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2520 commentaires

Le 13/06/2018 à 13h 10







choukky a écrit :



Juste supplétive (qui complète, sert de supplément) d”après toi ?

Enlève la possibilité de communiquer et je ne donne pas cher de sa peau. <img data-src=" />





Publier (vie publique de l’individu) n’est pas communiquer (vie privée de l’individu). Ce sont surtout le “partage” le “like” et le “commentaire” qui font vivre Facebook et Twitter (avec tous le buzz, la viralité de l’information, les achats de comptes/tweets/etc que ce modèle économique comporte). C’est cette différence que je fais dans mon commentaire, en rapport avec ce qu’exprime Antonio Casilli et en rapport avec la confidentialité/secret des correspondances (qui figure dans le Code des postes et des communications électroniques) dont fait référence Benjamin Bayart.


Le 13/06/2018 à 10h 13

J’aime beaucoup les avis Benjamin Bayart, notamment ses propos contre la centralisation du fonctionnement d’internet et du stockage de données. Mais j’ai du mal avec son approche à propos des acteurs privés comme Facebook. Facebook n’est pas uniquement un hébergeur ou un simple service de communications électroniques. Facebook est surtout un média qui édite des contenus (Timeline, hiérarchisation de l’information, production événementielle, etc). Certes Facebook permet à des individus de communiquer, mais il s’agit d’une activité supplétive, prétexte à la collecte de données personnelles.



Concernant la confidentialité des communications privées, je trouve intéressante l’approche de Antonio Casilli à propos de la vie privée&nbsp;: aujourd’hui, la frontière entre communication privée/vie privée et publication/vie publique est de plus en plus floue.



En conclusion, personnellement, demander à des services de médias sociaux et aux lois de respecter la Déclaration universelle des droits de l’Homme de 1948 (article 12), comme en a fait référence le président de Qwant sur France inter, me semble suffisant.

Le 13/06/2018 à 10h 38

Parce qu’elle cherchait un emploi et qu’aucun producteur n’avait de projet intéressant à lui proposer ?

Peut-être aussi parce qu’elle a mauvais goût ?

Le 12/06/2018 à 19h 56

Sense8: The Series Finale - Official Trailer(disponible depuis le 8/6/18)

Le 12/06/2018 à 19h 13







Troufiniou a écrit :



En fait les abonnées ADSL/VDSL l’ont aussi



https://www.universfreebox.com/article/45064/TF1-4K-est-deja-arrivee-sur-la-Free…









brazomyna a écrit :



+1






 Ceux qui ont un minimum de recul se rappelleront qu'on avait droit à EXACTEMENT les mêmes commentaires du temps de la Freebox HD (ça doit même pouvoir se retrouver dans les archives de comms de PC INpact)       






 Bref, des rageux avec juste 12 ans de retard :mdr:








 C'est amusant, sur UniversFreebox au 12/06/2018, il faut 17Mb/s pour regarder de la 4K-UltraHD, alors qu'au 05/11/2015 il ne fallait que 15Mb/s. Sur la boutique CanalPlay, c'est encore mieux car on n'a besoin que de 10Mb/s. Partout ailleurs (Netflix, l'article de Next inpact ci-dessus, Fnac.com), on recommande quand même soit 25Mb/s, soit une ligne THD FTTH ou VDSL. Donc que la Freebox soit à l'avant-garde, qu'elle soit faite&nbsp; pour les pionniers du numérique et les geeks disruptifs, d'accord... mais qu'on dise que la 4K est disponible avec une ligne ADSL, c'est fort de café : il est à parier qu'on repasse quasi systématiquement en HD (j'ose espérer quand même que, sur FreeboxTV ou décodeur Canal, l'image repasse en HD au lieu de figer ou pixéliser).

Le 12/06/2018 à 11h 44

Finalement, c’est cool myTF1 Premium. “Merci Free”&nbsp;<img data-src=" />

Le 12/06/2018 à 16h 41

Ce que j’ai compris : lorsqu’un site dépose un cookie, il est responsable de son cookie quoi qu’il en soit. Et s’il s’agit d’un cookie-tiers (paragraphe suivant dans l’article), le site que consulte l’utilisateur est co-responsable avec le tiers en question.

