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7412 commentaires

Le 25/11/2014 à 15h 36

Je suis plutôt d’accord avec toi bien que les (grands) opérateurs Nord-américains vendent tout de même de la TV et des services de contenus. Ces offres ne sont sûrement pas aussi populaires ou ce sont des offres différentes que le tout-en-un des “box” en France mais ces offres existent.



exemples:



Le 23/11/2014 à 08h 28

Quelques remarques :





  • Orange était un opérateur télécom international avant d’être un FAI. Les activités de transit c’est son premier métier.

  • Les FAI/opérateurs télécom grand public font la même chose avec leurs propres clients finaux :

    ils baissent les tarifs vis-à-vis de la multitude de clients finaux et demandent aux gros fournisseurs de contenus de payer la bande passante à un tarif plus élevé qu’auparavant, et surtout plus élevé que leurs clients finaux-consommateurs de contenus externes.





    Je dis “contenus externes” en opposition aux contenus distribués exclusivement par le FAI/opérateur télécom lui-même (depuis la source du contenu jusqu’au consommateur de ce contenu). Oui parce que les FAI ne sont pas seulement des transporteurs de données, les FAI sont aussi des diffuseurs de contenus audiovisuels.



    Le problème est finalement un peu plus complexe qu’un simple problème de transit de données. C’est aussi une bataille entre diffuseurs/producteurs de contenus (car en plus les diffuseurs audiovisuels financent la production de contenus). Une vraie usine à gaz de conflits d’intérêts concurentiels multiples.

Le 23/11/2014 à 08h 10

Pour compléter ton analogie, la Mairie aurait installé des péages urbains pour financer ses routes. Parce que, sauf si le réseau est financé par l’impôt, un propriétaire de réseau fait toujours payer quelqu’un (son client) pour acheminer ce qui entre dans son réseau au destinataire.

Le 22/11/2014 à 00h 36

« C’est quoi cette histoire de blocage ou de favoriser des services ? »



Suivre le lien de l’extrait suivant de l’article NEXT INPACT :

“« On rigole bien fort des attaques sur la qualité de notre réseau » nous commentait alors Cogent, dénonçant des manœuvres « intentionnelles » de la part d’Orange (voir notre historique).”





« Pour le reste, je vois toujours pas en quoi c’est ou n’est pas un abus. »



Explique-moi ce qui te gêne parce que tu es bien mystérieux. Un abus de position dominante consiste à profiter de son avantage concurrentiel pour supprimer la concurrence. Or ici, France Telecom/Orange n’a apparemment pas empêché Cogent d’accéder à ses abonnés finaux.



Pour moi, c’est limpide. What else ? Je ne vois pas où tu veux en venir. Où est l’abus de position dominante selon toi ?

Le 21/11/2014 à 19h 02

Voilà ce que j’ai compris : France Telecom/Orange n’a pas bloqué les flux de Cogent pour favoriser ses propres services. Cogent avait toujours accès aux abonnées finaux d’Orange. Et avec une bande passante confortable pour Megaupload, si Cogent avait accepté le tarif d’Orange pour le surplus de bande passante, au delà du peering.

Le 25/11/2014 à 14h 52

Effectivement, la Cour d’Appel ne reconnaît pas la participation de la salariée au groupe de discussion sur facebook (comme je le croyais) mais lui reproche d’en avoir eu connaissance depuis le début. Et la Cour lui reproche de ne pas avoir averti l’existence de ce groupe à son employeur, malgré les répercussions négatives sur ses collègues et sur l’entreprise que ce groupe de discussion a généré.

Le 25/11/2014 à 14h 00

sans preuve définitive ? volonté de coincer la salariée autrement ?



J’ai compris différemment cette décision : l’employeur a apporté la preuve de la connaissance et de la participation de la salariée à ce groupe (témoignages de la salariée et de son représentant au moment de l’entretien préalable). La Cour d’Appel n’a fait que prendre en compte ces éléments.

