant sur le pur plan de l’analyse juridique, il y a clairement un manque, autant dans la pratique je vois mal les auteurs se réveiller 30 ans plus tard pour réclamer des royalties à tout le monde (bon, ok, ya des boîtes qui font ça avec des brevets, mais c’est pas tout à fait le même contexte quand même). <img data-src=" />



Dans le fond je suis d’accord avec toi.
Je souligne le manque de transparence, qui n’est pas grave on est d’accord, on peut très bien avec une effort supplémentaire prouver l’origine et la parténité de ces documents.



Citan666 a écrit :

Sur le droit de rétractation et de remboursement, il me semble bien que les dispositions protectrices du consommateur (notamment sur vente à distance) ne s’appliquent pas au logiciel (à vérifier, pas le temps là désolé).



Autant pour moi, j’avoue avoir des lacunes en droit commercial.



Citan666 a écrit :

Par ailleurs, les dispositions limitatives de responsabilité sont globalement les mêmes entre proprio et libre (voire encore “pires” pour les proprio)[…]



Elle ne sont pas “pire”, elles sont plus “encadrée” =)
Et là ou on peut noter une utilisation abusive de terme ambigue, ce n’est généralement pas sur les dispositions limitative, bien au contraire.



Citan666 a écrit :

Ceux qui veulent exploiter un logiciel de manière commerciale ont plusieurs choix. S’il s’agit de vendre des licences, il “suffit” d’adopter un modèle de dual licensing. Ça implique certes un travail de pédagogie, mais c’est pas la mort non plus.



Je n’ai pas d’exemple en tête de logiciel libre payant. J’imagine bien que juridiquement ça puisse passer. Mais pour le peuple…

Y’un putain d’amalgame entre libre et gratuit, et cela doit être pire pour le grand publique anglophone (free/fee = gratuit/libre …). Juste avec de la pédagogie, ça risque d’être dur de faire rentrer cette idée.



Citan666 a écrit :

Je ne vois pas en quoi ce serait plus compliqué qu’une licence qui va te détailler whatmille cas super précis dans lesquels tu as le droit d’utiliser.



Attention, en droit européen, et encore plus particulièrement, en droit français, on fait preuve de bon sens.

En droit américain, c’est une autre affaire. A l’extérieur ils nous ressemble, mais dedans, surtout dans la tête, ils sont pas pareilles. Par exemple le droit morale (couvrant la paternité d’une oeuvre) n’existe que pour les oeuvre graphiques (si je me trompe pas, ça a pu changer depuis), et depuis à peine moins de 20 ans (donc tout récent à l’échelle juridique)…



Citan666 a écrit :

Sur la question de la protection des données, je suis d’accord avec toi, c’est non traité par la plupart des logiciels, et c’est un manque (compensé dans les faits par l’état d’esprit, mais la CNIL aurait clairement de quoi redire <img data-src=" />).



Ouf ! On est sauvé ! Ils sont dans le bon état d’esprit !
Regarde, même google le dis : “we are not evil” !



Citan666 a écrit :

Ce qui n’empêche que par ailleurs la lettre des licences proprio sur le sujet est rarement claire (notamment sur le champ que recouvre “partenaires commerciaux”).



Dans les faits ça ferait perdre en souplesse aux entreprise qui devrait mettre à jours leur CGU à chaque changement de régie publicitaire ou à chaque changement de prestataire d’archivage par exemple. Et par “mettre à jours”, j’entends bien sur “les faires accepter”.

Mais ça a aussi un autre but, prévoir une utilisation future des données, qui par extension est imprévisible. Et c’est pas systématiquement pour entuber le client.



Citan666 a écrit :

Mon point n’est pas de dire que les licences proprio sont plus complexes parce que plus riches, mais parce que généralement elles sont rédigées exprès de manière ambigüe pour bien laisser de la marge d’interprétation en faveur de l’éditeur.



Aux USA aucun avocat ne va monter une class action s’il n’est pas sur de gagner =) . Donc en général ça tombe plutôt en faveur des consommateurs. En france, la loi protège souvent le plus faible (et rarement le plus riche), encore une fois c’est plutôt le consommateur qui gagne.

C’est sur y’a des groupes de personnes qui sont des raclures finis, mais j’ai pas l’impression que la plupart des entreprises rédigent ses CGU en se disant “hahaha comment on va les enculer les users !”. La plupart cherche juste à se blinder juridiquement.

Quand au termes ayant une “marge d’interprétation”, une utilisation intensive de ce genre de propos peut vite invalider un contrat. Les juges, ils sont comme les autres êtres humains : ils aiment pas qu’on se foute de leur gueule.

Après y’a encore d’autre cas, comme l’expression “en bon père de famille”, c’est sur qu’en français c’est une expression assez floue pour le commun des mortels, mais en juridique ça a une définition incroyablement précise.

Sinon, j’ai rien contre les licences libre non plus (enfin, juste mon quart de sang chinois qu’à du mal à comprendre pourquoi des gens travaillent à l’oeil…), je souligne juste très très fort, que pour une certaines communauté le libre est une garantie d’intégrité, de confiance, que c’est forcément bien, alors que dans les faits, juridiquement, ça ne change rien, une organisation si elle veut faire des trucs d’enculé, elle le fera, licence libre ou pas (encore une fois je pense très très fort à Android).

La démocratie c’est forcement bien ! Hitler à été élu démocratiquement, c’est forcément bien aussi !

(Bon, aller, je l’ai mis mon point godwin là, je t’autorise à dire que je troll =) ).



Le 08/01/2013 à 12h 47






v1nce a écrit :

Pour l’instant tu n’as donc pas de gradient meshes mais dès qu’elles seront validées tu pourras en profiter.



Je ne peux pas vendre à mon client l’idée que mon équipe “pourra” mieux faire plus tard, il est déjà au courrant qu’avec le temps “on fait mieux”, ce n’est pas pour ça qu’il paye. Je ne peux pas imposer à mon équipe de revenir 5 ans en arrière en termes de productivité pour une question avant tout idéologique.

Les gradients mesh ne sont qu’un exemple parmi d’autres.



misterB a écrit :

Le SVG à part sur wiki j’en vois pas bcp <img data-src=" />



Ca devrait (enfin) arriver avec l’arriver des écrans HiDPI =) … ou pas.



Le 08/01/2013 à 12h 19






misterB a écrit :

C’est bien, Pantone est juste la norme dans l’imprimerie quand il est question d’un respect absolue de la couleur, donc je vois bien le graphiste libriste aller envoyer chier l’imprimeur et le client à cause d’une norme proprio <img data-src=" /><img data-src=" />


Par contre ton autre lien est bien, mais il n’y a pas plus que le sujet sur ton lien, avoir la conf serait mieux <img data-src=" />

http://schedule2012.rmll.info/Pourquoi-GIMP-n-a-pas-besoin-du-CMJN



T’envoies pas chier tes clients et tes prestas toi ? =)



Le 08/01/2013 à 12h 18






c.b19 a écrit :

Donc c’est proprio donc c’est réglé. Après, on peut pas vraiment dire que c’est un pb de Gimp, qui suit la GNU. C’est sur que ca peut être ch quand c’est pour le boulot avec des imprimeries & co.



C’était bien le but de mon exemple, de démontrer que GIMP ne correspond pas à un usage professionnel, tout du moins dans le print, et qui rend GIMP tout sauf une alternative réel à photoshop.



Le 08/01/2013 à 11h 44






v1nce a écrit :

fillet de dégradé ?
Si tu parles des gradient meshes c’est déjà dans les betas développeurs,
http://tavmjong.free.fr/SVG/MESH/Mesh_Inkscape.html

il faut juste que le svg2 officialise le formalisme.

Et puis les gradient meshes c’est has been ce qu’on veut c’est des diffusion curves
http://wiki.inkscape.org/wiki/index.php/Diffusion_Curves
http://maverick.inria.fr/Publications/2008/OBWBTS08/index.php



Je parle bien des gradient mesh.
Pour les diffusions curve, le premier me parle que d’équation ( ce qu’un graphiste se moque un peu), et la vidéo du second ne se joue pas chez moi, donc je ne pourrais pas te dire.

Mais pour les gradient mesh on parle d’un truc présent depuis des années sur illustrator, et qu’à fait gagner des milliards d’heure de boulot à des graphistes. Sur inkscape tu me parles d’une fonctionnalité en beta. Ca rejoint donc mon point sur la productivité en milieu professionnel.



Le 08/01/2013 à 11h 09






Citan666 a écrit :

Félicitations ! Tu viens de gagner le titre du <img data-src=" />² (notamment grâce à quelques remarques pertinentes qui se glissent au milieu du gros troll de base).



Même pas vrai, j’ai même pas cité le régime nazi dans mon post !



