votre avatar

DotNet

est avec nous depuis le 9 septembre 2013 ❤️

36 commentaires

Le 26/11/2013 à 23h 32







OlivierJ a écrit :



Ça va t’intéresser, c’est via Eolas récemment :



Cimetière à idées reçues : La résidence des enfants chez les pères : les chiffres du ministère de la justicehttp://forum-famille.dalloz.fr/2013/11/25/la-residence-des-enfants-chez-les-pere…



(source :https://twitter.com/Maitre_Eolas/status/405102454473117696 )







Merci!! C’est en effet attendu et j’espère que cela ne sera pas trop dirigé!

:)


Le 26/11/2013 à 22h 23







j-c_32 a écrit :



Pas vraiment. Tu disais “Historiquement, le féminisme est un mouvement collectif destiné à défendre le droit des femmes”.



Mais tu n’as jamais expliqué en quoi ta première phrase implique que le féminisme est uniquement basé sur un constat pragmatique.

Par exemple, ma “3ème idéologie” (qui n’est pas la recherche d’une égalité pragmatique, mais la recherche de la disparition de la hiérarchie, qui peut exister même en cas d’égalité pragmatique) est totalement compatible avec ces faits historiques.





Ce qui est simpliste, c’est que tu te réduis à un fait historique: “le mouvement est né avec une volonté pragmatique” -> “ça implique que l’idéologie est basée sur une recherche d’égalité pragmatique”.

Or, pour pouvoir dire ça, il faut encore prouver que les initiateurs rejettent l’approche “lutte contre la hiérarchie sociale des genres”. Il se peut très bien qu’ils étaient pour une lutte contre la “hiérarchie sociale des genres”, et aient commencé par des points pragmatiques.



C’est comme dire: Historiquement, les tenants du marxisme ont organisé des punchs militaires. Une fois ces punchs militaires réalisés, ils ont donc atteint leur objectif.

Or, les punchs militaires étaient un moyen, pas un but. De la même manière, pour un féministe qui recherche l’égalité des classes sociales (sur le plan de l’inconscient, pas uniquement dans la pratique), la lutte contre les inégalités pragmatiques est un passage obligé.





Mais … ? C’est TOI qui prétends séparer les “bons” et les “mauvais” féministes sur base d’une idéologie que tu as construite sur un fait.

Ou alors t’es pas clair du tout avec cette histoire de “historiquement”: soit c’était une volonté de ta part d’apporter un argument, et là, je le réfute avec mes arguments faits ci-dessus, soit c’était juste une justification de ta propre idéologie, auquel cas, je ne vois pas pourquoi tu as besoin de te justifier.





Relis la partie de commentaire à laquelle tu réponds



Pour résumer:

Toi, tu dis: aujourd’hui, on va parler de tartes. Il existe uniquement deux tartes. Soit vous êtes une tarte au sucre, soit vous êtes une tarte aux pommes.

Ce à quoi j’ai répondu: mais non, il existe aussi les tartes aux cerises, même si bcp de gens l’oublie alors que c’est une des plus importante.

Tu me réponds: en quoi ce que pensent les gens est important pour le débat sur les tartes. Reprenons: il n’existe que deux tartes …



Tu ne vois pas le problème ?

Tu réagis sur un détail de ma réponse (le fait que les gens l’oublient souvent), alors que c’est pas du tout le point important.





Je ne discute pas de sa portée, je critique le fait que ton discours est incomplet.

Est-ce plus clair ?





Mais qu’est-ce que ça prouve ?

Ça prouve qu’il existe des gens qui 1) ont une autre opinion que toi, 2) sont bornés.

Ces gens sont cons, tant pis pour eux.

Mais là, tu viens prétendre que parce que t’as trouvé un mini-écosystème d’intolérants qu’il existe un complot mondial où toute discussion sur le féminisme est censurée dès qu’on ne rentre pas dans les canons du néoféminisme.



De la même façon, si je procède avec le même procédé en me basant sur le site du Soir, j’en conclurais qu’il existe un complot mondial où toute discussion sur le féminisme est censurée dès qu’on ne rentre pas dans les canons du tout-ce-qui-n’est-pas-féminisme-pragmatique-c’est-de-la-propagande-avec-un-agenda-caché.

(ce n’est pas ce que je prétends, je pense que le débat est assez libéré)





Tu te coupes les cheveux en quatre pour rien.

Tu as juste dit: parlons de tarte: il y a uniquement deux sortes de tartes.

J’ai répondu: je ne suis pas d’accord, il existe une troisième sorte de tartes.

Je n’ai pas dit que tu prétends avoir raison, juste que tu ne réponds pas à ma question: j’expose une troisième tarte qui ne colle pas à ta théorie, qu’en fais-tu ?







Tu ne veux poursuivre par mp car je pense, comme le dit Huron, que cet échange de point de vue n’intéresse personne?


Le 25/11/2013 à 20h 41







OlivierJ a écrit :



Je viens de comprendre le souci : je parle des demandes faites auprès des JAF, et toi tu penses aux jugements finaux.

Donc je répète : quand tu demandes à des JAF ou des avocats quelle est la demande, ils te disent que les hommes qui demandent la garde principale sont minoritaires. Il ne s’agit pas d’un argument, mais d’un fait. Pour ce qui est décidé ensuite, je n’en ai pas parlé.





Pas de soucis!

C’est pour cela qu’il faut des chiffres! Parce qu’il manque les statistiques suivantes:




  • Avocat commun ou pas (c’est important)

  • Demandes initiales des 2 parents

  • Choix du juge

  • motivation du juge (impossibilités matérielles, éloignement,risques etc etc)

    [/quote]



    Si un couple veut voir un médiateur, il le peut, mais le JAF est nécessaire pour proposer et trancher, il n’y a pas d’autre solution. Le JAF intervient quand aucune médiation n’a été possible (il peut toujours tenter de concilier les souhaits des parents et le bien-être des enfants).

    Quant au suivi, un des ex-conjoints peut saisir le juge à nouveau s’il estime que l’accord n’est pas respecté.

    Là où tu soulèves un point important, c’est le manque de moyen de la justice, qui est récurrent dans ce pays, et qui allonge les délais de jugement.

    [/quote]



    Malheureusement, le médiateur est en effet saisi le plus souvent en cas de litige. Je parlais d’une nomination d’un médiateur pour accompagner de façon plus proactive les parents sur le chemin de l’éducation de l’enfant. Qu’il soit en quelque sorte celui qui, par sa présence, rappelle les droits et les devoirs aux parents et cela pour le bien de l’enfant.



    Tout comme il existe une obligation de soin, il pourrait y avoir une obligation de médiation mais dans le court, moyen voir long terme.

    Là, la justice, faute de mieux, ne peut rien faire d’autre que de laisser à leur propre compte des parents parfois en errances.



    C’est un sujet que la société devra aborder un jour où et l’autre en regardant la situation en face où alors, les cas désespérés se multiplieront avec des conséquences tragiques et un amer goût d’échec collectif pour la société. Est-ce cela que nous voulons?




Le 25/11/2013 à 20h 30







j-c_32 a écrit :



Mais tu prétends que ça correspond à une idéologie ?

J’ai du mal à comprendre comment on peut déduire une idéologie de simples faits historiques sans aucune analyse, vu que 2 idéologies distinctes peuvent conduire à des actes (et donc des faits) très similaires.





C’est le sens de l’Histoire: au départ il y a une idée (le regroupement de femmes face à une difficulté concrète (Ex: financière) puis au fil du tems (et donc de l’Histoire, cela devient autre chose (ici on peut parler d’une idéologie).

Donc du fait, il y a analyse, puis lecture et puis développement et conclusion.

Suis-je plus clair?



Premièrement, pourquoi parler de “réécrire l’histoire” ? En quoi mon propos est-il plus une réécriture que ton propos ? De nouveau, c’est un contre-argument qui ne prouve absolument rien (sauf sous-entendre que l’autre personne est malhonnête intellectuellement alors qu’elle fait objectivement la même chose que toi).





Je ne te visais pas directement, j’évoquais cette tendance ici et là qui consiste à vouloir absolument réécrire l’Histoire. Faire des anciens héros des nouveaux bourreaux et réciproquement.





