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2520 commentaires

Le 16/10/2018 à 17h 23

C’est quoi tous ces films sur l’homme qui marche sur la Lune ? Je viens de voir “Apollo 18” sur Netflix et maintenant la bande-annonce de “First Man” !



C’est pour convaincre les platistes que la Terre est ronde ? C’est pour relancer les programmes spatiaux ? …

Le 16/10/2018 à 17h 12







Jarodd a écrit :



Mahjoubi n’avait pas annoncé qu’il quittait Twitter il y a quelques semaines ?









fred42 a écrit :



Ça devait être une fake news infox !<img data-src=" />





Vous m’avez fait rire (rire nerveux).



Pour rester dans le sujet, je ferais du fact-checking en disant que Mounir Mahjoubi a plutôt tweeter qu’il supprimait l’application Twitter et qu’il tweeterait à “des moments choisis”. 

lefigaro.fr Le Figaro


Le 16/10/2018 à 17h 00

Vous la sentez, la fusionCSA-Hadopiet la régulation des grandes plateformes web ?

Le 16/10/2018 à 11h 04

«&nbsp;En attendant la probable parution de nouveaux décrets d’attribution, on retiendra que le gouvernement s’était jusqu’ici distingué en nommant un secrétaire d’État au Numérique directement placé sous l’autorité du Premier ministre (et non de Bercy, comme c’était déjà le cas lors du précédent quinquennat). Un rattachement à Matignon était pourtant vu comme le gage d’un pouvoir plus étendu, loin des seuls ministères économiques et financiers de Bercy.&nbsp;»&nbsp;(article Next Inpact)




En même temps, le fait que le ministre de la transition écologique et solidaire soit un "ministre d'Etat" n'empêche pas qu'il soit placé sous la bienveillante "concertation" tutélaire du ministre de l'économie et du ministre de l'agriculture. Autrement-dit, concernant le numérique, les choses sont clairement affichées.

Le 15/10/2018 à 08h 14

D’accord. Fin du débat. Bon début de semaine !

Le 14/10/2018 à 11h 41







Patch a écrit :



C’est quoi le rapport?






 à vous de me le dire. En bref, Netflix apporte ses contenus au pied du réseau du FAI (qui n'a plus de bande passante à payer, c'est Netflix qui charge ses contenus dans ses serveurs locaux), mais Iliad/Free préfère (logiquement?) réduire la qualité du service Netflix (voire le rendre inutilisable par moments) en se connectant à l'un des 3 CDN de AWS qu'utilise Netflix (celui situé en Irlande quand celui-ci fonctionne correctement).&nbsp;&nbsp;    






NB: c'est un court résumé de ce que j'ai compris du fonctionnement du réseau de Netflix, désolé des éventuelles approximations.

Le 14/10/2018 à 10h 58







Patch a écrit :



Ce qui n’en fait toujours pas une entorse à la neutralité du net. Exactement comme le téléchargement n’a jamais été et ne sera jamais du vol.







Je réitère ma question : la neutralité du net est un mode de fonctionnement du réseau. Si l’abonné d’un FAI n’a pas accès à un service spécifique, la question de la conformité du service du FAI à la neutralité du net se pose. Votre affirmation pourrait être valable si vous répondiez à cette question.



 Je vais tenter à nouveau d’y répondre, après l’extrait de l’article de Benjamin Bayart (voir mon commentaire #21), avec l’extrait d’un articledu site macg.co à propos du fonctionnement du réseau de Netflix : « Pourquoi est-ce qu’un FAI accepterait de stocker gratuitement des serveurs tiers qu’il ne contrôle pas, de les alimenter et de les relier à son propre réseau ? La réponse est en fait assez simple : en entrant dans le programme Open Connect, le fournisseur assure à la fois à ses utilisateurs une meilleure qualité de service, tout en réduisant ses factures en matière de bande passante vers l’extérieur. Le premier point est facile à comprendre : la vidéo étant stockée à proximité immédiate des abonnés, elle est disponible plus rapidement que si elle devait venir d’un serveur situé dans un autre pays.

 

Pour le fournisseur, c’est aussi un moyen de réduire sa facture de bande passante depuis son propre réseau vers l’extérieur, vers les autres FAI et vers les data centersdu monde entier. Il est difficile de généraliser le prix que cela coûte, mais une chose est sûre : en stockant les vidéos de Netflix sur son propre réseau, cela ne coûte plus rien au FAI, si ce n’est les frais de fonctionnement des OCA. Et certains estiment qu’ils peuvent économiser plusieurs dizaines de milliers de dollars par serveur installé, ce qui est une somme significative. 