Citan666 a écrit :




  1. Tu cites THE article qui ne peut qu’être flou par sa nature, puisqu’il renvoie aux limites de ce qui est autorisé par la loi (ce qui est vrai pour tous les contrats au demeurant, mais tous ne prennent pas la peine de le préciser).



    Je suis le premier à le dire : ce n’est ni plus ni moins obscure qu’un autre contrat. Et très probablement parce que ça relève du bon sens.



    Citan666 a écrit :


  2. Effectivement le fait que les contractants ne soit pas précisé dans la licence même n’est pas une pratique orthodoxe. C’est néanmoins nécessaire de par l’esprit et la nature même de la licence.



    Je ne parlais pas de l’auteur du code, mais de l’auteur de la ou les licence libres.

    Comme je le disais, un contrat sans être considéré comme une oeuvre est protégé par la propriété intellectuelle. J’insiste je parle du contrat en lui même (ou bien de la licence, cgu, ou affilié à un contrat…), pas de ce qu’il protège. Les gars de la GPL l’ont bien compris, puisque le document GPL est distribué en copyleft. Ici la paternité de la licence n’est pas clairement annoncé dans la dite licence.

    Tu soulèves le point très intéressant des contractant. Je ne suis pas convaincu que ce point doit obligatoirement être obscure. Deux définitions et un chapitre en plus seraient nécessaires pour clarifier cela =).



    Citan666 a écrit :


  3. La licence est un contrat bilatéral (voire multi). Dès lors, dire qu’elle n’a pour seul objectif que de protéger l’auteur du logiciel est faire preuve d’obscurantisme d’un autre âge (comme pour tout contrat de manière générale d’ailleurs). Penser qu’à sa gueule, ça marche bien à court terme et quand t’as un rapport de force favorable…



    Rhooo faut pas prendre mes raccourcis comme ça =).
    Bien sur que ça ne sert pas qu’à protéger un fournisseur de bien ou de service.
    Je peux corriger en disant que ça “encadre la relation commercial (ou non) entre les contractants”. Voilà c’est plus propre comme ça, pas taper.



    Citan666 a écrit :


  4. SI tu compares point à point n’importe quelle licence libre avec un contrat propriétaire, tu remarqueras que le deuxième est toujours plus compliqué/flou. Parfois juste parce que le régime est compliqué, parfois délibérément pour noyer le poisson.



    Déjà comparons une licence libre avec ce qui y ressemble le plus : une licence d’utilisation logiciel, ou bien les CGU d’un logiciel (j’insiste, d’un logiciel, pas d’un service en ligne).

    Déjà, tout le chapitre sur le droit de rétractation (ou d remboursement) n’existe pas. En fait, on peut aller plus loin, tout ce qui concerne le droit commercial n’est pas prit en compte dans les licences libre. Les licences libre prennent très peu en compte le fait qu’un logiciel peut être libre et commercial à la fois. (Et vu les pratiques, ça entretient l’amalgame entre libre et gratuit…). Rien que ça, ça simplifie grandement le contrat, c’est sur…

    Cerise sur le macdo, une spécificité franco-franchouillarde : les licences libre naissent souvent avec comme base le droit américain. Donc la partie sur le droit morale est carrément ignorée.

    Ce que je dis c’est pas que l’un ou l’autre est plus compliqué, mais que les CGU d’un logiciel proprio traitent de beaucoup plus de sujet que les licences libre qui se concentre sur quelques sujets très importants dans le cadre des logiciels libres (propriété intellectuel, droit de diffusion, droit de modification).

    exemple con : un logiciel libre collecte des données sur l’utilisateur, par exemple pour un rapport de bug automatisé, rien de méchant en soit. Je dis juste que ce n’est pas le type de problématique que tu vas rencontré dans une licence libre, alors que t’as un chapitre là dessus dans les CGU de photoshop.

    Et je vais même troller un petit coup pour déconner, le sujet des donner récolté n’est même pas traité dans les CGU de firefox, qui pourtant utilise un système de reporting… http://www.mozilla.org/fr/legal/eula/firefox.html

    Alors oui, les CGU de firefox sont bien celles d’un logiciel libre, elles sont plus simple que celle d’un logiciel proprio, mais non, ce contrat ne me dis pas qui a le droit de voir les données récoltées lors d’un rapport de bug, ne me donne pas un droit de regard sur ces données, ni un droit de modification… (entre autre, y’a plein d’autre inconnues dans ce contrat…).

    C’est sur que si t’enlèves tout les trucs qui ferait qu’une boite privée se prendrait une amende, les CGU sont bien plus simples =)



    Citan666 a écrit :


  5. Les clauses abusive ne se font PAS allumer rapidement, c’est justement bien pour ça que tout le monde en profite. Le délai moyen (détection/analyse/action de UFC ou DGCCRF / décision de justice) est à vue de nez de 2 ans. Pour le coup on va bien rire si les class actions arrivent en France pour de bon.



    Aller, on coupe la poire en deux…
    Quand les CGU de facebook sont modifiés, en général ont entend gueuler dans les 48h…



    Citan666 a écrit :


  6. C’est malheureusement vrai pour beaucoup de gens (mais pas tous, faut pas exagérer… Juste 90% lol). Et c’est là un des autres intérêts des licences libres. Tu lis une fois, tu comprends une fois, t’es paré pour des milliers de logiciels.<img data-src=" />



    90%, t’es vachement optimiste toi =)
    Qu’une licence soit libre ou non, ça fait pas qu’on va la lire plus.

    “Android, c’est bon t’inquiètes, c’est du libre, pas la peine de lire la licence !”
    Rien qu’avec cet exemple, on voit la limite du truc.

    Je dis pas que le libre est diabolique, je dis juste qu’une licence libre n’est ni bonne ni mauvaise en soit, de la même manière qu’un contrat d’utilisation d’un logiciel proprio n’est pas systématiquement conçu pour donner un droit au fournisseur de service de venir visiter ta flore intestinal quand bon lui semble.



Le 08/01/2013 à 09h 01






pmanglade a écrit :

Chez moi Gimp, Inkscape, scribus, & LaTeX fonctionnaient déjà parfaitement sans nécéssiter des serveurs de licence ou je ne sais quelle acrobatie hubuseque. Franchement je ne vois pas l’intérêt de ce truc.



Mwouais…

Gimp : gestion du CMJN et du TSL à l’arraché, très mauvais support d’autres espaces colorométrique (genre panton, après tout c’est juste un standar de facto), et une des outils permettant une productivité digne de 1999…

Inkscape : Pas de fillet de dégradé, même remarque sur les espaces colorimétrique propriétaire, même remarque sur la productivité.

Scribus : gestion des styles pensé par un dev… Impossible de faire un bloc de forme customisé…même remarque sur les espaces colorimétrique propriétaire, même remarque sur la productivité.

Si tu n’as des besoin en graphisme de niveau professionnel, tout ça c’est très bien. Mais tes besoins ne sont pas ceux de tout le monde, et plus particulièrement pas ceux des graphistes =).



hurd a écrit :

C’est pour ça que choisir plutôt du libre est une meilleures solution : on regarde la licence, c’est toujours plus ou moins les même qui revienne, on accepte et on sait ce qu’on à le droit ou non <img data-src=" /> .

Les licence propriétaires, surtout dans leur forme actuelle sont tellement peu clair/flou que personnes y fait attention et tout le monde se fait avoir par des «piège» comme celui là <img data-src=" /> .



Le vilain amalgame =)

Aller, au hasard, l’article 17 de la GPL =)
http://www.gnu.org/licenses/gpl.html

On a connu plus claire et plus explicite comme article de licence. Ce n’est pas plus ou moins obscure que ce qui se fait dans le monde du logiciel fermé.

Toujours sur la GPL, les licences sont considéré comme des contrat, et un contrat est sujet à la propriété intellectuel. Bien que le la GPL soit en copyleft, ça ne veut pas dire qu’elle a été écrite par la volonté du saint esprit, et les auteurs ne sont pas précisés dans le contrat, c’est déjà, au sens juridique, une forme d’obscurité.

Comme c’est “toujours plus ou moins la même licence”, y’a des abus… La licence libre pas vraiment libre d’Android est bon exemple.”

Au contraire de ce que tu penses, les licences d’utilisation ne peuvent être flou. C’est un outils juridique pour protéger le fournisseur du produit ou du service, et pour se protéger soit même, en général, on est bon =).

C’est encore plus vrai aux USA, ou les classes actions ont la gachette facile, allant jusqu’au ridicule. Il est probable qu’on puisse faire un procès à un fabricant de voiture pour défaut d’information car il n’est précisé nulle part qu’introduire son pénis dans le pot d’échappement peut causer des blessures sévère.

