L’équation est compliquée : le téléchargement, c’est un truc pour les jeunes qui découvrent le monde. Après, on a des choses plus intéressantes à faire que de télécharger des films (pour ce qui me concerne!).
S’attaquer au téléchargement c’est donc s’attaquer aux jeunes et c’est jamais populaire. On y perd vite des voix très prisées par tous les partis…
Je crois avoir lu que les crypto-monnaies sont assimilées dans la fiscalité françaises, à des biens, pas à des monnaies ni des placements financiers.
Le fait de développer des crypto-monnaies basées sur des euros permet d’éviter les dérives spéculatives et rendent inutile le minage, qui consomme bientôt 0,2% de l’énergie électrique mondiale rien que pour le Bitcoin !
Ces nouvelles crypto-monnaies paraissent bien conçues et vertueuses au plan environnemental.
Ce serait une bonne idée de la développer en France, au moins pour faire la démonstration que l’on peux créer des crypto-monnaies stables, non spéculatives.
Quand utilise un outil, il y a quelques questions à se poser sur sa durabilité.
Outre le système de Ponzi actuel (ceux qui rentre dans le Bitcoin payent les bénéfices des premiers acheteurs), on peut s’interroger sur la durabilité d’une monnaie dont la consommation d’énergie électrique journalière dépasse la production électrique de pays comme le Maroc ou le Nigeria :
Regardez la courbe d’augmentation des consommations d’énergie du Bitcoin : ce n’est pas tenable.
Les crypto monnaies ont de l’avenir, elles jouent un rôle dans l’économie (enregistrement de micro-transactions, fluidité des transactions…).
Mais le coût du Bitcoin (énergie…) n’est plus proportionné aux services qu’il rend.
Des crypto monnaies plus frugales en énergie vont remplacer le Bitcoin, c’est juste une question de temps avant que ce dinosaure ne s’effondre de lui même.
La prochaine fois que vous investissez dans une crypto monnaie, commencez pas vous intéresser aux consommations d’électricité induites.
Merci NextInpact (et Marc Rees) et à la sénatrice Joëlle Garriaud-Maylam, qui travaillent à nous construire un avenir dans lequel nous serons en mesure de mettre en oeuvre nos politiques en toute indépendance, en réduisant les risques de voir nos systèmes planter : cf les GPS français en Irak…
Ce qui m’étonne dans le système Crit’Air, c’est que ça ne prend en compte que la date d’immatriculation et pas les équipements anti-pollution dont il peuvent être dotés. Ainsi des véhicule diesel équipés d’un filtre à particules peuvent être moins bien notés que des véhicules plus “récents” qui n’en ont pas.
Ce serait également intéressant que les mesures de pollution lors des contrôles techniques soient prises en compte dans le système de vignettes Crit’Air !
11 commentaires
Le 05/05/2018 à 17h21
L’équation est compliquée : le téléchargement, c’est un truc pour les jeunes qui découvrent le monde. Après, on a des choses plus intéressantes à faire que de télécharger des films (pour ce qui me concerne!).
S’attaquer au téléchargement c’est donc s’attaquer aux jeunes et c’est jamais populaire. On y perd vite des voix très prisées par tous les partis…
Le 07/04/2018 à 20h58
Et pourquoi pas un Ulule pour les éditions complètes de Flock ?
Faut attendre les 20 ans de NextInpact ?
Le 07/04/2018 à 20h49
Super bonne idée.
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Déjà 70%
C’est l’histoire du numérique ces 20 dernières année qui nous attendent
Le 01/04/2018 à 07h51
Merci Flock !
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Quelques dessins et ton humour commenteraient aussi à merveille l’émission d’envoyé spécial sur l’obsolescence programmée du 27⁄3.
La semaine prochaine j’espère !
Le 21/12/2017 à 18h10
Je crois avoir lu que les crypto-monnaies sont assimilées dans la fiscalité françaises, à des biens, pas à des monnaies ni des placements financiers.
Le fait de développer des crypto-monnaies basées sur des euros permet d’éviter les dérives spéculatives et rendent inutile le minage, qui consomme bientôt 0,2% de l’énergie électrique mondiale rien que pour le Bitcoin !
Ces nouvelles crypto-monnaies paraissent bien conçues et vertueuses au plan environnemental.
Ce serait une bonne idée de la développer en France, au moins pour faire la démonstration que l’on peux créer des crypto-monnaies stables, non spéculatives.
Le 02/12/2017 à 14h26
Quand utilise un outil, il y a quelques questions à se poser sur sa durabilité.
Outre le système de Ponzi actuel (ceux qui rentre dans le Bitcoin payent les bénéfices des premiers acheteurs), on peut s’interroger sur la durabilité d’une monnaie dont la consommation d’énergie électrique journalière dépasse la production électrique de pays comme le Maroc ou le Nigeria :
https://digiconomist.net/bitcoin-energy-consumption
Regardez la courbe d’augmentation des consommations d’énergie du Bitcoin : ce n’est pas tenable.
Les crypto monnaies ont de l’avenir, elles jouent un rôle dans l’économie (enregistrement de micro-transactions, fluidité des transactions…).
Mais le coût du Bitcoin (énergie…) n’est plus proportionné aux services qu’il rend.
Des crypto monnaies plus frugales en énergie vont remplacer le Bitcoin, c’est juste une question de temps avant que ce dinosaure ne s’effondre de lui même.
La prochaine fois que vous investissez dans une crypto monnaie, commencez pas vous intéresser aux consommations d’électricité induites.
#MakeOurPlanetGreatAgain !
Le 19/10/2017 à 18h17
Merci NextInpact (et Marc Rees) et à la sénatrice Joëlle Garriaud-Maylam, qui travaillent à nous construire un avenir dans lequel nous serons en mesure de mettre en oeuvre nos politiques en toute indépendance, en réduisant les risques de voir nos systèmes planter : cf les GPS français en Irak…
Le 15/10/2017 à 16h58
Article très intéressant.
Wikipedia
J’ai aussi apprécié ceux de wikipedia sur les unités du SI auxquelles renvoie l’article :
c’est intéressant d’expliquer et de remonter aux sources des grandeurs que nous utilisons tous les jours !
Le 30/08/2017 à 22h25
Des vrais patriotes la société Nexedi et son président Jean-Paul Smets !
Le 21/08/2017 à 22h14
Ce qui m’étonne dans le système Crit’Air, c’est que ça ne prend en compte que la date d’immatriculation et pas les équipements anti-pollution dont il peuvent être dotés. Ainsi des véhicule diesel équipés d’un filtre à particules peuvent être moins bien notés que des véhicules plus “récents” qui n’en ont pas.
Ce serait également intéressant que les mesures de pollution lors des contrôles techniques soient prises en compte dans le système de vignettes Crit’Air !
Le 28/01/2016 à 23h40
Il est agréable d’entendre des journalistes qui réaffirme des engagements dans leur métier par priorité.