 

C’est pour cette raison que tous les FAI, ou presque, ont accepté l’offre de Netflix. En France, c’est le cas d’Orange, de Bouygues et de SFR… mais pas de Free. Les problèmes d’accès au service de streaming constatés par les abonnés sont directement liés au choix de l’entreprise de Xavier Niel de ne pas accepter les OCA, pour une raison qui n’est pas exactement connue1. Les clients de Free doivent accéder aux vidéos stockées sur un serveur hors du réseau du FAI et il y a tant d’utilisateurs de Netflix que le lien vers ce serveur est trop petit pour offrir un service correct à tout le monde.

 

Même si certains acteurs résistent encore, c’est un coup de génie de la part de Netflix qui a réussi à casser les prix pour créer son réseau mondial de distribution. Les FAI trouvent leur compte autant que le service de streaming, ce qui a permis à Open Connect de se déployer partout et de servir exclusivement à diffuser toutes les vidéos depuis au moins 2016. À cette époque, le réseau diffusait plusieurs dizaines de térabits par seconde aux heures de pointe, et ce chiffre augmente sans arrêt. »


Le 14/10/2018 à 10h 47







Patch a écrit :





Raison simple à une question simple : l’argent. Ils ne s’entendaient pas sur qui doit payer quoi et à quelles conditions jusqu’à présent. Ni plus, ni moins.





C’est pourtant simple : le FAI finance son propre réseau payé par ses abonnés. Le fournisseur de contenus finance son propre réseau payé par ses abonnés.



Extrait d’un articlede macg.co à propos de ce conflit entre FAI et diffuseurs de contenus : «&nbsp;Sur ces questions de&nbsp;peering&nbsp;(c’est le terme consacré), on évoque souvent le cas de Free, car c’est un multirécidiviste, mais ce n’est malheureusement pas un cas isolé. À plusieurs reprises, nous nous sommes émus des débits assez médiocres proposés par Orange lorsque l’on veut accéder à une plate-forme de téléchargement d’Apple (lire :&nbsp;Ralentissements de l’App Store avec Orange : en attente d’une solution) .



Le problème, et c’est peut-être pour cela que Free s’en sort à si bon compte, c’est qu’il s’agit de problèmes techniques difficilement compréhensibles par le consommateur. […]&nbsp;

&nbsp;

C’est une bataille qui ne dit pas son nom, mais c’est bien de la neutralité du net dont il est question. À ce sujet, les opérateurs ont toujours été très ambivalents, mais peu osent la critiquer de manière officielle. Sur ce point, Stéphane Richard fait office d’exception. Le patron d’Orange déclarait en 2015 que c’était un «&nbsp;concept attrape-tout qui se fait toujours sur le dos des opérateurs&nbsp;» et qu’elle nuisait à l’innovation des opérateurs.

&nbsp;

En coulisse, un concurrent de Free affirme même texto que&nbsp;«&nbsp;la neutralité du net, c’est de la connerie&nbsp;». Et il ne donne pas cher des plateformes et créations françaises d’ici 5 à 10 ans si les choses continuaient ainsi.&nbsp;»


Le 12/10/2018 à 15h 51







Patch a écrit :



Ce n’était PAS un problème de neutralité du net.









secouss a écrit :



La neutralité c’est quand “intentionnellement” ton FAI te bride (sous entendu il analyse ton contenu)



Ici le débit est simplement plus faible car la ligne sature et les gens se partagent le tuyau. Tu n’as pas un mécanisme qui analyse les usages, aiguille les usagers en les identifiants pour limiter ou augmenter leurs débit.

Donc pas de question de neutralité, si t’es pas content tu va chez un autre FAI



Un peu comme si tu achète une 108 et tu te plains que la RCZ peut faire du 250 sur autoroute et pas toi.









gwado a écrit :



Du coup, y’a pas vraiment de problème alors. :)





Qu’un FAI prétexte la saturation de son réseau pour justifier un défaut de qualité d’un service sur internet est pour le moins arbitraire et unilatéral. La question à se poser est bien de savoir ce qui motive ce choix de saturation plutôt que de délivrer un service fiable que s’honorerait de délivrer n’importe quel FAI.



&nbsp;Extrait d’un articlede Benjamin Bayart : “Pour la vidéo à la demande, l’analyse est simple. Pas de vraie différence sur le réseau entre la vidéo diffusée par la plateforme de vidéo à la demande (VOD) de l’opérateur et celle diffusée pas un acteur externe, Netflix ou YouTube par exemple. Donc, ce n’est pas défendable.

&nbsp;

L’utilisateur final a payé son accès au réseau, sous la forme d’un abonnement. Il paye le visionnage de la vidéo à la plateforme de vidéo. Si le réseau marche mieux pour une plateforme que pour une autre, c’est un abus de position dominante, et une atteinte très claire au principe d’accès à un réseau ouvert.

