Les protections n’ont pas à se greffer au coeur d’un système d’exploitation. Parce que c’est une solution malpropre qui peut toujours engendrer des problèmes…
Mais il serait appréciable que les éditeurs de ces jeux n’en profitent pas pour essayer de nous les faire payer une nouvelle fois. Ce serait un bien mauvais signal envoyé à ceux qui ont eu l’honnêteté de payer ces jeux.
Bien sûr, certains diront qu’en cherchant un peu, on peut trouver des “cracks”, mais ce n’est pas une solution acceptable car ils peuvent contenir des virus et autres malwares et ne sont pas légaux dans tous les pays.
Et de toute manière, on n’achète pas un jeu officiel pour en être réduit à cela.
Je pense qu’il faut que les internautes et la presse se mobilisent pour que les éditeurs fournissent des patchs officiels.
“Windows XYZ fait fuir pas mal de gens, la tendance va s’inverser gna gna gna”
J’utilise Linux professionnelement et là où le consensus pro se fait autour de RedHat/Debian et maintenant Ubuntu Server, ce qui facilite les choses, pour le grand public c’est un gros merdier de distribs dans tous les sens. Tant qu’il n’y aura pas un consensus général autour de 2-3 distribs avec le full support qui va avec ça ne changera jamais. Ubuntu allait dans ce sens mais les changements de stratégie au niveau technologique tous les 4 matins ont des effets négatifs sur la fédération d’une communauté autour de la distrib.
Le côté tout gratuit et open source à des limites et je le vois tous les jours. Dans le milieu pro, un ingénieur linux va couter plus cher qu’un ingénieur Windows. Résultat ? Ce que j’économise en licence d’un côté, je le paie en ressource humaine de l’autre.
Même à coût équivalent, en milieu pro, je choisit le libre sans hésiter.
D’abord parce que c’est plus souple : Avec les sources, on ne dépends de personne pour adapter un logiciel à ses besoins ou faire corriger un bug.
Ensuite, parce que l’aspect communautaire est plus développé. Plus facile de trouver des solutions.
Et pour finir, je dirais qu’il faut faire attention aussi aux coûts cachés du logiciel propriétaire.
Par exemple, une société commande un travail de développement à une SS2I autour d’un soft propriétaire. Et bien dans le prix de la prestation tu payera l’achat de x licences du soft propriétaire pour que les développeurs puissent travailler.
Donc pour le grand public, c’est pas gagné et toujours pas… Mature. Ce n’est pas qu’une histoire de technologie mais de visibilité: A-t-on vu des pubs sur Ubuntu dans les médias? Non. Par contre “le beau frère bricolo un peu fantasque m’en a parlé”.
Je caricature un peu mais les chiffres sont là…
Le grand public est un marché qui a énormément d’inertie. Dit autrement, il bouge, mais c’est très long.
Ceux qui se souviennent de l’époque ou le grand public ne voulait pas de véhicules diesel comprendront mes paroles.
Aujourd’hui, essayez toujours de leur faire lâcher leur Poêle à Mazout rien que pour voir…
Le
22/09/2015 à
16h
00
vloz a écrit :
Je ne crois pas… Si on avait à mettre un indice des besoins en rentabilité des projets ça serait dans cette ordre:
Steam
HL3
–
–
–
…
–
–
–
SteamOs
Si HL3 devient une exclu linux:
-Perte enorme des ventes (plus de 90% facile)
-Perte de crédibilité du public (“Linux c’est satan! Ils ont volé hl3! Surtout que source 2 est portable!”)
=> Echec total de leur objectif, càd promouvoir Steam.
Valve essaye d’assurer ses arrieres avec SteamOS, mais ils ont encore une place tres largement confortable sur windows, et rien ne garantie qu’en mettant leur jeux exclusivement sur linux le taux de joueurs linuxiens progresseraient si fortement…
Autant etre sage, et jouer la carte du multiplateforme…
Ils perdraient certainement des ventes, mais feront progresser les parts de Steam Os. Cela s’appelle un investissement.
D’ailleurs, l’exclusivité peut n’être que temporaire. Ce qui combine les avantages sans faire perdre de ventes.
Ils peuvent aussi acheter des exclus temporaires sur d’autres titres ou faire des rabais spécifiques, mais cela coûte aussi de l’argent…
Pas de secret, quand on veut créer un marché, il faut investir d’une façon ou d’une autre.
Les autres acteurs du marché console le font bien…
Le
21/09/2015 à
23h
41
[_Driltan_ a écrit :
]Je pense que Valve peut facilement faire pencher la balance pour attirer la foule.
Half Life 3 - Only available on SteamOS & Linux !
A terme, il y a toutes les chances que cela arrive.
Steam veut certainement se positionner comme un protagoniste du marché console à part entière.
Je pense que’il est plus que probable qu’ils useront des mêmes techniques que les autres.
Bon, après faudrait trouver un intérêt à SteamOS et à Linux par rapport à Windows pour que les “gamers” restent dessus et là…je vois pas.
" />
Si les gammers se préoccupaient vraiment de l’intéret d’un Os, ils n’achèteraient jamais de consoles… et ils seraient déjà sur Linux depuis longtemps " />
Le
21/09/2015 à
23h
32
23 % du catalogue pour 0,9 % des joueurs
Le pourcentage, ils s’en moquent pour l’instant.
Ce qu’ils veulent, c’est développer le marché. Et ils s’attendent à ce que cela prenne un peu de temps.
D’ailleurs, ils ne le font pas pour rien,
Steam était un précurseur. Et Microsoft fut long à s’y mettre…
Mais le bon temps est désormais fini. Et tous les jeux de Steam se retrouveront fatalement dans les stores intégrés aux OS.
Entre ça et les consoles, il est facile de comprendre que s’ils ne créent pas un nouveau marché maintenant, leur avenir est sombre.
Je viens de penser à un truc qui me permettrais de mieux comprendre ton point de vue.
Pour toi, si quelqu’un à fait (par exemple) une page excel complétement automatisé. Du genre, tu met des datas et le tous est traité tous seul (avec des éléments de logique et tous), est ce que pour toi cette personne a fait du code ?
Le tableur est une forme très simplifiée de programmation. C’est un outil très utile, mais il a des limites.
La vraie programmation, celle qui implique une forme de langage est beaucoup plus puissante. Elle peut également être utilisée avec un tableur, le rendant encore plus puissant.
D’un autre côté, en tant qu’informaticien, j’aurais tendance à dire qu’il faut justement apprendre la programmation pour aller au delà du tableur et de la suite bureautique. Parce qu’a pousser trop loin l’usage du tableur, on obtient des résultat malpropres.
L’exemple, c’est la feuille de calcul utilisée pour traiter des fichiers de base de données : Mieux vaut utiliser des outils plus appropriés. Le plus propre et professionnel étant d’utiliser un langage de programmation et un moteur de base de données.
Bien sûr, il y a des exemples qui conviennent très bien au tableur, voir au tableur avec un peu de programmation. Le tout est d’utiliser le bon outil pour le bon usage.
Le
21/09/2015 à
19h
22
achernar a écrit :
J’ai parlé de savoir que sa peut être automatisé, pas d’automatiser, cette nuance fait toute la différence.
En pratique, ceux qui n’ont pas appris à automatiser n’ont pas le réflexe de penser “automatisation”.
Ils n’ont pas les réflexes, ils n’ont pas compris la philosophie ni même l’intérêt.
Bien au contraire, les algo sont utilisés dans la vie de tous les jours et sont très loin d’être limités à l’informatique, ainsi si tu apprend de l’algo tu peut optimiser ta vie de tous les jours.
