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7412 commentaires

Le 17/12/2014 à 10h 50

Je dirais mieux : Vivez en union libre ou vivez pacsé. Ou mieux encore : Vivez célibataire

Le 17/12/2014 à 10h 46

En cas de mariage, on a des obligations envers son conjoint. Dans un divorce sans accord amiable, on a le droit d’apporter des preuves à charge. On pourrit la vie de l’autre (on se pourrit la vie soi-même, parce que l’autre répliquera probablement) pour garder un bout des avantages qu’on possédait pendant le mariage. Question de mentalité et de besoins financiers et de blessures morales. En tout cas, situation difficile à vivre, je suppose.

Le 17/12/2014 à 08h 09







Ronfl a écrit :



Et sinon y a que moi que ça choque la transposition des lois européennes par ordonnance ? 

DADVSI est un bon avant de ce qu’on peut faire avec ça non ? 





Ca ne me choque pas, en tout cas moins qu’un referendum en 2005 dénoncé par un vote du Parlement réuni en Congrès en 2007. Car le principe des Ordonnances (art. 38 Constitution 1958) est connu de tous au préalable. Et, une Directive européenne s’applique à tout Etat-membre de l’Union européenne, donc ce texte ne demande aucun débat (les débats ont déjà eu lieu à la Commission européenne, au Conseil européen et au Parlement européen).



Mais c’est vrai que la Constitution de 1958 donne un pouvoir central au pouvoir exécutif.


Le 15/12/2014 à 15h 09

c’est vrai, c’est sûrement l’un des problèmes qui se pose à la presse nationale déjà bien établie. On a déjà eu le même débat avec l’essor en France dans les années 2000 de la presse gratuite (Metronews, 20 Minutes).



Mais ce n’est pas uniquement ça le problème. C’est aussi un problème d’accords commerciaux entre Google et les entreprises de presse. Il y a sûrement des tolérances ou des accords qui sont parfois remis en question dans le secret des bureaux, dont le grand public n’entend jamais parler et c’est bien dommage.



Ca me fait un peu penser aux 1ères radios commerciales (locales, musicales) apparues avec la “libération des ondes” dans les années 1980 : celles-ci diffusaient de la musique “gratuite” aux auditeurs qui n’avaient donc plus à payer pour écouter. Pourtant, comme dans le cas Google, à l’époque ces radios se vantaient de faire de la publicité “gratuite” aux artistes. Ces radios et ces éditeurs et producteurs de musique se sont finalement mis d’accord sur des partenariats et des systèmes de rémunération.

 

Madonna a vendu beaucoup de disques grâce à la publicité de NRJ radio, et NRJ radio a eu beaucoup d’audience grâce à Madonna. Dans le cas Google/éditeurs de presse, c’est le journalisme qui se fait prendre en tenaille entre audience et intérêts des propriétaires de grands médias.

Le 15/12/2014 à 12h 37

Ce ne sont pas les mêmes éditeurs :




    - la presse institutionnalisée, les grands groupes de médias nationaux  :         

 "ouin google nous pique nos news sans nous payer" - Google organise un service / un site web avec nos contenus dans des conditions qui ne nous conviennent pas toujours






    - la presse en ligne (pure player), des journalistes-blogueur qui n'ont pas peur de leur dépendance à Google, voire qui en ont besoin pour exister :         

  "ouin google ferme google news on aura moins de visiteur"

Le 15/12/2014 à 10h 21

Il faut dire que les “ayant-droits” dont parle l’article (membres de la MPAA) sont à la fois producteurs + diffuseurs de contenus cinéma/audiovisuel  (FAI ou opérateur TV satellite, hertzien) : Comcast (NBC Universal), Time Warner (Warner Bros) comme exemples de FAI.




Un peu comme Orange (Orange Studio), Bouygues Telecom (groupe TF1), etc mais à l'échelle d'un continent et avec des FAI qui  sont vus plutôt comme des diffuseurs de contenus par la FCC (alors qu'en Europe un FAI est vu plutôt comme un fournisseurs de services de communications électroniques par les autorités de régulation).      






En fait, c'est une guerre de géants des contenus et de la diffusion par réseaux de communication (ADSL, câble, satellite, réseau hertzien) contre des géants des services web et des contenus web.

Le 14/12/2014 à 15h 57

En ce qui concerne spécifiquement le service Google Actualités, je peux comprendre que l’intérêt de Google est autre et que ça ne rapporte rien en terme de publicité.




Néanmoins, je ne me résous pas à regarder un service de Google en particulier pour comprendre comment il fonctionne. Car tous ces services sont liés dans un seul but prioritaire : profiter à la synergie entre les services Google et au bénéfice de Google.    





Pour utiliser une analogie : quand je veux écouter de la musique qui me plait,  je n’écoute pas Chérie FM ou NRJ. De la même manière, je n’utilise pas les services Google (sauf  dernier recours) quand j’ai besoin d’un service web. Google, comme NRJ group sont des entreprises qui recherchent l’audience à tout prix au détriment trop souvent de la qualité du service rendu.