Un bon exemple est dysney, qui pendant longtemps à tenu à protéger son copyright, jusque dans l’espace. Ca a fait rire beaucoup de monde… Jusqu’à ce qu’on invente la télévision par satellite, là d’un coups, plus personne n’a rigolé.

En france, on protège particulièrement le consommateur. Les clauses abusive se font allumer assez rapidement quand le cas arrive.

Les licences ne sont pas obscure, il n’y a juste personne qui ne les lis. C’est tout =).



ff9098 a écrit :

Ils pourraient libérer les sources ces rapaces



Toi aussi t’es un rapace, tu pourrais bosser à l’oeil =).



[Dossier PCi] Dans les coulisses d’un label indépendant

Le 05/01/2013 à 14h 28

Excellent dossier.










Je pense qu’aujourd’hui grâce à toutes les solutions qui existent pour accéder à la culture gratuitement sur internet, la jeunesse peut accéder beaucoup plus facilement à une multitude de contenu et ainsi ouvrir son esprit.



On enseigne les grands auteurs français de littérature au collège, passage obligatoire en vertue de la loi pour tout le monde, et pourtant je ne suis pas convaincu que ça “ouvre l’ esprit” de manière “égalitaire” à tout le monde…



tot0che a écrit :



il suffit de regarder un petit peu plus loin que le bout de son nez lorsqu’on écoute un morceau qui nous plait. On se renseigne, on regarde ce que le label à fait d’autre, on découvre alors d’autres artistes, d’autres labels … et ainsi de suite.
Certes c’est plus difficile que d’allumer NRJ mais faut savoir ce qu’on veut aussi <img data-src=" />



Y’en a qui savent très bien ce qu’ils veulent : être feignant intellectuellement =)



Ubuntu pour smartphones se dévoile et affiche ses ambitions

Le 03/01/2013 à 17h 18






jinge a écrit :

Désolé, mais tu n’es pas obligé de faire une appli de merde tout ça parce que tu réutilises du code non optimisé pour la plateforme. Tu peux avoir beaucoup de traitements qui ne sont pas forcément gourmands en ressources (exemple bête: une sérialisation/desérialisation) mais qui sont assez pénibles à porter sans faire aucune erreur.
Après bien entendu tu ne dois pas faire ça pour n’importe quoi mais à partir du moment où tu adaptes l’interface graphique, c’est déjà bien, et ya toujours moyen de faire patienter un utilisateur de manière intelligente si le code est plus long que ce qu’il devrait…



Je ne parlais que du comportement d’une appli dans son environnement (l’os). Exemple con : sur les unix (linux, osx), les menus se situent généralement dans la barre de tâche sur le bord supérieur de l’écran. Sur windos c’est intégré dans la partie supérieur de la fenêtre de l’appli.

Si ce comportement n’est pas intégré dans chaque version d’une appli, tu freines l’apprentissage, et donc l’expérience de l’utilisateur, mécaniquement tu freines l’adoption de l’adoption de l’appli. Une mauvaise première expérience, c’est souvent synonyme d’une dernière expérience.

Ca peut te paraitre de l’ordre du détails, mais pour moi c’est une réalité, ca a un impact réel sur le chiffre de vente d’une appli.



Le 03/01/2013 à 17h 09






j-c_32 a écrit :

font du marketing qui défavorisent les solutions concurrentes (en prétendant que sécurité = fermeture, ou que gratuité = basse qualité)



Je veux bien te croire, mais aurais tu des exemples concrets pour appuyer le propos ?




j-c_32 a écrit :

Reste que oui, objectivement, ces méthodes sont dommageables pour ceux qui ont choisi une solution concurrente.



Autant je comprend que mettre des battons dans les roues des concurrent, c’est pas franchement loyale. Autant que tu considères “faire un système meilleur” comme étant dommageable, j’ai du mal.

Je comprend bien la notion d’objectivité que t’exprimes, mais on ne pas demander à des organisations de ne pas faire mieux que les autres…



j-c_32 a écrit :

Voilà un exemple bien abstrait de dommages que tu as subis.



Etre objectif, rend permeable à l’humour ?



j-c_32 a écrit :

Personnellement, je peux te citer une liste réelle de complications qui ne sont dues qu’à la volonté de ces entreprises de rendre les concurrents moins performants et que j’ai réellement subies au quotidien.



Je t’en prie, cite.
Car sans exemple ce que tu me décris me semble très abstrait…



Le 03/01/2013 à 16h 11






Noun29 a écrit :

Bah ecoute je t’avoue que le media center full ligne de commande c’est quand meme pas ca xD



=)



jinge a écrit :

Certaines applis dont le volume d’utilisateurs est plus importants que l’interface peuvent justifier le fait de faire du multi plateforme rapidement et améliorer après..



Malheureusement dans le concret tu créé de la déception chez les utilisateur en donnant l’impression de faire un produit de mauvaise facture, c’est du client perdu, donc du pognon perdu, donc encore moins d’argent pour faire des V2, etc. C’est encore plus vrai dans le cas que tu décris, et bien encore plus dans des domaines concurrentiel.



jinge a écrit :

Pour ce que tu dis à propos de WP, il faut voir quand même que c’est WP7 qui est très limité, ils ont quand même changé le noyau entre temps, […]



Autant pour moi, j’avoue ne pas m’être autant penché sur WP8 que WP7.



j-c_32 a écrit :

le fait que qlq’un utilise un produit Apple ou MS est dommageable pour un utilisateur de Linux).



Quand je fais du monitoring ou du benchmark sur une ferme débian, depuis le terminal de mon mac, j’ai pas l’impression que mon admin sys linux ait chopé un cancer des doigts…

Peux tu expliquer en quoi c’est dommageable ?



j-c_32 a écrit :

D’autant plus que contrairement à Apple et Microsoft, les gens ayant choisi Windows ou Mac n’ont pas grand chose à dire vu que l’utilisation de Linux n’est pas dommageable pour qlq’un ayant fait d’autres choix.



Ca peut se débattre…

T’imagines pas mes frais de teinturier… A chaque fois que je sort mon ma de son sac, à certains endroits, je me reçoit systématiquement un sceau de sang de porc à la tronche par un ayatollah du libre…



Le 03/01/2013 à 15h 08






ActionFighter a écrit :

Multiplateforme ne veut pas dire obligatoirement langage interprété. Avec cet OS, tu pourras programmer en natif sur cet OS avec C++/Qt et QML tout en étant multiplateforme.



Oula excuses moi, je suis bien au courant de ça, je me suis juste très mal exprimé, j’avais encore webOS en tête.



jinge a écrit :

(ou celles qui ont beaucoup de spécificité UI, mais ça c’est une autre histoire).



Je suis concepteur d’expérience utilisateur de profession, donc tu comprendras bien mon point de vu.

Le fait d’être dispo sur un OS en particulier, est déjà une spécificité de l’UI.
Je n’ai jamais vu, à ma connaissance, une appli JAVA profiter des spécificités d’OSX (exemple : le dock) ou d’ubuntu (exemple : unity) .



jinge a écrit :

Ca permet également une maintenance beaucoup plus simple, un code pour toutes les plateformes = un seul set à maintenir.



Désolé pour mes collègues développeurs, mais ma ma profession m’impose de penser avant tout aux utilisateurs.

Je comprends bien la problématique du développeur tout de même.



jinge a écrit :

Ca permet égaleemnt de développer dans un premier temps une appli optimisée sur une plateforme, la rendre disponible sur les autres en attendant de les optimiser pour leurs plateforme spécifiques.



Ca en UX, et accessoirement en marketing, c’est inadmissible, en donnant l’impression que le produit n’est pas finis, voire de mauvaise facture.
Dans le concret, seule des boîtes avec les reins très solide peuvent survivre à ça (exemple facebook qui avait miser sur une appli en HTML sur IOS).



jinge a écrit :

mais il y a toujours par exemple pour WP des requirement qui définissent des capacités que l’appareil doit avoir (pour simplifier la vie des développeurs notamment)



Bien entendu, mais les pré-requis de WP sont tellement stricte que la platforme est quasiment aussi fermé qu’iOS, on est loin d’un os détaché du hardware à la vente.



Noun29 a écrit :

Pour moi sa ressemble fort a on va vous faire un ecosysteme bien a nous mais comme on se base sur linux nous on est des gentils par contre si tu veux que ca marche il faut absolument passe par nos services qui eux sont payant.



Je suis pas certains de comprendre, tu leur reproches de faire ce que font pas mal d’autres contributeurs à linux ?