Raison de plus d’apprendre à programmer vu tout ce qu’on peut faire avec les algo et un ordinateur.
Franchement, quel intérêt de se passer d’un truc aussi puissant et simple à apprendre que la programmation ?
Encore une fois, c’est pas un utilisateur lambda à formé au dev qui pourra automatiser un truc, l’automatisation c’est un métier. N’importe qui peut savoir que tu peut automatiser une tache, seule une poigné savent comment le faire.
Justement non, ce n’est pas si compliqué.
Sans pour autant devenir un programmeur, un peu de programmation, ça n’est pas dur à apprendre et ça peut apporter beaucoup.
Après tu veux que tous un chacun essai d’automatiser les taches qui le concerne alors qu’il aura seulement des connaissance, le résultats sera bien pire que le point initial.
Le programmeur professionnel n’est pas toujours l’idéal non plus.
Certes, il sait beaucoup mieux programmer.
Mais il ne connait pas le métier de son client aussi bien que lui.
Et puis même quand on est un pro, c’est parfois bien d’avoir des clients qui comprennent de quoi on parle. Qu’un programme ça ne s’écrit pas en 10 secondes comme on le voit dans les films hollywoodiens. Des gens qui savent de quoi on a besoin pour corriger un bug.
Le
21/09/2015 à
19h
01
achernar a écrit :
Ton utilisateur il évolue pas non parce qu’il connais pas de code mais parce qu’il a pas envie de chercher plus loin, au pire il a des connaissances en algo qui lui permet d’appréhender plus vite comme le souligne white_tentacle, mais c’est pas de savoir comment est codé la fonction. Avoir des connaissances superficiel peut tous aussi bien t’aider à comprendre que de t’induire complètement en erreur.
Au contraire, beaucoup d’utilisateurs souhaiteraient évoluer. Mais quand bien même ils le veulent, ils n’ont pas les clé pour le faire.
Quand à ceux qui ne veulent pas chercher plus loin (et il y en a), savent t’ils seulement qu’en croyant se simplifier la vie ils prennent en réalité la voie la plus compliquée ?
Si on appliquait cette logique aux autres domaines, c’est une bonne partie des enseignements de l’école qui sauteraient.
Il y a des gens qui penseront se simplifier la vie en n’apprenant pas à compter. Et pendant le restant de leur vie, ils vivront un enfer au quotidien…
Apprendre à programmer en informatique, c’est se simplifier la vie à long terme.
au pire il a des connaissances en algo qui lui permet d’appréhender plus vite comme le souligne white_tentacle, mais c’est pas de savoir comment est codé la fonction
Non, parce que les algo ne font pas tout.
La conscience du fonctionnement d’une machine ne peut découler que d’une étude réelle de son fonctionnement.
En d’autre terme, pour comprendre la notion de programme, il faut créer et analyser des programmes.
Mais c’est pas cette compétence qui fera sortir ton CV d’une pile mais bien les compétences annexe de ton domaines qui peuvent t’apporter des responsabilités.
On en reparlera quand ces entreprise feront faillite parce que le concurrent aura tout automatisé.
Nan en effet, je dirais même un programmeur est loin d’être adapté pour tous les cas, il est adapté pour programmer, comme le juriste est adapté pour du droit ou le comptable à de la compta, pas à programmer. Ils peuvent avoir des compétences dans ce domaine (pour le juriste par exemple), mais sa n’est pas cette compétences qui leur permettra de mieux manipuler les outils info dont ils ont besoin. Car par définition, si l’outil est bien développé tu n’as pas besoin de cette compétence.
Cette utopie, le monde de l’informatique y a cru très fort dans les années 90. Mais comme toutes les grandes erreurs, on finit par en revenir.
D’abord, chaque personne a des méthodes de travail différente et des besoins différents.
Aucune entreprise n’a exactement les même problèmes, ce qui implique qu’un outil qui serait parfait dans un cas ne le serait pas dans l’autre.
Ne pas savoir personnaliser les programmes, c’est être condamné à s’adapter à des programmes qui ne sont jamais adapté à ses besoins.
Au final, on finit par créer dans les entreprises des immondes patchworks avec de progiciels inadaptés. Tout cela fonctionne mal, ne réponds pas au besoin. Et au bout d’un moment, plus personne ne comprends comment ça fonctionne.
Quand on voit ça, nous les informaticiens, on se marre. Surtout en pensant que l’idée c’était de se simplifier la vie " />
Le
21/09/2015 à
16h
53
achernar a écrit :
…
Pour ce qui est des tache automatisable c’est la même histoire, pas besoin de connaissance en code pour savoir que sa peut être automatisé, mais c’est pas une connaissance secondaire qui te permettra d’automatiser.
….
Justement, si.
D’abord, si tu veux automatiser sans savoir coder, entre nous, tu n’ira pas bien loin.
Ensuite, l’automatisation, c’est comme les autres matières. C’est en étudiant et en travaillant qu’on acquiert la conscience, les réflexes et la capacité pour l’exploiter.
Pour pas me faire mal comprendre, je précise que l’apprentissage de l’algo est pour moi un très bonne chose, et que d’apprendre à coder est un très bon moyen d’apprendre l’algo.
La c’est pareil, l’algo, sans savoir coder, ça ne sera pas d’une grande utilité pratique.
La programmation amplifie grandement l’utilité d’un grand nombre de savoirs abstraits en leur donnant une utilité concrète.
Je dit just que les compétences en dev son plus utile pour bricoler chez soit.
Bien au contraire.
Le nombre de tâches automatisables dans la vie professionnelle est important.
Il y a des gains de compétitivité immenses qui sont inexploités par la faute des utilisateurs qui ne maîtrisent pas la programmation.
Le
21/09/2015 à
16h
35
achernar a écrit :
Ce qui ce vérifie tous les jours dans les usages, c’est que l’immense majorité des utilisateur ne sont pas exposé à des situation où des connaissance en informatique peuvent les aider avec leur outil informatique.
Non.
La plupart des utilisateurs sous estiment à quel point leur méconnaissance leur porte préjudice.
D’abord, ils ont de grandes difficultés à apprendre à utiliser les logiciels. Faute de compréhension des mécanismes internes, ils doivent apprendre des procédures “toutes faites” pour chaque situation. Ils appliquent ces procédures sans vraiment comprendre ce qu’ils font.
Et dès qu’il y a de l’imprévu(ce qui arrive relativement souvent) ils sont complètement perdus.
Enfin, même après des années passées derrière l’ordinateur, ces utilisateurs progressent peu.
On remarque très bien la différence entre les utilisateurs formés par la programmation et ceux qui sont formés par la suite bureautique. Ces derniers sont des éternels débutants.
Ce n’est pas pour rien que la plupart des pays du monde reviennent à l’apprentissage du code pour tous.
De plus, ce n’est par parce que quelqu’un connais comment pisser du code qu’il pourra tirer le max de n’importe quel outil informatique.
La programmation, c’est comme le latin et le grec pour l’apprentissage des langues : c’est un facilitateur de compréhension.
Ce que cela apporte ? Rien de moins que la capacité de comprendre et extrapoler.
C’est nécessaire pour atteindre une bonne maîtrise de l’outil, mais également pour progresser.
Et contrairement aux idées reçues, c’est utile dans l’utilisation, même pour ceux qui n’écrivent pas de logiciels.
Si c’était le cas, les programmeurs pourraient faire presque tous les métier, ce qui est très loin d’être le cas.
Justement, chaque métier demande des connaissances particulières et pointues. Et un programmeur de métier n’est pas toujours la personne la plus adaptée dans tous les cas.