Le 25/11/2014 à 13h 54

Merci à NEXT INPACT d’avoir publié la décision de la Cour d’Appel <img data-src=" />

Le 25/11/2014 à 13h 38

Si on considère que nuire à une personne constitue un acte conforme à la morale et apporte une valeur à quelqu’un, voire à la société, tu as parfaitement raison. Personnellenent, je préfère a priori le respect de la personne (à vérifier si, en situation, je serais aussi moral que je le prétends actuellement).

Le 21/11/2014 à 15h 19

« Dans un premier temps, la salariée reconnaît avoir eu connaissance de ce groupe, tout en niant en être à l’origine. Mais dans un second temps, elle finit par admettre que le compte « Jules César » et le groupe « Les potins d’Hermès » ont bien été crées depuis son ordinateur, mais par sa sœur… »

article Next Inpact



Si la soeur de la salariée est à l’origine du groupe facebook, qui a pu la renseigner sur les collègues de la salariée ?

Le 21/11/2014 à 15h 15

La salariée est l’auteur des propos, il ne peut pas y avoir de délation. A la limite, la salariée se dénonce elle-même. Ce qu’elle a d’ailleurs fait. Ce qui explique son licenciement pour propos dénigrants à propos de ses collègues de travail

Le 21/11/2014 à 15h 09

Quand on lit un titre de presse, il ne faut pas lire la phrase (qui sert à attirer le chaland qui passe par là). Le titre est forcément spectaculaire, incroyable (voire mensongé parfois).



Il faut lire un titre de presse comme une suite de mots-clé, par exemple ici :

Propos injurieux - Facebook - avertir - employeur - faute grave



Ensuite, on peut lire l’article si le thème est intéressant.



Le jugement ne dit pas qu’il faut dénoncer ce qu’on lit sur Facebook à son employeur. Le jugement dit que la salarié a reconnu que le groupe a été créé par sa soeur, que la plupart des messages ont été écrits depuis l’ordinateur de la salariée, qu’elle-même connaissait l’existence de ces propos litigieux.



La Cour d’Appel connaissant ces éléments d’information a compris (comme l’employeur - voir l’extrait de la lettre de licenciement dans l’article) que la salariée parlait de ses collègues en de mauvais termes à sa soeur ou que la salariée elle-même écrivait sur facebook. En tout cas, la salariée a reconnu être au courant de ce groupe facebook. Elle aurait dû protéger la réputation de son employeur (Code du Travail) mais à l’évidence, elle était impliqué dans ces propos négatifs.

Le 25/11/2014 à 14h 26

Les polices privées, les corsaires se rebellent.

Sacrés PPP (Partenariats Public-Privé)

Le 25/11/2014 à 12h 16


  • Les républiques maritimes marchandes (Venise Hollande Pise etc) étaient dirigées par des marchands, des commerçants (de petits Etats républicains riches au milieu des grandes dynasties royales). Et ces guerres étaient censées accroitre le nombre de ports maritimes (donc de clients potentiels). On peut dire la même chose des guerres d’Irak impulsée en grande partie par les groupes de pression (lobbies) d’entreprises commericiales du pétrole. Concernant la colonisation de l’Amérique et de l’Afrique, elle a été une succession de guerres commerciales (ce n’est pas pour rien que le Portugal a cessé d’être une grande puissance mondiale avec la fin de la colonisation et de l’esclavage). Tu ne vois pas le lien entre un Etat et les commerçants qui le composent mais un Etat ne fait pas seulement la guerre par le fait d’un dictateur tout puissant, un Etat fait la guerre parce que ses sujets ou citoyens influents (lobbies, entreprises, opinion publique) le lui demandent (quand le commerce est influent dans une société, ce sont les commerçants qui commandent).





    • Dans un commentaire précédent, tu parlais de guerres commerciales impossibles (voire la citation issue de ton commentaire dans mon 1er commentaire). Je t’ai donné des exemples. Je ne t’ai pas interpelée sur le Bitcoin.



