Et du coup, on a une idée ou une estimation du coût de cette période “d’incubation” ? Et le coût pour l’administration à laquelle on a intégré le “produit” ? Parce que bon, un prototype fonctionnel en 6 mois et 200 000 euros où UN usager est satisfait, je pense que tout le monde doit en être capable (suffit de s’inscrire soi-même et de se déclarer content " /> ). Par contre, maintenir et adapter le projet pour devenir un vrai truc, c’est là que ça doit se corser. Et c’est dommage que ce soit là que la “publicité” pour les start-ups arrête de compter les frais …
Je dois dire que la taille requise pour l’échantillon d’utilisateurs et utilisatrices satisfaits me parait également un tantinet trop petit et j’aurais une vague tendance à trouver que c’est un peu du foutage de gueule surtout à ce prix là. À moins que ça ne soit de la belle langue de bois bien grasse. Bref.
Le
13/03/2018 à
13h
42
« Il y a un challenge qui est passionnant ! Je veux créer une communauté de « faiseurs », qui auront réussi à mettre en place des produits qui résolvent des problèmes pour les gens, tels de petits artisans de solutions qui s’améliorent au fil des relations avec les usagers. Aujourd’hui, on a autant besoin d’inspecteurs des finances que de « makers », des gens qui vont s’engager, qui vont avoir une attention à l’usager que plus personne n’a ! »
Ça c’est tout de même du jargon et du vide de premier calibre.
Le titre est tout à fait impropre et, d’une certaine manière, est un acte d’allégeance aux GAFAm, il aurait fallu écrire à la place : “Comment empêcher qu’on vous trouve sur DES réseaux sociaux via votre numéro de mobile”.
Il y a des réseaux sociaux, tout à fait vivants, qui ne vous le demandent pas : Diaspora, Mastodon, Ravelry par exemple. Il y en a sûrement d’autres.
Ouais mais c’est pas tous les jours et tout le temps (où alors c’est inquiétant, changer de plombier ou changer soi-même le robinet).
Le
09/03/2018 à
09h
27
dandrz a écrit :
Ceci étant dit, restons simple, si tu penses que c’est dangereux, n’en utilise pas. C’est aussi simple que cela !!!
Oui aussi, il faut rester cohérent.
Cela dit, on peut en avoir un et vivre sans l’avoir sans cesse avec soi et sur soi. En fait vouloir l’avoir constamment à portée de main est un signe de dépendance, à mon avis plus préoccupant.
On pourrait même envisager une caution raisonnable pour s’assurer qu’elle soit rendue en bon état. C’est, effectivement, une bonne solution économique et rationnelle. Et si ce sont des Booken, c’est aussi bon pour l’économie française.
Ça ne marchera donc pas.
Le
28/02/2018 à
08h
28
L’intérêt de l’écriture manuscrite est qu’on peut écrire “Aline sur le sable” ou n’importe quoi d’autre sur n’importe quel support avec n’importe quel outil sans électricité. C’est donc une liberté absolument fondamentale. Par ailleurs, l’écriture manuscrite étant tellement diversifiée, cela permet aussi une meilleure maitrise de la lecture.
Donc non, l’écriture manuscrite n’est pas dépassée. Est-il nécessaire, par exemple, de se servir de l’artillerie lourde pour écrire le contenu d’une boite, d’un sac de congélation ou d’un bocal sur une étiquette ?
Simplifier une loi en la vidant de sa substance ou à peu près, c’est en effet une façon simplifier. Seuls les mauvais esprits peuvent penser qu’on se fiche un peu d’eux dans les grandes largeurs.
Complètement idiot, comme si ça n’arrivait pas avec les logiciels privateurs…
Le
24/02/2018 à
17h
14
Quiproquo a écrit :
Je rappelle que l’hôpital public coûte trop cher
Que signifie trop cher, par rapport à quoi ? À un sous-marin à 3 milliards ? Un avion de combat ?
Le
24/02/2018 à
17h
13
Quiproquo a écrit :
Je parle des hôpitaux publics (cf l’article ci-dessus), pour lesquels il n’est normalement pas possible d’utiliser du traitement de texte pour les CR, ces derniers devant être accessibles en interne depuis le logiciel de parcours patient. Dans les hôpitaux privés c’est probablement un bordel sans nom, mais c’est pas le sujet.
