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82 commentaires

Le 01/09/2014 à 20h 22







JustMe a écrit :



Clairement le roi pour moi n est pas utilisable comme petit netop ça rame au possible même sur une se card class 10



Le rpi n est bon que comme média centre avec xbmc (et encore l interface est pas réactive mais le décodeur matériel permet de voir les vidéo de manière fluide)



Perso je regrette l investissement dans le rpi… Sur le papier on peu faire plein de chose comme un serveur web mais dans la pratique le hardware est toujours a bou de souffle résultat tout est lent….



Mieux vaut investir dans un conccurent plus puissant voir dans un petit PC x86 auquel on adjoint une carte gpio au besoin… Un tout petit peu plus cher mais aux performance complètement demultiplié





Effectivement, la première plateforme x86 récente sera beaucoup plus rapide, mais pour une consommation 10x supérieure au moins.

Ca fait une grosse différence.



Après, ce serait bien qu’il y ait une carte identique en terme de communauté/support, à base de Cortex A15 par exemple, qui offre la puissance des premières cartes mères mini ITX à base de Celeron/Atom, avec une conso toujours aussi contenue.



Le Rpi dans son état actuel, va à contre-courant du marché : limiter les ressources et multiplier les possibilités. Ca pousse à faire ce que beaucoup ont oublié : optimiser ! Optimiser c’est de la main d’oeuvre, et dans le marché actuel, ça coûte toujours moins cher de proposer du matériel plus rapide, que de faire du travail d’optimisation.



Et puis c’est pas si douloureux que ça de laisser tomber Apache pour nginx <img data-src=" />


Le 11/12/2013 à 15h 54







typhoon006 a écrit :



oui mais ce ne sont globalement que des jeux indé sauf ceux avec le moteurs de valves.

Ca n’empêche pas d’avoir des jeux de qualités.

Mais bon, on est encore trèèèèèèèèèèès loin de l’offre sur windows.

M’enfin ca à le mérite d’avancer, 20 ans de tux racer ca lasse <img data-src=" />





Arrête, j’étais tout content de croire enfin que j’avais du matos qui roxe <img data-src=" />


Le 11/12/2013 à 15h 46







typhoon006 a écrit :



Manque les jeux maintenant <img data-src=" />





Va en parler à mon banquier et à ma regrettée vie sociale que j’ai laissé depuis derrière moi.



Ha oui, et pour ta culture, sur steam :

20% des nouveaux jeux supportent Linux

33% des titres qui vont sortir supportent Linux

13% des meilleures ventes supportent Linux

http://www.phoronix.com/scan.php?page=news_item&px=MTQ3NzI



Donc correction : manque plus qu’à installer Ubuntu maintenant. <img data-src=" />


Le 11/12/2013 à 14h 03







typhoon006 a écrit :



Android est arrivé à l’époque où le marché était émergeant avec uniquement iOS en face.

Depuis le marché est mûr et arrive à saturation, et Win est arrivé à ce moment, et même avec plein de $$$$ ils ont du mal.

Alors Ubuntu, qui arrivent taaaaard et un budget marketing proche du néant

let me lol.



C’est pas pour discréditer mais bon c’est une vision réaliste du marché.





Pardon ? <img data-src=" />



Et Symbian ? Ni plus, ni moins la plateforme dominante de l’époque.

Et Windows Mobile ?

Les gens ont la mémoire bien courte <img data-src=" />



Le 11/12/2013 à 13h 53







typhoon006 a écrit :



Viser le HdG, erreur majeure

Echec cuisant en perspective







Ubuntu propose un concept au delà de son OS : un équipement pour tous les usages.

Smartphone lorsqu’on le transporte, PC lorsqu’on le place sur son dock.



Ce concept est, à mon humble avis, la raison de la fiche technique plutôt bien fournie de l’Ubuntu Edge, et c’est la raison du positionnement haut de gamme.



Ensuite, même pour du haut de gamme, le prix peut être acceptable, si le business model ne prévoit pas les bénéfices que sur la vente dudit équipement (exemple des Nexus actuels).



A mon avis, investir un nouveau segment dans un marché ultra concurrentiel par le bas de la gamme est plus risqué que par le haut de la gamme.

Le bas de gamme est un segment qui est déjà sur-saturé.

Si on prend l’exemple d’Archos qui était pourtant reconnu, ils peinent à suivre le marché, même en essayant de s’y accrocher par l’entrée de gamme.



Après, il faudra que Canonical accepte des pertes faramineuses le temps que sa plateforme accroche son public… si elle y parvient.


Le 13/11/2013 à 13h 36







Soltek a écrit :



Tu pourras le mettre à jour mais pas en OTA directement chez Google. D’après ce que j’ai lu Texas Instrument (qui était le fabriquant du SoC) ne développe plus de drivers et ont stoppé la prod tout court.