&nbsp;

Le stress imposé sur le réseau par le visionnage d’une vidéo à la demande, que ce soit sur un site Web, ou au travers du décodeur télé sur la plateforme de l’opérateur, est de la même nature. Il ne diffère qu’en fonction de la vidéo (haute résolution ou pas), et par la source du trafic (un point A du réseau au lieu d’un point B du réseau), pas par la nature de la charge induite par le visionnage lui-même. Sur ce service là, l’argument «&nbsp;dommage sur le réseau&nbsp;» n’est donc pas opérant. En fait, aucun argument ne sera opérant. La priorisation du

trafic VOD en favorisant la plateforme de l’opérateur doit être considéré comme une violation du règlement européen.”


Le 10/10/2018 à 10h 46

Et si, moi aussi, je cherche la petite bête à ce graphique publicitaire, “SFR THD” rassemble fibre+câble. Quid du VDSL ? Est-il inclus dans “DSL” ? Si oui, alors pourquoi l’intitulé “SFR THD” rassemble uniquement la fibre et le câble ? VDSL est du THD (ou ça a changé?)

Le 10/10/2018 à 10h 39







alex.d. a écrit :





Peut-être que SFR utilise deux préfixes réseaux différents, mais faire une addition pour mettre tout SFR ensemble, ce n’est pas un “calcul cornélien”.





à la réflexion, je pense que le nombre de lignes FTTH est tellement faible chez nos 4 FAI, que Netflix pourrait éventuellement considérer le THD des 3 autres FAI comme négligeable : Orange a dépassé le million de clients fibre il y a peu (à voir si “Orange THD” apparaitra prochainement?) et les 2 autres sont à la traine. Seul SFR a un nombre conséquent de clients THD (même si le câble c’est pas bien), plus de 2 millions d’abonnés.


Le 10/10/2018 à 10h 20







alex.d. a écrit :



Tu n’as même pas pris la peine de remonter à la source, c’est désolant.







Il ne faut pas être désolé pour si peu, d’autant que je me réfère à ce même graphique quand j’écris “C’est pas parce que Netflix écrit “SFR THD” que ça veut dire “fibre+câble”. Je n’ai simplement pas prêté attention à l’iconographie dont vous faites référence.



&nbsp;De toute façon, le jour où le premier FAI du classement Netflix ne sera plus “SFR THD” et le dernier “Free”, on pourra toujours spéculer sur ce qui s’est passé, la face du Monde sera toujours la même.


Le 10/10/2018 à 09h 34







alex.d. a écrit :



&nbsp;



  Non, c'est SFR fibre+câble qui est à part de SFR ADSL. Pourquoi les séparer, et ne pas séparer Orange FTTH de Orange ADSL ? C'est totalement inéquitable.








  Pourquoi le FTTH de SFR serait-il séparé de l'ADSL de SFR : c'est le même réseau !!!       

C'est pas parce que Netflix écrit "SFR THD" que ça veut dire "fibre+câble", les marketeux de Netflix ne vont pas se faire chier à faire des calculs cornéliens pour faire leurs statistiques alors qu'ils ne font pas la distinction pour Orange. Netflix utilise simplement les stats de son propre réseau.

Le 09/10/2018 à 09h 23







Jarodd a écrit :



Titrer une baisse quand on perd 0,02&nbsp;Mb/s… <img data-src=" />





Rhaaa… les titres de presse, toujours à nous vendre du rêve ou du cauchemar ! Et dire que beaucoup d’internautes ne lisent que les titres de presse sur les médias sociaux…


Le 09/10/2018 à 09h 20







Antwan a écrit :



C’est hallucinant qu’on accorde encore du crédit a cet indice qui ne se résoud pas à fusionner SFR et feu miséricable. A quand la séparation de Orange DSL et Orange FTTH pour être équitable?







Il faudrait que Netflix traite le câble comme de la fibre, alors&nbsp; qu’on accuse SFR de faire un amalgame honteux entre câble et fibre ? C’est pourtant une réalité : SFR dispose d’un réseau câblé et d’un réseau télécom.

&nbsp;





Antwan a écrit :





Ca ne vaut même pas un brief, les sites de presse numérique devraient laisser tomber ce classement inutile dans l’oubli.





oui, comme on devrait laisser tomber les communiqués de presse de Free quand une nouvelle destination téléphonique est incluse dans le forfait. Mais les journalistes de Next inpact s’obstinent à relayer des informations…


Le 14/10/2018 à 11h 17







Patch a écrit :





Il faut tenir un raisonnement sacrément tordu pour réussir à me faire dire ca, sans que je ne l’ai ne serait-ce que pensé, sans compter que c’est complètement HS…





C’est mon raisonnement, et je ne vous fais rien dire du tout. C’est bien moi qui extrapole. Merci de me laisser assumer mes propos, ce serait gentil.



&nbsp;



Patch a écrit :






L'entreprise paye la TVA sur tous ses achats (hors exonérés).  Mais elle la déduit toujours de celle qu'il collecte, ce qui fait que ce n'est pas une charge pour elle.      