Je parle bien des hôpitaux publics, de l’APHP même. À moins que ça ait beaucoup beaucoup changé depuis 2 ans. Et là ça m’étonnerait vraiment.
Le
24/02/2018 à
13h
19
Pour avoir formé des personnes dans les hôpitaux, très clairement, les compte-rendus sont saisi avec des traitement de texte. Cela dit, chacun fait son truc dans son coin : les hôpitaux et les services, c’est un désordre pas possible. Il y en a qui ont une façon de travailler et d’autres une autre.
Le
24/02/2018 à
13h
15
Pour une compte-rendu d’intervention, oui ! C’est un document complexe.
Le
23/02/2018 à
15h
12
Ce n’est qu’un faux combat si les règles ne sont pas correctement expliqués au début. Pour moi quand je lit ce genre de news je trouve que c’est beaucoup d’argent car j’imagine qu’un poste d’un médecin à la con dans un hôpital n’a pas besoin de tout ça. Le type va surement écrire dix ligne par jours et envoyer quelques mails.
Les médecins doivent faire des compte-tendus d’intervention systématiquement. On est à plus de dix lignes par jour pour des documents dont le contenu est à peu près normé et imposé et de quelques courriels.
Certains les dictent et demandent à leur assistant ou assistante médicale de les saisir ensuite. Lequel personnel n’a pas forcément une formation sur le traitement de texte… ni ne dispose d’un modèle de document unifié soit dit en passant.
Certains les saisissent eux-mêmes.
Certains les incluent dans un courriel envoyé à leur assistant ou assistante médicale.
Dans le dernier cas de figure, Writer de LibreOffice combiné avec un modèle de document bien fichu serait la meilleure solution car elle réclamerait un minimum de retravail car Word ne traite pas aussi efficacement les documents avec des pages contenant des entêtes et des pieds de page différents. Mais il ne faut pas rêver, ça n’arrivera pas.
Le
23/02/2018 à
15h
01
RuMaRoCO a écrit :
Le principal problème n’est pas forcement les logiciels en eux-mêmes mais l’assistance et le soutien qui va avec.
Très drôle ! Comme si ça existait… Jamais vu ça à l’APHP.
Faudra peut-être que Marc se fende d’un article sur le sujet d’ailleurs.
Le
22/02/2018 à
10h
39
Une ville c’est quelque chose comme 6 000 habitants il me semble. Donc cela concerne aussi toutes les très grandes entreprises, mais pas les PME.
Cela dit, il faut que je relise l’article (et finisse la lecture du règlement), si la petite entreprise a coutume de vendre ses données à un organisme nettement plus gros qui lui fait des traitements de grande échelle, ça pose quelques questions.
De même que posent quelques questions les sites dont le moteur de recherche est externalisé vers Google soit dit en passant.
Le
22/02/2018 à
10h
17
Euh non, pas en MP, c’est intéressant pour tout le monde. Pas les détails, mais l’ordre de grandeur. Quoique je doute que cela concerne les petites entreprises.
Normalement une facture est un document figé et doit être fait en deux exemples identiques, un pour le client, un pour l’émetteur.
Une facture à la volée qui change au fil du temps me laisse dubitative et à mon avis ce n’est pas très légal et c’est le résultat d’une mauvaise programmation.
Le
21/02/2018 à
16h
53
J’apprécie d’autant plus le travail de Marc que je me plonge dedans. Rien qu’avec les considérants, qu’on ne peut pas mettre de côté, il y en a une sacrée tartine à la lisibilité, ne serait-ce que visuelle, douteuse. Le problème c’est qu’on ne peut pas les shunter parce que les considérants définissent les orientations et les optiques du texte.
Je m’y replonge.
Le
21/02/2018 à
15h
05
La facture, même dématérialisée même traitée dans une base de données, est un document fini pas une donnée sur laquelle on peut faire des traitements informatiques.
Le
21/02/2018 à
15h
02
crocodudule a écrit :
C’est d’ailleurs pas sans risque, si certains prétendent que la RGPD est un progrès, en reversant le principe de la déclaration, le texte est nécessairement d’inspiration plus libérale et donc moins protecteur, au moins en amont.
