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levieuxtoby

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376 commentaires

Le 28/09/2016 à 07h 57

Eh, calmos hein. J’ai à peu près rien contre le Linky, mais si tu peux faire un profil des habitudes de consommation d’un foyer, ça intéresse du monde et pas que des criminels…

Le 27/09/2016 à 15h 55

Au hasard : un profilage complet des habitudes de consommation de chaque foyer… Sur le même principe que les cartes de fidélité des grandes surfaces, ça te fait des profils de consommateurs sans avoir besoin de réaliser des études longues, coûteuses et avec toujours un spectre de représentativité partielle qui traîne.

Quand aux utilisations plus malveillantes, ta consommation électrique va donner énormément d’informations pour qui voudrait s’introduire chez toi.

Est-ce que tout ça est faisable avec le Linky, j’en sais rien, mais dire que ça n’aurait pas d’intérêt pour quiconque de savoir ça…

Le 22/09/2016 à 15h 15







spamator a écrit :



Jai pas saisi la mention aux robins des toits,  pour le sondes ca semble etre en bonne voie non ?







C’est un des gros acteurs anti-Link.







spamator a écrit :



Concernant l’identification c’est possible grâce aux schémas électriques des appareils. Selon que c’est une lampe, un frigo, une TV, tout ca se voit en lisant les impulsions électriques. C’est fou non ? ;)







Ca me surprend pas, j’émettais des doutes sur le fait que tu puisses reconnaître (et distinguer) ces impulsions avec la distance, le bruit, etc.


Le 22/09/2016 à 14h 53

C’est déjà résolu pour les ondes… Ca génère des niveaux d’émission comparables (voire inférieures) à ceux que produit un signal ADSL dans un câble… J’attends toujours que les Robins des toits viennent nous dire d’arracher les câbles…

Ensuite, d’accord avec le fait que le point le plus épineux (et qui est à mon sens trop mis de côté par rapport à un risque sur la santé publique inexistant) se situe sur la vie privée. En revanche, l’identification de ton matériel via la seule évolution de la consommation, c’est loin d’être opérationnel, même si faisable en théorie.

Le 27/09/2016 à 16h 10







Okki a écrit :



Il faut plutôt voir ça comme une possibilité supplémentaire, pratique pour les éditeurs d’applications propriétaires qui ne feront de toute façon pas parti des dépôts. Ça peut également servir pour proposer des bêtas et autres versions de développement, installables en parallèle des versions stables et sans incidence sur le système. De pouvoir plus facilement tester des versions de développement facilitera la découverte et la correction de bugs. Dernier cas de figure, pouvoir proposer des versions stables utilisables sur des distributions qui ont un cycle long (Debian, Ubuntu LTS…). L’utilisateur ne cherchera sans doute pas à mettre à jour toutes ces applications (sinon, autant changer de distribution). Mais pour quelques rares cas particuliers, ça peut être intéressant.





Ca fait beaucoup penser au principe du .app sur Mac OS, je sais pas à quel point c’est différent techniquement.


Le 27/09/2016 à 10h 01



en volant les artistes et leurs maisons de disque





Voler les artistes ? Ah ? Si je télécharge un flac de Daft Punk sur Soulseek, j’ai volé les Daft Punk ? Je les ai dépossédés de la propriété de leur oeuvre ? Je ne crois pas non.



C’est incroyable de mauvaise foi de la part des ayants-droits de dire que l’offre légale de streaming est bonne, tout en faisant culpabiliser sur la base du fait que le téléchargement nuirait aux artistes, quand on voit comment le streaming est une des sources les moins rémunératrices (et de très loin) pour les artistes.

Le 21/09/2016 à 08h 06







Konrad a écrit :



Pourquoi vouloir supprimer cette diversité, imposer une seule base unique, et obliger les gens à se galérer par la suite ?







Je disais pas ça pour supprimer une diversité ou quoi, juste par curiosité.


Le 21/09/2016 à 07h 36

[HS]

Alors que toi, remettre de l’huile sur le feu, c’est un modèle d’intervention constructive…

[/HS]

Le 20/09/2016 à 20h 24







sr17 a écrit :



Mais le monde commercial a décidé d’accentuer la spécialisation vers le grand public avec les tablettes et smartphones. Le clivage devient inévitable…







M’en parle pas, Mac OS est mon OS principal (professionnellement comme perso), quand je vois la négligence du desktop chez Apple (alors que c’était une de ses forces avant)…


Le 20/09/2016 à 17h 02

Merci pour ta réponse.









sr17 a écrit :



On pourrait citer le cas d’Android même si ce n’est pas une distribution Linux au sens habituel.