Le 12/06/2018 à 15h 30

«&nbsp;Le statut des cookies publicitaires&nbsp;» Comme disent lesresponsables de Qwant : il n’est pas nécessaire de faire de la publicité ciblée avec les données personnelles des visiteurs, on peut faire de la publicité sans pistage, sans collecte de données personnelles.

Le 12/06/2018 à 13h 07

Next inpact aurait pu titrer : “Carrefour Média etGoogle AdWords s’allient pour encore mieux profiler les consommateurs au milieu de leur salon”.&nbsp;<img data-src=" />&nbsp;Don’t be Evil (Ah ben nom, c’est terminé ça)… <img data-src=" />&nbsp;Do the right thing&nbsp;

Le 12/06/2018 à 12h 21

On peut dire la même chose de toute société industrielle durant la 2de Guerre mondiale : il n’y a pas eu beaucoup de&nbsp;Oskar Schindler parmi les industriels. On pourrait aussi citer la marque Volkswagen (littéralement, la voiture du peuple) créée sous le régime nazi et qui existe toujours (n’ont pas eu l’idée ou ressenti la nécessité de changer de nom). La collaboration au régime nazi a quand même servi de prétexte à la nationalisation de Renault dans l’après-guerre, c’est déjà ça.




Cela-dit, on peut dire que l'actualité de Monsanto est plus récente que celle de Bayer dans l'agro-chimie (licences de semences OGM qu'on ne peut pas replanter, engrais, désherbants, pesticides et autres produits dévastateurs qui ne donnent pas envie). Bayer est aussi connue pour son activité pharmaceutique (découverte de l'aspirine). Et de toute façon, c'est Bayer qui a acheté Monsanto : raison de plus, si ce n'est la principale raison, que le nom Monsanto disparaisse.

Le 12/06/2018 à 08h 47

Je suis d’accord dans le sens où un texte juridique ne s’applique seulement à la condition que des gens (citoyens, institutions de l’État, ONG, lobbies, entreprises, etc) s’en servent réellement.



Cependant il faut dire que les principes et les valeurs que comporte une constitution (que ce soit le préambule de la constitution, les chartes, les notions incluses dans les articles eux-mêmes de la Constitution) sont des principes et non des règles.





  • Un principe (les “principes fondamentaux”) est valable dans l’absolu,&nbsp;

  • Une règle (une loi, un décret, un arrêté, une circulaire, un réglement intérieur, etc) existe dans but concret de prendre des décisions, de réaliser des choses.



    D’ailleurs, bien souvent la loi sert typiquement à limiter les droits fondamentaux selon des contextes et des modalités précises (sans pour autant annuler des principes inscrits à la Constitution).

Le 12/06/2018 à 08h 01

Un fait est toujours vérifiable ? Oui. Est-il toujours vérifié ? Oui quand on prend le temps et quand des preuves exactes ont été découvertes. Dans la vie courante, un fait n’est pas toujours vérifié, en tout cas pas en moins de 48h (temps qu’il faut pour une ordonnance de référé). Il faut souvent plusieurs années pour vérifier véritablement un fait, ou plutôt qu’un fait, un enchaînement ou une imbrication de faits.



&nbsp;Une information, dans le monde réel, n’est pas toujours certaine, mais résulte bien souvent d’indices et de témoignages concordants. Définir la fakenews, la fausse information, c’est faire l’erreur de croire (ou faire semblant de croire) que tout est factuel et que les faits sont vérifiables en dehors de tout contexte.

Le 12/06/2018 à 07h 40

D’abord, pour être précis, la propagande concerne tout ce qui est affirmé lors d’une campagne électorale (pas uniquement les professions de foi que l’électeur reçoit à domicile). Ensuite, sur le fond, bien sûr qu’on a le droit de contester ce que dit un candidat, heureusement. Et justement, en l’occurrence, il s’agit d’une loi qui cherche à définir outrageusement la fausse information. Par exemple, quand M. Le Pen annonce que E. Macron a favorisé la vente de SFR à P. Drahi : à quelques jours du scrutin, on voit mal l’équipe de campagne de E.Macron demander un jugement en référé pour décider si M. Le Pen a eu raison ou pas.