Oui, et je n'affirme pas le contraire : encore une fois, je suis tout à fait d'accord avec cette affirmation.     





&nbsp;



Patch a écrit :



Le vendeur n’augmente pas son prix, il rajoute la TVA à son prix HT. Nuance.








Le prix de vente TTC (que paie le consommateur) est supérieur au prix de vente HT (que perçoit l'entreprise). C'est ce que je dis, ce qui ne contredit pas votre affirmation. La TVA est un impôt sur la consommation, et un impôt sur la plus-value générée par l'entreprise. Macro-économiquement parlant, c'est la nuance que j'essayais d'apporter à votre analyse très tranchée sur le sujet.

Le 14/10/2018 à 07h 08

Je suis d’accord, je ne dis pas le contraire. En bref, je dis seulement que la TVA est payée sur la base du prix de vente, pas sur la base du coût de revient de la vente.&nbsp; Donc, économiquement, c’est bien la valeur “créée” par l’activité de l’entreprise qui est imposée, donc la TVA est payée par l’entreprise sur la partie “richesse créée” du prix de vente (ce qui n’empêche pas que l’entreprise se rémunère grâce à ses clients et que les consommateurs paient mécaniquement l’addition fiscale de TVA).



La TVA est à la fois une taxe sur la valeur ajoutée (stricto sensu) et une taxe sur la consommation.

&nbsp;

&nbsp;





SebGF a écrit :



L’Etat prélève la richesse générée par l’entreprise via l’impôt quelle paye ensuite.

&nbsp;…





Oui, et le consommateur paie l’impôt sur les revenus + la TVA sur ses dépenses.





Pour finir, si on peut considérer que le consommateur paie la TVA in fine, on peut considérer de la même manière que la TVA facturée grève le chiffre d’affaire de l’entreprise (mais, je le répète, il est évident que la TVA est un impôt qui impacte sans commune mesure les consommateurs par rapport aux entreprises… qui ne paient pas de taxe sur leurs achats productifs de valeur).


Le 13/10/2018 à 19h 59







Radithor a écrit :



… (on n’est pas loin de la théorie marxiste de l’augmentation tendancielle du taux de profit).





baissetendancielle du taux de profit


Le 13/10/2018 à 19h 32

Je dirais que c’est une vision étroitement mathématique du fonctionnement de la TVA. Oui intrinsèquement vous avez raison : l’exonération de TVA des achats d’une entreprise est un fait. Mais le vendeur est bien obligé d’augmenter ses prix de vente pour payer à l’État la TVA collectée. L’État prélève bien une partie de la richesse créée par l’entreprise.



Si les achats d’une entreprise ont la même valeur que ses ventes, il n’y a pas de TVA pour l’entreprise parce qu’il n’y a pas de richesse produite par l’entreprise. Donc il n’y a aucune raison pour que l’entreprise paie de la TVA… même si, finalement, il y a de la TVA payée par le consommateur final.



Votre affirmation tranchée voudrait presque dire que l’entreprise ne devrait pas faire de bénéfices sur le dos de ses clients consommateurs… au prétexte que c’est le consommateur final qui paie, à lui tout seul, la rémunération de toute la chaîne d’entreprises qui ont permis la création du bien final ou du service final acheté par lui (on n’est pas loin de la théorie marxiste de l’augmentation tendancielle du taux de profit).

Le 13/10/2018 à 13h 29







Patch a écrit :



C’est complètement vrai.



  Elles collectent de la TVA pour le compte de l'Etat, et déduisent la TVA déjà payée pour reverser la différence à l'Etat. Résultat des opérations pour elles : nul. Elles ne gagnent rien et ne perdent rien dans l'histoire. Enfin, pas tout à fait : à part dans les rares cas où elles sont en crédit de TVA, ca leur fait une avance de trésorerie. Bien utile pour celles qui en ont une un peu limite sur une courte période.        






  Les rares trucs sur lesquels elles ne peuvent déduire la TVA sont des trucs qu'elles ont elles-même consommées (comme le carburant par ex). Donc, consommateurs finaux.        






  PS : n'essaie pas de m'apprendre le fonctionnement de la TVA. Je suis comptable de formation...











numerid a écrit :



C’est complètement faux ! Quand une entreprise est assujettie à la TVA, et elles ne le sont pas toutes, elle récolte de la TVA sur ses ventes et en paie sur ses achats. Elle reverse à l’État ensuite la différence entre les deux (collectée et déductible). Les entreprises paient donc de la TVA. Si elles n’ont pas à en payer c’est que ça va mal.



  Et elles ne peuvent pas déduire la TVA sur tout.








 Le consommateur paie plein pot la TVA, et les  entreprises paient la TVA sur la plus-value que leur activité   commerciale ou industrielle permet de réaliser. L'un n'empêche pas l'autre.        