Je suis pas convaincu que IBM ou Oracle commit du code pour que tu puisses aller chez le concurrent… C’est juste plus sournois et détourné chez eux…



Noun29 a écrit :

de plus devenir grand public ca veut dire quoi un noyeau de plus en plus gros avec des tonnes de drivers qui servent a rien des applications tout aussi inutiles avec les integrations facebook et tout le toutim … tout ca pour quoi au final ralentir l’ensemble et le rendre instable???



Bouh vilain ! Tu te dis accro à la ligne de commande et tu installes encore des distro avec un desktop ! Tu me feras dix ave maria sur un navigateur en mode texte pour te repentir !



brazomyna a écrit :

La différence du côté de linux, c’est que la diversité permet d’avoir des solutions adaptées à chaque usage.



Malheureusement ce n’est pas aussi vrai. Je completerai de la manière suivante :
“La différence du côté de linux, c’est que la diversité permet d’avoir des solutions adaptées à chaque usage… Tant que tu bosses dans l’informatique…”.




spike_boon a écrit :

Eh bien si le nombre d’utilisateurs de Linux augmente de façon conqéquente c’est plutôt une bonne chose non ?



Mais t’y pas fou toi ? Tu veux que le monde finisse pas être peuplé de hippis barbus ?



Le 03/01/2013 à 11h 26

Je ne comprendrais jamais cette arlésienne qui veut qu’un développeur développe un fois pour toutes les plateformes. Et encore moins le choix de language interprété sur des machines où les ressources sont limités…

D’abord pour les une appli “universel” comme en JAVA par exemple, on voit bien que vite l’appli ne “parle pas le language de l’os” (je parle de language graphique, d’interaction, etc). Catastrophique pour l’expérience utilisateur.

Ensuite pour le language interprété, je fais partie de ceux qui sont convaincus que c’est pas parce que les ordinateurs ont de plus en plus de ressources, qu’on doit aussi utiliser plus de ressources dans une appli pour la même chose qu’avant (le fameux syndrome office, faut même qu’un éditeur de texte rame !). En ce sens, j’ai un gros doute sur les performances de HTML5… Language qui n’est pas prévu pour faire de l’interface mais pour hiérarchiser des données… On reste loin des possibilité en terme de performance qu’on peut trouver avec un language de plus bas niveau comme ObjectiveC.






Commentaire_supprime a écrit :

mais surtout pour l’évolution que cela ouvre : celle de la vente découplée des smartphones et de leurs OS.



Est ce que le grand publique est prêt à ça ?

On voit déjà le cas avec l’offre bordélique de MS pour ses tablettes surface, incompréhensible par le commun des mortelles.

Et en termes d’expérience utilisateur, ça peut devenir bien bordélique :




  • Gestion des ressources moins performante, l’os devant gérer moulte possibilité hardware.

  • Des écrans hétérogène, non contrôlé (résolution, forme, etc), donc une interface devant faire des compromis, non homogènes en fonction des terminaux… (On commence à le voir sur android).

    Sans parler de problème de compatibilité…

    Oui, ça peut apporter des avantages à des bidouilleurs, mais ça apporterait aussi pas mal d’inconvénient à la majorité, à mes yeux…



    Noun29 a écrit :

    De plus je me mefie clairement de canonical qui pour moi reste un apple deguise sans le succes.



    Peux tu développer ton idée, ça m’intéresse.



    jinge a écrit :

    Facile, ce sera BB car il a déjà une marque reconnue…



    C’est ce que voudrais la logique. Mais des surprises peuvent arriver =).



    jinge a écrit :

    Il reste donc de la place sur le bas de gamme pour un OS léger, sans trop d’applis, juste les nécessaires.



    Tu oublies S40, le dernier système de nokia pour smartphone d’entrée de gamme, et qui vient de faire un carton en Inde, au Cambodge, et pas mal d’autre pays de l’hémisphère sud.



L'architecte d'Hadopi se penche sur l’exception handicap pour le CSPLA

Le 03/01/2013 à 04h 13

J’adore ce type de mission…

Avec un mec aussi pragmatique, on va volontairement occulter des fait bien plus importants : moins de 10% des aveugles comprennent le braille, le coût prohibitif des solutions informatiques (logiciel et matériel) proposé aux aveugles, ou que la communauté sourde voit son taux d’inalphabète tourné autours des 60% selon les pays…






goodwhitegod a écrit :

Donc, est-ce qu’une personne tétraplégique qui télécharge des œuvres qui sont déjà accessible illégalement par les façons actuelles seraient légalisées ?<img data-src=" />



Ce n’est pas le propos ici.

Dans le droit d’auteur français, on a ce qu’on appelle le droit moral, qui couvre tous les problèmes non-liés au pognon dans la protection d’une oeuvre (la “vraie” définition est un peu plus complexe, mais c’est pour te donner une idée du truc). Ce pan du droit donne comme garantit à un auteur que son oeuvre ne peut être modifiée sans son accord.

Une traduction est une modification d’une oeuvre, on change la langue de l’oeuvre, donc il faut demander l’autorisation de l’auteur.

L’exception handicap permet depuis 2006 à des bibliothèques (ou autre comme décrit dans l’article), de modifier une oeuvre en vu de la rendre accessible sans le consentement de l’auteur. La loi dis clairement que les auteurs n’ont pas le droit d’être connard et de refuser cela, du bon sens quoi…



Navigateurs : des parts de marché relativement stables durant 2012

Le 02/01/2013 à 13h 52






Jean_Peuplus a écrit :

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maverick78 a écrit :

T’es sur de ton coup? Je connais au moins un groupe du CAC40 qui est encore dessus :)



Bah 1% des parts de marché….



Le 02/01/2013 à 12h 38






asmrct a écrit :

Et combien encore de visiteurs sous IE 67 ? Ce cauchemar <img data-src=" />



En france, IE6 est mort…

Dans un pays comme le Cambodge (bien dans le tréfonds du tiers monde donc…), IE6 et 7 arrivent même à représenter moins de 3% du marché au niveau national…

Le problème est aujourd’hui majoritairement chinois… Les institutions gouvernementale et les banques persistent à utiliser des activeX pour gérer l’authentification de leurs utilisateurs. IE6, IE7 et des browser chinois comme 360 safe browser (utilisant le moteur d’IE7… Visiblement sans demander l’avis de MS), représentent plus de 90% des parts de marché… Sans compter la part majoritaire de windows XP comme OS…



Devant Lescure, les majors de la musique réclament amende et filtrage

Le 02/01/2013 à 12h 32

Il connaisse le fichier hosts ? Qui permet en locale de mapper n’importe quel domaine sur l’ip de son choix ?

Je suis un fervent défenseur du droit d’auteur, mais avec des lascards comme ça, je suis pas vraiment aidé…


Microstock : le CSPLA s’attaque aux banques d’images libres de droits

Le 01/01/2013 à 15h 31






methos1435 a écrit :

Ca serait en gros dire que les amateurs ne font que de la merde ce qui est faux.



Est ce que c’est ce que j’ai dis ?

Est-il inadmissible de penser qu’une personne consacrant la plupart de son temps à une activité (quelqu’elle soit) soit plus compétente dans ce domaine qu’une personne qui la pratique de manière occasionnelle ? Est-ce insultant pour la seconde personne ? Ca n’engage que moi, mais je ne le crois pas.



methos1435 a écrit :

Sans compter que l’appréciation d’une photo est quelque chose de totalement subjectif…



Un photographe qui vit de la photo ne fait pas de l’art, mais de l’art appliqué. Il n’y a pas vraiment “d’artistique” dans les photos des dernières collection h&m ou dans les dernières campagne macdo. Et dans l’art appliqué, il n’y a rien de subjectif.

Quand bien même, la seul part de subjectif dans l’art est à la discrétion du spectateur : l’art, quelque soient ses branches, respecte ses canons, ses codes, ses critères… Il aura fallu attendre le dadaïsme (à partir de la seconde moitié de la première guerre mondiale) pour voire des gens remettre en cause cette codification de l’art.

La joconde n’a pas était choisit parce que sa beauté à inspiré De Vinci, mais bien parce que c’était la gonzesse du mec qui a payé pour que la tableau soit peint… Par ailleur, bien que la religion est pu inspiré du monde, elle n’a pas inspiré les artiste, l’église ayant en son temps eu un budget “communication” assez conséquent…

Comme on le voit, le mythe de l’artiste qui ne travaille que pour la beauté de l’art est récent. Avant le XXème siècle, l’artiste est avant tout un artisan qui répond à des commandes, et encore aujourd’hui, j’ai le sentiment qu’on produit plus d’oeuvre d’art appliqué, que d’oeuvre d’art.

Si tu souhaites en découvrir plus que je ne serait capable d’en partager, je te recommande ‘l’histoire de l’art” écrit par G.h. Gombrich aux éditions Phaidon.