Le 13/12/2014 à 18h 11

« ils ne font pas vraiment du fric dessus »



 J’aime beaucoup l’adverbe “pas vraiment”. Le modèle économique de Google n’est donc pas vraiment rentable…

Le 11/12/2014 à 13h 28

« je suis disposé à payer un site d’information entre 3 et 5 euros par mois »



Je rectifie : il faut lire : entre 2 et 3 euros par mois, soit pas plus de 36 euros par an (40 euros si vraiment le site m'intéresse - et pour arrondir la somme à la dizaine supérieure).

Le 11/12/2014 à 13h 17

J’ai répondu “ne se prononce pas”. J’ai hésité à répondre “plus de 30 euros par mois” parce que en fait je suis disposé à payer un site d’information entre 3 et 5 euros par mois en sachant que je ne m’abonnerais pas à plus de 2 sites d’information (un 3e site, si j’en trouve un vraiment très intéressant). Mais avoir accès à une multitude de médias pour 30 ou 40 euros par mois, ça ne m’intéresse pas.




  Les offres du type Deezer ou Netflix, ou les bouquets TV sont intéressantes pour le divertissement : on sait ce qu'on va trouver, on y va pour le plaisir. Concernant l'information, j'aime plutôt découvrir des choses nouvelles ou avoir une information qui ne corresponde pas aux grands médias.        






  D'autre part, je n'aime pas la publicité intrusive et la publicité envahissante. Mais je consens à une forme de publicité qui peux éventuellement m'informer ou m'intéresser, sans qu'elle soit trompeuse ou menteuse. Je pense que ce n'est pas parce qu'il n'y a pas de publicité que le contenu est de facto intéressant. Si on reprend l'exemple de Deezer, la page d'accueil va faire la promotion d'un type de musique (par un algorithme mystérieux), musique que je n'aime pas (l'actu musicale ne m'intéresse pas) et le catalogue ne sera, de toute façon, pas complet (aussi riche soit-il). Alors ça ne m'intéresse pas de m'abonner à Deezer même si je n'ai pas de publicité sur l'interface. Qobuz, actuellement, m'intéresse un peu plus que Deezer car le site est multi-services (téléchargement, écoute par flux), multi-plateformes (web, applications desktop ou mobile ou web), multi-qualités d'écoute (mp3 jusqu'au lossless).         






   En fait, je préfère sélectionner moi-même, peut-être dans un catalogue, mais aussi au hasard du web, je paie entre 2 et 3 euros par mois par site d'information. J'achète des "objets publicitaires" en plus de l'abonnement si le coeur m'en dit, je me sens libre, conscient, capable de changer de média quand je veux, tout en m'engageant 1 an ou 2 ans (par abonnement).

Le 13/12/2014 à 17h 20

c’est du cashback crowdfunding (mot-valise que je viens d’inventer) : on écoute de la musique, on reçoit en retour de la petite monnaie, à dépenser dans le financement participatif de projets voulus par la banque.

Le 12/12/2014 à 22h 00

Les grandes ondes, ça me rappelle des souvenirs et ça existe encore. C’est du rustique, pas besoin de nombreux relais à courte distance et on capte presque partout.

Le 12/12/2014 à 18h 24

Les uns demandent la censure d’un rapport de l’Arcep, les autres font de la publicité trompeuse

Et l’Arcep souhaite mettre plus de transparence à propos de la qualité des réseaux fixe grâce à la bonne volonté de ces gens.



Finalement, l’Arcep n’est pas un “gendarme”, l’Arcep est un “sheriff du Far West”

Le 12/12/2014 à 18h 02

« Où est ce que je prend la défense de Google en précisant qu’il ne sert pas du contenu mais seulement du titre ? Je ne fais qu’énoncer un fait. Tu déformes la réalité en disant que Google News utilise le contenu, je rétablit la vérité. Rien que ça. Pas de parti pris. »

 

Désolé. Dans mes commentaires précédent, j’explique mon point de vue sur ce sujet. Et dans l’extrait que tu as cité, il s’agit d’une exagération pour montrer en conclusion plus sérieusement ce que je pense vraiment( et justement, je ne suis pas d’accord avec ce que tu dis).



 



  « Oui Google est un gros  méchant qui monnaie nos infos personnelles, mais c'est un autre débat  (et je pense que la presse s'en fiche comme de l'an 40 de ce que fait  Google avec nos infos personnelles). »     





Je ne parle pas du sujet de la vie privée, je parle de l’activité commerciale de Google. Google est une société qui tisse des partenariats notamment avec des organes de presse. Google ne fait pas naïvement des liens vers le reste du web. C’est le sens de mon commentaire précédent.



       



 



 « Pareil quand je dis  que la presse va mal si le titre seul suffit à avoir toute l'information nécessaire ? J'énonce juste un fait.  Si je veux juste des titres  j'écoute les titres du flash radio, je vais pas lire un journal... Quand je lis un journal (papier ou sur internet) je m'attends à un fond, une  enquête, une réflexion. Bref pas qu'un titre... Il me semble que tout le problème de la presse papier vient du fait qu'ils ont tendance à  oublier ce détail. »     





Oui, je crois comprendre ce que tu veux dire.

