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Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
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82 commentaires
MediaTek annonce son SoC Helio X30 avec 10 cœurs en 10 nm
Le 02/03/2017Le 07/03/2017 à 22h 37
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Le 02/03/2017 à 16h 30
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Raspberry Pi : le Compute Module 3 est enfin disponible, avec une version Lite
Le 16/01/2017Le 17/01/2017 à 09h 28
@Belial57 : je parlais des cartes d’éval à coût dérisoire pour prototyper/maquetter ;)
Le 17/01/2017 à 09h 27
@Belial57 : je parlais des cartes d’éval à coût dérisoire pour prototyper/maquetter ;)
Le 16/01/2017 à 23h 15
Le compute module se destine avant tout aux industriels (attention, pas nécessairement à l’industrie) et pas au grand public, contrairement au Raspberry Pi. En effet, le Raspberry Pi, en tant que produit grand public, n’offre aucune garantie sur la durée de vie, le form factor (important pour l’intégration), propose un stockage sur µSD, expose ses E/S sans les protéger, etc…Le compute module, en tant que produit pro, nécessite une carte hôte propriétaire (la carte mère est juste pour aider à développer), propose de l’eMMC (ou laisse le choix pour la version Lite), offre une garantie de pérennité, permet d’exploiter plus d’E/S et de ports (2 ports DSI et 2 ports CSI par exemple). Son utilisation n’est pas à la portée de tout le monde et n’a que peu d’intérêt pour tout le monde, contrairement aux industriels (comme NEC qui en a fait le choix).En fait, cette carte est un SOM (https://en.wikipedia.org/wiki/System_on_module ) et c’est relativement répandu dans l’industrie. Il n’y a malheureusement pas de standard, et l’évolutivité est au bon vouloir du fabricant.Un énorme avantage offert par la fondation aux industriels, est qu’il est possible de faire du maquettage sur une carte répandue, au prix dérisoire et ultra supportée (le Raspberry Pi), avant ou en parallèle de la conception de la carte hôte propriétaire (qui représente un coût non négligeable). C’était impensable avant le Raspberry Pi ;)EDIT : désolé, la mise en forme m*rde complètement, j’essaie d’éditer le commentaire mais ça marche pas ! J’ai d’ailleurs eu beaucoup de mal à le poster :/
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Le 21/12/2016Le 22/12/2016 à 11h 59
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L’accord Défense-Microsoft ? « Une logique d’achat économiquement plus performante »
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Il ne faut pas oublier qu’une migration d’outils MS vers des outils MS (mise à niveau du matériel et des licences) a aussi un coût non négligeable. Et qu’on vienne pas me parler d’utilisation intuitive lors du passage de vieux postes sous XP vers du Windows 8, ou d’Office 2k3 à Office je_sais_plus_lequel avec des interfaces utilisateur qui marquent une rupture relativement marquée.
De toutes façons dans ce genre de contrats, quand bien même le changement est minime, il s’accompagne toujours de formation.
Donc migrer vers du libre a un coût certain, mais s’il se produit lors d’un renouvellement de licence ou parc de machines, il est à comparer avec le prix que ce renouvellement aurait coûté, avec MS ou pas.
Enfin, effectivement, en général ce débat n’a lieu qu’entre geeks, libristes ou non, car ce genre d’appel d’offres est souvent judicieusement orienté pour privilégier une solution et pas une autre (ça a toujours été comme ça, et pas que dans l’informatique).
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C’est pas faux, mais d’un autre côté, si tu regardes les PC ou smartphones autour de toi, combien les exploitent véritablement à fond ? ;)
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Le 15/07/2016Le 16/07/2016 à 15h 20
Le 16/07/2016 à 00h 40
Le 15/07/2016 à 15h 10
Cette carte est à intégrer dans des équipements industriels pour des applications plus sérieuses.
C’est une excellente proposition de la fondation, car les développements et le maquettage peuvent se faire sur le Raspberry Pi original, à un coût dérisoire, en parallèle de la conception de la carte définitive qui accueillera le compute module.