Le 01/01/2013 à 03h 47






Snake-Ice a écrit :

Sauf que la notion de perte, tu payes pas pour prendre une photo.



Quand une personne travaille, elle consome une ressource : son temps. Ce n’est pas totalement une perte, mais plutôt un investissement.

Ici on parle de rémunération (mais pas uniquement) dans un cadre professionnel, sans trop m’avancer, on peut imaginer que la qualité des photos d’un photographe pro est quand même meilleur que la qualité des photos d’un japonais aux pieds de la tour eiffel… Ce qui se justifie avant tout par une expertise, et pas uniquement par le matériel.




Ph11 a écrit :

D’autres se tirent une balle dans le pied, cela signifie que l’on doit se le faire ?


Ca s’applique aussi au droit d’auteur, ce n’est pas parce que les américains ont un droit d’auteur pourri qu’on doit les imiter.



Ph11 a écrit :

Rien n’a jamais démontré que le protectionnisme fonctionne. Les intentions ne sont pas les résultats.



En termes d’emploie ça a l’air de fonctionner dans les contextes brésilien et thaïlandais. (Usine Apple aux brésile, Usine Kawasaki, Honda et Toyota en Thaïlande, certaines motos et scooters vendu en france sont même fabriquées en Thaïlande à ma connaissance).

Je ne dis pas que ces pratiques précisément peuvent marcher en france. J’insiste sur le contexte.

Mais je parlais de protéger nos droits. Ce n’est pas parce que des chinois ont le droit d’avoir des conditions de travail digne d’un esclave que nous devons niveler notre niveau de vie par le bas pour être compétitif.



Ph11 a écrit :

Lorsque le gouvernement s’occupe de morale et non de justice, le crime devient péché et le tribunal devient inquisition.



Oulalalalala… Il y a une méprise de ta part.
Le mot “moral” n’a pas qu’une définition biblique…

Je t’invite à revoir ta définition de la notion de “droit moral”.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Droit_moral

Je t’invite aussi à voir la définition du préjudice moral, encore une fois, rien à voir avec la moralité des gens :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Dommage_en_droit_civil_fran%C3%A7ais#Le_dommage_mor…

L’etat s’occupe déjà de question moral donc, sans qu’on soit en période d’inquisition, exemple : une victime de harcèlement, harcelé uniquement oralement, sans contact physique, fait une dépression nerveuse, le préjudice est ici un préjudice moral.



Ph11 a écrit :

En gros, on établi le crime d’honneur concernant l’oeuvre…
C’est ridicule.
Cela sera toujours une violation de la liberté d’expression et n’a aucun intérêt moral ou utilitaire.



Dans le droit moral, on retrouve le droit de repentir.

Encore un exemple concret :
Etant jeune je faisait partit des jeunesses nazi, étant jeune j’ai été endoctriné sans trop comprendre ce qu’il se passait. J’ai publié à cette époque un essais expliquant les bienfaits de la colonisation. 10 années plus tard, en murissant, mon expérience personelle m’a montré que j’était dans l’erreur, j’ai changé, moi même autant que mon opinion. Je souhaite faire cesser la diffusion de mon oeuvre, le droit de repentir me le permet.

Au contraire de ce que tu dis, ca contribue grandement à la liberté d’expression, avoir le droit de se taire, et de choisir quand et sur quoi on veut s’exprimer sont des constituantes de la liberté d’expression.

Le droit de respect de l’oeuvre est aussi important dans le droit moral français : on ne peut modifier mon oeuvre sans mon consentement. La encore c’est une garantie à mon droit de m’exprimer de la manière que je veux, que mon propos ne sera pas déformé. Est-ce dénué d’intérêt ou inutile ?



Ph11 a écrit :

Quelqu’un déterminé à casser votre réputation y arrivera toujours par un moyen ou un autre, loi ou non.



Bien entendu, mais est ce que cela doit rester gratuit et impuni par la loi ?



Ph11 a écrit :

Par contre, les crimes d’honneurs permettent surtout de protéger ceux qui ont les moyens d’utiliser la loi sur la diffamation, la calomnie contre vous pour couvrir leurs propres actes.



Déjà “les crimes d’honneurs” ça n’existe pas dans le droit français, du moins ça n’existe plus depuis au moins Napoleon…

Ensuite ça n’est pas réservé aux riches, puissants et célèbre. Ce n’est pas parce que des affaires ne passent pas à la télé qu’elles n’existent pas.



Ph11 a écrit :

Besoin pour quoi ? Pour « réguler » la liberté d’expression ?
[…]
La France viole plus la liberté d’expression que les USA et on ne va pas s’en plaindre ?



As tu le sentiment que tu ne peux pas t’exprimer de la manière que tu veux en france ?

Le droit américain en la matière dis “on peut tout dire”, le droit français français dis “on peut tout dire, si on respecte autrui”.

Aux USA, des manifestant ont le droit de crier “mort au pédé”, ou bien “ce pédé ne devrait pas avoir une sépulture digne” devant un cimetière quand un homosexuelle se fait enterrer (on a vu régulièrement le cas pour des soldats mort au combat en Afghanistan). Le droit américain ne prend pas en compte ici le préjudice moral vécu par la famille du défunt.

Vas tu m’expliquer que le droit américain est infiniment meilleur que le droit français ?



Le 31/12/2012 à 15h 56






moggbomber a écrit :

encore un belle exemple de lobby et protectionnisme d’un autre age.



Sur ma réponse à Ph11 un peu plus bas, tu verras que tout dans cette entreprise du ministère de la culture n’est pas “d’un autre âge.

Et sans être péjoratif, les méthodes de travailles que tu décris d’il y a 15 ans ont donné l’occasion de faire de jolis procés.

Quand au protectionnisme, il serait peut être temps de s’y mettre quand on voit les pratiques des USA, de la chine, de la thailand, du japon, de la corée, du brésil ou tout autre pays du BRIK,… (Au hasard : une taxe de 30% sur tout les produits importés en thailand…).



Ph11 a écrit :

Disons qu’aux USA, on considère qu’on n’a pas besoin de l’état pour dire que X est à l’origine de la création y.



On parle d’un pays on l’on peut faire un procés à un mec qui pisse de travers… On parle d’un des pays d’un pays ou en 2007 il y avait un avocat pour 295 habitants (pour comparaison en france on en était à 1 pour 1 403 habitants), et si je parle d’avocat c’est bien pour traduire l’implication de l’état à trancher des contentieux au travers de monsieur le juge…

Le copyright américain encadrait uniquement l’aspect financier de la création jusqu’à il y a peu…. Cela ne veut aucunement dire qu’il n’y a jamais eu de contention autours de la paternité d’une oeuvre, ou autours du droit morale aux USA.

Pour exemple : en 1975 les Monty Python ont porter plainte contre la chaine américaine ABC pour avoir diffuser une version modifier du film “flying circus”, car les modifications ont été apporté sans l’accord de l’auteur.

Le droit moral ce n’est pas uniquement le droit de paternité (le doit de dire publiquement qu’on l’auteur d’une oeuvre), mais c’est aussi un ensemble de droit qui permet de protéger l’auteur et son ouvre, par exemple en cas d’une modification de l’oeuvre qui pourrait nuire à la réputation ou à l’honneur de l’auteur, en cas d’usage abusif du nom de l’auteur, de permettre à l’auteur par certains procéder de stopper la diffusion d’une oeuvre, d’empêcher la destruction de l’oeuvre par l’ayant droit, ou bien encore le droit de spécificité lors de la première divulgation de l’oeuvre… etc.

Contrairement à ce que tu affirmes, si on a eu besoin de l’état pour traiter des questions de droit morales dans le copyright : The Visual Artists Rights Act of 1990, comme son nom l’indique à été voté en 1990 (très tardivement donc), et est devenu un chapitre à part entière dans le droit du copyright américain.

On en arrive donc au problème soulevé par le ministère de la culture : le droit morale américain n’accorde pas autant de droit que l’équivalent français. Et là ça rentre en confrontation avec le droit français : l’article L121-1 du code de la propriété intellectuel est très claire, le droit moral est INALIENABLE. Alors que, le copyright américain permet de céder une partie de ces droits, et une licence chez fotolia demande donc de ne plus jouir de ces droits.

Pour une fois que notre gouvernement s’occupe de protéger nos droits, qui plus est sur la scène internationale, on ne va pas ‘en plaindre, non ?



Le 31/12/2012 à 10h 33


ils restent néanmoins protégés par un statut légal dont certaines dispositions sont d’ordre public et auxquelles il ne peut être dérogé par contrat.


En effet le droit de paternité d’une oeuvre, par exemple, est un droit inaliénable en france, tandis qu’il peut se “moneyer” aux etats unis…


Projet X, film le plus piraté de l’année 2012

Le 29/12/2012 à 01h 23






DDReaper a écrit :

justement, personne n’a envie de payer pour ça..