Le 12/12/2014 à 17h 33

L’un n’empêche pas l’autre. D’ailleurs, c’est quoi ce raisonnement qui consiste à ignorer que Google agit dans son propre intérêt ? Google fait ça pour perdre son temps ? pour le bien de l’humanité ?




 Pourquoi vous prenez la défense d'un camp contre un autre ? Vous ne savez pas réfléchir, prendre du recul sur les choses ? What else ?

Le 12/12/2014 à 17h 23

Merci pour ces précisions. En tout cas, Google ne fait pas de revue de presse. Une revue de presse consiste à faire une synthèse à partir de morceaux d’articles ou à comparer les articles entre eux.




    D'ailleurs, pour citer moi aussi fr.wikipedia.org Wikipedia">wikipedia :          

 

« En droit français, la revue de presse est une exception au droit d'auteur défini par l’article 122-5 du Code de la propriété intellectuelle



 

 La jurisprudence la restreint strictement à « la présentation conjointe et comparative de divers commentaires émanant de journalistes différents et concernant un même thème ou un même événement » (…)



 Les conditions cumulatives indispensables pour prétendre à cette exception au droit d’auteur sont donc:




  • élaboration par un organe de presse, qui ne saurait s’opposer à l’utilisation réciproque de ses propres articles par les autres organes de presse cités pour leurs propres revues de presse;

  • regroupement organisé par thème ou événement : la revue de presse - même si les critères sont moins sévères que pour les ouvrages de compilations définis par le Code de la Propriété Intellectuelle - doit faire montre d’un effort de compilation témoignant d’un travail de classement;

  • respect du droit moral et patrimonial des auteurs : citations courtes qui ne devraient pas dispenser le lecteur de lire l’article original, mention complète de l’auteur et de l’organe source permettant au lecteur de s’y reporter aisément. »



    fr.wikipedia.org Wikipedia

Le 12/12/2014 à 17h 11







wormidable a écrit :



On peut etre d’accord avec Google sur certains points et rester en desaccord sur d’autres.



L'idee de faire payer un titre, un lien et trois lignes de contenu, surtout dans l'idee de faire de la publicite a la source, c'est une aberration et il n'est pas difficile d'etre d'accord avec Google sur ce sujet.      






Je ne sais pas si bingo est 100% pour Google, mais sur ce point je ne vois pas trop comment qualifier le comportement des editeurs de presse autrement que "abus pueril".      






Ajoutons que ces sites pourraient facilement se desindexer de Google s'ils le souhaitaient vraiment, mais qu'ils aiment cette publicite gratuite... sauf qu'ils veulent en plus etre payes pour le droit de... recevoir cette publicite.      

Rappelons que Internet est public par defaut, et que si tu ne souhaites pas etre public, tu dois le parametrer toi-meme. Ici, c'est simple: robots.txt. Et la preuve a deja ete fournie que certains de ces editeurs autorisent explicitement Google News dans leurs robots.txt et continuent pourtant a se plaindre d'etre indexes par le mechant Google. Il y a un principe de droit general qui veut que tu ne peux pas porter plainte contre autrui pour les consequences de tes propres actes... mais ca ne vaut pas en politique.






Alors evidemment, le probleme pourrait etre different (et encore, ca reste a voir) si Google reprenait l'integralite des articles indexes - mais il ne s'agit ici que d'extraits - ou indexait malgre eux des sites qui manifestait (via robots.txt) leur volonte de ne pas etre indexes. Rien de tout ca ici, donc les editeurs n'ont pas ma sympathie.







 



Voilà typiquement le genre d'affirmation qui me gêne. En résumé, ça veut dire grossomodo :     







  • Les éditeurs, la presse veulent gagner de l’argent

  • Google ne fait qu’indexer des pages web et fait de la publicité gratuite aux éditeur

  • Google = internet = public = suite de liens html = gratuit





     Mais on pourrait faire la même liste à charge pour Google :



  • Google collecte des données, vend de la publicité ciblée, organise la synergie entre ses différents services/outils/filiales

  • La presse, les éditeurs produisent du contenu dont Google News se sert pour attirer des utilisateurs sur ses services

  • Google se prend pour le grand ordonnateur d’internet alors qu’il n’est qu’un composant parmi d’autres sur la toile



    En somme, internet c’est l’anarchie, c’est gratuit, on a le droit de faire n’importe quoi et ceux qui essaient de vendre des services payant sur le web sont des escros. Vive Google le bienfaiteur (j’en fais un peu trop là, mais ça me fait rire)



     

    Sérieusement, Google aussi veut gagner de l’argent, Google construit des services pour ses propres besoins et intérêts avant tout (comme toute société commerciale) et internet est un espace public mais Google n’agit pas toujours pour le bien d’internet.