Le 12/06/2018 à 07h 16

Encore faut-il avoir la réponse exact et faire correctement son travail de journaliste ou de lecteur. Or, c’est bien là le ressort des rumeurs/buzz/fakenews. Tout le monde peut se tromper, chercher à tromper ou mal faire ce travail. D’ailleurs, pour le quidam (dont l’information n’est pas le métier), c’est malheureusement la majorité des cas de la vie courante (on a autre chose à faire que d’étudier un sujet, recouper l’information, etc). Cela-dit, oui, c’est un mauvais exemple dans le sens où il s’agit d’une question et pas spécifiquement d’une allégation, pourtant cette question comporte bien une information volontairement trompeuse : c’est le ressort de cette blague.

Le 08/06/2018 à 18h 46







pierreonthenet a écrit :





J’entends par là que quelqu’un me donne un exemple d’une “vrai news” pouvant être vraisemblablement réputée comme “fausse” devant les tribunaux (pour de la censure, par exemple) ?

J’ai beau en chercher, j’en trouve pas.





La couleur du cheval Blanc d’Henri IV.


Le 08/06/2018 à 18h 31

La “censure” viendrait plutôt du fait qu’il n’est pas toujours possible de prouver exactement ni la véracité, ni l’inexactitude d’un fait, et surtout pas en moins de 48h. Donc le juge des référés se verrait contraint de choisir entre interdire cette nouvelle ou la rendre acceptable sur des idées préconçues ou sur la base du hasard… en sachant qu’un jugement en référé n’est pas une décision judiciaire définitive mais une mesure d’urgence.




      Donc, en fait, il y aurait une "censure" par maladresse, avec une décision judiciaire qui ne voudrait rien dire et qui trancherait des questions dans l'urgence sans véritablement donner du sens.

Le 08/06/2018 à 09h 54

« Lorsqu’un litige exige qu’une solution, au moins provisoire, soit prise dans l’urgence par le juge, une procédure spécifique dite de référé est prévue par la loi. Elle est confiée à un juge unique, généralement le président de la juridiction.



Le juge des référés est saisi par voie d’assignation. Il instruit l’affaire de manière contradictoire lors d’une audience publique, et rend une décision sous forme d’ordonnance, dont la valeur n’est que provisoire et qui n’est pas dotée au fond de l’autorité de la chose jugée. L’ordonnance de référé ne tranche donc pas l’entier litige. Elle est cependant exécutoire à titre provisoire. » 




Le 08/06/2018 à 09h 42

Quand on pense que tout est déjà présent dans le Code électoral, dans le Code pénal. Il suffit d’appliquer ces règles préexistantes.

Le 08/06/2018 à 09h 36

“La fausse information est un fait”, d’accord mais dans ce cas, si on n’a pas le droit d’affirmer autre chose que des faits vérifiés et vérifiables dans l’heure, on interdit toute propagande électorale ? Sérieusement, personne n’ira devant le juge des référés pour des allégations mensongères, c’est trop gros… ou ça va se transformer en scandale avec des accusations croisées de Fakenews, de calomnies, etc. Tout ça en référé à quelques jours du scrutin. Résultat on suspendra le scrutin, quelqu’un fera un coup d’État profitant de la confusion, et finalement tout le monde sera d’accord sur ce qu’est une fakenews.

Le 11/06/2018 à 13h 24

En préambule, chercher la vérité est un long chemin, dont les arguments en sont les virages et les démonstrations des raccourcis pas toujours plus rapide pour l’atteindre (bien que prendre des chemins de traverse peut aider à trouver plus vite son chemin).



Puisque ma référence semble incomprise, disons que bizarrement Orange a accéléré ses déploiements FTTH à partir de 2014, au même moment de la fusion NC-SFR (Très Haut Débit fixe + THD mobile), après 8 ans d’atermoiements et de promesses FTTH non-tenues des 4 principaux opérateurs privés nationaux.

&nbsp;

Mais, est-ce vraiment cela ou est-ce le plan France THD entré en application en 2013 qui a incité Orange à devenir le 1er réseau THD de l’Hexagone à la place de NC-SFR ? On peut s’interroger, et c’est bien là le remède aux rumeurs/fakenews/buzz/etc, non pas une définition légale de la “fausse information” (proposition de loi contre les fakenews qui en devient donc, et c’est un comble, elle-même une fakenews par ses objectifs ubuesques et démagogues).



NB: pour en savoir plus, lire les nombreux articles de Next inpact dont la recherche (dans le coin en haut, à droite de la page) permet d’extraire des articles intéressants et en accès libre (ce qui ne gâche rien).