Le
21/09/2015 à
12h
39
achernar a écrit :
Parce que si on ne connais pas les base du code on ne sais pas ce servir de l’informatique ? C’est un raccourci bien hasardeux …
Ne pas connaitre le code ne veux pas dire ne pas maitriser les outils informatiques dont on a besoin et inversement.
Non, ce n’est pas un raccourci hasardeux.
Un ordinateur, c’est une machine à exécuter. Celui qui ne comprends pas la programmation ne comprends rien à l’informatique.
Il ne perçoit pas la façon d’en tirer le meilleur parti ni les conséquences de ses actions.
Et cela se vérifie tous les jours dans les usages…
Le
20/09/2015 à
19h
12
tmtisfree a écrit :
Tu n’a manifestement pas lu l’ouvrage qui est à l’opposé d’un recueil de théories ou de concepts abstraits mais décrit par l’observation (ce qu’on appellerait économétrie de nos jours) un système dans son milieu naturel (ce que tu nommes “réalité”).
Le livre en lui-même n’est en fait que la culmination d’un siècle d’observations et d’idées par d’autres auteurs et penseurs. Loin de n’avoir été qu’un “laboratoire imaginaire idéal”, son apport à l’économie et à la politique de son temps a été déterminant pour un changement de paradigme dans ces 2 domaines, et dont les effets nous parviennent encore aujourd’hui (mais pas pour tout le monde, apparemment).
Cela dit, il ne faut pas espérer qu’en lisant A. Smith on puisse régler les problèmes actuels d’un coup de baguette magique, mais si on pouvait déjà évacuer les mythes qu’il a torpillé il y a près d’un quart de millénaire, tel que celui d’“indépendance économique”, on aurait (un peu) avancé.
Je pars du principe que toute lecture est intéressante et que la vérité absolue n’existe pas.
D’autre part, personne ne cherche à nier qu’il y a un certain degré d’interdépendance entre les économies, ni que le commerce peut apporter des choses positives.
Mais il n’en reste pas moins qu’une économie peut manquer d’indépendance et subir la domination d’une autre.
Il suffit d’observer le monde d’aujourd’hui pour comprendre que certains pays concentrent les entreprises gagnantes, les brevets et les richesses pendant que d’autres concentrent les problèmes, l’esclavagisme, l’exploitation sauvage des ressources.
L’économie est un domaine complexe car c’est la résultante d’une quantité impressionnante de micro-phénomènes. Une même théorie économique peut parfaitement s’avérer vraie et fausse suivant le contexte.
Et la production mécanisée remet en cause un certain nombre de dogmes. Par exemple en diminuant l’importance du “nombre de bras” et en augmentant l’importance des ressources énergétiques.
Le monde est aussi fait de pays qui ne jouent pas du tout le jeu des théories libérales, mais cherchent au contraire à en jouer pour mener des stratégie de domination économique.
Le
19/09/2015 à
20h
21
tmtisfree a écrit :
Ton anxiété oxymoresque d’“indépendance économique” a été réglée il y a environ 240 ans :
Il suffit d’ouvrir un livre d’histoire pour comprendre que cela ne se vérifie pas.
Les idées sont toujours belles sur le papier. La réalité est malheureusement beaucoup plus compliquée.
Pourtant, ces penseurs du libéralisme n’ont pas complètement tort…dans la théorie. Sauf que le monde réel ne correspond pas du tout au laboratoire imaginaire idéal dans lequel leurs idées auraient une chance de fonctionner.
C’est un peu le même problème que le marxisme.
Et sans vouloir te vexer, en économie comme en politique, s’il suffisait simplement d’appliquer des idées toutes faites, cela se saurait depuis longtemps.
Le
19/09/2015 à
19h
58
SebGF a écrit :
Non non, j’ai eu aussi de rares sessions sur des MO5 en primaire et après au collège où on avait été un peu plus ouverts sur la programmation basique.
C’était de très simples instructions, du style “MOTOR ON” pour activer le lecteur de cassette, etc.
Après les cours de “techno” au collège étaient plus centrés sur la bureautique et le dessin technique avec l’utilisation d’une table traçante.
Perso j’avais eu un peu plus de chance car mon père était très geek en son temps et avait un MO5, donc étant petit j’ai un peu baigné dedans.
Puis par la suite j’ai eu le Amstrad CPC6128 avec le pavé qui servait de bouquin contenant pas mal de programmes.
Accessoirement, le bouquin était en anglais… J’étais au collège, ça faisait une motivation de plus " />
M’enfin, perso j’ai très peu de souvenirs de ce qu’on faisait à l’école sur les MO5… D’où le fait que j’ai du mal à évaluer la pertinence de vouloir inculquer aux gosses à cet age-là des notions aussi “avancées” de l’informatique… J’ai de sérieux doutes que les gamins y soient réceptifs… Surtout en ayant moi-même animé ce genre d’atelier pour une association avec un pote.
On présentait l’outil informatique aux gamins (niveau fin de primaire/début collège) avec une explication basique du fonctionnement d’un PC, puis différentes applications très visuelles comme des outils de présentations (Powerpoint, etc), initiation au montage photo/vidéo, à la création de page Web avec des outils simples, etc. Des éléments à la fois créatifs et ludiques en gros pour montrer les différentes possibilités de l’outil.
Y’a pas eu grand monde de réceptif au final… C’était il y a une dizaine d’années, je suppute qu’aujourd’hui avec des gamins qui ont eu leur smartphone à la crèche ils seraient surement plus réceptifs. Et encore, j’ai de sérieux doutes car à part aller sur youtube et facebook, ont-ils vraiment envie de savoir comment ça marche en général ?
A part ceux qui auront la fibre un peu technique et la vocation derrière, le reste du temps ce ne sera que de la perte.
Le problème, c’est que des connaissances qui ne sont pas exploitées s’oublient.
A l’époque, les cours d’informatique n’étaient pas suivi par une utilisation pratique de ces connaissances en physique et en math ou elles auraient été vraiment très utiles.
Il faut dire qu’a l’époque les machines coûtaient cher et étaient encombrantes. Et les quelques machines consenties par établissement n’y auraient pas suffi.
Mais aujourd’hui, il serait possible d’envisager une machine correcte par élève pour un prix ne dépassant pas 150€.
Le
19/09/2015 à
19h
37
SebGF a écrit :
C’est déjà le cas d’entreprises purement françaises disposant d’un rayonnement international.
J’en ai connu qui exigent que les procédures et documents soient rédigés en anglais quand elles s’adressent à tout le groupe, parce que derrière il y aura de l’espagnol, du chinois, de l’italien, etc. Et les entreprises proposaient souvent à leurs employés des remises à niveau en anglais ou autre langue utilisée dans le groupe.
Après, il ne faut pas aller à l’extrême pour autant. Je travaille très régulièrement avec des espagnols et des italiens, et j’aimerais bien parler leur langue aussi bien que eux parlent le français.
Le fait que l’anglais deviens une langue pivot est t’il vraiment un hasard ?
D’une part, c’est une langue simple à apprendre et à écrire.
D’autre part, c’est la langue des pays dominants.
Enfin, la “complexité” du français est une fausse excuse. Rappelons qu’en japonais, il y a 1945 kanji qui sont à connaître pour être considéré comme maîtrisant de la langue. C’est un apprentissage qui commence assez tôt et se déroule durant toute la scolarité et même après. Et ça les empêche pas d’apprendre d’autres langues pendant leur scolarité.
Peu de gens parlent le japonais en dehors du japon.
De quelque façon qu’on prenne le problème, les complexités d’une langue sont un inconvénient.
D’abord c’est une perte de temps immense qui coûte des heures d’apprentissage à des dizaines de millions de gens.