Ensuite, oui, c’est simpliste de croire que la réalité des faits suffit à déduire l’idéologie: les faits ne représentent que les conséquences, tandis que l’idéologie correspond aux causes.





Simpliste? Comment veux-tu faire pour déduire quelque chose d’autre chose que d’un fait qui est vérité et objectivité par nature?



Autrement dit, si ton exposé n’a pas d’argumentation vrai, il est fort probable qu’elle n’est pas de démonstration vraie.

Le fait et l’idéologie n’ont pas de rapport directe, question de rhétorique!

a/ Tu exposes le fait

b/ Tu donnes ta lecture du fait (cela peut être d’apporter une analyse qui mène vers ce qui découlerait de ta lecture/analyse: l’idéologie. Est-ce plus clair?





Et donc, d’après toi, parler de prolétariat aujourd’hui n’aurait plus de sens en Europe puisque les problèmes pragmatiques qui avaient déclenché le débat à l’époque n’existe plus ?

Le prolétariat est un bon exemple: impossible de deviner, par exemple, le marxisme à travers les faits historiques. Le marxisme n’est pas “juste” la recherche de reconnaissance, c’est également un changement de paradigme.





Tu es en train de dire que les idéologies n’ont rien à faire dans cette discussion sur l’idéologie féministe ?

Je dis simplement: tu dis qu’il y a 2 idéologies. Or, je constate que j’ai une idéologie qui ne rentre pas dans les cases que tu présentes.

Il y a donc au moins 3 idéologies.

Maintenant, la question est, que fais-tu avec la 3éme idéologie ?

Moi, j’ai peur que cette 3éme idéologie soit très facilement classé dans ton “néoféminisme”, alors que cette idéologie n’a pas grand chose à voir.





Je n’ai pas dis cela???

Ce que j’ai dis:



Encore une fois, et désolé encore mais je ne vois en quoi ce que pensent les gens intervient dans cette discussion sur l’idéologie féministe ou néoféministe?





J’ai évoqué le discours qui est plus important pour en débattre que sa portée (qui une autre importance).

Est-ce plus clair?





Sauf que cet argument revient à censurer mon idéologie, la 3éme.

Il ne faut absolument pas rejeter les critiques. Mais quand on dit “ta troisième idéologie est critiquable parce que c’est du néoféminisme comme le définit DotNet”, alors que c’est pas le cas, ne trouves-tu pas qu’il y a un problème ?

Et là, si je réponds “non, mon idéologie ne rentre pas dans la case néoféminisme” on me réponds “tu vois, tu refuses la critique”. Pourtant, c’est un fait objectif que mon idéologie est opposée à une idéologie qui a l’égalitarisme pour fin.



Mais si tu postes un commentaire “pro-féministe” sur un article des journaux belges du Soir ou de la Libre (je suis belge, je les connais mieux que les sites d’info français), et bien tu vas te faire descendre en te faisant traité de bien-pensant. Au final, l’exception du Huff n’est pas suffisant pour prouver qu’il y a réellement une censure.

Et de nouveau, je ne vois pas ce qu’apporte cet argument: dire “je pense quelque chose qui choque la majorité des gens” n’est pas en soi une preuve qu’on est dans le vrai (et “il y a un complot et je suis le seul homme assez courageux et intelligent pour le combattre” fait plutôt penser aux propos d’un lunatique (je ne dis pas ça pour toi, hein))





Tu as raison, j’ai parlé de mon expérience. Mon expérience peut-elle alors se vérifier et devenir ainsi un fait?



Tu aurais pu le vérifier par toi-même en utilisant ton moteur de recherche préféré et voir quelle est al tonalité du huff par rapport à ses questions.

Tu aurais ainsi pu remarquer qu’en effet, le Huff est un journal ancré dans féminisme réel. Je ne le critique pas car je le sais comme je sais que le Figaro n’est pas un journal marxiste et donc je ne suis pas étonné de ne pas y voir encensé le bon vieux Karl et encore moins Engels.



Je n’ai jamais prétendu être dans le vrai, c’est toi qui le dis. Je défends avec des arguments une position, Il y a une nuance. Et je n’ai jamais dit que le fait d’avoir une véritable opposition idéologique était, en soi, une preuve de la vérité de mon propos.



C’est le propre de l’échange, de confronter des opinions parfois invérifiables mais aussi parfois acceptables car fondés sur une lecture du fait qui donne un sens et du poids à l’argumentation. Cela ne signifie pas pour autant que c’est vrai mais plutôt que cela ne serait pas complètement faux.



Je te remercie de cet échange intéressant. Je pense que nous sommes arrivés au bout de ce que l’on peut qualifier (ou que je qualifie) des difficultés à se comprendre et cela puise de l’énergie inutilement.



Je t’encourage à lire si tu veux poursuivre sur la même tonalité Philippe Murray qui explique avec talent et brio ce que je m’épuise à expliquer dans le labeur et avec difficultés.



C’est sans doute pour cela que nous n’avons pas, lui et moi, le même écho..

:)



Le 25/11/2013 à 07h 48







j-c_32 a écrit :



Où places-tu ma vision du féminisme là-dedans ?

Ma vision est la suivante:

Dans la société, on attribue inconsciemment des groupes sociaux (qui ont des contours flous, et qui ne sont pas la somme des individus qu’ils sont censé contenir, c’est une nouvelle entité). Il y a un groupe social qui correspond au genre masculin et un groupe social qui correspond au genre féminin. Et on constate que le groupe social féminin est considéré par la société comme hiérarchiquement inférieur au groupe social masculin.

C’est là qu’intervient le féminisme, en tentant de faire disparaitre cette hiérarchisation qui est arbitraire et néfaste pour le groupe social féminin (même si elle peut être bénéfique à l’individu féminin).

Ceci explique aussi par exemple pourquoi il y a eu à un moment des différences de salaires entre les hommes et les femmes et pas entre les types aux cheveux foncés et les types aux cheveux clairs.

Ça explique aussi pourquoi le fait que les salaires soient identique n’est pas en soi la solution: si on a un mécanisme qui dévalue les femmes au point que les salaires ne soient pas les mêmes, on peut faire une loi pour rétablir l’égalité des salaires, mais cela ne va pas affecter le mécanisme, qui lui, va toujours exister.







Je ne vais plus répondre sur la forme parce je ne pense qu’il soit pertinent de faire du ping-pong sur le mode “c’est toi qui l’as dis/ Non c’est toi”. J’ai dis en quoi je trouve ton approche discutable, tu me dis que non. Ton objectivité est donc supérieure à la mienne. Soit. Cela reste ton point de vue..





De toutes évidences, ma vision ne rentre pas dans ton “féminisme historique” qui ignore totalement la cause.Ni dans ton “néoféminisme” qui est un mouvement politique avec un agenda de pouvoir caché, et qui pousse l’égalitarisme en tant que fin (alors que ma vision est au contraire l’opposé: l’égalitarisme n’est PAS la fin, l’inégalité n’est que le symptôme).



Pour moi, cette approche du féminisme peut éventuellement être discutée, mais elle est raisonnable. S’il y a des malversations de la part de personnes qui se prétendent de ce mouvement, cela ne doit pas être un argument pour rejeter ce mouvement: si le fond est raisonnable, ce n’est pas parce que certains en profitent que le fond devient magiquement déraisonnable.





En fait, je suis désolé mais je ne vois pas bien où tu veux en venir.



L’Histoire, oui, que j’ai présenté est un rappel factuel pas une analyse (sinon ce ne serait pas factuel..) ?



L’Histoire, (qu’il est curieux de vouloir réécrire en permanence au passage), nous montre et fournit la réalité. Donc, je ne vois pas en quoi ce serait simpliste que de donner, rappeler l’Histoire pour la clarté d’une échange critique.



C’est la base de la rhétorique quand même où l’on présente le fait et autour son analyse du même fait. Non?





Mouais, c’est très simpliste comme approche.

Les injustices qui ont déclenché les mouvements féministes, mais ça a surtout déclenché les réflexions sur les causes de ces injustices, qui a conduit à ce qu’on appelle le féministe, qui se base bien sur l’existence de cause sociale aux injustices.