Le 11/06/2018 à 09h 56







graphseb a écrit :



Hum, une fracture ouverte qui n’est pas convenablement réduite, c’est un terreau fertile pour la gangrène…





<img data-src=" />


Le 09/06/2018 à 20h 11







Cumbalero a écrit :



… On subventionne les opérateurs pour les aider à atteindre les objectifs qui conditionnent leurs accords de licences! On marche sur la tête, tout simplement.



 ...








 Pour rejoindre votre avis à propos des réseaux mobile, effectivement, les licences mobile sont relativement mal utilisées par l'État et les opérateurs. Les négociations entre l'État et les opérateurs sont en quelque sorte un marché de dupes :        







  • Par le passé, des obligations qui n’ont pas été tenues (exigences de couverture de la 2G/3G, désimlockage des terminaux vendus par les opérateurs après un délai minimal d’utilisation).

  • Aujourd’hui, desavantages négociés avec l’Étatpour augmenter la couverture de la 4G plus rapidement (prolongement de 10 ans des licences 4G sans redevance supplémentaire et l’impôt IFER qui n’augmentera pas).&nbsp;&nbsp;



    D’ailleurs,&nbsp;si l’ARCEP a défendu, avant 2010, l’attribution d’une 4e licence mobile, c’est en partie à cause du non-respect des engagements de couverture 3G des 3 opérateurs de l’époque. Aujourd’hui, si le président de l’ARCEP n’a plus d’objection à un retour à 3 opérateurs nationaux (donc à 3 licences mobile), c’est parce que les déploiements de la fibre ont accéléré et que les déploiements mobile sont respectés. Et tout ça se fait sans réelle transparence avec des promesses publiques de part et d’autres qui sont bien souvent surévaluées.


Le 09/06/2018 à 14h 21







Charly32 a écrit :



Ça me parait aussi être le fonctionnement optimum pour tout réseau destiné au service public (communications au sens large, électricité, etc) . Mais ça ne change rien à la logique de déploiement : il faut commencer par les zones plus denses, et donc rentables pour pouvoir financer plus facilement les zones moins rentables.





Oui, on commence à déployer un réseau dans les zones de population les plus denses, car plus rapidement rentabilisé. Ce qui permet de financer en partie le déploiement dans des zones de moins en moins denses à fur et à mesure que le déploiement progresse. D’ailleurs, le problème actuel du déploiement de la fibre FTTH est que les délais de déploiement initiaux ne seront pas tenus, laissant des territoires dans l’incertitude (et pas seulement les campagnes, mais aussi des poches de basse densité dans les zones AMII et dans les zones très denses).


Le 09/06/2018 à 14h 13







Cumbalero a écrit :






Quels sont les moyens mis en place pour satisfaire à ces ambitions? On subventionne les opérateurs pour les aider à atteindre les objectifs qui conditionnent leurs accords de licences! On marche sur la tête, tout simplement.        






 &nbsp;Si les objectifs ne sont pas tenus, il y a des amendes à appliquer, pas des subventions à distribuer ou envisager des accords de mutualisation pour encore maintenir artificiellement un marché à 4 sur le mobile.        

...








 Les réseaux télécom privés ne sont pas subventionnés (c'est interdit par l'Union européenne, on appelle ça le libéralisme économique selon lequel l'État ne se mêle pas du marché). En France, le Plan France THDde 2013 organise le déploiement de la fibre FTTH sur l'Hexagone qui aurait dû couvrir initialement 100% du territoire en 2022. Le territoire hexagonal est divisé en 3 types de zones:      







  • zones très denses (les 21 métropoles de l’Hexagone) où la concurrence par les infrastructures s’exerce. Chaque opérateur est propriétaire de son propre réseau local FTTH.

  • zones moyennement denses : les opérateurs privés ont annoncé les zones de déploiement FTTH qui les intéressaient en 2011. ce sont les zones “AMII” (Appel à Manifestation d’Intention d’Investissement).