Ensuite, cela dissuade les étrangers d’apprendre une langue.
Ne nous voilons pas la face, les français ne mettent pas assez d’importance dans les langues étrangères et résultat, on se retrouve avec des gamins sortis de l’école qui baragouinent à peine de l’anglais.
Les français sont effectivement réputés pour leur mauvaise maîtrise des langues.
Mais ce n’est pas tellement une question d’heure, mais plutôt de méthode.
On enseigne d’abord la grammaire au détriment de la maîtrise orale.
Comme si la première chose qu’on mettait entre les mains d’un bébé, c’est un bescherelle. " />
Personnellement j’ai eu la chance d’avoir fait partie de classes qui ont expérimenté l’initiation à l’anglais dès le CM1.
Ce qui n’est pas idiot vu l’importance présente et future de cette langue.
Et si j’avais eu le choix de mes langues vivantes, j’aurais préféré avoir une langue asiatique, ou à défaut l’espagnol, plutôt que de me taper de l’allemand plus inutile qu’un poêle à bois en plein désert le midi.
C’est clair.
A l’époque de ma scolarité sur l’académie de Reims, les seules langues reconnues étaient le français, l’anglais, l’allemand, et l’espagnol (peut-être l’italien, j’ai un doute). Le collège où j’étais ne faisait que l’anglais et l’allemand, donc aucun choix, et pas eu la possibilité de basculer au lycée pour une autre LV2.
Le manque total de réflexion sur les langues enseignées est un problème.
L’allemand était très prisé… parce que c’est difficile.
Il est évident que les langues les plus parlées dans le monde devraient être une priorité. L’espagnol, le chinois et l’anglais en font partie.
Les langues vivantes ont vraiment besoin d’être mieux mises en avant dans nos programmes scolaires, avec plus de choix et un démarrage plus tôt. La LV2 en 4ème, je trouve ça moyen. Je pense que l’anglais dès le primaire puis la LV2 en mode “léger” à partir de la 6ème devrait être le minimum.
Et encore, maintenant vous avez de la chance de commencer plus tôt.
Pour ma part, je pense qu’on ne devrait enseigner qu’une seule langue étrangère, mais l’enseigner mieux.
La plupart des français qui ont appris deux langues sont juste… mauvais dans les deux.
Mais bon, encore une fois, ça rejoint ce que je disais dans mon précédent commentaire : vu qu’on ne veut rien mettre comme thune dans l’éducation, faut pas s’étonner si on fini par se prendre un mur.
Dans le cas des langues, c’est quand même plus difficile d’en apprendre une en partant de zéro quand on a démarré sa vie professionnelle que quand on est dans un milieu scolaire…
En même temps, l’éducation coûte une vraie fortune, c’est l’un des plus gros budget de la nation.
Et quoi qu’on en dise, le nombre d’heures de classe en France est plutôt élevé.
Donc c’est difficile d’en rajouter. Et ce serait certainement improductif.
Le
19/09/2015 à
18h
13
Ricard a écrit :
Indépendance économique ? " />
Ca fait belle lurette qu’on est incapable de produire quelque chose en toute autonomie en France.
A part le fromage et le pinard, du 100% made in France, y a belle lurette qu’il n’y en a plus.
C’est hélas vrai, mais si on accepte cela comme une fatalité, notre futur sera bien sombre.
Ricard a écrit :
C’est de la technique. Un outil. Rien de plus.
On pourrait dire aussi que la photographie ou la vidéo, c’est juste de la technique.
A partir d’un moment ou un outil permet de créer quelque chose, l’art commence…
L’informatique, c’est bien plus qu’un outil ou de la technique, c’est une culture.
Le
19/09/2015 à
14h
36
momal a écrit :
Ben je sais pas comment on :
fabrique une voiture
fait pousser des patates
fabrique du vin
cree un dvd
…
pourtant je les utilise, sans pour autant etre esclave du systeme. Oui je suis consommateur, mais par contre j’ai (j’essaye d’avoir) un leger recul qui me permet de ne pas en etre victime.
Clairement, c’est pas non plus qqchose d’hyper-important a cet age, les gamins sont plus demandeurs de savoir lire (du moins le mien a l’epoque) que de coder 3 instructions en un simili logo pour bouger une tortue a l’ecran (exemple completement issu de mon imagination).
J’dis ca, j’dis rien, mais bon…
Je connait plus d’une personne qui se fait entuber faute de connaitre le minimum sur le fonctionnement d’une automobile.
Sans connaissances, c’est quasiment impossible d’y échapper.
Certains français bouffent des nouilles pour financer leur voiture. Ils feraient mieux d’investir dans des cours de mécanique…
Le
19/09/2015 à
14h
23
Z-os a écrit :
Maîtriser une grammaire est déjà un très bon pas pour qui veut se mettre à l’informatique.
Et le français est probablement l’une des grammaires les plus exigeantes. " />
“Le participe passé employé avec le verbe avoir s’accorde avec son complément d’objet direct seulement si ce complément d’objet direct est placé devant le verbe” si ce n’est pas de la logique. " />
Et la conséquence à long terme pourrait bien être la disparition de la langue française.
La grammaire poussiéreuse de notre langue prends trop de temps dans les programmes scolaires.
Si l’on ne trouve pas de temps pour les nouvelles matières l’informatique, la robotique et l’économie, c’est notre indépendance économique future qui en pâtira.
Je connait des entreprises françaises ou suite à un rachat par une boite américaine, les employés sont priés de s’exprimer en anglais dans les réunions.
Le
19/09/2015 à
14h
08
fr1g0 a écrit :
la culture n’a plus aucun intérêt visiblement. le capitalisme tertiaire a besoin de petites mains informatiques. bientôt les gens ne sauront même plus lire ou compter mais juste faire le boulot qu’on leur demandera. un retour au moyen âge en somme. seule une élite correctement formée sera en mesure de réfléchir et de dominer ainsi une masse d’esclaves. j’ai bon ?
Parce que l’informatique, ce n’est pas de la culture ?
Et si on veut parler d’esclavage, on pourrait parler des dangers de la technologie à long terme.
Pas certain que ce soit une bonne idée de maintenir le peuple inculte.
Le
19/09/2015 à
13h
42
Papa Panda a écrit :
Et,le apprendre à lire ,écrire et parler correctement ?
Non,une option DLC peut être ?
Croyez vous sincèrement qu’un “roi de la dictée” qui ne sait pas se servir de l’informatique peut avoir un avenir sur le marché du travail ?
Réveillez vous, nous sommes est au 21ième siècle. Nous sommes entourés d’ordinateurs et d’objets intelligents.
Dans le monde entier, il y a des programmes d’enseignement du code.
Il serait temps que les français se forment s’ils ne veulent pas finir à la traîne de la mondialisation.
C’est sûr, dans l’avionique on se contente d’un ou deux tests sur le logiciel, on pourrait même en faire moins que pour assurer le fonctionnement d’un site web, de toute façon les morts ne viennent pas se plaindre. Puis un logiciel d’avion c’est simple comme bonjour, pas besoin d’être bien malin pour le concevoir.
Sincèrement, je ne comprends pas bien ce que tu veux dire par la.
On imagine bien que pour ce genre de poste ils s’assurent que les gars aient un peu plus de qualités qu’un diplôme.
Le
20/09/2015 à
15h
20
Aces a écrit :
Déjà écrire numérique avec la font Digital, ça fait gros boulet mais le budget, il va le trouver où ??
Et les bécanes ça sera quoi, des PC avec du i7, 16Go, du SSD et j’en passe ou ça sera des vieux coucous à base de P4, 4Go, du vieux HDD mécanique et j’en passe ??