Des dév extérieur (sur XDA) ont déjà commencé à dév leur propre driver et propose des ROM en alpha pour tester déjà la 4.4.











frikakwa a écrit :



Il me semble même avoir lu qu’un ancien employé de TI a fait joujou avec le code du kernel pour le mettre à jour et le mettre à disposition de la communauté! (je ne retrouve plus l’INfo mais je pense que c’était sur xda!).







Cette rumeur/hypothèse est allègrement relayée, mais n’a jamais été vérifiée, quand bien même elle paraît très peu sérieuse comme justification.



Comme tout fabricant sérieux de SoC, Ti fournit encore des OMAP (l’obsolescence, ça se gère, c’est pas du jour au lendemain), et quand bien même il n’en fournirait plus, le support peut toujours se négocier (celui-ci étant même parfois/souvent externalisé).



Par ailleurs, le support n’est pas du seul ressort de Ti, car il dépend également d’Imagination Technologies pour sa partie graphique (PowerVR series 5 - SGX).



Conclusion : si Google avait voulu poursuivre le support pour le Galaxy Nexus, ce n’est pas le retrait des OMAP du marché de la mobilité qui aurait changé grand chose. Ils ne veulent pas dépenser plus pour supporter le GNexus, c’est à mon avis pas plus compliqué que ça.


Le 13/11/2013 à 13h 03







indyiv a écrit :



Le LG G2 est positionné 100€ au dessus du N5 …

La “légende” selon laquelle le Nexus est moitié moins cher que la concurrence a la vie dure …





“Légende” ? Pas si certain.

Le fait est que la plupart des modèles haut de gamme des constructeurs sortent à un prix élevé, mais décotent très très rapidement ensuite.



Par contre, effectivement, au moment de la sortie du N5, le G2 avait déjà sévèrement décoté, et la différence n’était pas du simple au double, pour un “concurrent” direct.



Il n’est d’ailleurs pas impossible que ce Nexus connaisse une décote, car si Google fait pareil avec le N5 que le N4, il est possible qu’on ait un rabais de 100€ en fin de vie du N5.


Le 04/10/2013 à 21h 28







cyrano2 a écrit :



Oui. Mais je voulais juste dire qu’avoir une gamme complète et cohérente, on s’en fout un peu car les domaines d’usages et les marchés sont complètement différents.





Tu en arrives à te contredire dans la même phrase.

Non, justement, ni ARM, ni Intel “s’en fout un peu” car justement “les domaines d’usages et les marchés sont complètement différents”.

Donc ARM comme Intel aimeraient bien s’accaparer tous ces “marchés complètement différents”.



Comme le marché visé par la carte Galileo, où Intel était absent jusqu’à présent.

Comme le marché des SoC pour la mobilité, où Intel était absent jusqu’à présent.







cyrano2 a écrit :



ARM était dans le low cost avec ces cpu sans fpu et les téléphones. Dans l’embarqué type avion/train/bateau, c’est plus du PowerPc qu’il y a partout.





Pour avoir travaillé sur du ferroviaire/automobile/aéro embarqué, de mon humble expérience, seul l’aéro est encore très attaché au PowerPC. Quand on voit la rigidité de cet environnement lourdement normé, rien d’étonnant (les archis matérielles critiques évoluent peu, et les temps de développement sont longs).

Pour le reste, ARM s’implante très très bien, avec des acteurs solides tels que Freescale, par exemple.

Par contre, évidemment, je n’ai pas encore trouvé de Cortex dans un calculo, tout juste du ARM9 ou ARM11.

Je peux citer un acteur très (très très très) connu de la distribution électrique, dont les organes intègrent depuis longtemps une vaste panoplie dans la gamme ARM, en partant du petit ARM7 à l’ARM11. Et cet exemple date d’il y a 5 ans.



Réduire ARM à du low cost sans fpu ou pour les téléphones, ce n’est que voir leurs implémentations low cost justement (où je pense qu’ils sont majoritaires).



Je sais pas dans quel domaine précis de l’embarqué tu bosses depuis 10 ans, mais dans l’industrie, la vraie, force est de constater qu’ils sont bien présents, sans pour autant prétendre qu’ils sont majoritaires.







cyrano2 a écrit :



Concernant les cpu plus petit que 32 bits, il y a tout un tas de marque et ARM est absent.





Oui, il y a tout un tas de marques (Microchip et Atmel pour ne citer que ces poids lourds).

Non ! ARM n’est pas absent [sur ce domaine].

Les Cortex M0 sont bien là pour concurrencer les 8 et 16 bits sur leur terrain, c’est leur but totalement avoué par la marque !


Le 04/10/2013 à 10h 02







cyrano2 a écrit :



10 ans pour ma part.





Bravo ! <img data-src=" />







cyrano2 a écrit :



En même temps tu compares des 8 bits genre 80c51, les 32 bits arm, et les x86 embarqué, ce n’est pas les mêmes marchés.







Ha non, non, je ne fais pas une telle comparaison.