  • zones peu denses : les Réseaux d’Initiative Publique (RIP) qui déploient la fibre FTTH sur le reste du territoire, financés exclusivement par l’impôt (État, Collectivités locales, Union européenne), et exploités en concession par Covage, Axione (filiale de Bouygues), Altitude Infrastructures, Orange ou SFR Collectivités, etc. Les RIP existent car aucun opérateur privé n’a souhaité déployer dans ces zones et parce que l’État souhaite un aménagement du territoire qui permette l’essor économique de la France. Il n’y a donc pas de concurrence par les infrastructure quand un RIP existe, mais n’importe quel FAI (notamment Orange, Free, SFR, Bouygues) peuvent y offrir leurs services aux habitants.



    On peut retrouver ces 3 zones et le nom des opérateurs qui déploient leur réseau local FTTH sur la carte de déploiement de l’ARCEP dont parle l’article ci-dessus.


Le 09/06/2018 à 10h 05

Et pour donner mon avis, ce que je trouve scandaleux, c’est plutôt de créer de gros propriétaires d’infrastructures ou de gros concessionnaires nationaux, comme Orange, Altice, RTE/Enedis, Suez, Engie, les sociétés d’autoroute, SNCF Réseau (qui sera privatisée comme le reste), etc. Alors que ça devrait être beaucoup plus sérieusement piloté et contrôlé par l’État et les Collectivités locales, et notamment appartenir à l’État ou aux Collectivités locales (ce qui est quand même le cas des concessions comme les autoroutes, les réseaux locaux de distribution électrique).




  Ces grosses entreprises (multi-)nationales sont beaucoup trop puissantes/influentes par rapport aux États et surtout par rapport aux Collectivités locales.

Le 09/06/2018 à 09h 43

La dette de la SNCF est une dette d’infrastructure qui n’est pas rentable et ne l’a jamais été. C’est la même chose pour l’infrastructure routière : les routes sont financées par les collectivités locales (les impôts des contribuables). Donc, dans le cas où le groupe SNCF serait privatisé, il n’y a pas de raison de handicaper une entreprise de transports&nbsp;(que ce soit sur route, rail, aérien, mer)&nbsp;alors que toutes les autres ne paient pas autre chose que les impôts/taxes que tout le monde paie (d’autant que l’État sait, le cas échéant, inventer des impôts spécifiques comme l’IFER qui est un impôt assis sur l’exploitation de réseaux).

Le 09/06/2018 à 07h 54

La SNCF (hormis les filiales privées qui préparent la vente du groupe au marché) est plutôt le contre-exemple de la ploutocratie et un exemple du plan quinquennal des projets de l’État.



NB: quand on cessera d’agiter le mot “dette” comme un épouvantail honteux et dangereux, on commencera à parler des vrais enjeux.

Le 08/06/2018 à 16h 32





  • zone peu dense : Laval THD(RIP exploité par Orange)&nbsp;&nbsp;

  • commune de Laval : Orange (réseau propre) comme indiqué dans la carte de déploiement de l’Arcep



Le 08/06/2018 à 15h 22

Le nombre de locaux raccordables à la fibre FTTH a dépassé le nombre de locaux raccordables au câble, donc Orange va pouvoir souffler un peu : le retard dans le Très Haut Débit fixe d’Orange est enfin comblé.



NB: je suis mauvais langue en ce moment, mais il y a un fond de vérité quand même (ceci n’est pas une allégation trompeuse d’un fait).

Le 08/06/2018 à 15h 10

Comme l’ARCEP demande les données aux opérateurs privés (qui donnent ce qu’ils veulent dans le format qu’ils veulent), cette carte des déploiements fibre va être aussi pertinente que la carte de la qualité de la couverture des réseaux mobile. Il ne manque plus que le CSA sanctionne les fakenews et les contenus immoraux sur le web et le tableau de la France connectée sera complet.&nbsp;<img data-src=" />

Le 11/06/2018 à 07h 38

&nbsp;





odoc a écrit :






    Mais apparemment c'est plus important de se battre contre le glyphosate. Je serais adepte du complot je dirais qu'on a mis en avant ce dossier pour que l'opinion oublie tout les autres ....








    Utiliser le qualificatif de "adepte du complot" pour donner votre opinion sur un sujet ne manque pas de piquant. Pourquoi serait-on "adepte du complot" quand on a un avis ? Le complotisme et le conspirationnisme sont légèrement plus issus de la malhonnêteté ou de la crédulité que du fait d'émettre une opinion.         