Et puis, le métier de techos est quand même bien plein, donc dur de promettre qu’il y aura du boulot une fois passé par cette école. " />
C’est malheureusement la réalité…
Et ce qui va se passer, c’est que faute de trouver du travail, des personnes vont quitter le métier.
Et toutes ces coûteuses formations deviendront juste une énorme perte sèche pour la nation.
Le
19/09/2015 à
14h
57
M@tt a écrit :
Le locataire de l’Élysée en a bien entendu profité pour souligner que l’objectif de cette « grande école du numérique », c’était l’emploi.
Ah ok, c’est pas du gardiennage, pour les occuper quand y’a rien à la tv ? Encore de la politique avec des discours marketing foireux, du pompeux “grande école du numérique”, et ajouter une formation pré embauche ça serait pas plus rapide et efficace ? Sans le fric qui va encore partir dans un palais de sultan en marbre qu’ils vont appeler école ?
Et ceux qui sont issus ou en cours de formation dans des universités avec de l’expérience en formations informatiques ? On est en train de leur dire “non toi tu pues” ?
C’était juste une grave erreur de placer l’enseignement de l’informatique dans le supérieur.
D’abord parce que les élèves sont déjà trop âgés du point de vue cérébral. Et trop formatés par d’autres matières.
Ensuite parce qu’en réalité, pour apprendre la programmation, le bac est inutile : Il n’y a pas besoin d’autant de prérequis.
Le métier de programmeur pourrait commencer par un CAP avec une évolution possible en bac pro, BTS et ensuite ingénieur.
Et pour ceux qui craignent la concurrence, je vous suggère de mieux étudier l’informatique et de lire ce que les pères de la cybernétique avaient écrit.
Plus vous informatiserez, automatiserez, robotiserez, plus l’emploi se fera rare et la concurrence se durcira.
La solution n’est pas de continuer de conditionner le droit de survivre au fait d’appartenir à une petite élite.
Le
18/09/2015 à
14h
23
Ksass`Peuk a écrit :
On doit pas connaître les mêmes. Quant aux outils, ils ne sont que ce qu’ils sont : des outils. Le principe justement c’est d’apprendre tout ce qui va autour indépendamment des outils. C’est marrant mais tu vois quand on fait des logiciels pour mettre dans un avion, on rencontre pas des masses d’auto-didactes.
En fait quand on veut des vrais assurances de fonctionnement (comprenant une analyse de risque), il y a plus beaucoup d'autodidactes.
Dans ce domaine, l’enjeu, c’est de se couvrir un maximum.
A ce petit jeu, un morceau de papier vaut plus que tous les talents du monde.
Toi, tu es le genre de personne à te torcher avec des feuilles de chênes et utiliser encore ton Nokia 3310 pour ne pas offenser notre belle planète. A utiliser encore un athlon x64 socket 754 car il fait encore tourner win XP et que ça te suffit pour tes mails et jouer au démineur.
Tout le monde n’est pas comme toi. alors arrête de prendre ton cas pour une généralité. Puis le bien pensant pour la planète, je pense que tu dois faire comme tout le monde tes courses en super marché et remplir ton réservoir quand tu en as le besoin, penses tu à la planète quand tu réalises ces actions ? Quand tu achètes des fraises hors saison qui ont parcourut la moitié de la planète en camion pour arriver dans ton assiette. Encore un lobotomisé par tout ce qu’il lit sur l’écologie.
Il est très facile de réparer un iphone ou tout autre téléphone. A voir sir cela vaut le coup, à prendre en compte la vétusté de ton produit, du coup de la pièce et du temps que tu vas passer dessus. Prend un Galaxy S3, regarde le coup de la pièce détaché et fait ton calcul…
Mais comme une bonne partie de la populace, tu pètes plus haut que ton cul et raconte de la merde car tu ne vois que ta belle personne.
Encore pire pour la MO gratuite sur des produits collés… Les techniciens devraient bosser gratuit car l’assembleur à décider de scotcher la batterie pour des raisons de coups ou d’intégrations. Tu sais, tous les services SAV ne sont pas dédié à une seule marque, j’en connais un qui gère pas loin de 80 marques…
PS: Changer une batterie d’un iphone 4, c’est 2 coups de tournevis.
En même temps, les gadgets électroniques représentent un budget toujours plus conséquent. En tant que produits importés, ils pèsent sur notre balance commerciale.
Que vous le croyez on non, notre pays vit à crédit. Et cela ne pourra pas durer encore longtemps.
Rien que cela devrait nous inciter à avoir une réflexion sur la durée de vie de nos téléphones portables.
Et il suffit d’étudier un peu le sujet pour comprendre qu’on pourrait les faire durer plus longtemps…
Le
18/09/2015 à
14h
05
latlanh a écrit :
Et ben on est bien " /> di " />
plusieurs solution:
-1 ton tel tombe en panne sous garanti,tu va en Apple store en 1heure tu a ton matos réparé.
-2 ton tel tombe en panne hors garanti, tu ouvre le tuto ifixit, tu achètes le matos et tu répare, je lai fait pour l’iphone4…
-3 ton tel à plus de 4 ans tu commence à avoir du mal à trouver les composant… ben tu change … ce qui n’est pas propre à Apple mais aussi au concurrent.
Après commencer par traiter les gens de débile c’est déjà d’une condescendance effarante… on est trolldi mais quand même un peu de respect c’est pas grand chose…
Si tu répare toi même, ça n’a
007sivade a écrit :
C’est vrai qu’il faut faire l’effort de comprendre ce que je dis au delà de la caricature que j’en fait.
Parce que tout ne tourne pas autour de l’Apple store, qui plus est j’ai des exemples de pièces non disponible qui ont durée plus de 3 mois ce que je trouve incroyable mais au delà de la caricature qui n’est pas un troll que je fais il faut comprendre EVIDEMMENT que c’est le cas partout.
Tu es en panne hors garanti d’une tablette où il faut du materiel spécial pour décoller et recoller l’ensemble : tu la jette parce que autant je me débrouille, autant ça j’ai ni le materiel ni la capacité de le faire, et c’est de ça dont on parle ici avec cette mini tablette. Un Iphone 4 a une mauvaise note car il faut le démonter pour accéder à la batterie, ça n’en fait pas un téléphone non réparable, c’est juste dommage car c’est trop de travail pour simplement changer la batterie. Ca donne une mauvaise note, c’est justifié, mais ce n’est pour moi pas rédhibitoire.
Et pour ton 3… Je te prends un exemple simple, Wiko, certains téléphone, on ne trouve MÊME PAS un écran de remplacement et pas au bout de 3-4 ans, on en a jamais trouvé. Qu’au bout d’un moment tu trouves plus… Bon… Déjà que <5 ans ça ne devrait pas exister, pardon, je suis pour une loi qui oblige a maintenir des pièces détachées.
Et pour ta dernière phrase: écoute, il y a des avis que je trouve IDIOT, c’est pas condescendant de penser ça, on le pense tous de certains. J’ai ma façon de m’exprimer qui est piquante, ça ne m’empêche pas d’avoir un respect minimum, notamment en ne citant pas les personnes dont je parle.
Je trouve qu’il y a beaucoup d’avis de réac ici, mais dis comme ça c’est moins irrespectueux, n’est-ce pas ? C’est pourtant la même chose. " />
Je ne veux agresser personne, le prend pas pour toi ;)
La bonne logique pour le consommateur serait d’obliger les fabricants à :
(1) Disposer de pièces détachées pour une durée égale à la durée de vie longue des produits (de manière à allonger la durée de vie). Pour un téléphone, au moins 10 ans. Une automobile, 30 ans.