Sans cela, comment expliques-tu qu’on parle de féminisme et pas de métalurisme alors que les ouvriers métallo ont aussi à certains moments manifester pour leur droit.

Il me semble que la réponse est: au contraire des métallo, on s’est aperçu qu’il y avait des causes sociales.

Réduire le féminisme à la recherche de l’égalité me parait pas cohérent avec la réalité, car:




  1. le “métalurisme” n’existe pas (alors que tu sembles dire que la situation est identique, on a juste remplacé ‘femme’ par ‘métalo’)

  2. cela ne serait que s’attaquer aux causes sans chercher à comprendre les raisons







    Le métallo fait parti de la classe des ouvriers de l’industrie. Il me semble que cette classe sociale fait partie de ce que l’on appelle le prolétariat. En parlant du prolétariat, on parle des métallo ?



    Les différentes réflexions idéologiques et philosophiques ont traité du prolétariat depuis la révolution industrielle.



    Le point communs des groupes sociaux n’est pas la demande d’égalité mais de reconnaissance.

    La reconnaissance pour pouvoir porter des revendications qui peuvent des demandes égalitaires ( à travail égal, salaire égal) ou statutaire (congé, maladie etc etc).



    En quoi le féminisme est différent des autres groupes sociaux? : le nombre de personne non pas touchée mais concernée. Il existe une communauté des femmes qui regroupe toutes les femmes de toutes les origines sociales et culturelles alors qu’il n’existe pas d’équivalent chez les hommes.





    C’est un point sur lequel je veux insister:

    Lorsqu’il y a des discussions sur des sujets féministes, on se retrouve toujours avec des gens qui oublient systématiquement une grosse partie de la réflexion. Ils disent: il y a deux camps:




  • ceux qui pensent A et qui font des malversations

  • ceux qui pensent non-A et qui ont donc raisons vu que ceux qui pensent A font des malversations



    Mais en quoi A est-il discrédité, et où est-ce que je me retrouve, moi, avec mon A’ (qui est plus proche de A que de non-A) ?





    Encore une fois, et désolé encore mais je ne vois en quoi ce que pensent les gens intervient dans cette discussion sur l’idéologie féministe ou néoféministe?



    Certes, la popularité décide de l’ampleur d’un mouvement mais l’idée précède sa diffusion. Non?



    Que le féminisme soit plus ou moins mal compris par des individus qui serait pro, anti ou partagés cela ne touche pas le féminisme en lui-même mais juste son impact ce qui est un autre sujet.





    Mais il s’agit là justement d’une approche très “féminisme historique”, où ce qui compte, c’est l’égalité pragmatique, avec aucune réflexion sur le fond.

    Par exemple, parmi ces articles, combien dénoncent le fait que gagner la garde d’un enfant en prétextant que la mère est plus apte est en réalité anti-féministe ?





    Je suis d’accord avec toi sur ce point: il n’y pas de fond et c’est pour cela que je parle de propagande.



    Le féminisme peut et doit pouvoir être discuté y compris dans son analyse critique parce que c’est un courant idéologique et philosophique majeur et qui, depuis 40 ans, prend de plus en plus de décisions politiques. C’est un fait. Et qu’il ne puisse pas l’être car il ne souffrirai pas de critique est un problème majeur: cela revient à cautionner le caractère despotique de ce courant.





    Et pourtant, personne ne t’a traité de misogyne ici. Et c’est très loin d’être ce que je pense de toi.

    Il y a une très petite minorité de gens qui concluront à partir de tes propos que tu es misogyne.



    Au final, je ne vois pas trop l’intérêt de cet argument: cela n’est ni un argument pour prouver qu’ils ont tort, ni un argument pour prouver que tu as raison.





    C’est une provocation pour appuyer le fait que je pourrai être taxé de misogyne (comme cela a déjà été le cas) non pas ici (PC Inpact ne parait pas être le média pour ce genre de dossier) mais sur d’autres médias.

    Imagine mon propos sur le Huff par exemple ? Non cela ne passe pas.

    Tout comme d’autres medias qui ont pris parti idéologiquement pour le néoféministes et qui censurent tout propos de nature à remettre en cause cette “idée dont le progrès est un bien y compris pour les hommes”.



    :)


Le 25/11/2013 à 06h 40







OlivierJ a écrit :



Il faudrait m’expliquer pourquoi un JAF, qui est bien placé pour constater la proportion des différentes demandes de garde, aurait des propos irrecevables quand il rapporte cette proportion <img data-src=" /> .





Je suis un peu perplexe à la suite de ce paragraphe. Le juge qui est formé et conçu pour juger les divorces et la garde des enfants (entre autres), c’est le JAF (Juge aux Affaires Familiales). Il est également médiateur au départ, lors de la réunion de conciliation. C’est une personne neutre dans le cas d’un divorce, et qui décide des conditions du divorce et de la garde, au vu du dossier, dans l’intérêt de l’enfant.

Pour les compétences d’un JAF :vosdroits.service-public.fr Service Public.







1/ Je l’ai dit: On ne peut pas être juge et partie. L’autoévaluation n’étant pas admissible, l’évaluation par un tiers ‘est un principe qui permet de renforcer son objectivité. Cela ne concerne pas que le corps de la justice mais tous les corps d’Etat (et au delà).



2/ Ton argument serait recevable si il n’y avait pas de problèmes dans les TAFs.

Or, de ce que je lis ici et là, ce n’est pas le cas. C’est donc que le système en cours n’est plus adapté aux changements contemporains. Le JAF n’est pas un médiateur comme il n’est pas non plus psychologue. Le JAF est un juriste. Il est là pour statuer sur des requêtes de justiciables et pour effectuer des arbitrages dans le cadre et le périmètre de la Loi. De plus, il n’a pas les moyens au vu du nombre de dossier à traiter.

Le monde la Justice est d’accord sur ce point et je ne crois pas qu’augmenter le nombre de JAFs changerait sur le fond une situation qu’ils sont les premiers à reconnaître comme difficile. Le JAF ne jugeant une situation que sur un délai très court de la vie de l’enfant.

Et je pense que le suivi dans le temps des familles divorcées avec enfant (qui pourrait intervenir sur décision de justice) est la meilleure chose pour encadrer et prévenir les dérapages.

Maintenant, cela à un coût et sur ce point, je reconnais volontiers que c’est le volet sensible de l’idée mais là encore, je pense qu’il existe des moyens de financement tant le dossier concerne de citoyens.



Le 24/11/2013 à 19h 31







OlivierJ a écrit :



Mais la JAF ne justifiait ni ne défendait aucune position <img data-src=" /> il faut (re)lire. Elle rapportait le fait que les hommes demandent de façon nettement minoritaire à avoir la garde principale. C’était dans une discussion avec des avocats (dont Eolas). Elle n’a exprimé aucune position, que ce soit pour approuver cet état de fait ou le regretter.





(Pour ma part je ne suis pas spécialement féministe ni néo (??), je rapportais un état de fait.)

En quoi les JAF manquent de transparence ? Les jugements sont motivés, ce me semble. Je parie qu’on peut trouver des statistiques sur les décisions.

Et comment favoriser via une loi la garde alternée, concrètement, quand le JAF a devant lui un couple précis avec leur situation précise ?

NB : je n’ai pas d’opinion précise sur la garde alternée mais je me suis laissé dire que la garde alternée pouvait être plus perturbante pour un enfant que la garde principale.







Sans faire de jeux de mots, le JAF est dans ce cas là juge et partie..



Peut être était-il intellectuellement honnête mais le simple fait d’être JAF rend son propos irrecevable.



Pour le reste, je suis d’accord sur le fait que la Loi ne peut ni ne doit tout résoudre.

Je pense qu’ un principe de jugement de d’affaire de divorce (cad de contrat civile cassé) qui traite le couple en dehors des enfants afin de légitimer les parents dans l’exercice présent et futur de la co-autorité parental.

Le volet “enfants” pourrait alors être traité dans la durée sous la bienveillance d’un tiers (médiateur, conseiller etc etc) dont le rôle serait de créer l’environnement nécessaire dans l’intérêt de l’enfant et d’arbitrer les petits débords.