C’est basé sur un noyau Linux et les power users sont complètement oubliés.







Ok avec ça (même si c’est probablement l’OS pour téléphones mobiles le plus power user), mais c’est un peu étirer le concept de distrib linux dans le cadre de cette discussion.


Le 20/09/2016 à 17h 00

Merci pour cette réponse.

Et est-ce que parmi les besoins ‘power user’ que tu cites, y’en a qui ne correspondent pas à une activité professionnelle ou semi-professionnelle ?

Le sens de la remarque c’est de dire que y’a une part de faux procès qu’on voit souvent (et j’inclue pas les linuxiens de cette conversation dedans) qui serait qu’on abandonnerait ces power users quand on s’ouvrirait au grand public, alors que pour moi, d’une part s’adapter en priorité à des besoins très pointus j’ai du mal à comprendre, et d’autre part cette possibilité d’ajustement très précis ne disparait pas (cf. remarque de sr17).

Le 20/09/2016 à 16h 34

À ceux qui ont testé plus de distribs que moi, y’a pas un genre de logique du qui peut le plus peut le moins sur linux ?

Est-ce que vous avez des exemples concrets de distribs qui pourraient convenir à un grand public mais sur lesquels le power user ne pourrait absolument rien faire ?

Le 20/09/2016 à 07h 45

Je suis parfaitement au courant de ça, pour utiliser du linux au quotidien. Je partage le diagnostic pour M. et Mme Tout-le-monde, en revanche je pense que le hic vient de situations professionnelles, où des suites comme MS Office sont le “standard” de fait, et même si des administrations ont prouvé qu’il était possible de se servir au quotidien d’alternatives libres (ou pour le moins gratuites), des décennies de partenariat dès l’école (cf. actualité récente) et aussi dans les études supérieures font qu’il est très dur de convaincre du changement.

Pour autant, la relative maturité (et, finalement, l’acceptation d’orientation grand public pour certaines distribs) actuelle me font plutôt dire qu’il y a peu de raisons objectives pour que linux ne soit pas plus populaire.

Du coup la raison est ailleurs, et j’ai envie de dire que quand on voit le succès d’Android, on peut pas s’empêcher de penser que bon, les libristes ne jouent pas à armes égales d’un point de vue financier, et que ben, voilà tout est là.

Le 19/09/2016 à 15h 00







Konrad a écrit :



Non, ce qui empêche Linux de s’imposer sur le desktop, c’est une grosse entreprise qui vende des PC dans les magasins et en fasse la promo. Si on voyait des PC avec un Linux pré-installé dans les magasins (Darty, Carrefour, FNAC, Auchan…), Linux percerait sur le desktop. Ce n’est pas le cas (pour tout un tas de raisons).





Sans remettre en cause cette raison, il me semble que l’écosystème d’applications joue aussi beaucoup non ? Il y a un effet d’entraînement qui aurait lieu s’il y avait moins de vente liée, mais pas que.


Le 19/09/2016 à 13h 06

Ca me fait un peu penser à ça



https://xkcd.com/927/

Le 16/09/2016 à 14h 29

On pourrait aussi rebondir sur le fait que ces gros médias sociaux se cachent derrière leur statut de fournisseur de contenu , alors qu’en fait, ils agissent comme des éditeurs : par exemple lorsqu’ils censurent tels ou tels publications (L’Origine du monde, les tweets supprimés pendant les JO), alors ils abandonnent de fait leur statut de simple hébergeur (et seraient en théorie condamnables pour les propos tenus sur leurs plateformes). Je sais plus qui de Benjamin Bayart ou Laurent Chemla faisait cette analyse sur l’hypocrisie de ces entreprises.