 Cela-dit, la TVA est un impôt. Et comme tout impôt, il est théoriquement prélevé dans un revenu pour financer le budget de l'autorité publique. C'est une forme d'injustice, et concernant la TVA, cette injustice touche particulièrement le consommateur qui n'a fait que dépenser son revenu (contrairement à l'entreprise qui a perçu un revenu lui permettant de payer la TVA).

Le 13/10/2018 à 13h 24







Vachalay a écrit :





A mon sens seule la valeur ajoutée (très complexe à définir pour une occasion) devrait être asujettie à la TVA.







La “valeur ajoutée” dans l’expression “Taxe sur la valeur ajoutée”, c’est la richesse créée par l’entreprise, ce n’est pas la valeur ajoutée du produit vendu. Autrement-dit, une entreprise qui vend des produits d’occasion, crée de la valeur pour vivre de son activité et pour faire des bénéfices : c’est ça la valeur ajoutée qui est soumise à TVA.



Si une entreprise ne veut pas payer de TVA, il lui suffit de vendre des produits moins chers que les produits qu’elle a achetés. Mais ça voudrait dire qu’elle devrait s’endetter pour survivre.


Le 12/10/2018 à 21h 13







domFreedom a écrit :



La TVA sur le produit reconditionné, n’aurait-elle pas été déjà payée plein pot par le 1er acquéreur de l’objet ? <img data-src=" />

En somme, plus on recycle, plus on paie de TVA ?

Mais peut-être que recycler ajoute de la valeur à l’objet, auquel cas il faut de droit payer de la TVA… <img data-src=" />





TVA = taxe sur la valeur ajoutée



Un commerçant ne paie que la TVA lui permettant de réaliser une plus-value. Sans plus-value, aucune raison qu’un commerçant vende un produit. CQFD.



Donc, bien sûr que non, la TVA sur le produit reconditionné n’a pas déjà été payée par le 1er acquéreur de l’objet.



Autrement-dit et pour être concret : TVA payée = TVA collectée sur les ventes - TVA déductible sur les achats


Le 12/10/2018 à 21h 09

Désolé d’intervenir dans cette discussion, mais les bras m’en tombe devant tant de dogmatisme.

&nbsp;







tpeg5stan a écrit :



????

&nbsp;…





S’il y a d’autres moyens d’aider les produits conditionnés, pourquoi éviter le débat parlementaire ? Mais votre assertion précédente était sûrement pure spéculation rhétorique (ce qui explique vos points d’interrogation).



&nbsp;



tpeg5stan a écrit :





Je suis tout à fait favorable aux produits reconditionnés, j’en ai d’ailleurs un en main à l’heure où j’écris ces lignes.

Mais le marché a-t-il besoin d’une incitation fiscale alors qu’il est déjà en forte croissance et se porte fort bien ? A-t-on besoin d’une baisse de la TVA quand les produits reconditionnés sont déjà bien moins chers que les neufs ?

J’imagine qu’en plus il faudra remplir des formulaires longs comme un jour sans pain pour en bénéficier, avec des comptes d’apothicaire, etc.

&nbsp;…





Pour le symbole, au moins pour le symbole… qui témoignerait d’un intérêt certain pour la vente de produits reconditionnés. Je pourrais citer nombre de catégories de produits à taux réduit de TVA pour lesquels le symbole est l’unique motivation.&nbsp;

&nbsp;

(je passe le sempiternel préjugé de la formalité administrative pour obtenir un avantage fiscal, tellement utilisé depuis des siècles que je le croyais désuet)

&nbsp;

&nbsp;



tpeg5stan a écrit :





Je ne suis pas xénophobe, j’ai acheté le mien à une boîte allemande.&nbsp;







Mon Dieu, mais que vient faire la xénophobie dans un problème économique et fiscal !!



&nbsp;



tpeg5stan a écrit :





ça a l’air faux.https://defense-du-consommateur.ooreka.fr/astuce/voir/519333/frais-de-douane-en-…





Pour le coup, c’est clair qu’en dehors des frontières de l’Union européenne, il existe fort heureusement des droits de douanes. Cela-dit, il y a peut-être une confusion avec les achats en boutiques chinoises par des consommateurs qui ne déclarent pas (et c’est très mal) leur achat aux douanes françaises.


Le 12/10/2018 à 16h 29

Pas sûr qu’il se vende plus de terminaux reconditionnés que de terminaux neuf.

Le 12/10/2018 à 15h 34

Baisser un taux de TVA en dépit d’une directive européenne n’est pas possible, en revanche ne pas respecter une directive européenne à propos des émissions de NOx en France est possible. Vive la République !

Le 13/10/2018 à 08h 35

La digitalisation nous tuera tous !