Bon, je vais ré-expliquer (enfin, essayer) avec des mots tout simples hein :



Tu sais, l’embarqué c’est vaste ! Et quand je parle de “gamme très complète et étendue à destination du marché embarqué” (ça vient de mon post qu’il faut relire, mais ça je l’ai déjà dit), je ne vais pas parler uniquement de micros 8bits ou de Cortex M0 hein. Je vais parler de toute la gamme à destination du marché de l’embarqué !



Et là ?!?



Ho, surprise ! Je vais du M0 au A57 chez ARM.

Je parle donc de gamme, étendue et complète (je répète, mais ça me semble étrangement nécessaire).



Mais… pourquoi ai-je parlé de gamme étendue et complète ?



Pour préciser qu’ARM est bien implanté sur le marché de l’embarqué (qui est vaste… tu suis toujours ?), et pour la comparer avec celle d’un concurrent, ou d’un acteur voulant concurrencer, qui cherche à investir ce marché (…vaste) de l’embarqué.



Donc, ce que je compare, c’est pas les micros/SoC à l’intérieur d’une gamme, mais une gamme d’un concurrent avec une autre !



Je ne parle pas du marché des micros 8bits VS le marché des SoC 32 (et maintenant 64) bits ! (Bon j’insiste, mais j’ai vraiment l’impression que c’est nécessaire).



Enfin, je termine en disant que la carte proposée par Intel a un positionnement incohérent vis à vis de la concurrence (Arduino), en terme de format, d’offre, et de spécifications.

Le prix d’une carte genre Rpi/BeagleBone

Les fonctionnalités voulues d’un Arduino

Des specs à mi-chemin entre les deux produits (OS allégé, puissance intermédiaire).





Un peu plus clair ?


Le 04/10/2013 à 08h 55







cyrano2 a écrit :



Tu ne peux pas comparer de l’embarqué qui fonctionne sur un µP sans OS, et un système avec OS. Les arm de µP sont lent ~70Mhz, on est loin des ghz des versions A*.







LOL, Ô grand merci pour cette précision, je bosse dans le domaine depuis pas mal d’années mais je ne sais pas différencier un µC d’un SoC <img data-src=" />

Et peux-tu me dire où l’aurais-je faite, cette soit-disante comparaison ?



Encore une fois, si tu avais lu mon post initial, tu aurais compris que je je disais que ARM a une panoplie complète de solutions à destination de l’embarqué, du petit microcontrôleur au SoC puissant. Ceci, contrairement à Intel, qui essaie de conquérir maladroitement ce marché avec une telle offre.



Enfin bon, je ne vais pas ré-expliquer ici ce que j’ai mis dans mon post initial non plus. Si tu ne fais pas l’effort de le lire, je n’y peut rien.


Le 03/10/2013 à 21h 53







cyrano2 a écrit :



Oui mais non, les A* nécessite un OS complet pour fonctionner. Il suffit de voir la tronche du code démarrage et la tonne de code de drivers qu’il faut pour ce genre de puce.



[bla bla bla]







Oui mais non quoi ?



Merci de lire mon post avant de le citer…



Le 03/10/2013 à 13h 08







amFXR0 a écrit :



je suis assez d’accord avec toi sur un point : c’est un peu “batard” comme produit.




On aurait peut etre plus attendu un espèce d'Atom minimaliste venant s'integrer dans des produits équivalent à une Raspberry PI à un prix plus ou moins équivalent. Cela aurait eu du sens : un linux x86 "classique" sur une carte de très faible cout, très faible puissance.   



La, on à une puce “trop” faible pour beaucoup de chose (ma RPI servant par exemple en ce moment dans des projets de SDR) et trop puissante pour un “simple” Arduino (bien qu’elle apporte de la connectivité en plus !) et surtout, trop cher ! Et puis, un linux embarqué faisant “tourner” un environnement Arduino, la perte de puissance n’est pas négligeable.



A voir donc, mais Galileo me parait etre un peu sans public visé.







+1



Intel vise un marché où il brille par son absence.

ARM propose une gamme très complète et étendue à destination du marché embarqué : des microcontrôleurs les moins puissants (Cortex M0, ARM7) aux SoC les plus performants (Cortex A15, futur A57).



Intel n’est pas, ou n’a pas été absent de ce marché, avec les vieux micros 805152 et les multiples dérivés et évolutions (MCS-151251), voire une alternative compatible quelque peu furtive à ARM avec son XScale, dans une gamme plus puissante.

Mais le souci c’est que ces produits ne se sont jamais imposés, faute à une évolution trop timide face au grandissant ARM, qui est devenu ce qu’il est aujourd’hui.



Voilà maintenant qu’il lance un produit bâtard, comme dit amFXR0, car au positionnement tarifaire d’un Raspberry Pi, avec ce qui semble être la puissance d’un processeur à mi-chemin entre le microcontrôleur et le SoC, et pour finir, en visant l’environnement d’un Arduino.



Ceci dit, je salue et encourage fortement l’initiative de se lancer dans le domaine de l’embarqué low-cost, car avoir un positionnement tarifaire accessible au hobbyiste permettra sans doute de reconquérir le marché de l’embarqué.



A quand un Raspberry-like à base d’Atom ?