Le 16/09/2016 à 08h 38

Je sais pas ce que tu baves, mais ça m’est égal en fait. J’ai déjà donné, et tu es tout bonnement incapable d’avoir une discussion. Une discussion ça suppose de faire un pas vers un terrain commun, de faire preuve d’un minimum d’empathie, d’abandonner un tant soit peu ses propres prémisses pour essayer de comprendre le point de vue de l’autre, chose qu’il t’est impossible de faire, tout drapé dans la vertu et la supériorité morale que tu penses être. Je parle pas d’avoir raison ou pas, de convaincre ou pas, des avis tout le monde en a… Sans nul doute tu trouveras un moyen de tourner ça à ton prétendu avantage : grand bien t’en fasse.

Dans tous les cas, rien qu’un bon plonk ne résolve.

Le 15/09/2016 à 16h 45

J’avais dé-filtré pour suivre la “conversation”, grosse erreur, je re-filtre.

Le 15/09/2016 à 12h 31

La “main invisible du marché”, on parle de la même main qui disait en 2007 avec une assurance folle que le système était résilient et qu’il allait absorber les crises en un tournemain sans aucun effet sur les populations ou les économies ? <img data-src=" />

Le 15/09/2016 à 08h 01







sr17 a écrit :



La question que je me suis toujours posée, c’est de savoir si en réalité les capitalistes veulent vraiment du libéralisme.

Pour un capitaliste, l’optimum économique ça peut parfaitement être un bon gros pays socialiste avec un état mamouth qui pousse les travailleurs dans les usines à coup de baillonnettes pour un salaire de misère, une couchette et un bol de riz.





Il me semble que c’est Chomsky (mais rien de sûr) qui faisait une analyse similaire, à savoir que, économiquement, les dictatures soviétiques étaient plus proches du capitalisme d’état que d’une réelle application d’économie collective. Mais d’ailleurs, si on analyse bon nombre de découvertes majeures (par exemple Internet, une révolution comparable à celle de l’imprimerie), c’est pas la “saine émulation du marché” qui en est responsable, c’est la recherche sur fonds publics…







sr17 a écrit :



Quand à ton économie économie naturelle, si elle pouvait exister, je suis persuadé que les capitalistes seraient bien les premiers à tout faire pour la détruire.





Ah ça c’est un grand délire de tmtisfree (mais il est pas le seul), l’économie serait quelque chose de naturelle (sous-entendu, il n’y a pas grand chose à faire contre elle). Un des plus grands travestissements idéologiques de notre temps ça (et puis ça permet de traiter n’importe quel hétérodoxe d’irresponsable ou d’utopique, pratique).


Le 14/09/2016 à 15h 15

Laisse tomber ton (petit) cerveau de proto-marxiste ne peut pas accéder au stade de conscience supérieure qui l’habite lui…

Le 14/09/2016 à 11h 14

+1

Le 14/09/2016 à 08h 14

Ce que je voulais dire c’est que la part qui sert actuellement aux salaires continue d’être prélevée mais est redistribuée par une caisse, au temps pour moi.

Le 14/09/2016 à 08h 01

La mise en place est assez simple, tous les versements de salaires sont redirigés vers une caisse qui redistribue (les grandes lignes c’est ça).

La vraie raison pour laquelle ça ne verra probablement pas le jour c’est que sa proposition abolit le rapport de force (en défaveur de l’employé) que constitue le salariat. C’est pas juste un artifice économique comme le revenu de base, c’est un changement complet de paradigme de société.

Le 14/09/2016 à 07h 58

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Quelle subordination du social à l’économie. Tu cites l’Allemagne, la comparaison est biaisée, il y a certes plus d’emploi, mais moins bien payé et avec beaucoup plus de temps très partiel.

Après quand on a des oeillères…

Le 14/09/2016 à 07h 53

Quand on parle revenu de base, je peux pas m’empêcher de citer cette synthèse d’une proposition beaucoup plus puissante qu’un simple revenu de base :



youtube.com YouTube

Le 12/09/2016 à 17h 41







lanoux a écrit :



c’est ça raccroche toi aux branches…..auto entreprenneur fonctionnaire peut etre??? ils ont des foodtruck pour bénéficier de l’auto entrepreneuriat en tan que “fonctionnaire”? tu parles par exemple de juppé qui était fonctionnaire pour bercy et bénéficit de la grosse retraite allant avec? parce que la je parlais de nos politiques de tout bords, et pas des fonctionnaires dont beaucoup de nos dirigeant font parti….bun vi ena, détachement retraite tres gros salaires nos impots, comme d’habe….et de droite comme de gauche!