    • Là où je suis (peut-être) d’accord avec toi : le fonctionnement du Bitcoin a l’air d’avoir beaucoup de points communs avec les monnaies officielles actuelles (à part le fonctionnement en pair-à-pair et plutôt décentralisé). Et jusqu’à maintenant, dans un régime capitaliste et libéral, l’Etat régalien est indispensable car c’est le seul qui mette tout le monde d’accord… à moins que le Bitcoin réussisse un jour à mettre tout le monde d’accord sans l’intervention d’un Etat quelconque.


Le 25/11/2014 à 10h 30

mon premier commentaire ne te suffit pas comme exemples de guerres commerciale ?



Pour être prêt à changer d’avis, il faudrait prendre en compte les “exemples” que ton interlocuteur te donne et donner un peu de crédit à la pensée d’autrui. Ce qui n’est pas du tout ton cas sur ce fil de commentaires. Crois-moi.

Le 23/11/2014 à 18h 38

Visiblement tu n’es intéressé que par ta théorie livresque. Au lieu de répendre tes préjugés sur ton clavier, remets-les un petit peu en question. Ca aurait pu rendre notre début de discussion INtéressante.

Le 23/11/2014 à 11h 33







tmtisfree a écrit :



Ce sont effectivement les motifs des États/gouvernements/politiciens eux-mêmes pour justifier leurs actes criminels. Aucune entreprise privée n’a jamais participé de près ou de loin à ces artifices politiques pour une simple logique économique : on ne peut pas leur reprocher de faire du profit sur le dos de leur clients et dans le même temps de chercher à les supprimer.





C’est vrai qu’il existe des guerres de domination idéologiques (religion différente, régime politique différent, etc) et des guerres de territorialité mais résumer un conflit armé à une volonté de supprimer l’opposant est un peu caricatural.



D’ailleurs, il existe différentes guerres qui ont un motif commercial





  • Les Républiques de Venise, Pise, Hollande aux XVI-XVIIe Siècles

  • Les guerres coloniales, l’esclavage du XVIe jusqu’au XXe Siècle (Armada espagnole, guerres d’indépendance du Tiers-Monde, etc)

  • Les guerres du pétrole et du gaz (Afghanistan, Irak, Ukraine)




Le 22/11/2014 à 12h 27

Idem, je crois plus aux monnaies locales qu’au fonctionnement du Bitcoin même si le principe du pair-à-pair me donnerait confiance.



Est-ce qu’en cas de crise boursière, d’inflation journalière du Dollar, le Bitcoin ne serait pas affecté par la même perte de valeur ? Est-ce que le Bitcoin supplée les monnaies d’Etat en cas d’inflation comme peuvent le faire les monnaies locales ?



exemples de monnaies locales complémentaires :




Le 21/11/2014 à 18h 50

le look Jean-Marc Manach

Le 21/11/2014 à 14h 06

Je comprends que ce genre de situation démoralise quand ça arrive. Personnellement, j’ai été bailleur pendant 2 an (en passant une annonce, sans recours à une agence), et locataire pendant 3 ans (en passant par une agence Foncia). Et, en ce qui concerne le relationnel, c’est le jour et la nuit. Essayez de discuter avec un agent du groupe Foncia. En cas de problème, au mieux ça ne les intéresse pas, au pire ils prennent les devant pour gonfler la facture et évacuer la responsabilité du problème sur le locataire ou un autre tiers.



Etre propriétaire-bailleur (et copropriétaire, ce qui est aussi une difficulté supplémentaire avec des dépenses et des problèmes parfois importants) ça veut dire prendre des risques. Il ne faut pas se le cacher. Quand le courant passe et qu’on commence à se faire confiance, tout le reste devient beaucoup plus facile (comme dans toutes relation commerciale).



Le fait est que les agences de location immobilière se vantent de combler ces risques (profession réglementée, habitude de l’activité, réseau de contacts, etc). Mais comment travail beaucoup de ces agences (surtout les grands groupes : Foncia, Cytia, Nexity, etc) ? Ce n’est pas seulement en demandant au demandeurs de logement de fournir des dépôts de garanties, des cautions solidaires, des autorisations de prélèvements automatiques, des justificatifs d’emploi en CDI, etc qu’on sélectionne valablement un locataire respectueux et honnête.