Si on veut comparer à ce qui se fait chez la concurrence, on a la Sabre board chez Freescale qui coûte 20 à 30x plus, pour travailler sur du SoC i.MX.
Suivant les entreprises où on conçoit ces solutions, le circuit de la demande d’achat n’est pas le même suivant le coût, donc ça peut avoir son importance sur la rapidité de mise en oeuvre. Sans compter qu’un Raspberry Pi est très polyvalent et peut aussi être utilisé pour d’autres études de faisabilité ou maquettes, la communauté aidant beaucoup au maquettage/évaluation rapide de solutions.
Beaucoup d’acteurs du secteur proposent leurs solutions sur module, car le format a de solides avantages (modularité, évolutivité), mais cette solution n’est malheureusement pas convenable pour toutes les applications : contraintes mécaniques du socket et coût plus élevé qu’une carte unique suivant le volume.
Le principal distributeur du Raspberry Pi racheté pour un milliard d’euros
Le 16/06/2016Le 16/06/2016 à 13h 28
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Apple retire iOS 9.3.2 pour épargner les iPad Pro 9,7 pouces
Le 23/05/2016Le 23/05/2016 à 12h 53
Je comprends ce que tu veux dire, mais j’ai absolument pas l’impression qu’un quelconque fabricant prenne en compte ses entrées de gamme ou vieux smartphones dans ses choix d’évolutions logicielles.
Dans le cas d’Android, ça devient paradoxalement un inconvénient d’être mis à jour, car à un moment, beaucoup de vieux smartphones continuent de recevoir des mises à jour de composants/applications à en devenir lents et inutilisables ! Les utilisateurs se retrouvent poussés à changer leur terminal au final (pourtant chaque mise à jour logicielle promet perfs et autonomie en hausse ^^).
Et c’est à ce moment - stratégique - que suivant l’expérience utilisateur du mobile, l’acquéreur repartira sur la même marque ou non.
De mon expérience perso (entourage), pour ce qu’elle vaut : absolument, rigoureusement, TOUS les utilisateurs de smartphones entrée de gamme, qui se retrouvent déçus à plus ou moins court terme, changent de fabricant ou au moins de gamme ! Le nombre de fois où j’ai entendu “Android c’est de la m#&de, IOS c’est bien mieux” alors qu’ils sont passés d’un Wiko à 80€ à un iPhone 10x plus cher… Idem pour du Windows Phone, alors que les flagships sur cet OS ont toutes les qualités requises pour en faire un terminal de choix.
Toujours suivant mon expérience perso (entourage), si l’utilisateur vient d’un smartphone haut de gamme, quel que soit le fabricant/l’éditeur de l’OS, alors le piège se referme : les habitudes sont prises, vu que les perfs et le support permettent une expérience digne de ce nom sur le moyen/long terme, et lorsque le smartphone n’est plus supporté, le remplacement se fait dans la même crèmerie (en dépit de la dégradation de cette dernière par moments).
Le 23/05/2016 à 10h 36
Raspberry Pi : Raspbian passe au Bluetooth, le Zero gagne un connecteur pour la Camera
Le 17/05/2016Le 17/05/2016 à 17h 45
Le 17/05/2016 à 17h 39
Le 17/05/2016 à 16h 06
Attention la qualité n’est pas exceptionnelle non plus. Très bien pour de la surveillance ou de la robotique ludique, mais n’importe quel smartphone moyen de gamme actuel fait mieux.
Il y a une amélioration notable niveau qualité sur le nouveau module caméra, mais il y a surtout ce qu’on peut considérer comme un défaut au niveau du réglage de la focale (fixe) qui rendrait flou sur ce qui est éloigné.
Le 17/05/2016 à 16h 01
C’est plus que probable en effet ! Surtout que les premiers témoignages arrivent et effectivement, il n’y a pas de câble.
Il n’y a plus qu’à attendre l’offre qui va bien sur ebay, car 4£ + 4£ de livraison ça pique un peu pour un bout de nappe. C’est pas par gaieté de coeur que je vais me fournir sur eBay ce genre d’accessoires, mais vu le prix pratiqué, il y a clairement abus.