Je pense que la justice en tant que tel, n’est pas outillé pour assurer cette mission au long terme et qu’elle doit revenir aux AF.

Et je pense que devant la vague sans précédents de l’éclatement des familles, cela devrait être un priorité politique car c’est urgence sociétale.



Je pense qu’ainsi, les enfants cesseraient d’être trop souvent les otages du litige entre leurs parents.









:)


Le 24/11/2013 à 17h 10







j-c_32 a écrit :



Mais c’est exactement ce que je dis: pourquoi diable chaque fois qu’on parle de féminisme faut-il toujours que qlq’un ramène sur la table les critiques qu’il a envers qlq chose qui n’a rien à voir dans le féminisme ?



Tu sembles dire que le féminisme “normal” est une bonne chose. Mais chaque fois qu’un féministe normal fait quelque chose de bien, cela déclenche une discussion dont la conclusion apparente est “il y a un problème avec le féminisme”







tout ce que j’ai dit, c’est: “je remarque que souvent lorsqu’on parle de féminisme, 1) certains oublient un aspect très important: la différence entre les impacts socials et les impacts individuels, 2) certains dévient systématiquement sur des sujets qui font plus de tort que de bien en donnant une mauvaise image à des actions ‘normales’”



Soit tu faisais partie du cas 1, ce qui était difficile à exclure (notamment à cause du : “Posez-vous tous la question du tabou de la critique du féminisme avant de considérer votre réponse. “. Le problème est bien que je te lis: honnêtement, comment deviner que tu considère que ce que tu appelles “féminisme” est quelque chose que tu ne considère pas comme du “féminisme” ?)

Tu m’as ensuite répondu que ce n’était pas le cas.

Mais alors, tu fais partie du cas 2.



Par ailleurs, sache que (puisqu’on en est à “cesser de prétendre penser à ma place”) je n’ai jamais considérer que tu étais moins intelligent que moi: si j’ai souligné ce que je pensais être des oublis de ta part, c’est justement parce que c’est le genre d’oubli que je fais moi-même très facilement.

Relis mes commentaires avec ça en tête, tu verras, ceux-ci ne sont ni agressifs ni suffisants.



Additionellement, c’est un peu hypocrite de la part de quelqu’un qui m’a dit d’emblée:



Te rends tu compte de la présomption et de l’agressivité dont tu fais part là ?







Encore une fois, tu ne lis pas bien.. Mais je veux bien te croire plutôt maladroit plus que mal avisé.



Je n’ai pas dit que tu étais stupide mais que ton assertion l’était. Or, ton impression ne construit pas le fait.



Tu as, je le pense fortement, une grande propension à interpréter des faits et à mélanger ta réflexion aux faits.

De plus, je lis que tu résonnes trop en terme de jugement de valeurs pour donner de la consistance à ton point de vue.



Il n’y a pas de “certains pensent ceci ou cela” ou de “plus de tort ou moins de tort au féminisme”..



Nous ne sommes pas là pour faire ou pas du tort au féminisme. Le féminisme s’en contrefout de notre position. Nous échangeons des points de vues.



Et on s’en fout aussi de la catégorie à laquelle nous appartenons, la pensée n’est pas binaire et ne se limite pas à des courants.

:)



Historiquement, le féminisme est un mouvement collectif destiné à défendre le droit des femmes qui et notamment lors des conflits mondiaux où elles ont commencé à remplacer les hommes dans les usines et dans les champs.

Le patronat de l’époque gratifiait moins les ouvrières que les ouvriers et les syndicats, qui ne considéraient pas les femmes, ne se sont que peu préoccupés de leur cas. Les femmes ont alors commencé à s’organiser pour réclamer l’égalité en terme de droits. Le mouvement s’est élargi avec l’arrivée de penseurs et intellectuels.



Les guerres successives du XXe siècle ont accéléré le mouvement de l’émancipation des femmes jusqu’à aujourd’hui où les femmes sont devenues libres et responsables de leur choix. Elles ont le choix d’avoir ou pas des enfants, de travailler, d’être indépendante, de leur sexualité.

Ce qui pour les féministes des années Veil est en soi un objectif atteint.



Certes, il reste des zones où le machisme existe mais de fait, la femme est une composante sociale et citoyenne à part entière ce qui n’était pas le cas jusque là.



Le neoféminisme est une évolution radicale du mouvement politique de la moitié du XXe.

Il ne s’agit plus de défendre l’égalité en terme de droit des femmes et des hommes mais bel et bien de leur en donner plus encore, voir à l’émancipation totale de la femme (ie: mouvements lesbiens) et cela est vendu comme un rééquilibrage sociétal nécessaire et juste.



Mais les femmes en 2013 ont le choix comme les hommes!



Mieux, si les femmes ont le choix de ne pas avoir d’enfant, les hommes n’ont pas le choix de ne pas être père.. Il n’y a pas de contraception masculine.



C’est en cela qu’il y a une malhonnêteté car le néoféminisme utilise pour cela des moyens très discutables en manipulant les chiffres (lorsqu’il y en a) et en usant de propagande dans les médias pour faire accepter cette nouvelle cause comme juste.

Il ne se passe une semaine sans un reportage ou un article sur le sort des mères célibataires, des problèmes de logements des femmes célibataires, des difficultés financières des femmes etc etc



Le politique utilise maintenant ce mouvement comme fournisseur de voix en échange d’une tribune et d’une grande visibilité.



Alors, oui, toutes critiques envers le (néo)féminisme est un sujet tabou et dès qu’un avis dissone de la mélodie générale proféministe, son auteur est directement taxé(e) de misogyne (voir plus si affinités).



Mais on vas me dire que j’exagère et que je suis un affreux misogyne..



:)



Le 24/11/2013 à 12h 08







OlivierJ a écrit :



Je suis d’accord avec tes 2 commentaires. Pour la demande des hommes, j’ai en effet lu d’une JAF elle-même que c’était le cas.





Pour avoir lu des tweets d’un JAF, ils disaient bien que les hommes demandent beaucoup moins souvent la garde principale, et généralement préfèrent que la mère s’en charge, et pour la garde alternée je ne sais pas.

Les répercussions des divorces a un impact important comme tu le dis, ça contribue à la tension sur le marché immobilier bien évidemment (je te dis pas la baisse des prix si tous les divorcés se remettaient en couple, et si les célibataires se casaient plus ;) ), à l’augmentation du trafic automobile, et dans une certaine mesure oblige plus de femmes à travailler.







Soyons sérieux, on ne vas pas poser les bases d’une discussion sur des tweets d’un JAF qui justifie et défend plus sa position qu’autre chose?



C’est comme si un médecin devant des erreurs médicales justifié de la non responsabilité des médecins au motif qu’il n’y a que très peu de cas.



Le fait est que la justice ne doit permettre à la société de doute sur son fonctionnement car elle est le dernier rempart des institutions.



Les JAFs seraient bien avisés d’accepter un peu plus de transparence et de cesser de nous sortir des arguments qui ne font que démontrer l’absence de statistiques objectives permettant de sortir des clichés et des impressions.



Je ne dis pas pour autant que cela prouverait que 90% des pères veulent la garde alternée, mais l’inverse est tout aussi faux.



D’ailleurs, rendons grâce à la décision du sénat de proposer un amendement visant à favoriser ( à défaut d’en faire la norme) la garde alternée.



Il est très regrettable toutefois d’avoir des réactions aussi vives de la part des neoféministes qui ne veulent rien lâcher sur ce terrain.



Pour preuve, vous pouvez le vérifier en tapant “garde alternée” sur votre moteur de recherche sur la dernière année.



Le front général de femmes de tous bords et de tous horizons s’insurgeant contre cette décision en dit long sur la difficulté pour les pères de se faire entendre.





C’est vraiment dommage.