Le 18/07/2013 à 14h 16







Tarpan a écrit :



Le ticket restaurant est un avantage compensant l’obligation de fait (éloignement, courte pause etc.) faite au salarié de manger hors de son foyer le midi, en dehors de cette utilisation c’est un avantage en nature qui n’a pas lieu d’être. Ou alors qui devrait être généralisé à tous les salariés sans condition.





Comme tu l’as bien dit, c’est un avantage.

Et si tous les avantages devaient être généralisés sans conditions, en tant que salarié ce serait la fête, mais je pense que plus d’un employeur s’expatrierait vite fait, bien fait.



D’un autre côté, il semble être déjà obligatoire sous certaines conditions (lis le lien que j’ai donné précédemment).


Le 18/07/2013 à 13h 08







brichmarsa a écrit :



Pourquoi les fraudeurs ? Si tu as ces tickets, c’est que tu as bossés pour les avoir (1 jour bossé=1 ticket) et que tu as cotisé ces jours là (la moitié du prix du ticket en principe). Après que tu les utilise le midi un jour travaillé (sachant que tu n’as pas toujours le temps d’aller manger, ou sachant que le restaurateurs ne rends pas la monnaie et que donc tu perds de l’argent), ou a un autre moment, ça ne change rien et ça reste de la gestion de crédit repas sur le mois ou l’année.

Le seul que ce système peut faire chier, c’est le restaurateur qui ne rend pas la monnaie mais qui se fait quand même rembourser l’intégralité du ticket.(Tu es restaurateur ?), qui pour moi est le vrai fraudeur dans l’histoire.

Si les tickets soient valables un an et échangeables d’une année sur l’autre prouve bien que ce n’est pas une fraude.







Heu… non, justement.

Là tu parles de l’utilisation de tout le monde, qui n’est justement pas celle permise par les titres restaurant :



* Les titres-restaurant ne sont utilisables que les jours travaillés de la semaine.



* Leur utilisation les dimanches et jours fériés est exclue, sauf pour les salariés travaillant ces jours-là, à condition qu’ils soient en possession de titres portant une mention de validité spéciale de leur employeur.



* Les titres-restaurant ne peuvent être utilisés que dans le département du lieu de travail du salarié et les départements limitrophes.



* Les titres-restaurant ne peuvent être utilisés que par le salarié de l’entreprise (et non par une autre personne).



* Le repas ou le plat ne peut être, en principe, réglé qu’avec 1 seul titre-restaurant. Cependant, un règlement avec 2 titres est toléré.



(http://vosdroits.service-public.fr/F21059.xhtml )


Le 18/07/2013 à 11h 29







wanou2 a écrit :



Je pense surtout aux utilisateurs qui ne pourront plus utiliser de façons très souples leurs tickets :

3 tickets sur un repas

les garder pour les vacances

possibilité avec la carte de limite les jours ouvrés et le service ou la carte est utilisable…



si jamais ces choses arrivaient je pense que je renoncerai carrément à la “carte restaurant”… ou bien je la revendrai à un proche !





+1

Depuis l’annonce, j’avais l’impression d’être le seul à penser que c’est potentiellement un moyen d’appliquer les règles très strictes d’utilisation des tickets restaurant, que personne ne respecte (moi compris), ou au moins de tracer leur utilisation.



Bien que ce procédé leur en donnera les moyens, j’espère qu’ils ne vont pas restreindre l’utilisation de ces tickets restaurant électroniques.


Le 06/06/2013 à 14h 58







levhieu a écrit :



Intéressante remarque sur la cohérence des décisions au moment du choix des modèles de CPUs.



En ce qui concerne le choix de faire du big.LITTLE plutôt que d’arrêter des cœurs au vol, deux élèments qui comptent (et que mon esprit de l’escalier me souffle tardivement):




  • ARM déclare qu’ajouter un cœur A7 n’augmente pas beaucoup la surface consommée quand on a déjà un cœur A15.

  • Côté logiciel, l’utilisation du big.LITTLE est «facile», parce que les passages A1[25] A7 peuvent être gérés comme: je sauvegarde un contexte, j’écris quelques valeurs bien choisies dans un/des registres du SoC, et voilà. Alors que qu’éteindre/allumer des cœurs dynamiquement nécessite que la gestion des threads de l’OS en tienne compte.







    Comme d’habitude alors, le nerf de la guerre, ça reste le soft <img data-src=" />

    Effectivement, on se rend compte que la solution a l’élégance de s’adapter parfaitement aux principaux OS/noyaux existants.



    Il y a bien un cas particulier que j’ai oublié : le Tegra 3 et 4 avec leur core compagnon. Il ne fonctionne pas en 44 mais en 41 (oui, ou 1*4). J’imagine que ça doit être plus tendu, car là il y a bien diminution/augmentation de cores en cours de vol.



    Je serais curieux d’en savoir plus sur tout ça.