Le 12/12/2014 à 16h 19

C’est une analogie intéressante.  Je peux être en partie d’accord avec ton analyse de la situation. Le numérique chamboule les activités de presse et journalistiques. Une adaptation du modèle économique de la presse aux nouvelles technologies est nécessaire. D’autre part, effectivement, Google est une cible facile parce que c’est une multinationale, aux bénéfices importants, avec une croissance exponentielle, unique en son genre (même si je pense que Google a les moyens suffisants pour se défendre).




   Pourtant, dire que Google offre un service gratuit me gêne un peu. Un peu partout sur le web,  j'ai l'impression de lire souvent des affirmations qui laissent penser que les services de Google sont gratuit. Et du fait de cette hypothétique gratuité, si des gens se plaignent de Google ou tentent de "tordre le bras" à Google (procès, nouvelles lois votées, etc), ceux-ci seraient des gens injustes, sans reconnaissance, voire belliqueux ou avares de leur position dominante.          






   De ces affirmations qui me semblent incorrectes, je dirais que :         







  • la société Google ne représente pas à elle toute seule les nouvelles technologies. Autrement dit, la presse n’a pas besoin de Google pour utiliser les nouvelles technologies. La Presse a sûrement besoin, entre autres, de son partenariat avec Google, mais Google News n’est pas le seul outil technologique. Beaucoup de choses restent à inventer et ces choses ne seront pas inventées uniquement par Google (et pour les besoins de Google : Google innove mais faudrait pas la confondre avec une fondation ou une ONG)

  •  Google n’est pas gratuit. Google collecte des données de ses utilisateurs, Google se rémunère avec la publicité ciblée, Google profite de la synergie entre ses multiples services et avec la multitude de ses utilisateurs dans le Monde (les activités de TF1, NRJ non plus ne sont pas gratuites, même si le quidam peut regarder TF1 ou écouter NRJ gratuitement)



    Pour finir et pour être précis, un office de tourisme est de la responsabilité d’une Commune ou d’un groupement de Communes, voire d’un groupements de personnes souhaitant développer les activités d’un territoire (syndicat d’initiative). Google et les organes de presse sont des entreprises commerciales indépendantes entre elles qui tentent de faire des bénéfices ensemble.

Le 12/12/2014 à 15h 17

« Tu insinues qu’un lien est en soit un contenu ayant nécessité un travail? L’article pointé, certes, mais le lien, j’ai un gros doute. Contrairement à 20 Minutes qui paie pour un article et pas pour un lien. » 



               

Qu'on se comprenne bien : je parle du travail du journaliste et de l’entreprise qui l'emploie. A part ça, je dis simplement que faire une page web ou un service constitué de liens html qui pointent sur des sites externes ressemble beaucoup à faire un site web constitué de pages web externes construites avec le travaille d'autres personnes.







« Pour ce qui est de l’autorisation, il semble d’après les commentaires et les liens vers les CGU de google news que c’est du opt-in et donc un choix des médias de s’y inscrire. Au pire ils peuvent refuser en mettant un robots.txt, donc ce n’est clairement pas d’être présent sur Google News qui les ennuie.  »




     S'il s'agit d'une inscription de sites de presse auprès de Google News (opt-in), c'est vrai que ça change le problème        








  « Et enfin, il me semble que la règle générale, c'est de payer pour être répertorié dans un catalogue/annuaire, et non l'inverse.         »           

 

Cela dépend de l'accord commercial entre eux (Google et la presse) et visiblement, il y a désaccord. A eux de se mettre d'accord s'ils veulent gagner de l'argent ensemble.






      Par exemple, quand une radio musicale passe de la musique, la radio paie la SACEM, et la radio peut également percevoir une rémunération pour faire la publicité d'un artiste. Ce sont des accords de licences ou des partenariats commerciaux.           






                 

Pour conclure, je précise que je n'ai rien contre Google, je n'ai rien contre la presse. Je ne fais que réagir à des commentaires.

Le 12/12/2014 à 14h 55

« CF mon commentaire du dessus  et celui d’avant . D’une part, Google news est en “opt-in”, dans il y a “de facto” une autorisation. D’autre part, non, les URL ne sont pas considéré comme le “contenu” d’un site (sauf à vouloir revoir le fonctionnement du net), et le référencement est considéré comme un service aux entreprises, qui pourrait très bien être payant ( cf , par exemple : http://boutique.pagesjaunes.fr/fiches/referencement-pagesjaunes/ ). Alors certes, certains services sur internet sont en “opt-out” (raison technique), mais tu as toujours moyen de ne pas y figurer (et très facilement si tu le souhaites). Il y donc toujours un “consentement” pour ces services, gratuit de sur-crois. Bref ,tu n’aurais pas cette conversation si Google n’avait pas autant de poids sur internet (ou si, comme le dit très bien l’article, ils payaient leur impôts dans les pays d’origine). Mais c’est pourtant ces point là qu’il faut viser, par sur le “fonctionnement” de Google news qui est “on ne peut plus normal”! »




 Ce sont de bons éléments de réflexion et je suis d'accord avec ça. Il s'agit d'un désaccord commercial. Je ne dis pas le contraire.       