Le 24/11/2013 à 11h 43







OlivierJ a écrit :



Arf j’ai failli y croire, c’est un site créé par l’UNI (syndicat étudiant assez marqué à droite, je précise pour ceux qui ne connaissent pas) pour “ouvrir les yeux sur la théorie du genre”. <img data-src=" />







  1. on est d’accord



  2. mes parents ont lu Françoise Dolto mais n’ont pas retenu qu’ils devaient tout me laisser faire, au contraire (éducation relativement sévère par rapport à tous mes camarades). Ce que j’ai retenu de loin quand j’en ai entendu parler il y a longtemps c’était de traiter les enfants plus comme des êtres humains intelligents que comme des animaux à dresser. (ce qui implique aussi d’éviter les coups)



  3. Idée originale mais je ne te suis pas :) (ok tu blagues pour l’essentiel).

    Le changement important depuis 20-30 ans c’est que l’homosexualité et la bi-sexualité sont mieux acceptées et mieux considérées, ce qui me semble une excellente chose. Je doute très fortement que la proportion des non-hétérosexuels ait changé, en revanche ceux qui sont homos ou bi ont moins peur d’accepter leur nature.

    Quant à la libération sexuelle, elle est relative quand tu vois tous les tabous qui restent et les gens pas à l’aise avec la sexualité ou qui connaissent mal ne serait-ce que la physiologie de l’autre sexe.







    2/ Je t’encourage à lire Jean-Pierre Winter qui a traité du Doltoïsme.



    3/ Je blague moyen en fait. Mais il s’agit en effet d’une prospection basée sur des observations.

    Je suis d’accord avec toi, la libéralisation sexuelle est relative et il existe des tabous sociaux, culturels et religieux qui demeurent de vrais remparts et qui nous permettent d’avoir du temps pour la réflexion.



    Le fait qu’une fois qu’un groupe social est constitué, il aspire aux mêmes droits qu les autres. Donc, je pense, mais c’est spéculatif, que la redéfinition de la famille finira par déboucher vers un modèle androgyne qui mettra tout le monde d’accord.



    :)


Le 24/11/2013 à 11h 20







j-c_32 a écrit :



En quoi le fait que l’avantage individuel soit systématique fait de lui un avantage social ?

La question est: est-ce que le groupe social féminin y gagne lorsqu’une femme prétend qu’elle est fondamentalement plus apte à élever un enfant qu’un homme.

La réponse est NON. Donc, c’est une démarche anti-féministe.

Système ou pas système ça n’y change rien: des idiotes t’ont dit que c’était du féminisme et toi tu y as cru, tu n’es donc pas plus malin qu’elles.



Le débat sur la garde des enfants n’a RIEN à voir avec le féminisme: c’est avant tout basé sur une approche pragmato-biologique, avec des imbéciles des deux côtés (notamment des imbéciles qui disent “les féministes veulent l’égalité alors pourquoi elles ne veulent pas l’égalité là-dessus” alors qu’ils n’ont pas compris que les féministes ne veulent pas l’égalité). Si tu penses que c’est du féminisme, explique moi en quoi il y a un rapport avec le groupe social des femmes, et pas individuel. Et à ce moment-là on pourra parler.







D’un, c’est une discussion, donc je te prie de bien vouloir modérer tes allusions vis à vis de moi.



De deux, on ne se connait pas alors cesse de prétendre penser à ma place.



De trois, tu ne me lis décidément toujours pas ( un problème d’ego peut être?). Je n’ai jamais dit que la maternité est un acte féministe, j’ai dis que la maternité s’était immiscé dans les revendication des neoféministes. Si j’ai cité Badinter, ce n’est pas pour rien.



De quatre, tu ne décides pas quant on parle ou pas. Tu dévides de répondre ou pas, tu décides pour toi et par pour moi.



Conclusion:

Pour discuter, il faut être deux et que chacun possède cette honnêteté intellectuelle propre à enrichir la discussion. Tu ne démontres rien te contentant de rabâcher dans un style présomptueux que tu as raison et que les autres ont tort.



Ta rhétorique gagnerait a avoir un peu plus d’intérêt au discours de l’Autre et de cesser de taxer d’imbéciles des gens qui, en affrontant des situations difficiles,ont sans doute, et dans les faits, plus de courage que toi. Poussières tu retourneras toi aussi à la poussière (et à l’oubli).



Merci.


Le 24/11/2013 à 00h 30







Faith a écrit :



Mais les JAF prennent en compte toutes les demandes.

Normal que le résultat des jugements soit déséquilibré, puisque les demandes sont déjà déséquilibrées.



C’est comme avec les informaticiens: avec 5% d’étudiantes, impossible d’avoir beaucoup plus de 5% d’informaticiennes.







Je ne sais pas si les JAFs prennent en compte toutes les demandes car si on se fonde sur des expériences individuelles, cela ne semble pas être le cas sauf que l’on ne sait pas dans quelle proportion.



Parler d’une quelconque normalité sans avoir de chiffres qui reflètent la réalité est au mieux de la naïveté et au pire de la complaisance avec un système injuste.



Donc, le mieux pour cela est d’avoir des chiffres précis qui permettrait une évaluation juste de la situation.


Le 24/11/2013 à 00h 25







luxian a écrit :



Mouais, l’homme pense à éduquer à moitié / moitié le gamin et la femme pense à faire chier le mec et c’est sa première motivation pour exiger toute la garde pour elle toute seule (ce qui fait payer plus le mec).

C’est toujours le même enfer les divorces.







En effet, bien que le MJ disent qu’il n’y que 5% de divorces conflictuels, là encore, c’est biaisé comme car l’éducation des enfants ne se limitent pas au jugement du JAF et au moment du divorce.

Les situations des parents comme des enfants évoluent et cela provoquent des conflits qui échappent au JAF.

Sans parler des recompositions familiales qui sont là aussi sources de tensions.



Evoquer le sort de 83% des mères monoparentales sans que les journalistes signataires (souvent féminins) ne cite les 17% de père ne fait que favoriser la grogne grandissante de ces hommes qui ressentent cela comme un éternel oubli, voir même un mépris à leur égard de la part d’une société qui a pris le parti de soutenir la non-veuve et le non-orphelin.





Il serait donc nécessaire, aujourd’hui plus que jamais, de lancer une véritable étude sur plusieurs années pour analyser plus finement et avec plus de pertinences et de donc de justesses ce dossier..



:)


Le 24/11/2013 à 00h 07







Faith a écrit :



Attention avec ce chiffre: il tient compte des demandes où 1 seul des parents demande la garde exclusive.

Très souvent, seule la femme demande la garde exclusive. L’homme préfère souvent une garde partagée. Bref, ce n’est pas du tout le bon chiffre à citer.







Non, il ne tient pas compte des demandes individuelles des parents mais des jugements des JAF.



Il n’y pas de chiffres qui concerne les demandes des pères (c’est sans doute difficile pour des questions internes au TAF) et qui refléterait davantage une réalité pourtant nécessaire à la compréhension d’une évolution sociétale majeure (le divorce en ville c’est 1 mariage sur 2) et qui à des répercussions bien au delà de al sphère familiale (logement, travail, infrastructure etc etc).


Le 23/11/2013 à 23h 45







Aqua & Ev’ a écrit :



Ce n’est pas parce que l’on défend le droit des femmes que l’on oublie ceux des hommes… On peut être féministe et vouloir l’égalité homme/femme devant le juge pour la garde des enfants.







Je crois avoir cité Elisabeth Badinter justement pour nuancer ma position.



J’ai manifesté au coté des féministe quand il le le fallait. Je lutte contre certains excès du féminisme puisqu’il le faut.



Pour répondre, dans les faits, ça n’est pas le cas. Les mères défendent un pré carré en mêlant leur réclamation aux discours contemporain du féministe.



Ce qui contribue à la modification de la loi de 2009 qui permet à un individu de porter plainte pour viol sans preuve et de risquer si le mensonge est avéré 800€ d’amandes tandis que l’accusé risque une peine de prison ferme.



Voilà un des risques de dérive d’un féminisme politisé, institutionnalisé et instrumentalisé qui fait de l’homme une brute à domestiquer.



:)


Le 23/11/2013 à 23h 37







j-c_32 a écrit :



Une femme qui utilise cet argument pour obtenir la garde de ses enfants, c’est pas une féministe, même si elle le dit. Elle ne sait pas plus ce qu’est le féministe que ceux qui pense que le féminisme c’est la recherche de l’égalité.