Déjà, le premier Rpi Zero commandé chez Pi Hut avait 2.5£ de frais de port, mais là 4£ alors qu’il s’agit d’une enveloppe standard :/ (un avantage du Rpi Zero d’ailleurs)
Le 17/05/2016 à 14h 56
Si on en croit la citation du blog :
Au Sénat, l’encouragement aux logiciels libres et aux formats ouverts passe à la trappe
Le 06/04/2016Le 06/04/2016 à 14h 25
Ca étonne tout le monde ? Le “problème” avec les formats ouverts, c’est que rien n’empêche la concurrence (quelle qu’elle soit) de proposer une alternative. C’est totalement contraire au principe des éditeurs de logiciels fermés qui cherchent justement à verrouiller le marché en leur faveur.
Ford : quand un bug empêche le conducteur d’éteindre le moteur
Le 09/07/2015Le 11/07/2015 à 16h 29
Le 09/07/2015 à 19h 12
Le 09/07/2015 à 19h 09
Le 09/07/2015 à 15h 09
Précise quel(s) “moteur moisi italien” pète tout seul ? Si tu parles des moteurs modernes à vocation sportive (ce qui m’étonnerais car Lancia ont les mêmes) ils n’ont pas vraiment mauvaise réputation. Le répandu 1.4l qu’on retrouve un peu partout dans le groupe est parfaitement solide et fiable. Je ne parle même pas de ses prédécesseurs blocs Fire qui sont increvables (conçus pour ne pas casser en cas de rupture de distrib).
Les seuls soucis connus autour de moi avec des moteurs italiens concernaient le mazout 1.9l bi-turbo, mais étrangement, l’autre bi-turbo dans mon entourage, d’une autre marque, a aussi que des soucis.
S’il y a bien une filiale du groupe italien qui n’est pas à critiquer, c’est bien FPT.
Le 09/07/2015 à 13h 13
L’électronique dans nos voitures modernes a permis de rajouter sécurité, efficacité et confort. Le tout accompagné de progrès conséquents en mécanique (qu’il faut pas oublier). Je préfère largement l’automobile actuelle à celle de nos aïeux.
De temps en temps il y a quelques bugs ou anomalies, dont certains peuvent coûter cher, certes, mais globalement je vais voir mon concessionnaire pour un entretien tous les 2 ans ou 30.000 km (préconisation constructeur) ce qui fait qu’au final le budget n’est pas énorme au regard de tout l’équipement et le confort que ma voiture m’apporte. Pour la clim, 10 minutes par semaine a peu d’INpact sur la conso globale, et je n’ai jamais eu à la recharger en 4 ans sur ma précédente voiture (recharge obligatoire avec le changement de mon compresseur suite à un accident, sinon la clim marchait parfaitement).
Le 09/07/2015 à 12h 57
Pour le développement des apps Android, Google lâche Eclipse pour Android Studio
Le 30/06/2015Le 01/07/2015 à 14h 57
Le sujet est vaste, pour parler de syntaxe pure, on pourrait évoquer l’héritage (sans jeu de mots) direct du C : le “-> / .”, l’opérateur “&” qui a 2 utilisations différentes (adresse/référence), la déclaration/définition dans 2 fichiers différents (ça a des avantages et des inconvénients), etc…
Si on prend la syntaxe du C++ elle-même, je trouve qu’elle peut devenir sacrément indigeste lors de l’utilisation de choses pourtant essentielles comme les templates, les itérateurs de la STL, les design patterns et autres joyeusetés.
La liste est longue, et au final ça fait paraître le C++ comme une surcouche objet au C (un rajout disgracieux). Ca peut passer pour un avantage car ça permet de bénéficier de la puissance du C (bas niveau, pointeurs) en faisant de l’objet, mais dans la pratique, le gros inconvénient, c’est qu’on fait souvent du C++ comme on fait du C. Pour parler syntaxe, il n’y qu’à voir, par exemple, l’utilisation de for_each en C++ pour comprendre que beaucoup utilisent encore la simple boucle for académique. Là aussi les exemples sont nombreux.