Le 12/10/2018 à 19h 42







Bidispot a écrit :





C’est assez particulier comme “business model” non ?





It’s not a bug, it’s a feature


Le 12/10/2018 à 18h 55







OlivierJ a écrit :



Plus rapidement, je ne crois pas. La comparution immédiate c’est dans la journée ou le lendemain (j’ai un doute).






 Oui, la 1ère audience devant un juge a lieu entre 1 jour et 3 jours après l'interpellation du prévenu par la police. Cela-dit, la procédure de comparution immédiate peut durer jusqu'à plusieurs semaines après les faits : il faut compter le délai avant l'arrestation des prévenus, et les différents délais éventuels pour permettre une justice équitable.

Le 11/10/2018 à 19h 06







Paratyphi a écrit :



Malheureusement, on ne peut pas mettre un journaliste derrière chaque info qui sort. Pour le coup je suis d’accord avec toi sur le fait d’éduquer les gens à “prendre tout ce qu’ils lisent sur le net avec des pincettes”. C’est à eux de faire preuve de recul et de vérifier un peu les infos. Surtout quand elles jouent grossièrement sur les sentiments. On peut faire ce qu’on veut, le nœud du problème ce ne sont pas les “fakes news” ou ceux qui les font, mais ceux qui les croient.

&nbsp;…





Il faut dire aussi que pour prendre du recul, il faut du temps et de l’énergie. Or le quidam a forcément autre chose à faire que de vérifier la moindre information qu’il reçoit dans notre monde hyper informé. Même le plus intelligent et le mieux éduqué des êtres humains utilise ses préjugés pour continuer à agir et à vivre. Tout le monde ne peut pas faire la tâche d’un journaliste : multiplier les sources, les recouper, contextualiser une information, etc. Même les journalistes d’actualités n’ont pas toujours le temps de le faire, alors un employé de banque ou un médecin n’en a encore moins l’occasion : ils sont bien obligé de croire ce qu’ils entendent ou lisent. Ou alors devraient-ils s’isoler de tout média d’information, ou contester toutes les informations qu’ils reçoivent (ce que font beaucoup de personnes qui utilisent les réseaux sociaux).


Le 11/10/2018 à 18h 40

En tout cas, la justice fera de son mieux pour séparer le bon grain de l’ivraie. Je suis curieux de savoir ce qu’en pensent les magistrats

Le 11/10/2018 à 18h 28

La France, le seul pays où on censurera des propos litigieux en période électorale plus rapidement qu’un délit jugé en comparution immédiate. Vive la République !

Le 12/10/2018 à 15h 40

Aucun rapport entre le coût d’un accès et la neutralité du net. En revanche, la neutralité du net a un rapport avec les choix d’usages que peut faire l’utilisateur final au bout du réseau.



La Neutralité du net s’impose à un fournisseur d’accès à internet. Elle ne s’impose pas à un fournisseur de services spécialisés.

Le 09/10/2018 à 10h 21







Mearwen a écrit :



Gratuit n’existe pas. Qui te dit que Air France ne fait payer l’inclusion du logiciel dans son pass à FB/WA/…



Fournnir qqch gratuitement ne t’absout pas du respect des règles.





oui, la neutralité du net n’est pas négociable : soit on fournit un accès à internet (“gratuit” ou facturé), soit on fournit un service spécifique inclus dans une prestation quelconque.


Le 09/10/2018 à 10h 13







Paraplegix a écrit :






 Mais la ... On parle quand même d'un service gratuit, fourni par Air France alors qu'il aurait très bien pu laisser uniquement les offres payante. ... Je ne pense pas qu'on puisse invoquer la "neutralité" si un service est gratuit ...








 La neutralité du net est sensée s'appliquer à un FAI quelque soit le modèle économique. exemple : Free Basics de Facebook (un accès gratuit à "internet") ne respecte pas la neutralité du net et a donc été interdit en Inde.      

&nbsp;





Paraplegix a écrit :



… Je ne pense pas qu’on puisse invoquer la “neutralité” si un service est gratuit du moment qu’il n’y ait pas interception/modification du contenu lors de la consultation.






  La neutralité du net est justement faite pour ça : permettre à l'utilisateur de garder le contrôle sur ses usages, et limiter le pouvoir de l'opérateur télécom pour l'astreindre à sa prestation de FAI (et non qu'il devienne un fournisseur de services spécialisés). Si on n'invoque pas la neutralité, ce n'est pas un service de communication électronique neutre (un accès à internet), c'est un service spécialisé conçu pour des usages spécifiques avec un fonctionnement spécifique.

Le 09/10/2018 à 08h 03

Pour le moment et jusqu’à preuve du contraire, SFR est un FAI, donc soumis à la neutralité du net. Si j’ai bien compris, la question se pose au sujet de Air France.