C’est un petit peu fatiguant, parce que chaque fois qu’on apporte des observations pertinentes, comme c’est le cas avec cet article, il y en a pour tout balayer du revers de la main avec l’argument à deux balles “moi je connais une féministe qui en profite”.

Comme je l’ai dit dans le commentaire 45, considérer uniquement les avantages individuels (du genre: elles utilisent cet argument pour obtenir la garde des enfants), c’est juste montrer qu’on n’a pas une vue d’ensemble pour participer correctement au débat (car en général les avantages individuels sont justement négatif pour le status de la femme).



C’est comme si je disais sur PCInpact: “moi, j’ai été à Auchan et j’ai parlé avec un vendeur qui me disait qu’il était totalement libriste, microsoft sont des méchants. Et la preuve, me disait-il, il a piraté Photoshop. Mais comme je suis pas bête, j’ai réfléchi et je lui ai demandé comment il faisait tourné Photoshop. Et bien il utilisait Windows (parce que bon, il m’a dit, Linux plein de bonne intention mais c’est pas au point). Donc, les libristes, ils cassent du sucre sur le dos du proprio mais ils l’utilisent quand même. Posez-vous tous la question du tabou de la critique du libre avant de considérer votre réponse.”

Répondre à ça n’est pas le résultat du “tabou de la critique”, c’est juste que la critique est simpliste.







Argument fallacieux:



Ce n’est pas moi qui dit cela ce sont les femmes/mères qui ne veulent pas des hommes/pères.

Où ai-je dit que c’était une démarche individuelle?

80% des gardes confiées aux mères c’est plus des démarches individuelles, c’est un système.



Critiquer ma position en commençant par

“C’est un petit peu fatiguant, parce que chaque fois qu’on apporte des observations pertinentes, comme c’est le cas avec cet article, il y en a pour tout balayer du revers de la main avec l’argument à deux balles “moi je connais une féministe qui en profite”.



Où y a t-il une observation pertinente ?



Pour rappel, le MJ de veut toujours pas fournir des chiffres sur les demandes des pères auprès des JAF sur les demandes de gardes alternées et qui pourraient fournir un début d’explication l’écrasante domination des gardes d’enfants confiées au mères.



C’est pas une féministe qui en profite, c’est un système qui en profite.



Le projet de loi pour faire de la garde alternée la norme a été profondément rejeté par des néoféministes qui ont aujourd’hui l’écoute du plus grand nombre.



Donc, dois-je dire que c’est un peu fatiguant d’être critiqué sans être lu et sans apporter le moindre argument qui démontrerait ma malhonnêteté intellectuelle?

;)







Le 23/11/2013 à 23h 19







OlivierJ a écrit :



C’est en effet juste ton idée, parce que there is no such thing as gender theory (“théorie du genre” en français ça marche aussi). Si me trouves cette théorie exposée quelque part, ça va intéresser du monde.



Je parle de ce que j’ai compris de quelques lectures, sans garantie d’être 100 % exact : ce qui existe, ce sont les études de genre, qui essaient d’évaluer l’impact de l’éducation et des stéréotypes, conscients ou inconscients, inculqués dès la petite enfance. Et quand on regarde attentivement, on voit que les enfants dès tout petit sont très vite “sexualisés”, il n’y qu’à voir les catalogues de jouets c’est caricatural souvent, mais aussi le comportement des enseignants. Il ne s’agit pas de nier les différences sexuelles ou de prôner “l’androgynie”, mais d’essayer de limiter les stéréotypes pour laisser les enfants avoir leurs propres goûts (je simplifie).







1/ J’ai mis le gender theory car c’est une étude avant tout anglo-saxonne. Et sa traduction n’est pas théorie du genre mais plutôt Etude du Genre. Car cela reste (encore) une étude.



2/ Tu as à peu près bien compris:

Il s’agit de créer une réflexion et d’une étude qui repose sur des théories elles-mêmes basées sur des observations.

En d’autres termes, c’est l’éloge de la subjectivité habillé d’un discours pseudo-scientifique.



Françoise Dolto a eu la même démarche en son temps ce qui à produit l’enfant tyran. Une théorie là aussi qu’aujourd’hui, des pédopsychiatres et psychiatres remettent profondément en cause..



3/ La seul issue possible de ces débats sera forcément l’androgynie:



D’abord l’androgynie sociale:

C’est bien ce qui se produit en ce moment.

Les mouvements égalitaristes sociaux prônent la possibilité d’un choix sexuel puis familial qui n’ouvrent pas moins de droits que les hétéros: l’enjeu reste la procréation qui aura comme principal effet de redéfinir l’enfant dans la société.



L’androgynie sexuelle:

La libéralisation des moeurs entraîne de facto une libéralisation sexuelle avec en point d’orgue l’apparition d’un nouveau effet de masse: la bi-sexualité.



Tous ces mouvements ont comme fondement un rejet panhistorique qui justifierait ainsi un discours soi-disant moderniste en laissant penser aux jeunes générations qu’elles sont les “élues” d’une nouvelle histoire qui reste à écrire et que ce qui s’est passé étant révolu, il nous faut l’effacer de nos mémoires.

Et si l’Histoire est utilisée c’est par ces anthropologistes qui proposent de “nouvelles preuves” invérifiables que les conclusions du Gender Theory existaient déjà au paléolithique.



Bientôt, le masculin sera donc, selon ces mêmes discours, une évolution darwinienne!



Je blague (quoi que..)..


Le 23/11/2013 à 22h 42







j-c_32 a écrit :



Si je ne m’abuse, la question de l’instinct maternel n’a été tranchée par les spécialistes que durant ces années-là.

Maintenant je peux me tromper (mais est-ce réellement le point essentiel de mes propos que tu retiens ?).



Je pense aussi qu’aujourd’hui, si tu demande à qlq’un dans la rue et que tu creuses un peu, il n’est pas rare de tomber sur qlq’un qui pense que oui, parce que la femme a des caractéristiques biologiques féminines, son caractère est biologiquement plus enclin à prendre soin de son enfant que l’homme.

C’est un peu l’argument qu’utilisent certains en disant que “les femmes sont biologiquement pas pareil”, juste appliqué à un cas précis.







Ce n’est pas que l’avis du quidam c’est aussi l’avis des mères qui, face à un divorce par exemple, ont beaucoup de mal à accepter que le père puisse s’occuper aussi de ses enfants.



Ce sont les premières à défendre leur pré carré de la même façon qu’elles rappellent au besoin les clichés habituels où l’homme serait une bête sale violente à moitié alcoolique, qui bouffe des chips.



L’égalité en droit, elle le réclament à leur avantage mais pas à à n’importe quel prix.



Je sais qu’en critiquant l’action des ces féministes nouveau genre, je vais passer pour un affreux misogyne alors n’oubliez de dire la même chose d’Elisabeth Badinter, féministe historique qui a comme point de mire une grande sagesse devant la réalité historique et la compréhension des événements contemporains.



Posez-vous tous la question du tabou de la critique du féminisme avant de considérer votre réponse.



:)


Le 23/11/2013 à 22h 33







blaétria a écrit :



Quand tu dis ça, c’est le fond que tu critique ou tu cherche à souligner ironiquement que, par définitions, un homme avec l’instinct maternel, ça n’existe pas? <img data-src=" /> J’ai un doute là. <img data-src=" />







Pourquoi avoir un doute? Il y a un doute sur quoi en réalité? Il n’y aucun doute à avoir sur la paternité et sur la maternité.

C’est cela que je dis justement, il n’y aucun à avoir parce que dame nature dans sa grande sagesse à fait en sorte que le doute n’existe pas chez l’homme (contrairement aux gastéropodes par exemple).

Il n’y a que l’Homme ( du moins quelques lobbyistes ) qui pensent qu’un doute puisse subsister.

Pour la Nature, la question, si elle a été posé, a été réglé il y a bien longtemps..