Il me semble que le langage D ou Vala ont pour ambition de combler ces lacunes, mais je n’ai jamais encore vu des projets mettant en oeuvre ces langages.
Le 30/06/2015 à 16h 18
Le 30/06/2015 à 13h 06
Le 30/06/2015 à 11h 38
Si je t’ai posé la question, c’est parce que tu insinuais qu’un certain langage parfaitement d’actualité était une “technologie des 70’s”.
Donc bon. Sans C, pas de Java, ni le reste de tes technologies bien actuelles, c’était le propos.
Le 30/06/2015 à 09h 51
Parce que tu crois que ton Java est fait avec quoi ?
Windows 10 : un « prix estimé » de 135 euros pour la version Famille
Le 26/06/2015Le 28/06/2015 à 22h 06
Avoir une argumentation avec des sources, c’est bien, et tout le mérite t’en revient.
Mais tu m’excuseras, j’espère, de ne pas forcément suivre une argumentation parfaitement orientée comme celle que tu présentes, avec une incohérence de taille qui plus est (comparaison des temps de codage open/closed source mentionnée dans mon précédent post), en minimisant bien (trop) facilement le travail des concurrents.
La fin de mon précédent post n’était pas anodine. Si tu veux te lancer dans un comparatif des coûts de développement des différents principaux OS actuels VS Windows, tu peux, mais ça demandera un travail tout autre que celui que tu as fourni.
Le monde des partenariats dans l’industrie du logiciel (nécessaires pour développer de tels OS) est une nécessité vitale, dont l’opacité évidente rendrait l’investigation journalistique particulièrement ardue.
Tous ceux qui ont côtoyés de près ou de loin ces acteurs dans le monde de la presta savent de quoi je parle.
MS n’aurait jamais sorti NT sans IBM. les développements de Win RT ainsi que les précédentes versions de CE ou Mobile n’auraient jamais pu se faire sans travaux conjoints chez certains partenaires comme Freescale, Intel, Samsung ou d’autres fabricants. Idem pour DirectX qui n’aurait jamais pu se développer sans coopération étroite des principaux concernés. On pourrait également citer le monde des serveurs ou clusters.
La liste peut être longue, les références sur le web se trouvent facilement et les exemples ne manquent pas.
Ce qu’il faut en retenir, c’est que de ces partenariats, il en résulte des coûts de développement qui se retrouvent fatalement répartis à un échelle qui serait plutôt compliquée à définir, pour des raisons évidentes.
S’imaginer que MS (ou un autre) pourrait assumer seul de tels développements et non seulement irréaliste, mais surtout juste simplement impossible techniquement.
Donc pour reprendre la fin de ton post : tu nous reproches de rester sur nos certitudes, mais le seul qui semble en avoir une coriace et inébranlable ici, c’est bien toi en maintenant que MS est le seul à (je cite) “continuer de maintenir entièrement tous les rouages d’un OS de la tête aux pieds”.
Le 27/06/2015 à 17h 30
En lisant ton commentaire, tu minimises clairement la participation aux projets open-source des concurrents de MS, et donc l’investissement que cela représente.
De plus, Apple ou Google ne se contentent pas de reprendre les briques de distros en les personnalisant, comme le font Redhat ou Ubuntu avec un GNU/Linux, en créant leurs distros.
Pour reprendre tes composants d’un OS, même si tu as prévenu que la liste était simplifiée, il y a une très importante quantité de travail qui n’y est pas représentée : les API systèmes, propres à chaque OS.
Déjà sans parler d’API, même la libc n’est pas la GNU/libc chez les deux concurrents.
Parmi les éléments de ta liste, les “pilotes génériques” ne sont pas à confondre avec les pilotes intégrés à l’OS, qui sont bien l’oeuvre de constructeurs. Les seuls vrais pilotes génériques ne sont pas nombreux (comme l’USB avec tous ses modes, par exemple).