Le sens du relationnel et du contact, le temps passé à résoudre des problèmes de réparation ou de perte de clé ou d’impayé, etc. Cela n’est pas inscrit dans des formulaires ou des justificatifs et c’est cette activité relationnelle (entre autres) qui justifie la rémunération de l’agence de location. Le relationnel est au coeur de l’activité de gestion locative (si on veut que ça se passe le mieux possible).



Or avec Foncia en l’occurrence (mais c’est le cas de beaucoup d’autres agences de location), on réduit au maximum les contacts avec le client (que ce soit le locataire ou le bailleur) et on communique difficilement les informations au le bailleur ou au locataire (tout ce qui ne semble pas rapidement rentable).



En résumé, ça ne sert à rien d’avoir des exigences démesurées (demander le plus de justificatifs possibles, les plus grandes garanties financières, etc), si on ne répond pas présent au moindre petit problème avant que celui-ci ne devienne insurmontable. Bien sûr facturer des frais de tous ordres sans préavis, ponctionner le client (comme le font les banques de détail d’ailleurs) ça peut être financièrement intéressant.



A ce sujet, comme la séparation des activités bancaires qui devait avoir lieu (banque de détail/banque d’investissement), il faudrait urgemment une séparation des activités immobiliaires et des règles pour supprimer les conflits d’intérêts dans cette profession (être syndic d’un immeuble et gestionnaire locatif d’un logement dans cet immeuble et vendre parfois des biens immobiliers dans ce même immeuble ne devrait pas exister tellement le conflit d’intérêt est évident dans ce cas).

Le 21/11/2014 à 12h 15

Je suis d’accord avec une petite partie de ce commentaire mais pour le reste, je me permets d’émettre quelques remarques :





O13 a écrit :



Si seulement le monde des bisounours été réel je pense que je n’aurai plus de clients. Mais heureusement pour moi de nombreux locataires se croit tout permis et de nombreux propriétaires confondent 2014 et 1948. Adoeix normes règles lois et autres obligations des deux parties.





Voilà un argument qui oppose un savoir, une expertise, un professionnalisme à une situation critiquable, alors qu’un expert peut évidemment être faillible ou malhonnête. Son expertise n’est pas un rempart contre le désordre dénoncé.



D’autre part, même lorsqu’un propriétaire-bailleur fait appel aux services de location d’un professionnel de l’immobilier, ce bailleur n’en reste pas moins responsable vis-à-vis de son locataire. Le professionnel n’est qu’un prestataire de services, pas un délégataire. Beaucoup d’agences de location montre beaucoup de prétention en s’imaginant opportunément indispensable à la relation entre le locataire et le bailleur.







O13 a écrit :



Alors oui des erreurs existent, mais on parle ici d’elements non essentiel dans le cadre d’une location, affichage du rcs, mention inexacte voir abusive mais en aucun cas quelqu’un loue un appartement ou e’ achète un grâce a ces mentions. A la limite elle génère plus de visite mais rien de plus.



Ce n’est pas si grave, on est bien d’accord, mais le consommateur fait appel à un fournisseur de services parce qu’il a confiance en lui. Or ces manquements dénoncés n’engagent pas la confiance du client







O13 a écrit :



PS pour les personnes râlant sur les papiers si les impayés étaient moins nombreux nous et nos assurances demanderions moins de choses.



La raison est surtout du fait du manque de logements en France : la demande de logement est telle qu’il faut trouver tous les moyens possibles et les les plus simples à mettre en pratique pour décourager le demandeur de logement et en profiter pour se protéger au plus possible contre les risques d’impayé et de dégradation.


Le 21/11/2014 à 09h 27

Vouloir le travail le dimanche des salariés du commerce à cause de la concurrence des commerces en ligne ou des commerces concurrents qui se permettent d’ouvrir le dimanche, c’est compréhensible mais ça ressemble à une fuite en avant qui ne prend pas en compte d’autres paramètres économiques et sociaux.



