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Challenge.Law

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7 commentaires

Le 28/06/2022 à 14h 52

Il faut préserver et étendre le droit à l’oubli, le respect de la vie privée, et les possibilités réelles de réinsertion - évitons la société à l’américaine qui aime à ficher et à stigmatiser les individus, pour assouvir une certaine soif de châtiment et de justice à 10 francs.

Le 28/06/2022 à 15h 48

Le 28/01/2022 à 11h 19

Beaucoup à faire encore, en la matière. Big Brother menace toujours aussi fort, en particulier par le fichage des personnes effectué par les moteurs de recherche..

Le 30/05/2020 à 10h 19







Uther a écrit :



Ce qui est marrant c’est qu’avec toute les absurdités que dit Trump en permanence, Twitter ne le modère que quand il dit quelque chose d’intelligent. Les votes par correspondance sont clairement beaucoup plus manipulables que les votes dans l’isoloir.











SeigneursCoconuts a écrit :



Ces représailles de la part de twitter sont une étape dans une histoire un peu plus longue (cftwitter.com TwitterTwitter n’ayant pas le courage de supprimer des tweets de trump, a préféré agir de la sorte. Le retour de flamme ne s’est pas fait attendre. ^^



Mais dans un sens, la proposition de décret de trump n’est pas si idiote vu qu’elle forcerait les plateformes à reconnaître un rôle d’éditeur de l’informations, ce qu’elles sont non en publiant directement mais en l’organisant et triant activement pour ses utilisateurs.





Twitter revendique en quelque sorte un statut d’“hébergeur” au sens du droit de l’Union, d’intermédiaire technique neutre, sans responsabilité (ou avec une responsabilité très atténuée) sur les contenus postés par ses utilisateurs, et en s’appuyant, c’est ce que je comprends de l’article, sur la section 230 du Communications Decency Act -  par opposition au statut d’“éditeur” lui pleinement responsable de ses contenus.



En ce sens la réaction de Trump me paraît bien justifiée et rétablir l’équilibre, voulant finalement attribuer une responsabilité d’éditeur à Twitter en particulier quand cette plateforme adopte précisément un comportement d’éditeur , quand elle prend l’initiative de poster des contenus ou des liens, ou du fact-chacking, censés apporter un contrepoint au contenu d’un autre utilisateur. Cela est conforme au droit français et au droit de l’Union, qui sanctionnent déjà l’“hébergeur” qui se poserait franchement en “éditeur”.



Le projet de loi Avia contre les contenus haineux a un objet différent, en donnant aux plateformes, une mission de retrait rapide des contenus haineux postés par leurs utilisateurs, mais n’adressant pas, à ma connaissance, les contenus éditoriaux qui seraient postés par la plateforme elle-même.

 


Le 23/08/2019 à 08h 51

Merci !

Le 23/08/2019 à 08h 31

Je ne me rappelle plus exactement du texte du traité TFUE qui prévoit l’obligation de notification et qui fonde l’inapplicabilité d’une loi non notifiée…help ?

Le 06/04/2018 à 07h 34