Tout doux Bijou, je pointais juste du doigt que les ministres sont des hauts fonctionnaires, et que tout disproportionnés que les salaires ou pensions et autres (je saurais pas dire, je suis pas compétent pour juger de ca), c’est pas ca qui créera la ruine du pays.


Le 12/09/2016 à 16h 03

De là à dire que cette construction était délibérée…

Le 12/09/2016 à 15h 10

Je sais pas, nos ministres ils sont pas auto-entrepreneurs, si ?

Le 12/09/2016 à 14h 16

Ah ah, comme si c’était les salaires des fonctionnaires qui ruinaient le pays…

Le 12/09/2016 à 08h 43

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Le 23/08/2016 à 15h 53

Le niveau de démagogie anti-fiscalité atteint des sommets ici…

Le 12/08/2016 à 19h 22

Ça fait très Kaamelott : on passe pour des débiles, ils se marrent, et on les marrave.

Le 12/08/2016 à 08h 47

La vache c’est sidérant de bêtise.

Le 12/08/2016 à 11h 33







RRMX a écrit :



Ah oui un ancien ministre d’un pays musulman.

[…]

En conséquence, tu débats avec des opinions empruntées à d’autres.







Au moins je fais pas étalage de ma propre ignorance. Le Liban est un pays multi-confessionnel. Ça n’est pas un « pays musulman ». Au reste, je ne connais pas la confession de George Corm et j’ai envie de dire que ça n’est pas pertinent.

Ensuite l’objectivité c’est une chimère, et si tu avais approfondis un peu son analyse, tu verrais qu’elle ne néglige pas l’aspect religieux, elle le replace simplement dans un contexte géo-politique occulté à dessein pour esquisser en creux une unique et biaisée prétendue confrontation de « civilisations ». Et je passe sur ton « argument » fallacieux de déshonneur par association, ça ne vaut même pas la peine d’y passer du temps.



J’ai pas la prétention d’y connaître plus que ce que je sais, je me renseigne donc auprès de gens dont c’est la spécialité. Si je veux une opinion contradictoire à la sienne, je n’ai pas besoin de me forcer, c’est la même antienne relayé à qui-mieux-mieux comme quoi il y aurait une « guerre de civilisation ». Se limiter à ça, c’est se condamner à manquer la partie immergée de l’iceberg.



Tu veux mon avis ? Je pense que, de tous temps, les croyances ont été instrumentalisées à des fins politiques. Alors oui ça me semble utile de distinguer la religion en tant que dogmes et croyances et son utilisation politique. Faire l’amalgame des deux c’est soit un manque cruel de discernement, soit de la mauvaise foi.

Je pense en outre que disserter de conflits à la seule aune d’une appréhension grossière d’une religion considérée comme homogène alors qu’elle est fortement hétérogène (et que les différents courants les plus extrêmes servent des intérêts qui sont… politiques, tel le wahabisme saoudien) c’est une faute intellectuelle.

Et, dans le même esprit, se baser sur des écrits qui sont datés (tels le Coran ou la Bible) c’est aussi une erreur. L’Histoire ne manquent pas d’exemples de conceptions de l’Islam qui sont progressistes. On ne choisit de retenir que les conceptions détournées à des fins politiques, pourquoi ?

J’ajoute enfin, et je me répète, que s’ils s’agissait de religion et seulement de religion, pourquoi la majorité des victimes de Daesh serait de confession musulmane ?


Le 12/08/2016 à 09h 13







RRMX a écrit :



Ce journaliste du monde diplomatique a-t-il fait ce travail absolument essentiel ?



J’ai du mal à le croire.







Ce « journaliste » du monde diplomatique c’est un ancien ministre libanais. C’est pas nécessairement un gage d’autorité, d’autant que c’est pas sa qualification de ministre qui le rend compétent, mais c’est un spécialiste des questions religieuses dans cette région du monde d’où il vient (et qui est plutôt multi-culturelle et multi-confessionnelle). C’est – entre autres – le sujet de sa thèse de doctorat et de nombreuses publications de sa part. Donc avant de disqualifier des sources parce que ça va à l’encontre de tes présupposés, renseigne toi. Oui il a fait ce travail. Oui il parle en connaissance de cause. Je crois qu’il a aussi fait le travail de lire la Bible et n’analyse pas le génocide de populations natives en Amérique via le prisme de la religion chrétienne pour autant (comparaison n’est pas raison, ça vaut ce que ça vaut).