 Et je ne défend personne, ni Google, ni des organes de presse (je défends peut-être la légitimité de la loi). Je réagis seulement à des commentaires qui fustigent la loi ou les règles comme si c'était la vieille économie (en l'occurrence la presse) qui téléguidait le législateur. Si la loi ne plait pas à Google ou à quiconque, on va en discuter avec son député. Et on râle après sur des actes concrets.

Le 11/12/2014 à 14h 39

Je ne me plains pas de Google News, je me plains de ces affirmations qui définissent Google comme une organisation philanthropique qui ne gagne pas d’argent avec Google News et qui ferme son service à cause de lobbies rétrogrades qui empêchent Google d’innover pour le bien de l’humanité.




J'exagère un peu ma pensée, mais c'est grossomodo ça mon problème. Que Google ferme un de ses services en Espagne, ça ne m'inquiète pas : ni pour l'avenir de Google en Europe, ni pour l'avenir des sites d'information, ni pour l'avenir de l'humanité, ni pour la capacité d'innovation des entreprises du web.

Le 11/12/2014 à 14h 30

Faire use = utilisation équitable



Développe un peu, s’il-te-plaît, pour qu’on puisse comprendre où est l’équité dans les activités de Google et en particulier dans son service Google actualités.



Tu considères que Google news ne fait que reprendre les titres d’articles de presse en donnant de l’audience à ces articles par les liens. Je suis d’accord avec ça.



Mais tu oublies le fait que Google aussi gagne de l’argent avec ces contenus et que visiblement les producteurs de ces contenus ne sont pas d’accord. Alors qui a tord, qui a raison, je n’en sais rien, mais quand on fait une page internet avec uniquement des liens externes, ça s’appelle faire un site internet grâce au travail des autres… et ça se paie en général : pour gagner de l’argent avec le contenu d’autres médias, il faut demander l’autorisation et souvent il faut payer le contenu. Par exemple, quand 20 Minutes ou Metronews utilisent des articles de l’AFP ou Reuters, ces journaux gratuits paient une redevance à ces agences de presse.



Mais on peux penser que Google innove, que Google est victime, que Google est philanthropique aussi. Moi je ne pense pas comme ça.

Le 11/12/2014 à 14h 19

Tu fais de l’ironie et je ne comprends pas pourquoi. Je ne suis pas d’accord avec toi, c’est tout.



Si Google ferme son service, ce n’est pas à cause des autres et rien n’interdit à Google News d’exister. Et si tu à l’air de considérer Google comme une victime avec ton ironie, moi je crois que Google est une multinationale qui a les moyens de se défendre et qui se défend très bien.

Le 11/12/2014 à 10h 29

je ne suis pas contre Google actualités. Je dis que faire un site avec le contenu des autres sans leur autorisation ce n’est pas normal. Même les licences Creative Commons fonctionnent avec des autorisations des auteurs.



 “Tout est bien qui finit bien” ? Je ne sais pas.  Si Google souhaite fermer son service, c’est de sa responsabilité. C’est à Google de voir s’il faut trouver un accord ou faire un autre service.

Le 11/12/2014 à 10h 25

« L’accord de Google (l’accord de Google unilatéral avec moi-même?) c’est je présente vos titres, je vous apporte du trafic, » et je gagne de l’argent avec les données que je collecte pendant la consultation du service par les utilisateurs et avec les contenus que je mets en avant grâce à mon algorithme (selon mes besoins)

Le 11/12/2014 à 10h 15

Faire un site web même avec uniquement des liens html vers des contenus produits par d’autres, ça s’appelle faire un site web sur le dos du travail d’autres.

 

C’est comme uberPOP qui ferait soit-disant du covoiturage parce qu’il n’y a aucune formalité demandée par Uber.  Heureusement, ce n’est ni Uber, ni Google qui fait la réglementation en Europe (pas encore en tout cas).

Le 12/12/2014 à 08h 44

Admettons que ce que tu dis constitue les seules règles de fonctionnement de ces plafonds.




  D'abord, je me permets quand même d'en douter et de me poser des questions. Ensuite, en cas de refus de paiement ou de retrait, sur le moment, on peut s'imaginer ce qui s'est passé mais jamais ne peut-on en avoir la certitude (on n'a pas de preuve tangible et on aura peut-être une explication plausible quelques jours après le problème). La confiance dans la carte bancaire ne tient que par la confiance qu'on  accorde au système des paiements et qu'on accorde à sa banque (tant que le problème ne se produit que très rarement).        






  Dans le cas d'un système de vote électronique, il s'agit avant tout d'une méfiance des candidats entre eux ("il n'en restera qu'un"). Et si la confiance dans ce système de vote électronique est tenable tant que tout semble fonctionner régulièrement, dès qu'un problème inopiné apparait (les problèmes ne sont jamais prévus à l'avance), il y a une crise qui, dans le cas du système de vote électronique d'une élection importante, est dangereux pour la stabilité des institutions en question. Toutes les règles du vote papier existent uniquement parce que dans l'histoire des systèmes de vote, on a connu des problèmes (fraudes, erreurs) inexpliqués ou expliqués trop tard.        