Le 08/10/2018 à 21h 04







recoding a écrit :



Dans le cas d’une délégation de service public on peut forcément poser plus de contraintes.&nbsp;



    &nbsp;          

( Mais encore une fois, je trouve qu'on cherche tout et son contraire, en privatisant les autoroutes et bientôt les aéroports ou les ports, tout en voulant garder un contrôle dessus. )&nbsp;

...&nbsp;





&nbsp;



  Quel contrôle ? L'Etat ne contrôle justement plus rien économiquement. C'est bien ce que vous reprochez au capitalisme actuel, si je ne me trompe pas.         






  Alors pourquoi parler d'un contrôle que l'Etat garderait sur ces entreprises privées ? Vous savez très bien que tout le monde est sensé obéir à la loi. C'est pas parce qu'une entreprise privée distribue de l'eau du robinet ou exploite une autoroute qu'elle fait de l'argent sans tenir compte des règles de la Société (par extension, c'est pas parce qu'il y a des voleurs dans la vie réelle, que le vol devrait être autorisé par l'Etat).

Le 08/10/2018 à 19h 19







SebGF a écrit :



C’est de l’enculage de mouches, mais c’est aussi la remarque que je me suis faite.

Effectivement, à aucun moment Air France ne parle d’accès Internet pour cette offre, donc je suis curieux de voir l’issue de ce recours.



Après, dans les faits, si fournir un accès à Internet et filtrer les services accessibles est condamnable, dans ce cas fermez tous les hotspots gratuits qui interdisent le porno.





Sauf erreur de ma part, le CSA n’oblige pas Air France à diffuser les chaînes de la TNT alors que Air France diffuse des émissions TV. Donc pourquoi l’Arcep définirait-elle Air France Connect comme un accès à internet plutôt que comme une fourniture de services annexes au voyage ?


Le 11/10/2018 à 10h 53







Jarodd a écrit :



Total HS, mais leur logo, ils l’ont trouvé par terre après une petite coupe chez le coiffeur ?









Kazer2.0 a écrit :



Merci pour cette tranche de rire <img data-src=" />



Je pense que ça symbolise des fibres optiques qui se relient.





Je pense que le graphiste qui a dessiné ce logo, a simplement ouvert une armoire de PMZ et a découvert le fouillis de fils optiques rangés comme il ne faudrait pas qu’ils soient.&nbsp;


Le 10/10/2018 à 21h 44







tpeg5stan a écrit :



Les États-Unis n’ont pas de ministère de la culture, leur culture s’exporte pourtant beaucoup…&nbsp;





Aux Etats-unis, la culture dépend de chaque Etat, même s’il existe une agence fédérale des arts (NEA - National Endowment for the Arts) que Barack Obama a renforcé.&nbsp;

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Le 10/10/2018 à 21h 23







Dj a écrit :



Marc comme pour les déplacements payé, dans une interview vous ne pourriez pas indiquer le contexte?&nbsp; relecture par le cabinet,ou pas etc







“10) refuser toute pression et n’accepter de directives rédactionnelles que des responsables de la rédaction”

Charte de Munich&nbsp;&nbspnextinpact.com Next INpact


Le 10/10/2018 à 17h 35

Quand l’Etat a créé les radios libres dans les années 1980, il y a eu des négociations avec&nbsp; quelques groupes privés, l’Etat n’a pas autorisé n’importe qui à émettre sur la bande FM (et ce n’est pas qu’une question de fréquences à répartir, le CSA a aussi un rôle de contrôle d’un cahier des charges dans les contenus des radios).

Le 10/10/2018 à 17h 30

Bien sûr que Netflix et Amazon appliquent la loi française, la chronologie des médias, etc. Quand je parle de rendre des comptes, c’est sur des partenariats, un cahier des charges, des politiques culturelles et médiatiques. Il n’y a qu’à voir comment BFM-RMC a galéré pour faire sa place face à TF1, M6, FranceTV.



L’Etat protège son tissu économique et son influence culturelle.&nbsp;

Le 10/10/2018 à 17h 13

oui, c’est pour ça que j’ai écrit : “En revanche, le distributeur à plusieurs millions d’oeuvres par an intéressera l’Etat car il y aura potentiellement concordance d’intérêts (que ce soit des intérêts financiers, fiscaux ou d’entente sur des opérations de partenariat ou autre).”



Un mastodon des médias aura plus l’occasion et la force d’influencer qu’un individu tout seul. C’est pas parce que un Snowden peut ébranler les USA, que la NSA n’a pas lieu d’être avec sa surveillance massive.

Le 10/10/2018 à 17h 10







fabcool a écrit :






  L'état le fait bien pour France Television via la redevance TV, pourquoi pas un tel système ?        

...