Le 23/11/2013 à 19h 17

Effet de bord de la discrimination positive en la matière:





  • les femmes n’hésitent pas à parler de sexisme pour tout et rien. Le féminisme est donc passé d’une nécessité sociétael à une (im?)posture idéologique puis politique

  • Découlant de cela, le prosélytisme conduit invariablement à stigmatiser l’homme ( ie: parité en terme de parentalité, les mères ne veulent pas de pères mais des partenaires)

  • la femme-sociale étant maintenant et officiellement favorisée, on peut raisonnablement se poser la question de l’avenir de l’homme-social ( ie: de nos jours, certaines universités étasuniennes ont plus d’étudiantes que d’étudiants)

  • Le prochain cap à franchir sera celui proposé par les tenants du gender theory et alors, la voie sera ouverte à l’androgynie.



    Juste mon idée.. :)

Le 23/11/2013 à 18h 54







j-c_32 a écrit :



Bof.

Il y a 20-30 ans, la grande majorité des gens pensait réellement que les femmes étaient pré-disposée à l’instint maternel.

Aujourd’hui, les études et les experts s’accordent plutôt à dire que c’est juste une construction sociale.

Tes convictions sur la “disposition de part leur sexe” peuvent tout aussi bien être à côté de la plaque.



Attention, ça ne veut pas dire qu’il n’y a pas de différence entre les hommes et les femmes.

Ceux qui commentent perdent de vue le vrai problème: on s’en contre-fout de savoir s’il y a plus d’hommes ou de femmes dans un secteur. C’est pas ça le problème (pourquoi ça serait un problème ? n’est-ce pas tout aussi stupide que d’essayer d’atteindre la parité avec les blonds et les bruns ?).

Le problème, c’est s’il existe une construction sociale qui fait que le groupe social des femmes est injustement considéré comme “moins bon” que le groupe social des hommes (c’est ce que montrent toutes les études).

Lutter contre ça n’est pas évident: à chaque solution proposée, on a des observateurs qui commentent n’importe comment parce qu’ils ne comprennent ni les objectifs, ni le problème.







Nous sommes en 2013 donc tu dis qu’entre 1983 et 1993 la grande majorité des gens pensait réellement que les femmes étaient pré-disposée à l’instinct maternel.



Demande donc à tes parents ce qu’ils pensent de ton propos stupide..



:)



ps: et bien sûr, on compte sur toi pour nous expliquer ce que nous ne comprenons pas!


Le 23/11/2013 à 00h 28



il reste la grande rumeur actuelle : la fusion des boutiques d’applications de Windows Phone et Windows RT.





Les comptes MSDN Windows et Windows Phone seront prochainement en cours de fusion. Clairement, cela permettra un portage applicatif plus simple et efficace.



Un compte MSDN n’est pas gratuit pour un développeur. Autant pour Windows c’est assez vite amorti en terme de productivité et sur le rapport licence/prix des développements, autant sur les plates formes mobiles, c’est plus délicat compte tenu des modèles économiques des apps stores, des droits à verser et de l’accès aux SDK.



C’est donc une vraie bonne nouvelle!



ps: Pour les blaireaux que cette pratique ennuie, je leur propose de financer les développements directement via des dons aux intéressés. Ensuite, ils pourront l’ouvrir..

Le 19/10/2013 à 21h 47

Pour moi le Libre ce sera intéressant le jour où il y aura une vrai interopérabilité avec les autres systèmes et formats.

Car, dire qu’il faut passer à un format libre d’un tableur parce que Libre Office gère mal les *.xls, et que Libre Office aurait (sans jamais le prouver) un meilleur format, c’est juste nier la réalité où Office reste LA référence en terme justement d’interopérabilité et ce depuis combien de temps? 26 ans..

Ce qui signifie pas qu’il soit exempt de défaut mais au fil du temps, c’est devenus un standard qu’on le veuille ou non.

Pire, jusqu’à présent les solution Libres n’ont fait que “copier” les fonctionnalités présentes, avec plus ou moins de bonheur dans les solutions propriétaires afin de fournir des équivalences à aux utilisateurs.



Maintenant, si le domaine public souhaite promouvoir le Libre dans ce genre d’action, oui, c’est une bonne chose. Mais c’est une décision politique et non technique.





Ps1: Excel utilise maintenant un format normé (non Libre), l’Open Xml ce devrait être plus simple pour l’intégrer à Libre Office..

Ps2: Ne me taper pas dessus, j’ai le droit (encore?) d’avoir une opinion..

:)

Le 18/09/2013 à 09h 46



Le sénat a voté hier soir le délit de « cyber-harcèlement » dans le cadre du projet de loi sur l’égalité entre les femmes et les hommes





Je ne vois pas bien le rapport entre cette loi, son esprit et cet amendement (en dehors de celui de le voir voter rapidement).



Sauf à penser que ce serait les hommes qui useraient de cyber-harcélement et dan,s ce cas ce serait directement dans l’esprit du projet de loi?



<img data-src=" />



Pensée sexiste!



:)

Le 18/09/2013 à 09h 29









NonMais a écrit :



une idéologie comme la mienne? Non mais (d’où mon pseudo <img data-src=" />) ce qu’il ne faut pas lire…

Soit je m’exprime très mal soit tu n’as rien compris à ce que j’écris <img data-src=" /> ou un mixe des deux (ça laisse du choix comme ça, on peut y mettre la pondération qu’on veut).

De quoi tu parles avec tes choix? On est parti d’un “le FBI a agi sur l’ordre d’un juge”, de là tu me sors “le juge prend ordre de qui?” (style franc-maçonnerie ou lobby juif? qui tire les ficelles en arrière plan pour je ne sais quoi d’ailleurs vu qu’ici on parle pédopornographie… mais bon complot il y a sûrement), et là je te dis que si tu vois le fonctionnement du monde ainsi (genre un groupuscule grand manitout), le seul choix pour y échapper c’est d’aller vivre au fond d’une grotte (vu que même les juges sont manipulés par la main mystérieuse et pas du tout par la loi) et de là tu me dis que je suis pour uniformitarisme Bush/Poutine (rapport entre uniformitarisme et Bush et Poutine pas forcément flagrant mais passons).



lapin con pris (oui le lapin intelligent ne se fait pas prendre).







T’es un pur (en un seul mot ou en deux mots comme tu veux..).



Qui te parle de complot?



Tu traites mes propos avec TA subjectivité alors qu’ils sont parfaitement clair..



Explications de textes pour éviter un négationnisme (non mais) de la réalité:



Pourquoi parles-tu du juge comme étendard et rempart pour la préservation de la vie privée?

C’est pas le juge qu’il faut pointer du doigt mais la Loi qu’il représente et qu’il encadre ainsi que celle qu’il applique.



Le Patriot Act ça te dit rien on dirait?



Sais-tu qu’il y a des juges qui s’appuient dessus pour justifier d’une écoute, d’une incursion dans la vie privée de certaines personnes durant des années sans qu’ils n’aient jamais été inculpées de quoi que ce soit?



Alors, c’est un garant?



Dans ce cas, pas des libertés individuelles en tout cas..



Dans tel cas, on parle de dérives judiciaires. cela te dit quelque chose, les dérives judiciaires?



As-tu constaté que, récemment, dépendamment d’un juge, il n’y avait, soit pas le même niveau d’instruction à charge et/ou à décharge soit un jugement forcément subjectif?



Oui, ton discours me semble dangereux car il justifie l’injustifiable (la perte des libertés individuelles pour lutter contre le terrorisme comme l’avait justifié Bush) par des propos honteusement déformés et biaisés..



Tu peux aussi interdire Opinel en raison du haute suspicion de complicité de crimes à l’aide d’une arme de 6éme catégorie..



C’est plus clair ?



ps: si tu te sens agressé par mon propos, va voir un juge.. :)





Le 16/09/2013 à 13h 03







Vincent_H a écrit :



Et on en revient donc à la question du curseur sur l’axe libertés/crimes.







Non. Cette question a déjà été réglé..

Une zone de non droit si elle existe sert aussi à circonscrire ceux que l’on veut surveiller dans le même périmètre.



La seule question est de pouvoir les surveiller pas de savoir si on en a le droit.



:)


Le 16/09/2013 à 12h 58







NonMais a écrit :



Je voulais juste dire si tu en viens à dire “qui ordonne au juge”, on peut remonter loin et se dire qu’il y a une secte qui régit le monde aussi… donc si tu veux y échapper, la seule solution est de vivre en reclus. Vas-y, vie tes convictions à fond.