(2) Interdire de vente tout appareil difficilement démontable. Mettre des visses accessibles pour démonter les éléments, ce n’est ni impossible, ni coûteux. Et certains constructeurs le font bien. Les assemblages collés doivent être interdits quand ils conditionnent l’accès à des pièces susceptibles d’être remplacées.
Un bon produit pour le consommateur, c’est un produit qui est facilement démontable ET qui dispose de pièces détachées pendant une durée longue.
Samsung avait pourtant le soutien de grands noms de l’informatique, qui voyaient la réussite d’Apple comme une menace au système des brevets.
De fait, comme nous arrivons à l’hégémonie mondiale de quelques grandes boites issues principalement des mêmes pays, le système des brevets est appelé à tomber un jour ou l’autre.
Simple question de temps.
Car le brevet renforce les phénomènes d’hégémonie des plus gros industriels et des pays les plus forts.
Ce déséquilibre majeur produit un monde à deux vitesses qui débouche lui même sur des phénomènes migratoires, des guerres, etc…
yup, tres belle machine. Mon amie n’en avait rien a faire des tablettes, la qualite de fabrication de la surface 2 a totalement transformee son point de vue. Maintenant qu’elle pense a se prendre une tablette avec une dalle plus large (15 pouces serait top pour elle) elle compare directement avec la surface 2, surtout le toucher de l’ecran.
Etant aux us; j’avais l’occasion d’échanger la mienne contre une surface 3… reduction de 150 dollars au mieux… pour une machine acquise en decembre 2013 plein tarif… c’est pas fair play de mon point de vue.
Je suis decu de microsoft sur ce coup là. Autant pour WP7 j’ai avalé la couleuvre en bronchant un peu, mqis la, ca ne passe pas du tout. C’est le store qui fait tout sur RT, condamner le store, c’est condamner définitvement les usages qu’on a avec la tablette. Windows 10 tourne sur arm, la surface est un produit MS, ils peuvent tres bien se demerder pour qu’elle tourne sur windows 10 arm… Ca me degoute pour etre honnete. On y peut pas grand chose, mais d’ici quelques années je ne vois pas vraiment quels usages je pourrais avoir avec ma surface quand plus rien ne sera supporte.
C’est pour ce genre de raison que je suis passé aux logiciels libres.
Avec un appareil compatible Linux, on est quasiment assuré de trouver des mises à jour de l’os et des logiciels pendant toute la durée de vie réelle de l’appareil.
On arrive encore à installer du Linux sur des PC qui ont 15 ans, voir plus…
Alors en fait ça remonte à loin pour moi, mais je vais quand même étaler mon inculture.
Tout d’abord la prédominance des mathématiques sur les lettres. Il faut bien comprendre qu’historiquement les facultés des sciences étaient des facultés de philosophie. Ce n’est absolument pas un hasard si les grands scientifiques classiques et les grands philosophes classiques étaient les mêmes.
C’était une excellente chose d’enseigner la philosophie en même temps que les sciences.
Mais aujourd’hui, ceux qui sortent des écoles sont formatés comme des produits commerciaux.
L’industrie veut de bons petits soldats qui ne se posent pas plus de questions que ce qui est nécessaire pour faire leur travail.
Pour me situer dans une vie antérieure j’ai poussé des études d’informatique à un niveau correct (comme beaucoup ici, certes). Et je peux te certifier que tout est mathématique dans nos chers ordinateurs.
Pour un mathématicien, absolument tout dans la vie peut s’expliquer par les mathématiques, y compris se curer les ongles.
La question qui s’est toujours posé en informatique, c’est de savoir si les mathématiques avaient réellement un intérêt au delà des maths de base et de l’étude du comportement de quelques algorithmes.
Je me souviens de mes premiers cours en base de données. On avait été fortement échaudé car ça n’était que des formules et des théorèmes de théorie des ensembles, et le pire c’est qu’une fois qu’on a compris, c’est la réalité pratique. " />
La réalité pratique ? Même après plusieurs décennies de métier, je n’ai encore jamais vu au quotidien un informaticien faire des maths avant d’écrire un programme (sauf, bien sur, si c’est l’objet du programme).
Si tu as été échaudé, c’est simplement parce qu’en informatique, les mathématiques ont la fâcheuse tendance à compliquer ce qui est très simple à comprendre. Etudier le fonctionnement à bas niveau d’une base de données est d’ailleurs bien plus instructif…
Dans certaines écoles d’informatique les professeurs transforment toutes les problématiques informatiques en langage mathématique. C’est parce que ces enseignants sont des matheux avant d’être des informaticiens.
Dans la majorité des problèmes que l’on rencontre dans la conception et l’écriture des logiciels, les mathématiques n’apportent absolument aucune aide.
Donc en pratique, l’intérêt des mathématique dans le métier d’informaticien sont très limitées.
Pour ce qui est des langages de haut niveau ils sont très utiles dans certains domaines. Voir incontournables.
A chaque langage son utilité.
Les langages de bas niveau et de haut niveau ne s’opposent pas. Ils sont juste complémentaires.
Le tout est d’utiliser le bon outil pour la bonne tâche.
Maintenant pour l’instant tous les gens que j’ai rencontré qui étaient sur de l’informatique embarquée utilisaient du C . Les équipements n’avaient tout simplement pas les capacités d’embarquer des compilateurs ou interpréteurs de plus haut niveau.
Ce n’est pas seulement une affaire de mémoire. Dans l’embarqué, il y a des problématiques de contrôle du matériel, de timing et de performances. C’est pourquoi on préfère généralement rester proche du matériel.
Dans ce domaine, les langages comme le C/C++ permettent un bon contrôle et une grande souplesse. Et quoi qu’en disent certains, ce langage offre largement assez de possibilités pour écrire de bons programmes.
Le C/C++ est un langage intermédiaire entre le bas niveau (L’assembleur) et les langages de haut niveau.
De plus à chaque fois que tu laisse faire un “algorithme” pour optimiser ton code, tu obtiens un résultat inférieur au meilleur des résultats possible (mais j’en conviens meilleur que la majorité des résultats produits par un humain).
L’écriture de code machine “à la main” ne se justifie généralement que pour les très courtes portions de code qui sont utilisées de manière intensives.
Mais l’optimisation d’un programme ne se limite pas à cela.
A tous les niveaux de l’élaboration d’un programme, il y a des optimisations possibles dont le résultat peut être spectaculaire. Et cela va de la conception de l’architecture au choix des algorithmes.
Mais pour être en mesure de maîtriser cela, il faut impérativement maîtriser les mécanismes de bas niveau.
Si un informaticien veut être bon et écrire de bons programmes, même avec des langages de haut niveau, il doit impérativement comprendre les conséquences à bas niveau de ce qu’il écrit.
Après ce n’est pas demain que les ordinateurs se passeront des humains pour faire des mathématiques. Et ceci pour deux raisons. Premièrement il y a des tâches qu’un ordinateur ne pourra jamais faire (et c’est démontré. Si ça t’intéresse le mot clé est “indécidable” ou “incalculable” ou “Turing indécidable” ou “Turing incalculable”). Deuxièmement il y a toute une classe de problème exponentiels (ou NP-Complet) qui explosent très vite, très très vite en temps de calcul. Tellement vite que la loi de Moore (doublement de la puissance de calcul des ordinateurs sur X années) si tant est qu’elle se vérifie à l’infini ne permet pas de suivre.
Et pourtant, à bien y regarder, le cerveau humain est une forme d’ordinateur. Un réseau de neurone qui n’est pas si différent d’un réseau de transistors.