Les responsables de la dégradation du tissu économique, voire parfois les coupables, sont les pouvoirs exécutifs (Etat et collectivités territoriales) qui laissent durer des situations de concurrence déloyale (absence de contrôles des ouvertures de magasin réglementées, disparité fiscale entre Etats de l’Union européenne, etc)

Le 21/11/2014 à 09h 13

Le travail le dimanche des salariés profite surtout aux grandes enseignes et aux grands centres commerciaux (ce que j’appelle “les usines de la consommation”, “les parcs d’attraction de la consommation”). Les plus petits commerçants et les petites PME-PMI n’en profitent que très peu.



L’exemple de Bricorama illustre très bien le phénomène malgré ce que déclare son PDG : Ouverture le dimanche. Pas plus de clients qu’en 2013 chez Bricorama (ouest-france.fr). L’ouverture des magasins le dimanche représente une augmentation très minime du chiffre d’affaire : plus on n’a de magasins et de surface de vente, plus cette augmentation minime du CA représente quelque chose de conséquent au niveau d’un groupe national très bien implanté partout sur le territoire. Un commerçant régional ou local n’a pas grand chose à y gagner.



On peut aussi parler des salariés qui sont soumis à un lien de subordination vis-à-vis de leur employeur (pour eux choisir de travailler ou pas le dimanche, ne dépend que de la volonté de leur hiérarchie). Pour les salariés qui veulent travailler le dimanche, il leur reste la possibilité de se mettre à leur compte (auto-entreprenariat, entreprise individuelle ou société unipersonnelle, etc)



Quand aux consommateurs, leur pouvoir d’achat n’augmentera pas parce qu’ils iraient faire leurs achats le 7e jour de la semaine en plus des autres jours.

Le 20/11/2014 à 16h 14

Pour utiliser une image : la liberté d’expression quand on n’a pas la liberté de se taire, la liberté de son intimité, c’est comme s’indigner de la faim dans le Monde tout en se gavant de matières grasses et de sucres (ce qui est le cas du Nord-américain lambda).



Et c’est vrai que Firefox promeut la protection de la vie privée d’un côté et, d’un autre côté, est largement financé par Google qui fait son beurre des données personnelles de chacun de ses utilisateurs (amélioration de ses services et amélioration de ses activités rémunératrices de traitement des données et publicitaires). Concernant les accords commerciaux entre Firefox et les moteurs de recherche chinois, ce sont les mêmes types d’accords commerciaux (tu as l’air d’y voir une plus grande violation de l’éthique de Mozilla/Firefox alors que moi j’y vois la même chose: Google ou Baidu, ces entreprises traitent les données selon leurs besoins commerciaux et leurs obligations légales).

Le 20/11/2014 à 10h 50

Personnellement, je pense que tout est lié (guerre économique, ressources des big data, liberté d’expression). Pour revenir à la liberté d’expression, regardons dans nos Etats occidentaux comment se passe la liberté d’expression :



Tu as raison : sûrement que notre liberté d’expression politique est plus étendue en Europe qu’en Chine, mais est-ce que ça ne pourrait pas poser un problème de liberté d’expression dans un avenir proche ? N’y a-t-il pas un problème de surveillance massive et un problème grandissant d’exposition publique (ou semi-publique/semi-privée) des informations privées et intimes de chacun (big data) ? La liberté de choisir ce que chacun a envie d’exprimer, et de choisir à qui a-t-on envie de l’exprimer fait partie de la liberté d’expression.



Or jusqu’à présent nos Etats européens ne s’en préoccupait pas du tout. La situation commence à changer avec les révélations d’Edward Snowden car l’opinion publique s’est un peu réveiller (pour combien de temps) et les implications économiques et politiques gênent les dirigeants européens et Nord-Américains. Dans ces conditions, pourquoi des entreprises Nord-américaines (Google, Yahoo, Bing, etc par défaut dans Firefox) auraient le droit de collecter des données chinoises ?



D’autre part, nous, Européens, nous profitons grassement de l’économie chinoise : leur manque de liberté d’expression, le travail relativement fréquent des enfants chinois, les conditions de travail et de salaire de l’industrie chinoise : je pense que nous avons exporté ces problèmes en choisissant d’importer nos produits industriels que nous consommons.