&nbsp;

Oui, la question du glyphosate est un choix politique entre des bénéfices à court terme et des bénéfices à long terme. Pour le reste de votre commentaire, c'est une façon de penser qui en vaut une autre.&nbsp;

Le 08/06/2018 à 10h 49







OlivierJ a écrit :



Quand je disais que ça se voit si on ajoute 50 millions clandestins à 20 millions officiels, c’est que ceux qui auditent les comptes de campagne, et les journalistes qui ont envie d’enquêter (Mediapart ou autre), le verraient dans les dépenses de campagne, ce qui est organisé, la taille des salles, des buffets, etc.







Nous sommes bien d’accord. C’est pour ça que je dis que ça s’est vu. On compare les dépenses de campagne&nbsp; officielles, on regarde l’événement concerné et on émet des doutes. On croise ça avec des témoignages, des documents confidentiels qu’on se procure à l’occasion, et on émet donc des hypothèses. C’est bien ce qui se passe actuellement. Qu’est-ce que vous appelez des “on-dits”? Je n’ai peut-être pas compris ce que vous vouliez dire, mais je dirais ce sont des hypothèses. C’est comme ça qu’on avance vers la preuve.&nbsp;


Le 07/06/2018 à 22h 48

désolé pour mes erreurs orthographiques.

Le 07/06/2018 à 22h 39







OlivierJ a écrit :






 J'ai remarqué qu'on cite tout le temps cet exemple.        

Alors d'une part Sarkozy avait déjà porté plainte en diffamation contre Mediapart (au moins une fois), ça n'empêche pas d'en parler.

...

La 1e question que je me suis déjà posée, c'est comment 50 millions pouvaient servir à une campagne plafonnée à 20, sans que ça ne se voie ; et la 2e, c'est pourquoi NS aurait eu besoin de cet argent, puisque les campagnes sont remboursées dans son cas (il fait plus de 5 %).

...








  1- justement, ça s'est vu. On sait que de l'argent dans des enveloppes et des virements ont circulés. On cherche d'où ça vient et où ça va. Cacher ce genre d'opérations financière, c'est tout l'enjeux d'un dépassement du plafonnement des dépenses de campagne électorale. Mais vous avez raison, il y a beaucoup d'angles morts dans cette affaire de financement libyen et beaucoup de choses ne sont pas (encore) prouvé.       






 2- Une campagne électorale coûte cher. Soit l'équipe de campagne se limite aux plafonnements imposés par la loi, soit elle s'arrange avec ses partenaires et ses fournisseurs pour continuer à faire encore des meetings et encore des déplacements et encore des affichages et etc. Le but d'une campagne électorale, c'est d'occuper le terrain, c'est d'être présent partout pendant plusieurs semaines. On ne fait pas ça en suivant la comptabilité des dépenses et les limites financières légales (ou alors on perd de grandes chances de se faire élire et on candidate uniquement pour garder une forme de légitimité dans le débat public). La loi sur le financement des campagnes électorales est à remettre à plat et à réformer, c'est une réalité.

Le 07/06/2018 à 22h 20







OlivierJ a écrit :



D’une part, il n’y a que le CIRC qui a conclu ça, à partir de certaines études.

D’autre part, et même plus important : que signifie concrètement “cancérogène probable” ? La plupart des gens ne savent pas.

NB : l’exposition au soleil et l’alcool sont classés comme cancérogènes certains.&nbsp;









kwak-kwak a écrit :



Cancérigène probable,… tout comme la charcuterie ! En fait le classement des cancérigènes du CIRC est très mal foutu et n’indique en aucun cas le niveau de danger réel du produit.



Cancérigène probable : on pense que c’est cancérigène, mais on n’a pas réussit à le prouver formellement.

Cancérigène certain / avéré : on sait que c’est cancérigène.

—&gt; c’est tout









odoc a écrit :



Pas au sens où tu l’entends : le CIRC indique clairement que la probabilité d’une dangerosité par absorption est proche de 0. Ce n’est pas un classement en fonction du danger.





Le complot est tel que l’ensemble des agences de la planete indique qu’il n’y a pas de risque ….





  1. on est capable de voir des effets minimes quand ils existent

  2. ici y a rien, nada, que dalle





    1- Tout dépend&nbsp;de la dose prescrite&nbsp;de l’exposition à l’élément en question.

    2- la survenue d’un épisode cancéreux ne saurait dépendre d’un unique facteur.