  Je trouve cette comparaison intéressante. La transparence du processus est plus tenable et plus rassurante dans le cas du papier que dans l'autre cas. D'ailleurs, il existe encore des gens qui préfèrent le paiement papier (chèque, espèces) aux paiements électroniques, pour diverses raisons (même si elles sont de moins en moins nombreuses).

Le 11/12/2014 à 21h 30

Oui je connais ça. Ca facilite les choses, mais rien ne dit comment ça fonctionne. Par exemple, si plusieurs paiements successifs sont refusés, est-ce que les demandes de paiement s’incrémentent dans le cumul des paiements (ou des retraits) ? Pendant combien de temps la carte restera-t-elle bloquée en cas de refus de paiement ?



 Difficile de répondre à ces questions spontanément, et même en essayant de calculer, même en connaissant toutes les règles de fonctionnement de ces plafonds, ça n’est pas toujours possible de savoir les raisons du problème au moment où on a besoin de l’information. Tant qu’on n’atteint pas les plafonds, il n’y a pas de problème. Et c’est vrai que c’est utile de savoir où on en est dans le cumul des paiements/retraits car ça permet d’éviter le problème d’un refus de paiement ou de retrait.



Dans l’analogie avec le vote électronique, c’est un peu pareil : en cas de problème dans le décompte des votes, impossible à ce moment-là (moment où on a besoin de connaître quelle est l’erreur) de savoir ce qui s’est passé.

 

Le 11/12/2014 à 16h 19

A un moment de l’émission, Jean-Marc Manach fait référence à un retrait d’espèces sur un DAB. Moi, le vote électronique met fait penser au fonctionnement des plafonds retrait/paiement des cartes bancaires.




     Difficile de savoir pour l'utilisateur où en sont ses plafonds. Quand un paiement est refusé, on peut téléphoner à sa banque, mais parfois même la banque ne sait pas d'où vient le refus de paiement. Heureusement, ce n'est pas tous les jours que les dépassements de plafonds (et/ou de solde bancaire pour les cartes à autorisation systématique) se produisent, mais quand ça arrive, ça met dans l'embarras le plus total.           






     D'autre part, au sujet de l'élection de Georges Bush en 2000, le résultat était tellement serré que le Président des Etats-unis a été pratiquement élu par un vote de la Cour suprême. Al Gore et le Parti démocrate ont eu une attitude plus que civique à ce moment critique.

Le 11/12/2014 à 14h 57

Pour cette émission, il n’y a plus qu’un “barbu” parmi les 3 invités <img data-src=" />

&nbsp;(référence à l’introduction du précédent 14h42 sur les porn studies)

Le 11/12/2014 à 18h 33

« Qui a choisi le prestataire pour effectuer les mesures ? »

paragraphe très intéressant qui montre ce qu’il ne faut pas faire quand on ne veut pas de conflits d’intérêts.

&nbsp;Et la dernière phrase du paragraphe montre le souci de transparence qui existe dans cette opération de l’ARCEP (pilotée par l’ARCEP)

Le 10/12/2014 à 15h 44

<img data-src=" />exact, bien vu



à noter : sur Android, avec F-Droid et Firefox Marketplace par exemples, les autorisations accordées aux applis sont minimales. Et dans les cas les plus intrusifs, une information particulière est donnée.



Bien sûr, il ne faut pas avoir envie de l’application officielle de facebook ou de sa banque, mais il y a les applis essentielles dans l’usage d’un smartphone.



Par ailleurs, j’ai vu que Qobuz publie sur son site web le fichier .apk de son application Android.

Le 10/12/2014 à 13h 42

Autrement dit :




  • pourquoi parler de ça ?

  • pourquoi dire que Google ou Apple ne veut pas que le bien de l’humanité ?

  • on m’avait dit que Android est génial, pourquoi vous dites que ce système a des défauts ?

  • Google ne nous cache rien, pourquoi dire qu’il y a des révélations et des indiscrétions ?

Le 10/12/2014 à 13h 35

« faut arrêter les parallèles bancals.&nbsp; »



Il ne faut pas caricaturer le commentaire de js2082 comme ça : perso, je n’y vois aucun parallèle, mais plutôt un fait sociologique. Ce n’est pas une théorie, mais plutôt un exemple illustratif.



On peut aussi ne pas avoir envie d’y réfléchir ou voir les choses de manière manichéenne. On est libre de penser que la société évolue toujours de la meilleur façon possible et que ceux qui disent le contraire racontent n’importe quoi, mais c’est une erreur.

Le 10/12/2014 à 12h 56

effectivement, c’est une vraie question de société et même philosophique : doit-on faire confiance par défaut à une institution ( au sens large : publique ou commerciale ou autres) ?



En tout cas, personnellement, j’essaie de me donner au maximum les moyens d’avoir à donner ma confiance au minimum à qui que se soit (bancassureur, Etat, fournisseur télécom, électricité, etc). En tout cas, chacun d’eux en sait beaucoup trop sur moi, et avec le big data, ça ne va pas s’arranger.