Si le film est mauvais, pourquoi vouloir le voir ?



Le feu vert de la justice britannique aux ayants droit du porno

Le 28/12/2012 à 14h 19






tmtisfree a écrit :

Poids moyen d’une banane = 100g.
Valeur d’un lingotin d’or de 100g (cours du 28/12/2012) = 4010.00 €.

J’attends ton chèque certifié.

Note : aucune remise ne sera acceptée pour cause d’absence de définition de “développement culturel mondial” (une expression assez vague pour accepter tout jugement de valeur dans un sens ou dans l’autre).




Explication, certes bancale, mais qui mérite sa banane :
http://www.thebandfrom.com/wp-content/uploads/jonathan-adler-gold-banana-bud-vas…

Note: toute réclamation est nul et non avenue, de part l’inexistence de condition général de participation.



Le 28/12/2012 à 10h 22






yvan a écrit :

Maintenant on autorise des sociétés privées à potentiellement racketter comme dit plus haut.
Drôle de mentalité.



Et je suis bien d’accord, c’est de la repression déguisé sous forme de negotiation. C’est inadmisible de laisser ce genre de pouvoir à une autre entité que l’état.



Le 28/12/2012 à 09h 24

Un banane d’or au premier qu’arrivera à expliquer que ces contenus sont indispensable au développement culturel mondial et dont le piratage est justifiable…

Plus sérieusement, je trouve choquant les 75% de commission que cette compagnie se prend…


Proxy pour The Pirate Bay : le Parti Pirate français à la rescousse

Le 27/12/2012 à 16h 51






karamba a écrit :

Sur ce, fin de la discussion pour moi.



Si tu n’attends pas de réponse de ma part, pourquoi t’adresser à moi ?



Le 27/12/2012 à 12h 48






yvan a écrit :

A ma connaissance aujourd’hui c’est beaucoup la pub et les états qui financent le divertissement déjà.



Pour le financement par l’état, j’ai le sentiment que ça reste une exception culturelle française, ou bien plus largement, une exception de certains états providences (genre suède, norvège, …), et là on parle de pays où l’imposition est très élevée…

Dans des états plus libéraux (genre japon, USA), ou même socialiste mais avec une imposition globale infèrieure à 40% des revenues (genre thailand), je n’ai pas connaissances d’impôt comme la redevance TV par exemple, ou de subvention comme celle du CNC (Lui même hautement financé par des organismes privés, genre canal+).

Si t’as des exemples je suis preneur.

Le financement par l’état me pose un problème, vu que je paye encore des impôts en france, on parle de mon pognon (oui, pas que du mien on est d’accord…), et on connait très bien l’efficacité de l’état pour gérer notre pognon (exemple : le gouffre hadopi…). Qui plus est le rôle de l’état n’est pas de faire des bénéfices, donc ils ne cherchent pas à être efficaces, contrairement à une boite privé, qui est là pour faire du fric… Personnellement rien pour la gestion du pognon par l’état, ça me fait flipper…

Pour le financement par la pub… Oui et non. Le modèle de la télévision n’est pas forcément un bon exemple. L’achat ou la production d’un programe est un investissement qui permet la vente d’espace publicitaire, et non pas l’inverse. Et là encore, la multiplication des chaines, le manque de transparence du système audimat démystifier par les système de monitoring des chaines en ADSL, ont sévèrement tranché dans les bénéfices lié à la pub.



yvan a écrit :

Et sinon les coûts de production ont également beaucoup baissé avec l’informatique (à qualité égale en tous cas).



Le coût des moyen de production : oui. Mais il a fallu de plus en plus de compétences pour utiliser l’informatique dans le cinéma, donc des gens en droit de demander des plus gros salaires…

Ca a permis de multiplier les productions aussi, offrant de la diversité.



yvan a écrit :

Je n’ai pas spécialement de réponse aux problématiques que tu soulèves, et comme dans tout changement il y a/aura de la casse sociale mais clairement le financement sera forcément un truchement de divers moyens.



C’est un point de vue purement objectif, qui oublie énormément le facteur humain.

Comme je connais pas ta profession, je vais supposé que t’es tourneur-fraiseur. Si demain on vient te voir en en te disant que t’auras plus ton boulot, car un robot chinois va faire ton boulot, un super manager t’expliquera que t’es d’une autre époque, qu’une entreprise c’est comme une montgolfière… Et que tu te retrouves à devoir à expliquer à Brenda et Suzie (tes supposées femme et fille, dans l’ordre que tu veux…) que t’as perdu ton job, ça va te faire mal. Puis quand même, tourner-fraiser c’est ta passion, tu voulais pas que ça arrive, mais y’aura quand même une connasse incompétente à l’ANPE (*) qui te dira que tu doit faire une formation de caissier à carrouf… On parle bien d’un drame humain là…

T’aimerais pas que ça t’arrives, t’aimerais pas que ça arrive à ton entourage, comment serait-il humainement acceptable de l’accepter pour d’autres ?

Staline disait : “1 mort c’est une tragédie, 1 million de mort c’est une statistique”.



yvan a écrit :

L’un d’entre eux sera de vendre du support physique et de passer par la télé mais on ne peut accepter un flicage généralisé juste parce quelques lobbys et quelques stars refusant de sortir de leur tour d’ivoire considèrent que ce doit être le seul moyen de diffusion possible.



Je cautionne pas le flicage, on est d’accord.

Mais pouvoir décider de comment son oeuvre est diffusée, c’est le monopole du ou des auteurs / ayants droit. C’est un droit acquis avec le droit d’auteur, c’est une liberté. En obligeant la diffusion libre d’une oeuvre, tu retires une liberté difficilement acquise à un groupe de personne.

Ce n’est pas une perte acceptable dans une société démocratique, à mon sens.



yvan a écrit :

Ceci d’autant que ces industries du copyright n’ont aucune obligation de financer des nouveautés, lutter contre le piratage et lutter pour financer la culture ce sont presque deux disciplines séparées dans l’absolu



L’obligation de financer des nouveautés n’est pas morale, n’est pas légale, mais c’est une obligation de survie.

Lutter contre le piratage, ca peut se faire par la répression et l’éducation. Dans les deux cas ça me semble être du domaine de l’état. (Je ne vois pas qui d’autre devrait faire de la repression sinon…).

Pour la culture, c’est libre de droit contrairement au divertissement, donc c’est un bien publique, qui doit être financé par les autorités publiques. Le raisonnement, formulé comme ça à l’air de tenir la route.



yvan a écrit :

(et j’ai bien vu que tu argumentais intelligemment <img data-src=" />)



Bisous à toi aussi.



(*) Que les gens de la profession me pardonne, c’était bien entendu de l’humour, toutes les nanas à l’anpe ne sont pas des connasses incompétentes… Seulement la majorité…



Le 27/12/2012 à 10h 40






yvan a écrit :

Effectivement l’être humain est en général médiocre.



J’aurais pas généralisé autant. Justin Bieber ne sera probablement jamais chevalier des arts et des lettres, ça ne l’empêche pas de de divertir une partie non négligeable de la population. Son publique attent ce niveau de qualité, il offre ce niveau de qualité, il fait son job en offrant une forme de diversité, en soit c’est respectable, même si ce n’est pas dans mes goût, ni dans les tiens j’imagine.




yvan a écrit :

Après tout le débat est doit on obligatoirement toujours viser l’élévation. Est ce que Proust ou Camus en famille ne faisaient pas tourner les serviettes dans les mariages? Est ce qu’ils ne se masturbaient pas sur du porno? (au moins Pagnol en a tourné il me semble).



Je dis juste que la culture est indispensable et que ces formes de divertissement sont dispensables.

Si tu prends pour l’exemple les paysans des régions les plus rurales du Cambodge, volontairement, je choisis un cas extrême, ils n’ont pas vu les derniers europa corp, ni entendu le dernier Rihanna, ça n’en fait pas d’eux des barbares, encore moins des aliénés ne sachant pas se divertir, et ça ne les empêches pas d’avoir une culture très riche.



yvan a écrit :

Personnellement je pense qu’il faut laisser un libre accès aux choses et si quantitativement on trouve logiquement la masse des gens qui va vers des trucs faciles, des moyens de fuite etc.



La problématique ici, c’est le financement des divertissements. Au delà de l’argent, ça consome des ressources, dont la plus importante : le temps des gens (en l’occurrence passer à réaliser un film par exemple).

Un monteur, un éclairagiste, un ingénieur du son, et tant d’autre, ils font la même chose que toi, exploiter leur connaissances et leur expertise pour payer leurs loyers.