    3- les probabilités sont un des domaines des mathématiques. On peut de ce fait démontrer une probabilité, mais pas la réalisation d’un événement futur probable. Et là se pose la question fatidique : on fait quoi ? Cette question n’attend aucune démonstration, il s’agit de politique et de débats publiques.


Le 10/06/2018 à 12h 28

Finalement, le tyrannosaure est la preuve que les poules ont eu des dents <img data-src=" />

Le 08/06/2018 à 21h 59

« C’est quoi ça ! Sans déconner ! » : l’intro de Envoyé spécial commence comme une vidéo de youtubeur. <img data-src=" /> En fait, les youtubeurs deviennent les “envoyés spéciaux” de France Télévisions.

Le 08/06/2018 à 07h 08

Désolé d’intervenir comme comme ça à brûle-pourpoint, mais je me demande : quel intérêt de se focaliser sur ce genre de détails ? Vous n’avez pas compris le sens des arguments de cyril8 ? ou alors, la “politique d’Apple” a plus d’importance que le débat d’idées ? Parfois, ça m’étonne de voir des réactions épidermiques de ce genre avec des démonstrations (pas toujours exhaustives et parfois biaisées) qu’ils ont raison et que les autres ont tort. Je me pose toujours la question de la finalité de ce genre de comportement. Il faut savoir raison garder, c’est pas si grave d’être imprécis, sinon on en sera à débattre de la couleur précise du cheval blanc d’Henri IV.

Le 07/06/2018 à 14h 37







cyril8 a écrit :



De toute façon le marketing aura eu raison de beaucoup ici, où l’on considère que 4 ans de suivi c’est bien (voire trop cf. la DVT des smartphones vue par les constructeurs) et que de toute manière s’insurger contre cette surconsommation c’est passéiste.



    50% des français change de smartphone au bout de 2ans... A l'aide!








  Oui, il s'agit d'influence du marketing, mais pas seulement. Intrinsèquement, je pense qu'il est plus facile de s'intéresser aux performances et aux qualités d'un appareil électronique dont les bénéfices sont immédiats et personnels, alors que les conséquences négatives sont :         







  • très éloignées (déchets à ciel ouvert en Afrique),&nbsp;

  • collectives (conditions sociaux-professionnelles des mineurs qui collectent les métaux rares et des ouvriers d’usines)&nbsp;

  • des enjeux à très long terme comme la pollution par les métaux lourds ou la raréfaction des matières premières (beaucoup disent qu’on trouvera des solutions le moment venu comme pour le pétrole dont on a trouvé progressivement de nouveaux gisements grâce à de nouvelles technologies).



    &nbsp;J’imagine bien que mon avis est fortement influencé par mes habitudes de consommation, mais je comprends que même sans les publicités quasi-irresponsables qu’on voit partout dans les rues, à la TV, sur le web, on aurait quand même tendance à s’amouracher de ces petits bijoux électroniques qu’on jette tous les 2 à 5 ans généralement à la déchetterie (quand on fait bien les choses, je n’ose imaginer la quantité de smartphones qui finit dans les incinérateurs d’ordures ménagères ou dans la nature proche des lieux de vie ou exportée dans les décharges à ciel ouvert d’Afrique ou ailleurs).


Le 07/06/2018 à 20h 31







Patch a écrit :



Je n’affectionne pas particulièrement les chéquiers, non. Mais ils restent quand même super utiles pour les dépôts de caution.






 Moi, je n'ai pas de chéquier, et je n'en ai pas besoin même pour payer un dépôt de garantie : le virement bancaire ou les espèces. Et de préférence les espèces en l'échange d'un reçu. Je n'aime pas le chèque car c'est un instrument de paiement rendu artificiellement gratuit par la loi pour rendre les banques indispensables à la vie économique.

Le 07/06/2018 à 20h 22







Patch a écrit :



Non, je ne suis pas encore assez sénile pour ca.





vous maîtrisez parfaitement la négative. En revanche, votre défaut, c’est que vous manquez de fraîcheur et d’enthousiasme. Aller, une autre démonstration de votre part, ça me fera tellement plaisir.