Le 06/06/2013 à 13h 30

fausse manip…

Le 06/06/2013 à 13h 28







levhieu a écrit :



Non, la réponse n’est pas dans la question, mais on peut dire que ma question nétait pas claire. J’essaye d’être plus explicite: On nous annonce un A12 qui consomme beaucoup moins qu’un A15. Je demande donc si la consommation du-dit A12 est tant que ça au dessus de celle de l’A7 ?







Ha d’accord, je comprends mieux la question.

L’A12 étant, pour catégoriser grossièrement, une archi orientée perfs, il aura fatalement une différence significative de consommation, à fréquence égale à un A7.

Ensuite, je suppose que c’est aux constructeurs d’avoir une certaine cohérence dans leur conception, en mettant un A7 faiblement cadencé en tandem avec un A12 dans un SoC ; puis un A7 plus fortement cadencé avec un A15 dans un SoC positionné dans la gamme supérieure.



J’avoue que j’apprécierais moi-même des démonstrations (davantage) chiffrées de ces théories sur les consos, mais ce genre de démonstrations ne court pas le net.







levhieu a écrit :



Merci de cette réponse. C’est clair, net et précis (me coucherai moins bête aujourd’hui).



Toutefois à la relecture je constate que ça ne réponds qu’à une de mes 2 «propositions».

Reste à traiter (des volontaires?) le cas de l’arrêt de cœur(s) en cas de baisse de charge de travail.







Ha, je vois que tu as remarqué mon (pas si) habile bottage en touche sur cette question ? <img data-src=" />

J’avoue manquer d’éléments de réponse sur ces aspects.

A ma modeste connaissance, il est techniquement possible d’activer indépendamment les coeurs d’une architecture big.LITTLE, mais ça engendre des complications/situations délicates à gérer :

Avec un big.LITTLE A7/A15 en 4*4, tels que les derniers Exynos de Samsung, sous Linux, la fréquence de l’A7 est augmentée en fonction de la charge jusqu’au maximum, puis l’A15 prend le relais si la charge augmente, et les fréquences de l’A15 évoluent à leur tour.

Le passage est transparent et rapide pour l’OS.



Si on est dans le cas de figure, à priori pas impossible techniquement, où les deux A7 et A15 sont activés, on est plus dans un SMP (Symetrical Multi Processing) que l’OS sait gérer. En effet, les noyaux actuels (courants, du moins) ont un scheduler qui répartissent les tâches indépendamment de la nature du core qui les exécute.



Je ne sais pas ce qui se fait actuellement en support AMP (Asymetrical Multi Processing), ou si le noyau Linux sait le gérer.



Concernant l’activation ou non indépendante de cores, j’ignore aussi quelles limitations rendent peu courante (impossible ?) la pratique.


Le 06/06/2013 à 11h 09







levhieu a écrit :



Question aux INPACTicients en (bon) rapport avec ARM:



Quel est l’intérêt du big.little avec un A12 si il consomme vraiment moins qu’un A15?





Heu… c’est moi ou j’ai l’impression que la réponse est dans la question ? <img data-src=" />

Un big.LITTLE A12/A7 consommera moins qu’un A15/A7, mais sera aussi moins puissant. Question de positionnement de gamme, ni plus ni moins.







levhieu a écrit :



On pourrait pas, en cas d’activitté réduite, se contenter de jouer avec la fréquence (si jamais c’est possible) ou bien de ne garder actif que le ou les cœurs suffisant à la charge et d’arrêter les autres ?







Le changement de fréquence INpacte moins que le changement d’architecture sur le rapport perfs/conso.



Le big.LITTLE permet de basculer sur une archi faite et pensée pour la basse conso en cas de faible charge, et ensuite basculer sur une archi faite et pensée pour les perfs en cas de forte charge.



Hélas, pour l’INstant, une archi orientée perfs aurait un rendement totalement pourri à très faible fréquence (OoO, pipeline long, etc…), donc ce n’est pas INtéressant, en terme de rapport perfs/conso, de faire tourner trop bas en fréquence un A15 par exemple.


Le 04/06/2013 à 18h 24







Pvond a écrit :



Qui a dit ça personne ! c’est justement pour éviter de donner une priorité ni au propriétaire ni au libre qu’on est d’accord avec la vision de l’assemblée sur ce point !



mais non vous restez dans votre dogme LIBRE &gt; PROPRIO.



Aujourd’hui si je demande un traitement de texte si il y a priorité au libre je vais me taper Openoffice ou autre alternative libre. Or presque personne dans le monde de l’entreprise n’utilise ces logiciels libres. la majorité des documents c’est du doc ou du docx. Et apprendre aux eleves a utilise openoffice c’est juste inutile. Il seront perdu une fois dans l’entreprise ou il ne seront pas embaucher car ceux qui maitriserons les outils de l’entreprise seront choisi en premier.





Oui, et par la faute de types comme toi qui entretiennent bien ce phénomène.

Et je te plains sérieusement si tu te complais dans le fait que c’est pas parce que tout le monde fait d’une manière, qu’il faut continuer.