Ensuite, non ne déforme pas ce que j’ai dit. Le cas des gugusses d’extrême droite, c’est un simple contre-exemple, et pas une volonté de négliger le poids de Daesh ces dernières années (mais c’est toujours mieux de prendre un raccourci que de chercher à comprendre ce que l’autre dit) ou même une tentative d’opposer deux prétendus camps, ou encore une délirante et prétendue « réaction programmée » de ma part (sans quoi je sourcerais pas).



Si pour toi la religion musulmane est le principal critère d’analyse, grand bien te fasse. La France n’est pas la cible d’attaques sans raisons. Je ferais pas le jeu de savoir « qui a commencé » (c’est pas une cour de récré dont on parle), ignorer ça en invoquant le prisme de la religion musulmane, c’est se mettre soi-même des œillères.



J’ajoute enfin, que le fait que la majorité des victimes de Daesh soient de confession musulmane devrait suffire à invalider « l’argument » religieux : c’est pas le fond du problème, malgré l’instrumentalisation de part et d’autre qui en est faite.


Le 12/08/2016 à 08h 42







RRMX a écrit :



C’est vrai. Mais ces individualistes dérangés sont toujours musulmans. Y’a peut être un indice ?





Ce raccourci ici. C’est dredi mais quand même. En termes de terrorisme, on parle des Corses ou bien ? On parle des mecs de droite extrême qui ont été arrêtés pour tentatives de terrorisme dans une mosquée ? On parle du fait que l’écrasante majorité des victimes de Daesh sont musulmanes ?

Faut arrêter avec le prisme de lecture des conflits via la religion ou les « civilisations ». C’est presque toujours un vernis sur des motivations géopolitiques. Cf.http://cpc.cx/gMz ouhttp://cpc.cx/gMA .


Le 12/08/2016 à 08h 32







Anikam a écrit :



On ne peut pas à la fois être un pays soutenant ses entreprises/industries/technologies/initiatives, et un pays tellement gouverné et administré par les Cons qu’à ce stade c’en est devenu un art.





Administré par des cons, je trancherais pas, mais ne pas soutenir ses entreprises, pardon mais c’est faux. On soutient très bien le CAC40, un peu moins les PME, mais ça empêche pas de filer des milliards pour un résultat nul en termes d’emplois (mais bon, soutenir que la politique de l’offre est une aberration vaut d’être taxé d’irréaliste…). En revanche en termes de technos et d’initiatives… Vu la constance qu’ont les gouvernements successifs depuis une 20aine d’années à saboter la recherche française (façon pirates dans Astérix), le soutien est pire qu’inexistant : il est négatif. Et ça va faire mal à un moment où à un autre.







trshbn a écrit :



j’imagine que tu as suivi les conseils des autres et que tu es allé vérifier par toi-même…





Ah non, c’est pas à lui d’aller apporter les preuves de ce que les autres avancent !

Mais c’est vrai que, au lieu d’apposer de la morgue déplacée (Wikipédia a des torts, mais celui de pas sourcer faut vraiment pas avoir contribué une seule fois pour penser que ça en fait partie), la consultation de l’article aurait donné la même source que la tienne.


Le 27/07/2016 à 17h 12

C’est mécanique, tu n’as plus à convaincre tout le monde, juste à motiver tes propres troupes… Et surtout, ne pas trop insister sur la représentativité des résultats. L’important c’est de faire du score… en pourcentage de votes « exprimés ».

Ma position sur l’abstention c’est à peu près la même que celle de George Carlin :)

Le 27/07/2016 à 09h 57

Tu veux dire si tu t’abstiens, le mal gagne ? Parce que si tu vas voter alors, là, non ça va ?

Le 27/07/2016 à 09h 43

Si ça fait comme les autres fois, ça sera rétoqué. Espérons en tous cas.

Le 25/07/2016 à 07h 56

Ben qualifier l’Union européenne de république, c’est – toutes considérations idéologiques mises de côté – pas possible. Cela étant, à une époque où on parle de démocratie sociale ou de démocratie participative comme on parlerait d’eau mouillée ou d’eau humide, c’est pas anodin de re-préciser le sens des mots.