Si je comprends bien, c’est largement compensé par une plus grande responsabilité des gestionnaires de fichier, a priori c’est un progrès.
Mais c’est comme tout, la CNIL n’avait pas suffisamment de moyens et, si elle n’en a pas plus, il ne faut pas attendre des miracles d’une part, d’autre part, il ne faut pas s’attendre non plus à ce que tout connaisse tout d’un coup toutes les obligations et droits des uns et des autres dans ce domaine.
Le
21/02/2018 à
14h
11
Je ne pensais pas au consentement préalable, mais aux déclarations auprès de la CNIL en fait. Si je comprends bien, ce n’est plus nécessaire, je parle toujours des fichiers et des données indispensables à l’activité de la structures (en gros fichiers clients et éventuellement prospect).
Le
21/02/2018 à
12h
12
Pas sans que cela soit signalé clairement de toute façon.
Le
21/02/2018 à
11h
42
C’est peut-être de l’humour mais… une entreprise, quelle qu’elle soit, manie des infos privées en fonction de ses objectifs notamment l’identité (faut bien facturer), cela peut être l’âge (certains produits ou prestations sont vendues selon des critères d’âge, parfois règlementairement définis) ou encore le niveau de formation ou la fonction (données que le dispositif règlementaire ou législatif peut imposer à l’entreprise prestataire de recueillir) et j’en passe.
Le
21/02/2018 à
09h
58
Merci. Bon en fait ça simplifie plutôt si je comprends bien.
Je vais m’y plonger.
Le
21/02/2018 à
09h
45
Merci pour l’article et pour la précision.
La question que je me pose, surtout à l’heure de la dématérialisation, concerne les bases de données de devis et de facturation qui comportent forcément un minimum d’informations personnelles (adresse et objet de la facturation ou du devis). Sont-elles aussi concernées, sachant qu’on ne demande pas aux personnes à qui l’on facture un bien ou un service leur autorisation explicite pour entrer dans la base de données.
Je ne sais pas qui vous êtes, c’était ironique… désolée que vous n’y soyez pas sensible.
Le
20/02/2018 à
14h
59
La cheffe sonne tout aussi bien et est de plus en plus utilisé, ne vous déplaise, même si ça vous rappelle trop que le poste est tenu par, horreur, une femme.
Sinon, je conseille la lecture de cet excellent article du non moins excellent site langue-fr.net sur la féminisation des noms de titres et fonctions. Article qui, soit dit en passant, rappelle quelle est l’autorité de l’Académie française en matière de langue, à savoir nulle.
À part ça, pour revenir au sujet de l’article, j’attends moi aussi ce que va dire la CADA et qui serait susceptible de “faire jurisprudence” par ailleurs.
Si c’est comme pour la plupart des trucs de ce genre, trois ou quatre généralement, ce qui est, tout de même, assez loin des 10 000 milliards de combinaisons envisageables.
Comme je l’ai écrit en commentaire, il ne signe pas les pdf dans ce contexte, mais il peut signer numériquement un pdf du moment qu’on dispose d’une signature valide pour le pdf. LibreOffice signe (depuis la version ) les fichiers aux formats odf.
2594 commentaires
Directeur artistique, journaliste ? Participez à l’aventure du mag des 15 ans de Next INpact
12/03/2018
Le 13/03/2018 à 17h 38
Le numérique n’est pas plus écologique que le papier (c’est même plus destructeur) !
Les « intérêts fondamentaux de la Nation » : de la loi Renseignement à celle contre les fake news
12/03/2018
Le 13/03/2018 à 13h 58
Mauvais esprit et mauvaise langue !
(mais pas forcément faux)
Les start-ups d’État réussissent leur coup
12/03/2018
Le 13/03/2018 à 13h 48
Le 13/03/2018 à 13h 42
« Il y a un challenge qui est passionnant ! Je veux créer une communauté de « faiseurs », qui auront réussi à mettre en place des produits qui résolvent des problèmes pour les gens, tels de petits artisans de solutions qui s’améliorent au fil des relations avec les usagers. Aujourd’hui, on a autant besoin d’inspecteurs des finances que de « makers », des gens qui vont s’engager, qui vont avoir une attention à l’usager que plus personne n’a ! »
Ça c’est tout de même du jargon et du vide de premier calibre.