Je déborde sûrement au-delà du seul sujet de la liberté d’expression, mais en Europe et en Amérique du Nord, la liberté d’expression n’est pas aussi idéal que nous semblons communément l’imaginer.

Le 20/11/2014 à 10h 00

La Chine et la Russie ont raison d’interdire les entreprises d’Amérique du Nord sur leur territoire. ces Etats ne font pas partie de l’OTAN et n’ont pas l’intention de :





  • laisser leurs citoyens exporter leurs données en Amérique du Nord

  • se laisser espionner sans rien faire par la NSA, la CIA ou le FBI ou tout autre agent économique (espionnage industriel)





    En France et en Europe, il est encore actuellement permis d’exporter ses données en Irlande et en Amérique du Nord car les Etats européens ont des accords policiers et militaires avec l’Amérique du Nord. Mais ça pourrait changer : la crise géopolitique Russie/Ukraine pourrait inciter les Etats d’Europe à revoir leurs accords très brusquement.

Le 20/11/2014 à 09h 35

En regardant la vidéo, je viens de comprendre que Mozilla Foundation et Mozilla Corporation sont basés à Mountain View (California)… comme Google Incorporation



Ca ne veut rien dire de concret car Mounain View n’est qu’une partie de la Silicon Valley et du Comté de Santa Clara. Mais ça dit quelque chose des origines de Mozilla/Firefox et ça correspond à une sorte de symbole.



A part ça, à 02:01 de la vidéo de firefoxchannel dans l’article, on voit un Parisien devant la Tour Eiffel avec le message : “Firefox is my independant choice in Paris #fx10”. Il aurait pu ajouter #frenchtech et #GPInnov

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Le 20/11/2014 à 15h 58

Avant que Qobuz soit mis éventuellement en liquidation, il faudra attendre bien plus d’un an. Ce sera éventuellement une agonie longue qui pourrait déboucher sur une liquidation, mais ça ne sera pas subitement l’arrêt total des services de Qobuz.



Une procédure de sauvegarde protège une entreprise en suspendant le remboursement de ses dettes. Ce qui est plus rassurant qu’une entreprise qui attend de ne plus pouvoir rien payer pour brusquement se mettre en liquidation judiciaire sans avoir rien dit à ses partenaires économiques.

Le 19/11/2014 à 19h 55

Le progrès c’est aussi le nombre de voiture circulant sur voie publique qui augmente, l’assurance auto devenue obligatoire, les big data que vont collecter et se revendre les bancassureurs.



DataGueule - “Big Data : données, données, donnez-moi”

http://www.lidd.fr/lidd/17855-quand-data-gueule-sinteresse-au-big-data

Le 19/11/2014 à 19h 45

OK, ça a l’air d’être bien conçu. Si on voit le résultat du constat immédiatement, ça me va.

Le 19/11/2014 à 16h 07

Ca me fait penser à une conversation que j’ai entendu de loin d’un commerçant face à son livreur qui demandait à ce commerçant de signer numériquement sur son appareil pour confirmer qu’il avait bien réceptionné sa marchandise. Le commerçant s’étonnait de ne pas avoir de reçu ou de bon de livraison à conserver.



J’ai trouvé sa réaction très pertinente : le bon de livraison est quand même bien pratique. C’est un peu la même chose avec l’exemplaire du constat amiable. On peut le relire, repenser à la situation, on peut photocopier le document, etc. Y a-t-il la même possibilité de garder une trace des déclarations inscrites au constat amiable une fois que chacun rentre chez lui ?

Le 19/11/2014 à 15h 58

comment fait-on pour signer un constat sur le smartphone d’une autre personne ? a-t-on droit à un reçu ? <img data-src=" />



Ca sent l’embrouille assurée

Le 19/11/2014 à 11h 32

Trouver un opérateur qui donne du débit pour un prix dérisoir sans s’abonner à ses propres services consommateurs de bande passante, ça revient à autoriser les clients à utiliser cette bande passante “gratuite” sur des services concurrents. Ce n’est pas pensable actuellement.