Je pense qu’on peut aller plus loin, il n’y a pas qu’une responsabilité individuelle (qui est bien réelle, tous les politiques n’ont pas la même déontologie) : il y a des dérives structurelles sur lesquelles on peut opérer, à la condition d’avoir la volonté politique de le faire (et là-dessus, y’a du boulot…). Ne serait-ce qu’au niveau du système électoral : on remet quand sur la tables les « hypothèses de travail » de nos démocraties ? On discute quand de la faible représentativité du parlement (le système électoral de l’Assemblée nationale étant fait à dessein pour favoriser les gros partis) ? On discute quand de l’absence de prise en compte du vote blanc (et de l’absence de règles de validité d’une élection en fonction du vote blanc) ? On discute quand de systèmes de votes alternatifs plus fidèles à l’avis de la population (qui sont pourtant pas jeunes, le système Condorcet par exemple c’est contemporain de la Révolution) ?

Pour revenir sur l’UE, le fait que des règles économiques soient inscrites dans les traités constitutionnels (pour lesquels on a bien vu le peu de cas que faisait la sphère politique européenne de l’avis de la population), et donc soustraits à un contrôle démocratique relève assez peu d’actes individuels égoïstes. C’est une construction volontaire du système européen.

À un moment, les mêmes causes entraîneront les mêmes conséquences donc soit on s’en remet à la bonne volonté individuelle (et l’histoire montre que bon, ça marche moyen), soit on change les règles du jeu pour forcer les acteurs politiques à faire leur taf comme il faudrait, on met des garde-fous.

Le 22/07/2016 à 20h 49

En même temps, si le mec prend la mouche pour des commentaires…

Le 22/07/2016 à 20h 07

Mouais. Ceux qui peuvent utiliser ces moyens là ne sont la plupart du temps pas élus.

Le 22/07/2016 à 14h 35

C’est clair… Quand la Chine et l’Inde seront au max, on verra qui retournera sa veste, hurlera à la régulation et au protectionnisme.

Le 22/07/2016 à 14h 24

Tu as un peu résumé. L’optique est similaire à celle du Royaume-Uni : seule la performance économique compte (et on pourrait discuter de la performance économique réelle, surtout dans un contexte post-crise de 2008), et surtout on se torche avec les inégalités que l’on créé. L’aspect social est une impensée la plupart du temps, un frein à l’activité économique (présentée comme naturelle) quand il est évoqué.

Le 22/07/2016 à 14h 19

Oh bah alors, on se la joue NXI tu l’aimes ou tu le quittes ?

Ce qui est surtout navrant c’est que tu trouves que faire de la veille législative sur des lois sécuritaires (et leur fréquence qui augmente et la surenchère qui leur sert de base) soit du troll…

Le 22/07/2016 à 13h 53

Moi perso (et entre autres) je lui reproche non pas sa volonté originelle, mais son fonctionnement effectif et ses visées actuelles. Soit l’application unilatérale et soustraite au contrôle démocratique de règles économiques ordolibérales qui ont peut-être marché pour certains pays (au premier chef desquels l’Allemagne, et on peut discuter du bilan du modèle allemand mais c’est pas le sujet) mais qui ne garantissent pas que leur application systématique serait souhaitable ailleurs ; un entêtement idéologique sans bornes (cf. l’épisode grec où même Washington a essayé de siffler - en vain - la fin de la récré) malgré une efficacité discutable.

C’est pas tant qu’elle impose des limites, ou qu’elle créerait un flux de réfugiés ou autres.

Le 22/07/2016 à 13h 43

Et aussi un chômage structurel de masse comme aujourd’hui créé un rapport de force en défaveur du salarié : « Vous voulez pas de ce travail à mes conditions ? Pas grave, y’en a 10 autres derrière la porte ». Ça va au-delà du simple salaire mensuel, y’a tous les salaires différés (sécurité sociale, retraite) et les conditions de travail.

Mais rassurons-nous. La loi “travail” s’inscrit dans la continuité du Front populaire (!), elle offre plus démocratie dans l’entreprise (!), le 49.3 n’est pas un passage en force (!), la guerre c’est la paix, la liberté c’est l’esclavage, l’ignorance, c’est la force…

Le 22/07/2016 à 13h 37







dematbreizh a écrit :



une sortie de l’Europe







Question sérieuse : tu penses sincèrement que l’Union européenne améliore la conduite des démocraties ? Qu’elle engendre la coopération entre les peuples ?