Même si la complexité du cerveau nous dépasse encore, il n’est pas impossible qu’un jour vienne ou l’on puisse concevoir une IA capable de l’égaler, voir de le dépasser.
Ceci bien entendu avant qu’elle ne décide d’éliminer l’humanité ;)
La démonstration de théorèmes mathématiques entre dans cette catégorie et il se trouve que l’humain est capable de “deviner” et de suivre un axe de recherche plutôt qu’un autre sur des critères subjectifs.
J’ai étudié ce mécanisme du cerveau humain que l’on nomme souvent l’intuition.
En réalité, il s’agit d’un espèce de supercalculateur subconscient disposant d’une énorme puissance de calcul.
Bien plus grande que celle du raisonnement.
Son seul défaut, c’est qu’elle délivre des résultats directement sans fournir le déroulement du raisonnement qui l’engendre.
Pour cette raison, dans les matières scientifiques, on tends à désapprouver son usage avec pour conséquence des élèves qui “désaprennent” à s’en servir.
Pour un informaticien, le bon usage d’un outil comme l’intuition est bien plus utile que les maths.
Pour finir deux exemple d’actions posant problème à un ordinateur (et tant que les ordinateurs seront des ordinateurs cela durera):
- La détection d’une boucle infinie dans un code. (marche sur des cas particuliers pas dans la généralité, c’est un problème “semi-décidable”
D’une manière générale, de nombreux problèmes en informatique demandent un niveau d’analyse globale qu’il est difficile de conceptualiser.
Le tirage aléatoire d’une valeur. ( nos ordinateurs triches on parle de pseudo-aléatoire)
Excellent cas pour démontrer que suivant le contexte, l’avantage de quelque chose peut être un inconvénient dans un autre.
Obtenir des nombres aléatoire de bonne qualité dans un ordinateur est un vrai problème. Pour avoir des nombres aléatoire de bonne qualité, la meilleure option est de faire appel à des dispositifs matériels.
Le
15/09/2015 à
21h
55
HarmattanBlow a écrit :
Dans mes souvenirs les bons allaient en S tandis que les autres se répartissaient entre ES et L selon leurs origines sociales. C’est caricatural mais il demeure que la plupart des élèves de S auraient pu très bien réussir en ES et L tandis que la réciproque n’était pas vraie. La spécialisation académique découle de la ségrégation et non l’inverse.
Non, quelqu’un qui réussit bien en S n’est pas forcément bon partout…
Quantité de matheux pensent à tort que les méthodes de raisonnement qu’ils appliquent en maths sont forcément adaptées pour tout. Mais c’est une idée reçue.
Avec l’age on découvre qu’il existe d’autres formes de raisonnement, d’autres types d’abstractions, d’autres outils intellectuels. Et finalement d’autres formes d’intelligence et de culture…
Cela n’enlève rien au fait que les maths sont un outil puissant. C’est juste que tout outil a ses limites et qu’il ne faut jamais faire une religion de quoi que ce soit.
Pour se constituer efficacement un réseau social il faut fréquenter des milieux contenant une forte proportion de relations intéressantes. Ce qui n’est pas et ne sera jamais le cas des MMO, hétérogènes par principe (et populaires et avant tout fréquentés par des personnes ayant trop de temps libre). Peu importent les anecdotes.
Ceux qui ont vraiment réussi ont les moyens de se payer du temps libre. Les activités de loisirs sont une bonne façon de faire du relationnel.
C’est peut être malheureux, mais faire du tennis avec le patron, c’est souvent plus utiles que les heures sup.
Bien sûr, les jeux vidéo et réseaux sociaux d’aujourd’hui sont en grande partie populaire et jeune, mais il faut réaliser que leurs paradigmes et codes sociaux iront loin…
Parce que ce sont ceux d’une génération qui se reconnaîtra dedans…
Or, ce qu’on constate dans le relationnel et les loisir, c’est que chaque génération a ses passe temps et ses codes…
Bref, il est difficile de savoir si en tant que parent, ce qu’on fait ne risque pas de couper les jeunes de leurs codes générationnels en leur imposant les nôtres qui ont des chances d’être périmés.
La priorité du moment n’est pas d’enseigner aux élèves des micro-optimisations ou des techniques de compilation capables de purifier cet immonde bordel qu’est le C++, et tout autant de techniques en voie de désuétude. Mais plutôt de les former sur les réseaux neuronaux, les savoirs statistiques, la gestion de projets de millions de lignes de code et le développement dans le nuage (unikernels & co).
En informatique, comme dans n’importe quel autre domaine, si on ne maîtrise pas la base, il est impossible de faire correctement des choses évoluées.
Tous les jours, on voit des programmeurs écrire de très mauvais programmes parce qu’ils utilisent des fonctionnalités de haut niveau sans aucune maîtrise de ce que cela engendre à bas niveau.
Même les savoirs prétendument fondamentaux et immuables ne le sont pas en réalité : Knuth a écrit son oeuvre dans un pseudo-assembleur ce qui la rend obsolète. Certes ce savoir a été modifié (pas seulement réécrit) pour un cadre plus moderne. Mais ce cadre lui-même est rendu obsolète pas une reformulation fonctionnelle, les bouleversements architecturaux (augmentation de la latence mémoire, pipeline CPU, etc) et notamment la parallélisation de masse.
Bien sûr, l’architecture des ordinateurs évolue, même si c’est relativement lent.
Et oui, cela peut logiquement rendre des logiciels obsolètes.
Mais c’est en comprenant la programmation de bas niveau qu’on sait comment il faut écrire un programme qui tirera le mieux partie du matériel.
Et contrairement aux idées reçues, l’écriture dans des langages évolués n’a jamais vraiment permis de dispenser de se préoccuper de ce qui est optimal à bas niveau. En tout cas pas pour ceux qui veulent écrire des programmes performants.
Les quelques vrais savoirs fondamentaux sont avant tout mathématiques, et bien plus facilement démontrés dans un langage moderne proche de l’algorithmique que dans le C++.
Je pense au contraire que les savoirs les plus importants en programmation n’ont pas grand chose à voir avec les mathématiques.
Personne aujourd’hui n’écrirait un OS en C/C++[quote]
Certains ont déjà essayé, ça s’appelle… emacs ;)
[quote]et même pour le jeu on voit de plus en plus de projets portés sur Unity et autres, dont le succès repose sur le fait même qu’ils n’utilisent pas le C++.
Non, Unity est écrit en C/C++ comme la plupart des moteurs 3D actuels.
Je pense que tu voulais parler du langage utilisé dans unity.
Le principe, c’est que tu as des partie rapides de la base qui sont réalisées en C/C++ et ensuite une gestion événementielle comme des macro dans un langage moins rapide mais plus adapté à cela.
On retrouve ce genre de schéma assez souvent en informatique.
Et j’ajoute que gestion automatique de la mémoire n’implique pas forcément un GC traçant : un compilateur pourrait utiliser les mêmes techniques que toi.
Il n’y a pas de gestion mémoire universellement optimale.
C’est un peu comme les algorithmes de tri. Le bon algorithme dépends fortement du contexte.
Bref, cela relève de problématiques d’architecture suffisamment complexes pour que les compilateurs ne soient pas prêts de remplacer les humains.
Le C+ est en train de devenir l’équivalent du Cobol : un langage utilisé pour maintenir les projets existants. Pour le bas niveau il est en train d’être détrôné par Ada/Spark/Haskell/Rust et compagnie, et les constructeurs préfèrent aujourd’hui développer des backends LLVM plutôt qu’un compilateur C.
Tout ces langages ont leur intérêt.