Toujours dans ta liste, un important élément : le serveur graphique. Je ne vois pas en quoi Google et Apple ont moins investis que MS. Google utilise sa propre solution et Apple n’a pas toujours utilisé X.org.
Ce ne sont que quelques exemples. Le fait est qu’effectivement, MS fait bande à part, là où certains mutualisent une partie de leur investissement. Mais la vraie question est de savoir quelle quantité de travail dans chaque OS respectifs, incombe vraiment à chaque éditeur. Et je ne pense pas que MS ait une charge disproportionnée face aux autres, d’autant que l’éditeur se repose bien plus que tu ne sembles le croire sur des partenaires pour développer les composants de son OS (seulement, ce n’est pas dans le cadre communautaire de l’open-source, mais de partenariats bien ficelés).
Tu compares dans un post suivant de nombreux chiffres, qui reviennent à comparer des coûts de développement open-source vs des coûts de développement closed-source de chez MS. Il aurait fallu comparer les coûts closed-source des différents protagonistes et concurrents actuels pour que la comparaison soit pertinente (bon courage pour y arriver).
Le 26/06/2015 à 22h 41
Bon, déjà, le noyau de Windows NT a été conçu conjointement avec IBM, même si l’immense majorité du taf revien(drai)t à MS.
Mais revenons sur ton argumentation visant à tenter de justifier le prix de l’OS, car ayant été développé de A à Z chez MS.
Tu oublies une chose très importante : OS est différent de noyau.
La conception du noyau d’OSX (ou d’IOS, ou d’Android, ou d’autres OS payants basés sur des noyaux libres), a beau avoir été répartie davantage que celui de NT, il ne représente qu’une petite partie de l’OS.
Apple ou Google ont bien (ré)écrits tout l’écosystème qui gravite autour des noyaux repris (API, librairies, services, interface utilisateur, etc…), pour en faire leur OS à part entière. Je ne pense pas que la quantité de travail fournie par MS soit suffisamment différente pour représenter un tel écart de prix.
Non, MS, c’est du soft à coups de licences à l’ancienne (celle-là qui brille sur le côté du PC) et ça DOIT se voir.
L’entreprise sait pertinemment que personne ou presque n’achète son OS en version boîte étant donné que si tu as un PC, tu as déjà son OS. Donc le prix qu’il affiche est juste pour donner aux utilisateurs une valeur marketting/psychologique à son produit. Et ils ne veulent pas brader (ça peut se comprendre vu leur stratégie).
Apple eux, savent que leurs clients ont une valeur marketting/psychologique globale par rapport à leurs produits. L’OS n’étant pas l’élément mis en valeur (il n’y a qu’à voir leurs pubs), inutile d’en afficher le prix qui n’a aucune importance.
Google eux, c’est totalement différent : c’est pas de la licence, c’est pas du matériel. Leur stratégie, c’est du service et de la collecte de données. Le client paye l’OS et son développement sans même s’en rendre compte, en l’utilisant.
Raspberry Pi 2 : une version plus rapide à 35 $, Ubuntu et Windows 10 se préparent
Le 02/02/2015Le 02/02/2015 à 16h 06
Heu… c’est totalement faux tout ça !
Déjà, les composants du premier Rpi sont toujours produits car le SoC BCM2835 est le même dans les A, A+ et B, B+ actuels.
Ensuite, à la sortie de chaque modèle, la fondation précise que tant qu’il y aura de la demande, les modèles seront fabriqués. La sortie du Rpi 2 ne déroge pas à la règle :
Are you discontinuing the Raspberry Pi 1 Model B and B+?No. We have a lot of industrial customers who will want to stick with Raspberry Pi 1 for the time being. We’ll keep building Raspberry Pi 1 Model B and Model B+ as long as there’s demand for it. Both these boards will continue to sell for $35.
Source :http://www.raspberrypi.org/raspberry-pi-2-on-sale/
On est pas dans de la production one-shot de cartes chinoises grand public là, on est sur des composants industriels et tant qu’il y a de la demande, il y a de l’appro.