Le 10/12/2014 à 11h 25

Le covoiturage est une pratique qui consiste à partager un voyage commun. Le covoiturage ou l’auto-stop n’est pas du transport de personne au sens que ce n’est pas une activité rémunérée et habituelle. Il y a éventuellement une participation aux frais d’un voyage (carburant, péage, etc).



Quand on souhaite gagner de l’argent en acceptant des personnes dans son véhicule, donc quand on fait une marge commerciale et quand on le fait assez fréquemment pour rentabiliser cette activité, on ne fait pas du covoiturage, on fait du commerce, on fait du transport de personnes (taxi, VTC, ambulance, etc).



En tout cas, en France, c’est comme ça.

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Le 09/12/2014 à 14h 38

Le paiement immédiat des PVé me pose problème.



Est-ce qu’il y aura un délai de rétractation de 14 jours comme dans le Code de la Consommation ?

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Le 09/12/2014 à 08h 42

Même si je suis d’accord avec le fait que les PV sont une source de rémunération pour l’Etat et qu’il y a sûrement des abus, c’est aussi un argument un peu facile pour rejeter la répression d’actes répréhensibles.



Et bien sûr faire un léger excès de vitesse n’est pas bien grave. Je répondrais que payer un PV de quelques dizaines d’euros n’est pas bien grave non plus (on n’a pas encore perdu le permis de conduire ou été mis en prison).

Le 09/12/2014 à 08h 36

C’est vrai que prévenir de la présence d’un radar peut consister à de la prévention. Mais ça peut aussi consister à rendre inefficace l’action de répression des forces de l’ordre. Avertir ne peut pas être une action individuelle sans consentement des forces de l’ordre.



La prévention ça ne peut pas être synonyme de “avertir d’une possible répression en cas d’infraction”. Si il s’agissait du vol d’une banque, et qu’on avertisse de la présence de policiers armés à proximité de cette banque, ce ne serait pas de la prévention même si on a évité un vol à main armée pour cette fois.

Le 09/12/2014 à 07h 26

Ce jugement est sévère, le tribunal a souhaité faire un exemple comme le demandait le Procureur. Toutefois, j’imagine que la Cour d’Appel diminuera les peines mais je ne pense pas que le smartphone + l’application facebook sera considéré comme autre chose qu’un dispositif (en tout cas, d’après moi, c’est un outil d’information donc un dispositif).

Le 09/12/2014 à 07h 10

La remarque est intéressante.



D’abord, sur autoroute, il est déjà interdit de rouler à moins de 80Km/h (quand la circulation est fluide, hors conditions climatiques mauvaises).



Ce serait une idée de généraliser des autoroutes du type 2 x 3 voies comme il en existe déjà (par exemple, 2 voies à vitesse comprise entre 110 et 130 Km/h et 1 voie à vitesse comprise entre 80 et 100km/h). Mais je ne sais pas comment ça pourrait être mis en pratique pour que ce soit vraiment efficace.

Le 09/12/2014 à 06h 56

Je peux comprendre que la présence policière fait défaut selon les endroits et selon le type d’infraction contrôlée. Mais s’il faut un radar automatique à chaque endroit plus dangereux qu’un autre pour penser que sa présence est justifiée, on peut tous les enlever dès maintenant.

Le 09/12/2014 à 06h 49

« La suffisance de certains m’étonnera toujours. Grand bien vous en fasse ! »

&nbsp;

Si ça t’arrange d’expliquer ça par la suffisance de ceux qui ne sont pas d’accord avec toi, ça te regarde. Même si mon avis personnel t’indiffère royalement, tu pourrais (un peu ou en partie) remettre en question ta façon de penser et de t’exprimer. Même si je ne te connais pas, je me permets de te le dire : ton raisonnement ici est foireux.



Moi aussi je me suis prix des procès verbaux, des radars automatiques pour 2 ou 3 Km/h de dépassement, moi aussi ça m’a énervé. D’ailleurs je suis contre les contrôles automatiques de vitesse. Et quoi ? Je devrais dire que rouler sans conscience du danger est normal ?

Le 09/12/2014 à 06h 29

« Prendre l’autoroute à 4 heures du mat cela ne vous est jamais arrivé ? &nbsp;&nbsp; &nbsp;Je dis bien PAS DE TRAFIC et pas JE ME CROIS TOUT SEUL SUR LA ROUTE, toi comprendre la nuance ? Et ça viens parler de raisonnement. <img data-src=" /> Sinon merci pour la leçon. »




    Toi pas comprendre que même si toi contrôler ton véhicule à un instant t, toi pouvoir perdre le contrôle de la situation de manière INATTENDU. Si toi aller plus vite qu'autoriser, toi prendre le risque de déstabiliser un autre usager de la route ou toi pouvoir provoquer sur-accident ou toi pouvoir être surpris par événement inatendu.          






    Oui toi te croire TOUT SEUL SUR LA ROUTE et toi être SANS PEUR (et sans reproche pour l'instant).          