Ces mecs là font juste leurs jobs, ils n’éclatent pas d’un rire diabolique le soir venu en criant au combien ils dominent le monde.

Comme on le voit pour produire du divertissement, faut du pognon. Tu le trouves où. La plupart des modèles d’échanges libre propose de financer le divertissement par l’état (au travers de nouvel imposition, genre licence globale). Personnellement, les politiques de financement d’état sont souvent douteuse dans ce genre de domaine. On le voit bien par exemple avec le théâtre, qui vit sous perfusion de l’état, où le monde de la production est opaque, limite mafieu.

Qui plus est, il y a une question de confiance qui est soulevé, au moins avec une entreprise privée, tu sais qu’elle ne s’intéresse qu’à ton ponion…Et non pas à modifier ton opinion.

Le problème de partie comme le partie pirate, promouvant le libre échange, c’est l’approche purement informatique des problèmes de piratage. Le peu de fois où une solution est proposé, ces gars ne parlent jamais de l’emploi dans les domaines du divertissement par exemple, au bien ils entretiennent un amalgame entre culture et divertissement. Je n’ai pas vu, de mémoire, avoir vu ces parties avoir travaillé avec des avocats spécialistes du droit d’auteurs, ou bien des producteurs indépendants. Bref ils ne démontrent qu’un manque totale de connaissance de ces domaines.



yvan a écrit :

l’essentiel est que les gens plus pointus culturellement ne soient plus passés à la broyeuse du cocktail censure/blocage financier/blocage légal.



On est d’accord. Mais on ne peut pas dire que les gens étaient ignares et aliénés avant 1993 non plus…



yvan a écrit :

Ca ferme les discussions oui <img data-src=" />



Rhooo vilain…
Je te montre bien là que je suis quand même un gentil garçon qui ne mord pas ?



Le 27/12/2012 à 09h 01






CreaYouz a écrit :

Une opinion qui ressemble plus à un sarcasme qu’autre chose, je ne suis pas sur que tu apportes grand chose non plus.



Est-ce un mal d’être sarcastique ?



CreaYouz a écrit :

Après permettre l’accès à un site proposant une somme de connaissances de et contenu phénoménales est quelques choses que je trouve très bien et que je supporte..



Il m’est difficile d’admettre que TPB propage uniquement des contenu ayant pour but de permettre à l’homme de s’élever au delà de sa condition (en soit, une définition communément acceptée de la culture) . Aller au hasard, dans les top 100 des dernières 48H :




  • 2eme film le plus téléchargés : taken 2, un film reconnu pour sa finesse intellectuelle…

  • 5eme musique la plus téléchargé : gangnam style

  • On va coller l’intégralité de la rubrique porno…

    J’en passe et des meilleurs. Mais clairement dans les top 10 on trouve des contenus, qui certes peuvent être des très bon divertissements, mais qui peuvent tout aussi bien être dispensable à l’évolution intellectuelle de l’Homme.

    Et y’a un autre acquis social qui est la protection de la propriété intellectuel. Acquis qui doit permettre à quelqu’un de vivre de son travail, que ce soit un travail produisant de la culture ou, sans être péjoratif, du divertissement.

    Et c’est la que TPB m’emmerde, c’est le parasitage. Ce n’est pas les créateurs de contenu qui sont rétribué pour leur travail grâce au pub présente sur le site. Moralement, j’ai du mal là…



Le 27/12/2012 à 02h 37






karamba a écrit :

Dixit celui qui a fait quoi à part laisser ce message ?



Remarque un peu facile. Je ne t’en veux pas, tu ne peux pas savoir. Je n’ai pas à me vanter des actions que j’entreprend, surtout quand celles ci sont carrément hors sujet ici.

Quand bien même, j’ai quand même eu le mérite d’apporter une opinion à ce débat. Et toi ?



Le 26/12/2012 à 15h 39

Oulalala comment c’est trop des rebelles… Comment ils font des gros doigts à une autorité qui ne pourrais les juger que sur son propre sol, autorité qui va pas s’emmerder dans une procédure d’extradition perdue d’avance.

Sans déconné…. Il en fallait du courage pour faire ça.


UK : de nouveaux proxys pour contourner le blocage de The Pirate Bay

Le 25/12/2012 à 15h 24






Chamaloxxx a écrit :

Le problème c’est que le niveau global des discussions autour de la neutralité d’internet et du piratage est très très bas.
[…]



Tu prêche un convertis là.



Le 24/12/2012 à 17h 10

@zogC
Je me sentais seul à faire l’avocat du méchant goliath qui lutte férocement contre le gentil piratebay… Merci.


Un Suédois puni pour avoir participé au développement d'un site de torrents

Le 24/12/2012 à 01h 01






kamui57 a écrit :

je dis simplement qu’on ne peut pas déduire que le site était illégal simplement à partir de la technologie utilisée



Je suis bien d’accord avec toi.
Mais l’article est claire, la violation de copyright est avérée, et il était conscient des faits.



Le 23/12/2012 à 14h 42






philoxera a écrit :

Quand une loi est illégitime, il est est de notre devoir de ne pas la respecter.



Je peux me tromper, mais cela ressemble à une citatin erroné de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789. Citation peut être un peu plus claire dans la version de 1793 du même document : “« Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ».

Malheureusement, jouir de la propriété intellectuel d’autrui sans le consentement de l’ayant droit n’est pas aujourd’hui “un droit du peuple”, et quand bien même un disque de justin bieber ou de nickki minaj sont piratés, je doute que l’on nuisse au droit du peuple d’avoir accès à la culture et à la science.

Un bon exemple dans le même style serait d’énoncer que le droit à la nourriture et à l’eau potable sont des droits fondamentaux, mais il reste interdit de voler de la nourriture à auchan.

Au contraire la propriété intellectuelle est droit acquis par le peuple. En l’occurrence donc, le peuple s’étant battu pour obtenir ces droits, les lois sur la propriété intellectuelle sont très loin d’être illégitime.



kamui57 a écrit :

«Certains commentaires sur Techdirt affirment que j’aurai dû prévoir cela en proposant des liens vers The Pirate Bay et Demonoid qui sont considérés comme des « bastions du piratage ». Et pourtant, avoir fait appel à eux pour aider les gens à trouver mon livre (sous licence libre) montre qu’on peut aussi les utiliser de manière tout à fait légale. Que certaines personnes y déposent illégalement des contenus protégés ne fait pas de ces sites le mal absolu. Ce sont simplement des outils et ils sont neutres en soi, un peu comme un couteau, qu’on peut utiliser à bon ou mauvais escient.»



On peut quand même imaginer, sans faire trop d’amalgame, que le couteau présent dans la poche d’un racketteur multi récidiviste ne sert pas uniquement à éplucher des patates =).



Le 23/12/2012 à 14h 14






Chrisrc01 a écrit :

le gars on lui as demandé de participer à la création d’un site Bittorent , or c’est n’est pas interdit par la loi



Le gars n’a pas été condamné pour avoir programmer un site bittorrent. L’article, autant que le jugement, est très clair là dessus =).

Il a été condamné pour avoir participer à une activité illégal en connaissance de cause.



Chrisrc01 a écrit :

c’est quand même différent d’un gars qui conduit une camionnette avec 4 personnes armées



Oui, c’est différent, mais cela reste illégale.
Oui c’est différent et c’est bien pour ça que la peine est bien différente. Le juge a ici particulièrement fait preuve de bon sens. 75h de TIG et 4900€ d’amende ne vont pas détruire sa vie.



Chrisrc01 a écrit :

Pour la guerre , je suis d’accord bien que tout le monde s’assoit sur le droit international , à commencer par les US et bien d’autres …



C’est un autre débat. =)

Bien de bonnes fêtes à toi aussi.



Le 23/12/2012 à 12h 49






Chrisrc01 a écrit :

Non ;)
La stupidité de la décision est simplement plus marquante avec un exemple comme celui ci



Dans le cas présent on parle de droit économique (de porté national), la guerre est régis par le droit international, rien que ça est une différence monstrueuse.

Quand un “chauffeur” participe au braquage d’une banque, on parle de complicité, au sens juridique, personne ne trouve ça stupide. Et si une analogie doit être faite, c’est plutôt avec un cas comme celui ci.

Après on ne vend pas un avion de chasse dans le but premier de tuer quelqu’un. Une arme de guerre à pour but d’abord de dissuader d’éventuels ennemis, ensuite de défendre un pays et son peuple, garantir la souveraineté d’un état… etc.



Le 23/12/2012 à 12h 24






Chrisrc01 a écrit :

C’est à mon avis un non sens , on pourrait condamner les ouvriers qui fabriquent des chars d’assauts , de avions de chasses car il savent très bien que ça ne sert pas à chasser le pigeon <img data-src=" />



Mais que viennent faire les marchands d’armes dans un sujet comme celui ci ?
C’est pas un peu carrément hors sujet ?