Comment empêcher qu’on vous trouve sur les réseaux sociaux via votre numéro de mobile
12/03/2018
Le 12/03/2018 à 11h 34
Le titre est tout à fait impropre et, d’une certaine manière, est un acte d’allégeance aux GAFAm, il aurait fallu écrire à la place : “Comment empêcher qu’on vous trouve sur DES réseaux sociaux via votre numéro de mobile”.
Il y a des réseaux sociaux, tout à fait vivants, qui ne vous le demandent pas : Diaspora, Mastodon, Ravelry par exemple. Il y en a sûrement d’autres.
#Flock ne l’avait pas vu venir
10/03/2018
Le 10/03/2018 à 13h 37
La première est terrible. La 4e est, hélas, consternante et bien vue.
Saisie par Free, la Cour de cassation met un coup de pied dans les mobiles subventionnés
09/03/2018
Le 09/03/2018 à 16h 41
Plus globalement c’est une victoire pour les consommateurs et peut-être même pour l’environnement, qui sait.
Pierre Louette (ex-Orange) prend la tête de Les Échos-Le Parisien (LVMH)
08/03/2018
Le 09/03/2018 à 13h 36
Joli !
" />
Ondes émises par les smartphones : #PhoneGate, risques sanitaires et mesure du DAS
08/03/2018
Le 09/03/2018 à 10h 50
Ouais mais c’est pas tous les jours et tout le temps (où alors c’est inquiétant, changer de plombier ou changer soi-même le robinet).
Le 09/03/2018 à 09h 27
Exclusif : téléchargez la future loi contre les fake news
07/03/2018
Le 08/03/2018 à 11h 46
Voilà, du jargon… je crois qu’à peu près tout le monde connait le principe mais pas forcément le jargon.
Le 08/03/2018 à 11h 45
Elle était sérieuse. C’est du jargon et je suis fâchée avec les jargons, quels qu’ils soient, mais une comparaison de fichier je sais ce que c’est.
Le 08/03/2018 à 11h 36
Le 08/03/2018 à 11h 34
" />
Plongée dans le monde des voleurs de mots de passe, de vieux bricolages efficaces
06/03/2018
Le 07/03/2018 à 14h 02
(vive Linux)
Le 07/03/2018 à 14h 01
Ma banque aussi fait ça… et envoi du nouveau mot de passe par courrier uniquement quand on l’a perdu, certes sans l’identifiant.
Droit d’auteur : les ebooks du projet Gutenberg inaccessibles en Allemagne
06/03/2018
Le 06/03/2018 à 17h 05
Le droit européen a été uniformisé sur ce sujet dans les années 1980.
#Flock voit les choses telles qu’elles sont
03/03/2018
Le 03/03/2018 à 16h 20
En 2017, le marché du PC a encore fondu de 2,7 %
02/03/2018
Le 02/03/2018 à 10h 03
Pas le même usage en fait.
Le 02/03/2018 à 09h 16
Pourquoi acheter un nouvel ordinateur quand l’actuel marche toujours aussi bien ?
Le gouvernement défend le Privacy Shield et la conservation généralisée des données
28/02/2018
Le 28/02/2018 à 13h 41
Je crois qu’il se prend pour le roi Soleil, la protection des arts, sciences et lettres en moins…
Le 28/02/2018 à 13h 40
C’est fou ce que le nouveau monde macronien ressemble à l’ancien !
L’Éducation nationale songe à faire de la tablette « une fourniture scolaire à part entière »
27/02/2018
Le 28/02/2018 à 08h 30
On pourrait même envisager une caution raisonnable pour s’assurer qu’elle soit rendue en bon état. C’est, effectivement, une bonne solution économique et rationnelle. Et si ce sont des Booken, c’est aussi bon pour l’économie française.
Ça ne marchera donc pas.
Le 28/02/2018 à 08h 28
L’intérêt de l’écriture manuscrite est qu’on peut écrire “Aline sur le sable” ou n’importe quoi d’autre sur n’importe quel support avec n’importe quel outil sans électricité. C’est donc une liberté absolument fondamentale. Par ailleurs, l’écriture manuscrite étant tellement diversifiée, cela permet aussi une meilleure maitrise de la lecture.