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Le 08/12/2014 à 11h 52

“Quand il n’y a pas de traffic”… comment dire… C’est sûr que si on se croit tout seul sur la voie publique parce qu’il n’y a pas de véhicule à l’horizon, pas de piéton à 360° autour de sa petite voiture en déplacement constant, alors on peut se déplacer plus vite que les limitations de vitesse, c’est sûr. Sauf qu’on n’est pas forcément tout seul sur la voie publique et que si on surprend quelqu’un en allant plus vite que ce qui est convenu par le Code de la Route, on risque l’accident (malgré les grands réflexes du conducteur émérite et inflaillible qu’on s’estime être soi-même, et malgré la grande bétise de l’autre qu’on n’avait pas prévu à cet endroit-là).




   Ce genre de raisonnement montre une absence de conscience du risque de conduite sur route.

Le 07/12/2014 à 21h 45

« Euh… Si pour toi risquer la vie d’autrui, ça va être par exemple de rouler à 100 au compteur sur une route à 90 ou à 140 pour 130… et qu’on mérite de se prendre un PV pour ça… »




 Rouler en voiture constitue déjà un risque pour la vie d'autrui et pour sa propre vie. A part ça, 90 ou 100 ou 130 ou 140 Km/h, ce sont des conventions qui permettent à chacun de savoir comment réagir dans la situation où il se trouve sur une route.        






 Quand on est susceptible de provoquer une situation inattendu par les autres, on mérite de se prendre un PV. C'est un peu comme tricher au Monopoly ou au Scrabble (en inventant des mots). Les règles existent, ceux qui n'en tiennent pas compte sont rappelés gentillement à l'ordre par un PV : payer quelques dizaines d'euros, c'est peu cher payé comparé à une audience au tribunal ou à un accident (même un accident matériel sans blessures corporelles).       






 &nbsp;       

« Que dire des mecs qui roulent avec des phares mal réglés qui éblouissent tout le monde, les gars qui coupent les stops alors que quelqu’un arrive... &nbsp; La titre de comparaison, la cigarette, tue beaucoup plus de gens que la voiture et là le gouvernement fait pas grand chose... Bref la sécurité à bon dos. »





&nbsp;Je suis d’accord, beaucoup d’infractions restent impunies. C’est dommage, il faudrait d’autres types de contrôles que les contrôles de vitesse. Quand à comparer les dangers de la route aux dangers du tabac, ce serait comme comparer des carottes et des pommes de terre.



&nbsp;

« En ce moment je fais environ 700Km par semaine, et la plupart du temps c’est sur l’A20 dans les descentes…&nbsp; »



&nbsp;      

Maitriser son véhicule, en toutes circonstances, est une nécessité. Et ça s'apprend.

Le 07/12/2014 à 21h 28

« D’où l’intérêt de ne pas parler sans savoir car c’est pourtant le cas…&nbsp;je n’ai jamais prétendu être un surhomme j’ai juste tenté d’expliquer qui il y a des conditions, qui, lorsqu’elles sont réunies, permettent de dépasser la vitesse autorisée sans faire courir de risque démesuré à qui que ce soit. »




 - A quelle vitesse peut-on se permettre de rouler sans fair courir de risque démesuré à qui que se soit ?       

- A quel niveau de risque peut-on qualifier un risque de "démesuré" ?






 &nbsp;       

« La preuve c'est que c'est une autoroute limitée à 110 où il y a quelques années la vitesse était de 130 pourtant rien n'a changé depuis (même le traffic). J'ai eu un dialogue sympa et ouvert avec les 2 gendarmes qui m'ont avoué être ici pour faire du chiffre et rien d'autre...&nbsp; »



&nbsp;



 C'est vrai qu'on peut considérer cela comme immoral, "faire du  chiffre" quand il s'agirait normalement de faire respecter des règles  communes. Pourtant, dans le même temps, rien n'empêche quiconque de  respecter les limitations de vitesse. Chacun prend ses responsabilités  et assume ses actes.

Le 07/12/2014 à 21h 27

(…)

Le 08/12/2014 à 13h 18

« Il sera maintenant intéressant de voir si&nbsp;l’ARCEP usera de ses pouvoirs afin de pousser Bouygues Telecom à revoir sa position sur ce point où bien si&nbsp;le régulateur en restera là, »



article NEXT INPACT  






J'imagine que l'ARCEP ne prend pas la communication des opérateurs envers les consommateurs comme faisant partie de sa mission de régulateur. Donc il n'y a rien à entendre de l'ARCEP.       






&nbsp;A part une action en justice ou une action auprès de l'ARPP (comme le soulignait précédemment David\_L) des collègues de BouyguesTel ou de la part d'un consommateur ou d'une association de consommateurs, je ne vois pas qui pourrait faire une action pour tenter d'interdire avant Noël une telle campagne de publicité trompeuse si ce n'est mensongère

Le 07/12/2014 à 20h 25

Si ton opérateur t’a donné la lumière, rien n’est totalement perdu alors <img data-src=" />