Pvond a écrit :



Et je me fous de savoir si openoffice c’est mieux, on s’en fous. Le but c’est de préparé les eleves afin de leur fournir une base educative qui leur servent a avoir un emploi et aujourd’hui







Pardon ?!?

Elle est bonne celle-là, tu étais où lorsque les PC sont arrivés avec un Office totalement métamorphosé d’une version à l’autre ?!?



Ceux qui ont fait leurs études sous Office 2003 ont bien dû tirer la tronche je pense.



Et ceux qui étaient habitués à d’autres suites bureautique ont au moins déjà la faculté de s’adapter plus vite.



Mais bon, au lieu de former les gens à LibreOffice, les entreprises ont préféré payer de formations pour le tout nouveau Office 2007.

Ben oui, on fait comme les autres, c’est tellement mieux.



J’ai besoin d’évoquer l’interface de Windows 8 qui va s’imposer ?







Pvond a écrit :



tout le monde s’en fous que vous soyez un dieux sur emacs ou que vous sachiez recompiler un noyau linux. Ce que les entreprise veulent c’est des gens qui arrive deja former, des gens dont on a pas besoin de leur apprendre à utiliser les outils de l’entreprise à l’embauche !



Et donc pour la plupart des emplois savoir utiliser la commande unix n’a aucun interet. Apres vous pouvez dire le libre c’est mieux, peut-etre, mais c’est pas utiliser.







Totalement HS, qui te parle d’emacs et de commande Unix ?

Qu’est-ce que ça vient faire ici ?

Quel est le semblant de lien avec tout ce qui a été dit ?







Pvond a écrit :



Le jour ou le libre sera implanter dans le monde de l’entreprise et chez les gens alors ca auras un interet de l’enseigner mais alors aussi il auras pu besoin d’etre prioritaire : il s’imposera de lui meme !







C’est pas avec des mentalités comme la tienne que ça risque d’arriver <img data-src=" />


Le 04/06/2013 à 14h 36







dada55 a écrit :



Le plus drôle dans ton message, c’est qu’ils peuvent nous le retourner dans la figure sans problème <img data-src=" />







Pas faux <img data-src=" />


Le 04/06/2013 à 14h 28







dada55 a écrit :



Tu parles à un mur <img data-src=" />





Faut bien essayer, paraît qu’ils ont des oreilles <img data-src=" />



Je suis admiratif envers ceux qui ont la patience d’apporter un argumentaire aussi juste que détaillé, pour essayer de convaincre des types totalement butés dans leur raisonnement simpliste et fermé.

Eux, font plaisir à lire dans ce genre de discussions. <img data-src=" />


Le 04/06/2013 à 14h 18







djludo61 a écrit :



à part de l’utopisme à 2 balles, j’ai rien vu qui parle de besoin d’utilisateur, de facilité de gestion et de maintenance, non juste des pensés d’un religieux, il aurait put parler de la vie et de la mort que ça ne m’aurait pas choquer en fait.



C’est pas libre à moi, c’est un fait, osef de linux, windows ou mac, ce qui est important c’est que le logiciel correspond aux attentes, point, mais ici l’informatique est passé au stades de la religion.







Et bien tout à fait, parlons-en justement du besoin utilisateur ou des attentes :

Dis moi donc quel est le besoin ou l’attente particulière qui justifie l’adoption massive de la suite Ms Office, par rapport à la suite LibreOffice dans les administrations ou écoles ?

Les fonctionnalités avancées ? Access ?



N’est-il pas plus justifié d’installer le pack Office (tout ou partie) aux quelques personnes qui ont vraiment besoin de ces fonctionnalités particulières, plutôt qu’à tout le monde ?

Ha oui mais se pose alors le problème de l’interopérabilité. Mais bon, ça aussi c’est juste un problème de religion de geek, c’est ça ?


Le 04/06/2013 à 14h 07







Pvond a écrit :



Ah bon je peux faire mes choix alors peut-etre que je pourrais me regroupper avec les autres personnes voulant que certain loggiciel proprio soit enseigner à leur enfants.



Ah non c’est vrai la loi à faillit m’obliger a choisir du libre ! Paye ton choix





Déjà comme disent les autres, il n’a jamais été question d’obligation, apprends à (re)lire.



Ensuite, si tout le monde est suffisamment renseigné sur le sujet, c’est pas sûr qu’il y ait beaucoup de monde qui veuille se regrouper avec toi hein <img data-src=" />


Le 04/06/2013 à 13h 18







djludo61 a écrit :



Franchement y’a pas grande réflexion dans les commentaires, entre “lobby” “tous des pourris” et j’en passe, personne n’a donné le moindre argument en faveur du libre.





Là, t’es réducteur, voire irrespectueux envers ceux qui ont pris le temps de développer un minimum (comme fred42, entre autres).

Je t’invite à ne pas lire de travers (voire à lire tout court) les précédentes pages de commentaires.







djludo61 a écrit :



Beaucoup ici semblent oublié qu’un PC c’est un outil de travail, donc osef libre ou proprio tant que les logiciels correspondent aux attentes.





