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Dejepe

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5 commentaires

Le 02/12/2020 à 15h 33

Bonjour,
Merci pour cet article. Pouvez-vous nous dire de quelles marges de manœuvre dispose l’État français en matière de transposition d’une directive vis à vis des orientations de la Commission européenne ?

Autrement dit, sont-elles susceptibles d’entraîner de la part de la Commission européen le lancement d’une procédure de recours en manquement si elle considérait que la France s’en écarte trop et surtout pourraient-elles servir d’appui à un justiciable dans le cadre d’un recours devant le juge administratif ?



Merci encore pour cet article et vos éclairages

Le 25/11/2020 à 12h 25

Merci pour vos réponses et pour les liens. Je m’en vais décortiquer et méditer tout ça
:merci:

Le 21/11/2020 à 12h 18

Merci pour l’article. J’avoue pas mal lorgner du côté d’un mini-pc également. Quelqu’un a-t-il déjà testé ces solutions fan-less : https://www.pcvert.fr/108-mini-pc-0-decibel ?
Je me demande comment se comporte un i7 dans une machine sans ventilo.

Le 14/04/2018 à 13h 51

Un peu de transparence bon sang….

Qu’avez vous mangé à Londres 🤣😂😋

Sinon je suis curieux de voir ce que donnera la technologie storemi

Le 24/11/2017 à 16h 50

Bien qu’appréciant beaucoup la lecture de Next Inpact je trouve que sur la question de l’open data vous manquez sérieusement de modération voire de capacité de remise en question.

Grosso modo tous les articles sont structurés à l’identique

1/ Constatation du retard de l’administration

2/ Procès en suspicion de ladite administration accusée au mieux de paraisse au pire de claire volonté de dissimulation

3/ Petite citation d’Axelle Lemaire érigée en sainte passionaria de la cause de l’Open Data.



Peut-être faudrait-il un peu s’interroger sur le fait que si l’administration a autant de mal sur la mise en œuvre de cette loi c’est parce que (comme trop souvent) l’étude d’impact et de faisabilité de cette dernière a été menée à la truelle aux cris de “l’intendance suivra”. Lorsque la volonté politique s’affranchit de toute considération réaliste ce n’est plus du courage c’est de la mauvaise foi. Il est facile pour l’ancienne secrétaire d’État de crier au scandale alors qu’elle savait sans doute pertinemment que les délais de mise en œuvre n’étaient pas réalistes et qu’elle ne serait de toute façon plus en charge de la question. 



Sans négliger l’impact stratégique, économique et sociétal de l’objectif de la loi peut-être faudrait-il le mesurer à l’aune des missions réelles des administrations et de la nécessité (à coût constant) de prioriser  et de privilégier le coeur de métier.



Vous aimez à rappeler le fait que l’administration doit des comptes aux administrés et vous avez bien raison, mais elle leur doit aussi et avant tout le service public pour lequel elle existe.