Il n’y a qu’à voir les offres livebox fibre d’orange :





  • la formule “zen” avec peu de services orange : 100 Mbit/s en débit descendant et jusqu’à 50 Mbit/s en débit montant

  • la formule “play” (un peu plus de TV et de “cloud” orange) : 200 Mbit/s en débit descendant et jusqu’à 50 Mbit/s en débit montant

  • la formule “jet” (avec en plus OCS ou Deezer Premium) : 500 Mbit/s en débit descendant et jusqu’à 200 Mbit/s en débit montant



    Sinon, à ma connaissance, il y a le VDSL de OVH comme consolation ou la fibre de Free avec tout de même le service téléphonique et le décodeur TV livré d’office (option TV facultative)

Le 18/11/2014 à 21h 48

Le câble ne dessert qu’une petite partie du territoire. Ailleurs, il y a encore de la place pour le développement de la fibre SFR/Numericable, sans compter qu’il y a des zones desservies par le câble de SFR/Numericable qui sont ou seront desservies par la fibre (mutualisée) d’Orange dans les zones hors Métropoles (Métropoles=zones très denses où l’infrastructure est mise en concurrence).



Quid des engagements de SFR vis-à-vis de la fibre mutualisée dans les zones les moins denses ?

Le 18/11/2014 à 18h 54

Merci pour cette hypothèse qui me semble la plus crédible. SFR/Numéricable réserve ses ressources pour l’ADSL et le VDSL en abandonnant le FTTH (fibre jusqu’au logement) en zones couvertes par le FTTA (câble) mais peut-être que les investissements en FTTH continueront de plus belle en zones non-couvertes par le FTTA.



Pour être précis : l’aménagement du territoire (qui concerne aussi les 4 opérateurs nationaux, ceux-ci s’occupant des zones de population les plus denses) en THD (très haut débit) est co-financé par l’Etat et piloté par les collectivités territoriales.



THD = débit supérieur à 20 Mb/s

Haut débit = débit entre 512 Kb/s et 20 Mb/s

Le 18/11/2014 à 16h 37

de toutes manières, les opérateurs vendent des “BOX” et le grand public ne voit pas la différence en général entre ADSL, FTTH etc. En effet, si on ne fait que consulter le Web et ses courriels sur sa tablette en connexion WIFI, bien sûr, le quidam ne voit pas la différence (mais il a une tablette, ou mieux, un iPad, et une jolie BOX avec une télécommande)



le marketing met des paillettes dans les yeux du consommateur avec des BOX Evolution Revolution Sensation etc.

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Le 19/11/2014 à 10h 30

Je ne te mets pas en cause. D’ailleurs, mon commentaire s’adressait autant à Takoon, à Lyzz ou à d’autres qu’à toi. Chacun fait ce qu’il veut heureusement. A toi de voir selon tes propres repères moraux et ta conscience.



Ceci dit, je réagirais une fois de plus, cette fois en ce qui concerne ton dernière paragraphe :



« Je prends donc ici le parti d’en rire (je peux comprendre que ça ne te plaise pas), mais s’il fallait rester sérieux sur le sujet, il faudrait alors y lmêler FB, le cloud, les modes push des smartphones et les aspirations moyennes de nos concitoyens… Bref, de quoi relativiser le “très grave” dont tu parles et d’attribuer plus finement cette gravité je dirais… <img data-src=" /> »



Il n’est pas question d’être sérieux ou de rire / de se montrer léger ou de se montrer rabat-joie. Il n’est pas question que ton commentaire ou le mien plaise ou déplaise à qui que ce soit. Il est question de savoir de quoi on parle et de parler en conscience (quelque soit le ton employé et quelque soit l’humeur du moment). Je ne faisais qu’une remarque à partir de mon propre point de vue (et heureusement chacun garde un point de vue différent). Il n’y a donc rien à relativiser à ma remarque, il y a seulement à accepter ce que j’ai voulu dire et accepter de prendre du recul par rapport au sujet. (C’était l’objectif de mon commentaire précédent)

Le 19/11/2014 à 08h 47

Ton commentaire me fait penser à l’emission d’hier soir sur France4 sur le thème du permis de conduire. Il s’agit d’une télé-réalité où on filme des jeunes sans qu’ils sachent qu’on les filment pour critiquer leur comportement au volant.