Non, on oublie pas qu’un PC est un outil de travail, mais si t’as pas envie de te poser plus de questions sur ce que tu fais, tes choix et leurs conséquences en matière d’utilisation “d’outil de travail”, comme tu dis, libre à toi.

C’est pas le cas de tout le monde, et heureusement.


Le 04/06/2013 à 12h 29







Pvond a écrit :



Si je vous suis bien, le libre : c’est tellement bien qu’il faut obliger les gens à l’utiliser.







Heu… non, tu ne nous suis pas bien. <img data-src=" />



C’est absurde de résumer une réflexion, en balayant habilement le but d’une réflexion.

Autant ne pas chercher à réfléchir, ça économise du temps et c’est plus simple hein <img data-src=" />


Le 04/06/2013 à 11h 55







Xarkam a écrit :



Juste une réflexion: si on viens maintenant à dire ok, on va aussi former les enfants à linux et sous Ubuntu. Ca vas évidemment encore partir en railleries par ce qu’on aura pas pris telle ou telle distrib, que Ubuntu c’est pas tout libre blablabla.



C’est dommage que d’années en années esprit du libre se radicalise sur les choix.



Les libristes aiment se taper sur la gueule et quant ca leur plait pas, hop on fork.

Ha ben tient, j’aime pas la couleur et le dev veux pas changer, alors je fork.



Quelle perte d’énergie et surtout quelle décrédibilisation.



Un belle exemple, OpenOffice et LibreOffice (depuis que OOo est chez apache). Les deux font le café, mais le pot est différents.







Radicalisation et extrêmes, quels qu’ils soient, ne sont pas une direction viable, surtout quand on parle de masse.



Pourquoi absolument passer d’une offre (OS-logiciels) totalement fermée à un autre totalement ouverte ?

Adopter libreoffice, par exemple, permettrait l’échange d’informations entre plateformes libres ou propriétaires.

Certes, LibreOffice est un fork d’OpenOffice.org, mais il en comprend le format de document, et quand bien même LibreOffice se ferait forker, si le format des documents en ouvert, rien n’est perdu.

Entre faire le même café dans deux gobelets différents, et faire un café totalement différent, et totalement incompatible avec n’importe quel gobelet existant, ya de la marge <img data-src=" />


Le 04/06/2013 à 11h 12







Darkbug a écrit :



Donc refuser aux profs, parents et écoles la liberté de choisir leurs logiciels n’a rien à voir avec les libertés indidivuelles.



Intéressant. <img data-src=" />







LOL ! Mais quel “choix” ?

Parce que tu crois vraiment que tout ce beau monde a choisi d’utiliser des softs et formats fermés ?

Tu crois vraiment qu’on a proposé les deux offres, convenablement expliquées ?

Avec les enjeux éthiques derrière ?



Tu te rends compte seulement que tu défends un non-choix ?



Tu n’as pas l’air de te rendre compte qu’on ne parle pas d’un appel d’offres pour une marque de clous par rapport à une autre.

Il y a d’autres considérations à prendre en compte dans ce domaine, qui vont au delà du choix simpliste ou par facilité.



Et oui, parler de libertés individuelles est totalement hors propos.

Ca revient exactement à t’interdire de rouler à 200km/h en ville. Tu crierais alors qu’on te prive d’une liberté individuelle ?

Bien oui, mais c’est un peu pour le bien de tous.







Darkbug a écrit :



Qu’est-ce qu’il y a de paradoxal là dedans ? Le seul mot “philosophie” suffit à te choquer ? Tu préfères que je parle de logique ou de conséquence ? Ca revient au même : tu acceptes l’imposition du gouvernement parce qu’elle va dans ton sens, et tu refuses de voir la philosophie du sysème qui l’accompagne: aka, le fait que ce soit le gouvernement qui décide d’une telle chose, et que tu ne l’acceptes que parce que ça t’arrange et que tu râleras dès qu’ils changeront d’avis.





Je pensais juste que tu parlais de philosophie du logiciel libre, c’était juste une incompréhension de ma part.

Ca ne change absolument rien au fond de mon raisonnement qui juge ton commentaire parfaitement paradoxal d’ailleurs…







Darkbug a écrit :



Tout à fait, je t’encourage à le citer autant de fois que tu veux, puisque c’est un magnifique argument pour aller dans mon sens. C’est un très bel exemple de retournement de veste de l’Etat, qui fait râler aujourd’hui les proprios de diesel qui ont acheté hier parce que l’Etat les poussait à le faire, de la même manière que tu râleras demain quand l’Etat utilisera d’une manière qui ne te plaira pas les pouvoirs que tu lui soutiens aujourd’hui.





Mais tu parles de quoi là ?!

Râler à juste cause d’un “retournement de veste” ?

C’est encore hors sujet.



Sache que si l’Etat “retourne sa veste” comme tu dis, et que ça va dans le bon sens (profitable à tous), il n’y a aucune raison de râler sur ce changement, mais plutôt sur la mauvaise décision initialement prise !