Donc non, l’écriture manuscrite n’est pas dépassée. Est-il nécessaire, par exemple, de se servir de l’artillerie lourde pour écrire le contenu d’une boite, d’un sac de congélation ou d’un bocal sur une étiquette ?
Au Sénat, grand coup de rabot sur le registre numérique de lobbyistes
26/02/2018
Le 26/02/2018 à 15h 59
Simplifier une loi en la vidant de sa substance ou à peu près, c’est en effet une façon simplifier. Seuls les mauvais esprits peuvent penser qu’on se fiche un peu d’eux dans les grandes largeurs.
Un député s’élève contre le renouvellement du contrat entre Microsoft et des hôpitaux
23/02/2018
Le 26/02/2018 à 15h 37
Complètement idiot, comme si ça n’arrivait pas avec les logiciels privateurs…
Le 24/02/2018 à 17h 14
Le 24/02/2018 à 17h 13
Le 24/02/2018 à 13h 19
Pour avoir formé des personnes dans les hôpitaux, très clairement, les compte-rendus sont saisi avec des traitement de texte. Cela dit, chacun fait son truc dans son coin : les hôpitaux et les services, c’est un désordre pas possible. Il y en a qui ont une façon de travailler et d’autres une autre.
Le 24/02/2018 à 13h 15
Pour une compte-rendu d’intervention, oui ! C’est un document complexe.
Le 23/02/2018 à 15h 12
Ce n’est qu’un faux combat si les règles ne sont pas correctement expliqués au début. Pour moi quand je lit ce genre de news je trouve que c’est beaucoup d’argent car j’imagine qu’un poste d’un médecin à la con dans un hôpital n’a pas besoin de tout ça. Le type va surement écrire dix ligne par jours et envoyer quelques mails.
Les médecins doivent faire des compte-tendus d’intervention systématiquement. On est à plus de dix lignes par jour pour des documents dont le contenu est à peu près normé et imposé et de quelques courriels.
Certains les dictent et demandent à leur assistant ou assistante médicale de les saisir ensuite. Lequel personnel n’a pas forcément une formation sur le traitement de texte… ni ne dispose d’un modèle de document unifié soit dit en passant.
Certains les saisissent eux-mêmes.
Certains les incluent dans un courriel envoyé à leur assistant ou assistante médicale.
Dans le dernier cas de figure, Writer de LibreOffice combiné avec un modèle de document bien fichu serait la meilleure solution car elle réclamerait un minimum de retravail car Word ne traite pas aussi efficacement les documents avec des pages contenant des entêtes et des pieds de page différents. Mais il ne faut pas rêver, ça n’arrivera pas.
Le 23/02/2018 à 15h 01
Le RGPD expliqué ligne par ligne (articles 51 à 99)
23/02/2018
Le 23/02/2018 à 15h 31
Solution, changer les bidules qui bougent pour pas avoir l’impression de se répéter :-)
Le 23/02/2018 à 15h 30
Merci, ça me fait de la lecture pour les longues soirées d’hiver.
" />
Le RGPD expliqué ligne par ligne (articles 24 à 50)
22/02/2018
Le 23/02/2018 à 15h 29
Faudra peut-être que Marc se fende d’un article sur le sujet d’ailleurs.
Le 22/02/2018 à 10h 39
Une ville c’est quelque chose comme 6 000 habitants il me semble. Donc cela concerne aussi toutes les très grandes entreprises, mais pas les PME.
Cela dit, il faut que je relise l’article (et finisse la lecture du règlement), si la petite entreprise a coutume de vendre ses données à un organisme nettement plus gros qui lui fait des traitements de grande échelle, ça pose quelques questions.
De même que posent quelques questions les sites dont le moteur de recherche est externalisé vers Google soit dit en passant.
Le 22/02/2018 à 10h 17
Euh non, pas en MP, c’est intéressant pour tout le monde. Pas les détails, mais l’ordre de grandeur. Quoique je doute que cela concerne les petites entreprises.