Le 07/06/2018 à 20h 18

Mais c’est ça l’explication ! Vous avez oublié de relire vos commentaires ci-dessus ! Bah oui, je comprends, c’est plus facile de répondre une bêtise à propos du dernier commentaire laissé par votre interlocuteur. C’est ce qu’on fait depuis quelques jours, je vous signale. Mais vous l’avez peut-être oublié aussi ? Vous avez raison de vous ménager même si j’imagine que vous n’avez pas encore l’âge d’être sénile. Votre façon d’alterner entre tantôt faire la démonstration de votre acuité intellectuelle et la démonstration de ma bêtise, est un enchantement. J’ai l’impression de parler à un perroquet qui répète des mots sans saveur. Je dois quand même vous reconnaître une capacité certaine à faire les questions et les réponses. Pour autant vous êtes nul en argumentation. Oui, je viens de vous dénigrer, c’est pour relancer un peu le débat, parce que présentement je vous trouve un peu trop serein.

Le 07/06/2018 à 19h 28

Je ne pense pas que Optic 2000 serait satisfaite d’être assimilée à son rival Optical Center. Tu vas avoir des gros problèmes, toi.&nbsp;<img data-src=" />

Le 07/06/2018 à 14h 07

Tous les ans je reçois un courrier postal de cette enseigne que je n’ai jamais fréquentée. Le traitement de bases de prospects a l’air relativement “open bar” dans cette chaîne d’opticiens. Je suspecte (peut-être à tort) une coresponsabilité de Mediapost (l’agrégateur-prospecteur du groupe La Poste), à moins que ce soit l’une des mutuelles santé que j’ai pu fréquenter dans ma vie…&nbsp;

Le 07/06/2018 à 17h 51

à part la promesse de débits fabuleux, la fibre FTTH, c’est aussi et surtout la promesse de débits symétriques, des temps de latence et de gigue réduits. Personnellement, à l’heure actuelle, je peux me contenter de 50 Mb/s si la connexion est constamment optimale (débits symétriques et latence/gigue réduites). Quels usages domestiques ont besoin de 1Gb/s en réception de données ? C’est une vraie question pour moi (ça me fera peut-être changer d’avis sur la question).

Le 07/06/2018 à 17h 34

Mon avis est sûrement influencer par le fait que je déteste utiliser une connexion à débits fluctuants au gré de la météo du réseau. il y a quelques temps, je me suis abonné à la 4G pour voir si ça fonctionnait aussi bien que ma connexion VDSL de l’époque, et ça m’a agacé. Une connexion qui ne réagit pas comme je l’ai prévue, ça ne m’intéresse pas, ou alors ma facture ne doit pas dépasser 25-30€ par mois. Je préfère avoir des débits de 50Mb/s symétriques à n’importe quel moment, que des débits de crête de 1Gb/s-200Mb/s par moments (si j’ai de la chance).

Le 07/06/2018 à 10h 43







OB a écrit :



Je ne pense pas, vu que la seule donnée prise en compte c’est l’abonnement.

Il y aurait violation de la neutralité du net uniquement , par exemple, si t’avait 100Mbps partout _SAUF_ sur molotov-TV, Youtube et Netflix, si ces dernier acceptaient de payer un supplément à Orange par ex… (ou que toi tu choisisses une “offre spéciale média” qui inclue un bonus vitesse pour ces sites et pas les autres).









Silly_INpact a écrit :



Clairement oui ils te brident ta ligne (logiciellement) puisque ta ligne peut aller au-delà.&nbsp;

Les opérateurs cloisonnent leurs offres pour que tu payes plus pour avoir plus de débit.&nbsp;

Je me demande si ça ne va pas à l’encontre de la neutralité du net&nbsp;<img data-src=" />





La limitation des débits d’une ligne sert surtout à déterminer la bande passante maximum utilisable par l’abonné pour déterminer le tarif mensuel de l’offre. Et ça évite la tarification au quota de données mensuel (bien qu’elle reste possible en complément) ou la tarification au temps.


Le 07/06/2018 à 10h 36

très bonne remarque. Effectivement, chaque opérateur conçoit ses propres zones VDSL. C’est toujours le même problème quelle que soit la technologie employée (ADSL/VDSL/FTTH/câble). Il faut être très vigilant avant de souscrire à une offre (par exemple, le test d’éligibilité sur le site commercial des FAI ne le précise pas forcément).

Le 07/06/2018 à 10h 20

Il faut faire attention car il existe des offres uniquement ADSL2+, donc même si la ligne se trouve en zone VDSL2, on obtiendra les débits de l’ADSL2+