Je vais t’aider : marginaliser==&gt; pousser quelqu’un en dehors du système principal==&gt;ie: vivre en reclus!!



Et non, ce n’est pas la seule solution. L’autre consiste à se (ré)approprier la notion de choix.

Choisir en toute connaissance de cause et non pas en suivant bêtement les avis d’une communauté.



Ces news sont en fait des petits précédents où peu à peu se dévoile non pas un grand complot mais une idéologie comme la tienne: le monde parfait est un monde uniforme, plutôt bleu avec comme idéologues des gens comme Bush ou Poutine.. Tout doit changer pour que rien ne change.

Ami ou ennemi. Rien d’autre possible..



:)


Le 16/09/2013 à 12h 34







NonMais a écrit :



Bon ben là forcément…

Je t’invite à aller vivre au fin fond d’une grotte perdu dans la pampa.







C’est exactement l’illustration de ce que je dis plus haut:



En gros: Tu es mon ennemi si tu n’es pas mon ami (et réciproquement)



Il y a une posture idéologique là dedans qui consiste à marginaliser la singularité au profit de la sanctuarisation de l’uniformité.

Le pire de tout étant précisément ceux qui se disent subversifs qui ne sont en réalité que de futurs conservateurs..



Merci pour cet éclairage..lumineux!!



:)


Le 16/09/2013 à 12h 19







psn00ps a écrit :



Tu te rends compte que la recherche de ce terme sur Google renvoie direct à la déclaration des droits de l’homme et du citoyen ? <img data-src=" />







Oxymore?



:)


Le 16/09/2013 à 12h 04







NonMais a écrit :



<img data-src=" />

s’ils agissent sur ordre du juge….

vision un peu “jeune” de la problématique…







Et le juge, agit sur ordre de qui?

Vision un simpliste de la problématique..

:)


Le 16/09/2013 à 11h 54







Holly Brius a écrit :



Les protecteurs de pédophile ne sont pas ceux qui veulent le respect de la vie privée, mais ceux qui dans la police, la justice, l’éducation et la politique protège activement les pédophiles…

Notre ancien ministre pédophile, tout le monde ou presque sait qui c’est dans la presse… mais rien ne bouge…

Et le prof de bio que j’i eu quand j’étais gosse qui est un pédophile notoire est toujours en service, bonus maintenant il est directeur…







Sache que l’Histoire à démontré que la chasse aux sorcières est plus dangereuse parfois que les sorcières elle-mêmes.



Nous vivons dans un système complexe où les forces de l’Ordre (sic!) préserve l’équilibre de la société où la justice incarne non pas la morale mais le droit.



Je ne suis pas choqué que l’humanité soit imparfaite car elle est donc perfectible, ouverte aux champs des possibles.



:)


Le 16/09/2013 à 11h 45







ActionFighter a écrit :



C’est exactement ça.



Si on en vient à accepter sans problème que le FBI développe des malwares pour chasser les pédos, faut pas venir s’étonner ensuite si un malware se retrouve sur les PCs de Mme Michu “en prévention” <img data-src=" />







Suspicion à priori vs à posteriori..



La mode du préventif comme du principe de précaution encourage les actions du FBI et cela avec le consentement tacite de la population suspendus aux lèvres du présentateur du JT de 20h (y compris et surtout C+) ou son équivalent sur le Net..

Ne l’oublions pas, nous sommes tous des criminels en puissance

:)


Le 16/09/2013 à 11h 26







Holly Brius a écrit :



Et pendant ce temps là, on a toujours un ancien ministre (plus en fait vu certaines affaires que j’ai vu en bossant dans la presse) qui se tape des gosses au Maroc.



La pédopornographie, c’est pas bien je te l’accorde, mais ça ressemble plus à un prétexte pour mettre tout le monde sous surveillance… petite raisonnance avec prism…







Et tu veux être de ceux qui se feront taxer de protecteur des pédophile” au motif que cela mettrait en danger nos libertés individuelles?



Depuis Bush: si tu n’est pas un ami, tu es un ennemi (ndr: et réciproquement..)









T’es pas un ennemi de la pédophilie, t’es donc un ami! Un ami des pédophiles, voir peut être un pédophile toi-même!!



:)



edit: Ie incroyable: le commentaire ci-dessus!! La Busherie est vraiment l’avenir de l’humanité (sa pire expérience aussi, peut être)..


Le 16/09/2013 à 11h 02

Justement, je pense que les termes du débat sont mal posés.



Pourquoi s’agit-il d’opposer protection de la vie privée avec lutte contre la criminalité ?

Un besoin de contrôle? On sait maintenant qu’il est implicite: Il suffit d’offrir un produit ou un service “smart & fun” pour obtenir légalement et quasiment, sans investissement des informations privées sur les individus.



Besoin de plus? Menacez de fermer ce même service ou de supprimer ce même produit, vous aurez la bronca des ces mêmes utilisateurs prêt à sacrifier encore plus leur vie privée pourvut qu’on leur laisse leurs doudou/copain/famille virtuels..



La liberté individuelle? Ce n’est plus le débat depuis Google et FB.. Tous, on renoncé en acceptant leurs CGU..



Et ceux qui ne le font pas, sont accusés d’être une menace pour la masse qui se charge seule de régler dans l’oeuf le sort de ces révoltés hasbeen en les réduisant en minorités culpabilisées et surtout marginalisées les poussant à la clandestinité aux cotés de ces vrais criminels dont le pouvoir se contre-fout en réalité..



La vérité est que c’est finis pour ce combat; ma fiche numérique doit en savoir plus sur moi que ma propre mémoire..

Le 14/09/2013 à 20h 59







GUromain a écrit :



Ca ce n’est pas le problème du consommateur final. Lui n’a que faire de ces soucis de licences de fréquences. L’utilisateur lambda compara avec ce qui se facture dans d’autres pays, s’il estime que c’est bien trop chère il considère que c’est une arnaque. Et avec Orange, Bouygues et SFR c’est bien le cas ! Ce que les 3 gros nous facture 50 euros en France, en Suède on en 20 à 30 fois plus pour le même prix et jusqu’à 100 fois plus au Danemark.

Opérateurs français : goinfres arnaqueurs de fric.

Vivement que SFR soit désolidarisé de Vivendi, cet opérateur n’aura plus qu’à disparaître ou être racheté par…Vodafone ! Qui sera alors obligé de faire du cirque comme Free s’il souhaite que son investissement par le rachat de SFR soit rentable ! <img data-src=" />







Je préfère une baisse du prix que de payer pour quelque chose que j’utilise peu (au profit de ceux qui l’utilise beaucoup plus).



Je sais que la mode est au forfait jusqu’au All Inclusive mais tout comme mon estomac (et mon foi) ont leurs limites, mon besoin de communiquer et d’être connecté aussi.



La meilleur façon de réguler les opérateurs, est encore de s’auto-réguler. En dehors d’un réflexe presque névrotique, on a pas besoin d’1 To de données en fair use dans un usage nomade (je le précise)..


Le 09/09/2013 à 08h 50







chaps a écrit :



Si l’administration française pouvait utiliser les mêmes termes que la population, ça faciliterait peut-être les tâches administratives…







Protéger notre langue ? Pourquoi ? Et contre quoi ?

Si on peut profiter de l’existence de moyens de communication à l’échelle mondiale pour uniformiser la création des nouveaux mots, à terme on pourra espérer que les gens puisse se comprendre sans étudier des langues étrangères pendant 15 ans…







+1 <img data-src=" />







Anglais, chinois, hindous, ouzbek, peu importe. Ce qui compte, c’est que tout le monde adopte les mêmes mots (peu importe leurs origines) pour parler de la même chose. Au final ça sera bien plus simple pour communiquer <img data-src=" />







Le soucis dans la communication est de pouvoir autant communiquer qu’ exprimer, l’anglais (langue commerciale) permet le premier, le français (langue diplomatique) le second.

Limiter une langue à la seule communication, c’est (dé)nier les capacités de nuances, de réflexion, de finesse et par conséquent de singularité de l’humain. C’est lisser par le bas les subtilités réelles de l’esprit.



Personnellement, je ne veux pas d’une langue qui me limite dans mon expression..

:)