Donc non, mon argument ne va pas “dans ton sens”, car là ça n’a plus vraiment le sens de la discussion ce que tu viens de dire, désolé…


Le 04/06/2013 à 09h 50







Darkbug a écrit :



ok.

J’attends avec impatience le moment où un prochain gouvernement décidera que les écoles doivent utiliser des logiciels Microsoft, comme pour l’appel d’offre de la Défense. Et j’attends avec délectation de vous voir ulcérer parce que le gouvernement n’a pas choisi les logiciels que vous voulez.



C’est ça qui est magique avec la disparition des libertés individuelles. Vous les acceptez parce qu’elles vont dans votre sens sans vouloir voir la philosophie qui va derrière, et après vous pleurerez quand les incompétents auxquels vous avez donné le pouvoir de décision ne seront plus d’accord avec vous. Mais il sera trop tard. <img data-src=" />







Il y a quelque chose de monumentalement paradoxal dans ton post.

Parler de disparition des libertés individuelles avec du libre, surtout en évoquant, je cite “la philosophie qui va avec”… faut vraiment oser. <img data-src=" />



Après, comme il est dit, le manichéisme ne mène à rien, dans un sens comme dans l’autre.

Jamais personne n’a parlé d’imposer quoi que ce soit, juste de privilégier, comme ça se fait déjà dans d’autres domaines (faut-il encore que je cite le diesel ?)





Le 04/06/2013 à 09h 38







Darkbug a écrit :



Tu estimes donc que c’est à l’Etat de choisir à ta place les logiciels que tu dois apprendre à utiliser, car tu es à ce point trop ignorant pour être capable de faire tes propres choix ?





Je trouve ta remarque totalement hors-sujet.

L’état choisi déjà à ta place, et dans tous les domaines.

Tu pourrais en dire de même sur toutes les décisions de l’Etat, bonnes ou non.



Essaie de choisir d’augmenter la taxation du diesel, car c’est reconnu toxique ! Ecrit une lettre à des élus si tu le souhaites, implique-toi, d’autres le font depuis des années, et ça ne commence que timidement à bouger (pour ne citer que cet exemple).



L’Etat a le devoir de prendre des décisions qui sont dans l’intérêt global du citoyen, et pas dans l’intérêt économique de certaines entreprises privées.



Et ce n’est pas toujours ce qui se fait. Voilà tout.


Le 04/06/2013 à 09h 28







Drepanocytose a écrit :



Gros gros +1 pour les formats ouverts plus que les softs ouverts.



Quant aux appels d’offres, déjà faut-il qu’il y en ait <img data-src=" />





Effectivement, je ne partage pas totalement toutes les positions de Stallman.

Je suis pour un équilibre libre/propriétaire, dans la mesure où tout le monde peut être gagnant.

En ce sens, le duo format libre/logiciel proprio/privateur est un excellent exemple de cohabitation.

Le seul (gros) souci : bien souvent utopique.



Un soft proprio voudra souvent son format proprio, pour verrouiller le marché, et amener vers une situation de dépendance.



Pour contrebalancer l’argument du libre qui peut coûter cher (le libre n’est pas gratuit, on le rappelle sans cesse), on peut aboutir avec ce genre de logiciel proprio à des surcoûts (cachés ?) sur le long terme, dû à une obsolescence programmée, qui peut mener à un renouvellement des licences, voire du matériel.



Un soft proprio à qui on impose un format ouvert, aura la pression de la concurrence, et s’autorisera moins ce genre de dérives.



Certains leaders du marché arrivent parfaitement à mélanger libre et propriétaire dans leur intérêt (Google par exemple).



Imposer dans un appel d’offre un format ouvert serait déjà un très bon pas en avant.


Le 04/06/2013 à 09h 10

Sur ce site comme sur d’autres, je lis des commentaires qui vont dans le sens de ce revirement de décision du gouvernement.



Une question simple :

en quoi est-ce anormal et anticoncurrentiel qu’un critère de l’appel d’offre privilégie une offre libre, si cette offre est jugée et reconnue plus adaptée dans une utilisation éducative, gouvernementale et publique ?



C’est peut-être cette dernière condition qui est sujette à débat, et si on peut comprendre la position de certaines entreprises du secteur, j’avoue avoir du mal à comprendre que des particuliers, contribuables de surcroît, partagent cette position.



Pour ceux qui ne comprennent pas, expliquer en quoi les logiciels propriétaires/privateurs sont moins adaptés dans ce contexte serait long ici. Aussi, je les invite à lire la position de Stallman sur le sujet (http://www.gnu.org/philosophy/government-free-software.html )



On ne parle pas d’appel d’offre pour la réfection d’une place publique, le renouvellement de la déco de la piscine municipale là. On parle d’un sujet dans lequel l’Etat a un certain devoir, vis-à-vis des citoyens.



Pour moi, accepter ce qui se passe mène à certaines dérives, comparables à ce qu’on peut voir dans le cas du diesel par exemple : la priorité économique prévaut sur l’intérêt public (qui plus est, sanitaire dans ce dernier cas).