Perso, je trouve ça très grave même si France4 a obtenu après coup l’autorisation de la personne piégée. Concernant le fappening, c’est un peu plus grave. Et si ça arrivait à n’importe qui, comme moi, comme toi ou comme Takoon j’espère que tu te rendrais compte que ce n’est pas simplement marrant, c’est aussi une atteinte à la dignité et à l’intimité.

Le 18/11/2014 à 15h 37

Freedom Act VS Patriot Act : faudrait choisir !

Le 18/11/2014 à 14h 10

J’ai commencé une procédure d’abonnement en vérifiant mon éligibilité, on dirait bien que SFR ne fait plus de dualplay (le décodeur TV semble maintenant obligatoire) avec la mention “2€/mois” barrée et le mot “INCLUS” affiché devant la photo du décodeur. Dommage<img data-src=" />

Le 18/11/2014 à 14h 04

@Patch tu as remarqué <img data-src=" /> En fait comme je ne pouvais plus éditer mon commentaire, j’ai fait un second commentaire. Mais c’est vrai que j’ai un peu l’impression de discuter avec moi-même <img data-src=" />

Le 18/11/2014 à 09h 57

Ou alors l’offre de base est bien à 29,99 euros / mois sans la TV (si on se réfère à cette FIS (page 5) :

http://static.s-sfr.fr/media/brochure_box.pdf

Le 18/11/2014 à 09h 55

Le 18/11/2014 à 09h 41

« Comme c’était déjà le cas auparavant, l’offre de base est donc proposée à partir de 19,99 euros par mois pendant un an, puis à 29,99 euros. Le décodeur TV classique est inclus par défaut, tandis qu’il faudra débourser 3 euros de plus par mois pour le décodeur Evolution ou la version « avec Google Play », et 2 euros pour le satellite. »

article Next Inpact



Or, sur la fiche d’informations standardisée, il est indiqué 29,99 euros / mois et les options TV sont indiquée en supplément de prix :

« PRIX HORS PROMOTION DE L’OFFRE/MOIS29,99€TTC/mois

(…)

TÉLÉVISION

Option TV évolution : +3€/mois(2)

Option TV classique : +2€/mois(2)

Option TV satellite : +2€/mois(3)

Option TV SFR avec Google Play : +3€/mois(5) »



D’autre part, dans l’article, il me semble qu’il manque l’option TV classique +2 euros / mois.



A mon avis, l’offre la moins chère (l’offre de base) de SFR est au prix de :

29,99 euros + 2 euros soit 31,99 euros / mois

Le 17/11/2014 à 17h 54

En tout cas, l’offre Box&You a été supprimée du comparateurhttp://lesoffresinternet.fr

En revanche l’offre Freebox Crystal est notée dans la catégorie Fibre, et je me demande bien pourquoi



Peut-être qu’un article spécifique à la disparition de Box&You est en préparation ?

Le 16/11/2014 à 10h 05

En parlant de traitement des données et de big data :

Big data : données, données, donnez-moi ! #DATAGUEULE 15

Le 15/11/2014 à 15h 44

Plus besoin de questionnaire de santé pour souscrire une assurance santé, les big data sont là pour ça

Le 14/11/2014 à 17h 29

Oui ça se tient, tu t’intéresse plus à l’aspect marque commerciale qu’à l’aspect technique du réseau. C’est pour ça que tu parles de Free dans les commentaires d’un article qui parle du réseau de SFR et de Bouygues Telecom.

Le 14/11/2014 à 16h 40

Et l’offre adsl B&You à 16 € ? Au revoir ?

Au Revoiiir…

Le 14/11/2014 à 08h 27

SFR est aussi un gros hébergeur de MVNO et un gros opérateur de collecte ADSL et si on ajoute en plus les clients de Numericable/Completel, ça relativise peut-être ses statistiques.