Le RGPD expliqué ligne par ligne (articles 1 à 23)
21/02/2018
Le 22/02/2018 à 08h 03
Normalement une facture est un document figé et doit être fait en deux exemples identiques, un pour le client, un pour l’émetteur.
Une facture à la volée qui change au fil du temps me laisse dubitative et à mon avis ce n’est pas très légal et c’est le résultat d’une mauvaise programmation.
Le 21/02/2018 à 16h 53
J’apprécie d’autant plus le travail de Marc que je me plonge dedans. Rien qu’avec les considérants, qu’on ne peut pas mettre de côté, il y en a une sacrée tartine à la lisibilité, ne serait-ce que visuelle, douteuse. Le problème c’est qu’on ne peut pas les shunter parce que les considérants définissent les orientations et les optiques du texte.
Je m’y replonge.
Le 21/02/2018 à 15h 05
La facture, même dématérialisée même traitée dans une base de données, est un document fini pas une donnée sur laquelle on peut faire des traitements informatiques.
Le 21/02/2018 à 15h 02
Le 21/02/2018 à 14h 11
Je ne pensais pas au consentement préalable, mais aux déclarations auprès de la CNIL en fait. Si je comprends bien, ce n’est plus nécessaire, je parle toujours des fichiers et des données indispensables à l’activité de la structures (en gros fichiers clients et éventuellement prospect).
Le 21/02/2018 à 12h 12
Pas sans que cela soit signalé clairement de toute façon.
Le 21/02/2018 à 11h 42
C’est peut-être de l’humour mais… une entreprise, quelle qu’elle soit, manie des infos privées en fonction de ses objectifs notamment l’identité (faut bien facturer), cela peut être l’âge (certains produits ou prestations sont vendues selon des critères d’âge, parfois règlementairement définis) ou encore le niveau de formation ou la fonction (données que le dispositif règlementaire ou législatif peut imposer à l’entreprise prestataire de recueillir) et j’en passe.
Le 21/02/2018 à 09h 58
Merci. Bon en fait ça simplifie plutôt si je comprends bien.
Je vais m’y plonger.
Le 21/02/2018 à 09h 45
Merci pour l’article et pour la précision.
La question que je me pose, surtout à l’heure de la dématérialisation, concerne les bases de données de devis et de facturation qui comportent forcément un minimum d’informations personnelles (adresse et objet de la facturation ou du devis). Sont-elles aussi concernées, sachant qu’on ne demande pas aux personnes à qui l’on facture un bien ou un service leur autorisation explicite pour entrer dans la base de données.
Accord sur la couverture mobile : Next INpact et Contexte saisissent la CADA
20/02/2018
Le 20/02/2018 à 15h 07
Je ne sais pas qui vous êtes, c’était ironique… désolée que vous n’y soyez pas sensible.
Le 20/02/2018 à 14h 59
La cheffe sonne tout aussi bien et est de plus en plus utilisé, ne vous déplaise, même si ça vous rappelle trop que le poste est tenu par, horreur, une femme.
Sinon, je conseille la lecture de cet excellent article du non moins excellent site langue-fr.net sur la féminisation des noms de titres et fonctions. Article qui, soit dit en passant, rappelle quelle est l’autorité de l’Académie française en matière de langue, à savoir nulle.
 http://www.langue-fr.net/spip.php?article324
À part ça, pour revenir au sujet de l’article, j’attends moi aussi ce que va dire la CADA et qui serait susceptible de “faire jurisprudence” par ailleurs.
Le gouvernement veut mettre un coup d’accélérateur sur FranceConnect
19/02/2018
Le 20/02/2018 à 15h 05
Si c’est comme pour la plupart des trucs de ce genre, trois ou quatre généralement, ce qui est, tout de même, assez loin des 10 000 milliards de combinaisons envisageables.
Chiffrement et signature GPG dans LibreOffice 6.0 : comment ça marche ?
20/02/2018
Le 20/02/2018 à 15h 03
Comme je l’ai écrit en commentaire, il ne signe pas les pdf dans ce contexte, mais il peut signer numériquement un pdf du moment qu’on dispose d’une signature valide pour le pdf. LibreOffice signe (depuis la version ) les fichiers aux formats odf.