L'Etat finance France TV parce que l'Etat contrôle France TV, avec un cahier des charges, avec des objectifs. L'Etat n'est pas d'accord pour que Netflix ou Amazon (par exemples) produisent du contenu sans rendre de comptes, sans donner de garantie de rémunérations, etc.    





Et pour donner mon opinion : c’est bête, mais la démocratie, le bien-être des individus, internet comme bien commun, etc sont des priorités secondaires. C’est comme l’écologie : l’Etat protège l’écologie à condition que l’écologie garantisse la croissance économique.&nbsp;


Le 10/10/2018 à 16h 54







odoc a écrit :






  Le seul moyen de contre-balancer tout ça serait d'avoir un véritable lobbying dédié aux consommateurs et ayant une certaine légitimité vis à vis des médias et de la société civile et capable de communiquer largement sur la situation actuelle. ...







Un auteur/éditeur/producteur qui vend 1000 oeuvres dans l’année n’intéresse pas l’Etat. En revanche, le distributeur à plusieurs millions d’oeuvres par an intéressera l’Etat car il y aura potentiellement concordance d’intérêts (que ce soit des intérêts financiers, fiscaux ou d’entente sur des opérations de partenariat ou autre). L’Etat s’intéresse aux éditeurs/producteurs qui créent de la valeur ajouté (de la croissance) et produient du contenu utile à la force publique.&nbsp;




 Pour que les consommateurs fassent bouger l'Etat, il faut soit un consommateur qui achète pour plusieurs dizaines de millions d'euros d'oeuvres, soit une mobilisation générale d'au moins plusieurs centaines de milliers de personnes qui ne lâchent rien, qui arrêtent de consommer, voire qui font des sittings quotidiens devant les préfectures et les bâtiments fiscaux. Autant dire que ce genre de chose n'arrive que lorsque le consommateur n'a plus rien à perdre.

Le 10/10/2018 à 15h 59







fabcool a écrit :



Sérieusement MARC c’est d’un lourdingue, toujours les même questions !

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Franchement là il faudrait arrêter on apprends absolument rien, et le pire c’est qu’il y a aucune question sur l’offre légale, on croit rêver !



Il y a un moment le journaliste objectif qui pose des questions toussa j’veux bien mais un moment donné il faudrait expliquer aux politiques le problème de base !



On verra quand les questions Hadopi auront évolués,&nbsp; mon abo Nextinpact va passer en stand-by… &nbsp;





Il me paraît évident qu’il y a un conflit ouvert entre “sociétés de l’internet” (les géants du web pour faire simple) et les diffuseurs d’offre légale français qui ne diffusent pas sur le web. C’est le même problème avec la musique : depuis que les 4 grands distributeurs de musique sont partie prenante de Spotify ou Deezer, le climat est apaisé. Quand les acteurs français auront un pied ferme dans la SmartTV, la Hadopi aura son offre légale.&nbsp;



Autrement-dit, l’offre légale disruptive à la française n’existera jamais, c’est pas le but recherché par l’Etat français. Le but est le contrôle du marché et le partage de la valeur.


Le 10/10/2018 à 15h 46

Merci à Next inpact et à Aurore Bergé pour cet entretien. Une seule chose me dérange dans ces questions-réponses : on a l’impression que internet = réseau de diffusion de contenus

&nbsp;

Non, l’Arcep ne régule pas des diffuseurs de contenus (ou pas seulement). Dans l’acronyme Arcep, il y a “communications électroniques” et “postes”. Quant au CSA et à la Hadopi, l’un régule des capacités hertziennes et des cahiers des charges de chaînes TV, et l’autre régule la diffusion des oeuvres sur internet et assure la rémunération des éditeurs/producteurs/syndicats pro. (qui financent les auteurs et interprètes).

Le 10/10/2018 à 12h 38







BTCKnight a écrit :



Heureusement qu’Altice devait vendre de nombreux actifs pour diminuer sa dette de presque 50 milliards d’euros… <img data-src=" />





Quand on pense que l’Etat veut fusionner les rédactions locales de France Bleu et de France3 pour faire des économies, on peut se demander comment BFM-RMC trouve de la rentabilité à acheter des radios locales&nbsp; (même si on a des indices). On attend la réaction de NRJ Group.


Le 10/10/2018 à 11h 08

OMG Google menace de rompre l’équilibre de l’écosystème !! C’est la même technique les banques : “je suis suffisamment hégémonique pour vous mettre la misère, alors faites gaffe!”



Ce serait drôle si les institutions européennes n’étaient pas aussi impuissantes. Google pourrait dire : “je suis perché, c’est toi le chat!” que la procédure pourrait durer encore 5 ans de plus.

Le 09/10/2018 à 07h 09

.. ou une offre au débits différenciés ou par quotas de données… comme les FAI en somme. Des quantités de données à la carte, plutôt que des services à la carte, c’est toujours possible (tout dépend de la stratégie commerciale de Air France).