Pourquoi parler de ceux là, alors qu’il est vachement plus primordiale de parler du massacre organisé par le lobby des fabricants de préservatif en peau de bébé phoque financés par l’or nazi? Non ? Parce que s’il balancer du hors sujet, autant y aller à fond…



Le 23/12/2012 à 03h 23






Sariote a écrit :

Encore une victoire du libéralisme contre l’humain.

Bravo.



Quid de la liberté de l’auteur de choisir de ne pas distribuer librement son oeuvre ? C’est un salaud parce qu’il veut vivre de son travail ?



Chrisrc01 a écrit :

Fallait la trouver celle là , à quand la complicité d’une éventuelle complicité supposé complicité d’une complicité éventuelle <img data-src=" />



La complicité de contrefaçon, en tout cas dans le droit français, existe depuis plusieurs dizaines d’année…

Techniquement, toujours dans le droit français, si quelqu’un participe en connaissance de cause à l’élaboration d’un site dont la volonté manifeste est de distribuer des contrefaçons, le cas est prévu par la loi française (même si il n’a jamais été appliqué).

Il fallait que ça arrive, qu’un jours ou l’autre, cet outil juridique soit utilisé.





Apple coupable d'avoir enfreint trois brevets de la holding MobileMedia

Le 14/12/2012 à 12h 12






Khalev a écrit :

Maintenant tu peux remplacer France par Europe, vu que le brevet unique est passé…



En faite non. Un des compromis fait sur le brevet unique européen, c’est de conserver l’usage de la loi nationale du lieu du conflit.

En l’état ce qui est passé, c’est juste une diminution du coût pour déposer un brevet à l’échelle européene… Rien de plus.



Le 14/12/2012 à 01h 56

Ce n’est pas le système de brevet qui permet des aberration comme celle-ci, mais le système de brevet américain.






Consultant a écrit :

…Dans cette logeek je ne serait point étonné de voir apparaitre de nombreux brevets sur les biotechnologies/nano/clonage quand l’Homme en aura le plus besoin … pour faire simple des brevets sur la vie sur le futur de l’Homme.



Dans les accords internationaux sur la propriété intellectuelle, et donc les brevet, quand on defend un brevet à l’étranger on le défend avec le droit national du lieu ou la plainte a été posé. Exemple : si un boite américaine ayant déposé un brevet au USA veut porter plainte contre une société française, elle le fera en france, et ce sera avec le droit français.

Et en france, on ne brevette pas le vivant.



[MàJ] Journée décisive pour le brevet unitaire européen

Le 12/12/2012 à 03h 25






Resman a écrit :

L’intérêt des lois en principe se mesure à leur impact sur la société.



Vue qu’on est pas resté bloqué au train à vapeur, on peut au moins dire que le brevet n’a pas tuer l’innovation. =)



Resman a écrit :

aurait-on connu 20 ans de retard en pharmacie, ou 20 ans de progrès grâce aux profits réalisés ? Difficile à dire.



Dans le climat actuel, il n’aurait pas déposer de brevet, un gros laboratoire aurait très bien pu bidouiller un truc vite fait pour en déposer un.

Un brevet ne signifie pas uniquement “se faire du fric”. On peut déposer un brevet, au contraire pour être sur que personne d’autre ne se ferait du fric avec la dite invention, et ainsi garantir qu’une invention soit diffusé gratuitement.

Ce qui pourrait être très drôle, c’est de voir un jours une structure dédié à l’open source, genre une fondation, commencer à déposer des brevets, et de pouvoir imposé l’utilisation d’une licence libre sur certaines technologies, sur des techno fondamentales ça serait encore plus drôle… Légalement tout les outils juridique sont là, mais personne ne s’y colle…



Resman a écrit :

Par ailleurs je pense que c’est une erreur de donner le monopole d’une invention à un individu, comme si cet individu était seul à l’origine de l’invention.



Il me semble qu’un brevet peut être obtenu par un collectif de personne, en france tout du moins. Mais je peux me tromper.

Quand bien même, si je me trompe, un brevet peut être obtenu aussi bien par une personne physique que morale. Des chercheurs peuvent se regrouper sous la forme d’une association à but non lucratif (genre loi de 1901), pour déposer un brevet collectivement. Ca marche aussi avec une SARL.

Encore une fois, l’outils juridique est là.



Resman a écrit :

On oublie qu’il se repose sur l’évolution des sciences et techniques faites et partagées par d’autres.



Partagé par d’autre, au travers d’une divulgation publique.



Resman a écrit :

L’originalité réside dans les spécificités comme la conception du haut-parleur, micro, etc,



C’est ce que nous protégeons en france, on ne protège pas les idées, mais des procédés.



Ingénieur informaticien a écrit :

Ah non c’est pour du copyright peut-être ?
Je mélange un peu j’avoue.
Les considérations sont similaires il faut dire.



Le dépôt d’une marque, d’un dessin industriel, d’une oeuvre artistique, ou d’un procédé industriel, ont chacun des spécificités bien propre. Un de leur seul point commun est d’être issus de l’esprit d’une ou plusieurs personnes, d’où une base de règle commune, mais ça s’arrête là.

Dysney ne déposer aucun brevet (procédé industriel), il serait plus qu’humoristique de les voire pratiquer un lobying dans ce domaine.

Je crois te l’avoir déjà dis, mais l’exemple du code de la propriété intellectuel américain est tout sauf un bon exemple. Quasiment aucunes des dérives du système américain, sur ce sujet, ne serait jamais possible en france.



Le 11/12/2012 à 15h 00

@Resman





Resman a écrit :

(études US mais vu qu’on se rapproche de plus en plus de leur modèle, ça me semble pertinent)


Dans le premier liens que tu donnes, l’auteur semble chercher une preuve que le brevet doit absolument encourager les investissement dans l’innovation. Alors que l’effet premier d’un brevet, c’est d’obtenir un droit de monopole sur une invention (sauf en france, où il accorde un monopole sur un procédé industriel, ce qui est bien différent), donc de protéger un investissement.

Ton deuxième liens tiens déjà bien mieux la route. L’idée est intéressante en soit, peut être un peu trop généraliste, diviser par deux ou plus la durée de validité d’un brevet peut-il se faire dans tout les domaines ? Par exemple, 3 à 5 ans (comme le suggère Jeff Bezos), ce ne permettrait jamais de rentabiliser des brevet en avionique par exemple.

On pourrait aussi imaginer qu’une tels pratique, à défaut de corriger le fait que les brevet n’encourage pas les investissement, pourrait décourager les plus gros investissement en R&D et favoriser de petit investissement.

Mais ces études se base sur des facteurs numéraires. On pourrait presque lire entre les lignes que la qualité d’une innovation se mesure à l’investissement qui y a été apporté. Prenons pour contre-exemple la pénicilline, invention hasardeuse n’ayant rien couté ou presque, dont les répercutions pour l’humanité sont époustouflante.

Qu’ils soit américain ou français, le brevet implique de fait de rendre une invention publique, et aussi qu’au bout du brevet elle finira par tomber dans le domaine publique. J’ai bien peur qu’une réduction du temps de validité d’un brevet ait comme effet néffaste de réduire le nombre de brevet déposés, et donc d’encourager certains groupes à ne pas dévoiler leur inventions, plus qu’ils ne le font déjà. Dans certains domaine, seule deux ou trois société dans le monde sont capable d’innover.

La question est donc bien plus complexe que de mesurer le niveaux d’investissement ou la simple durée de validité d’un brevet…



Le 11/12/2012 à 09h 09

Ca va finir par servir à la même chose qu’hadopi ce brevet européen : à décorer le sapin…


@resman





Resman a écrit :

Des études faites aux États-Unis on montré que sauf dans 2 domaines demandant des investissement très important avant de faire des bénéfices, que sont la chimie et la pharmacie, les brevets ont globalement un impact négatif sur l’économie et l’innovation.



Moi aussi je suis preneur si tu as un liens.

Est-il préciser la porté de l’étude ? Car entre un brevet français et un brevet américain c’est le jours et la nuit…



Thinkpad X1 Carbon Touch : l'Ultrabook tactile sera disponible en janvier

Le 11/12/2012 à 10h 35

C’est pour les pro, donc on met une couche tactile…
J’aimerai comprendre la logique….


Kim Dotcom dévoile le futur Mega en images

Le 10/12/2012 à 12h 04

Vue que les sites de warez diffuseront publiquement des clés, seront-elles vraiment utiles ?

Mais j’adore ce mec ! Héro du peuple, qui oublie volontairement que ce gars s’est déjà fait pincer pour diverses escroqueries bien avant 2012…