Certains ont déjà une bonne place, d’autres y arriveront peut être.
Mais C/C++ est difficile à détrôner parce que ses défauts font parfois ses qualités.
Ceux qui ont cherché à “faire mieux que C/C++” ont souvent abouti à perdre aussi certaines qualités… ce qui paradoxalement consacré l’intérêt de C/C++…
Voila pourquoi C/C++ ne sera pas évident à détrôner.
Le C demeurera viable pour la programmation de machines à laver mais rien de plus.
Tout ce qui est bas niveau ou performances, que ce soit sur une machine à laver ou dans les couches basses de ton PC ou les moteurs de jeu, de base de données, etc…
Pour le reste, je suis tout à fait convaincu que d’autres langages ont de meilleures qualités que C/C++.
Comme je l’ai dit plus haut, l’outil universel n’existe pas.
C’est précisément parce que les mathématiques en sont pas apparues par souci d’utilité qu’elles persisteront.
C’est toute la différence entre les maths et l’informatique. D’un côté une science abstraite, de l’autre une science concrète.
Les deux ne s’opposent pas mais sont complémentaires.
Le mathématicien aime les abstractions théoriques élégantes, le programmeur aime les programmes concrets qui sont ergonomiques, utiles et qui tournent bien.
Si un jour les machines deviennent assez intelligentes pour n’avoir plus besoin d’être programmées parce qu’elles sauront le faire, elles élimineront probablement l’humanité.
L’informatique survivra donc au dernier mathématicien. " />
Le
15/09/2015 à
16h
54
HarmattanBlow a écrit :
Dans mes souvenirs les élèves ne se distinguaient pas par des spécialisations par matières mais bien en fonction de leur niveau général, entre ceux qui réussissaient dans à peu près toutes les matières académiques et ceux qui échouaient dans à peu près toutes les matières académiques.
Comment explique tu dans ce cas l’existence de différentes filières au baccalauréat ?
La culture et la réussite scolaire sont deux choses différentes. Cela dit, même si les spécialisations sont évidentes à l’âge adulte je crois que l’on retrouve avant tout une échelle entre personnes peu cultivées et très cultivées.
Je pense au contraire qu’il existe une différenciation marquée des esprits en fonction des matières qui ont prédominé dans l’enseignement d’une personne.
L’enseignement par filières ne fait qu’accentuer cela.
Mouais. Ben pour mes gamins je préconise de d’abord leur apprendre à bien lire et à écrire à l’ancienne, sur du vieux papier. Ils découvriront bien assez tôt l’art du frag. Après tout ça a très bien fonctionné pour moi.
Ce qui fonctionnait bien par le passé n’est pas forcément ce qui fonctionnera bien demain.
En la matière, il faut vraiment se méfier des idées reçues qu’on peut avoir en tant que parent.
Observe bien les jeunes et tu verra ce que certains arrivent à retirer de ce que les anciennes générations perçoivent comme étant futiles.
Et qui dit qu’un jour les réseaux relationnels d’influence ne passeront pas par certains formes de MMORPG…
Autrement dit préférer les outils les plus dépassés et les moins productifs, où le programmeur est forcé de faire à la main ce qu’un compilateur moderne fait aussi bien de façon automatique ?
Quand on apprends, le but n’est pas d’être productif, mais de comprendre comment cela fonctionne.
Pour apprendre la physique ou les maths, on ne commence pas par apprendre les matrices ou la théorie de la relativité. On apprends les maths de base, on fait des expériences de physique.
Le compilateur qui pense tout pour toi, c’est super pour le pisseur de code pressé qui fait du RAD en batterie en SS2I, pas pour comprendre comment fonctionne un ordinateur et apprendre l’informatique.
Super. Déjà que la plupart des langages “modernes” sont en fait ridiculement conservateurs et peu innovants, et forcent les dévs à faire du monkey programming répétitif à la chaîne… Alors les bonnes vieilles technos éprouvées, au secours !
En informatique, cela fait des décennies qu’on parle d’outils modernes, de langages puissants et révolutionnaires, de compilateurs intelligents, d’IA et de paradigmes de haut niveau.
Mais quand on veut un système d’exploitation qui fonctionne ou un jeu vidéo qui dépote, on utilise toujours “de bons vieux outils éprouvés” et des techniques de base bien maîtrisées par des vieux briscards, c’est à dire du bon vieux C et même de l’assembleur.
La programmation n’existera plus dans cinquante ans. Les mathématiques existeront aussi longtemps que l’humanité.
La vieille utopie des matheux qui rêvent depuis toujours d’éliminer la programmation.
Pour l’instant, le moins qu’on puisse dire c’est que ça n’a jamais marché très fort…
Et si un jour arrive ou l’homme ne programmera plus les machines, il y a tout lieu de penser que l’utilité des mathématiques ne devienne alors le cadet de ses soucis.
Le
15/09/2015 à
15h
13
JD a écrit :
« Le fait de s’assurer que chaque élève atteigne un niveau de compétences de base en compréhension de l’écrit et en mathématiques contribuera davantage à l’égalité des chances dans notre monde numérique que le simple fait d’élargir ou de subventionner l’accès à des services et des appareils de haute technicité »
Sans déconner??? Et bien heureusement que l’OCDE le confirme parce que les enseignants n’arrêtent pas de le répéter mais tout le monde s’en moque…
Quelqu’un qui saura parfaitement lire, écrire et compter deviendra quand même un infirme s’il ne sait pas se servir de l’informatique.
Les ordinateurs sont désormais partout, l’informatique fait partie des savoir indispensables au même titre que d’autres.
Il n’est pas pertinent d’opposer l’enseignement de savoirs qui sont indispensables.
Introduire l’enseignement de l’informatique n’empêche pas d’améliorer l’enseignement des maths et du français.
Le
15/09/2015 à
14h
52
HarmattanBlow a écrit :
En général ceux-là sont plutôt bons dans tous les domaines (sauf le sport en général).
Non.
Le pur matheux est souvent très mauvais dans bien des matières.
C’est d’ailleurs logique : consacrer beaucoup d’énergie à quelque chose implique forcément de travailler moins sur le reste.
Les gens qui possèdent une culture équilibrée existent. Mais ils sont relativement rares.
Notre système scolaire favorise la spécialisation, donc produit et sélectionne des personnes dont la culture n’est pas équilibrée.
Par ailleurs surfer intensément sur les sites de jeux vidéos ne transmet pas de compétences particulières en informatique et je ne suis pas sûr que se concentrer sur la programmation soit de toute façon un bon moyen d’exceller en programmation à long terme. Au mieux le sujet y apprendra des tonnes de détails obsolètes dans cinq ans.
Les jeux vidéo apportent plus qu’on ne le croit, par exemple le sens de la stratégie et la capacité de dépasser la difficulté.
Ils ne permettent pas directement d’apprendre la programmation(sauf jeu thématique), mais ils peuvent être une grande source de motivation pour l’apprendre.
Enfin, pour éviter les problèmes d’obsolescence, il suffit de bien choisir les langages que l’on enseigne.
Préférer les langages standard qui existent depuis longtemps plutôt que la mode du moment promue par une seule entreprise.
Et la base des principes de la programmation ne se périme pas.
Je suis tout à fait disposé à croire que pour tel ou tel savoir il existe des applications efficaces sur le plan pédagogique. Mais en règle général l’éducation et le développement intellectuel sont affaires de méthodes pédagogiques et de relations entre l’enfant et les adultes qui l’environnent, professeur, parents et autres. Je ne vois pas ce que les NTIC peuvent apporter à la plupart des tâches pédagogiques, a fortiori quand on connaît leur impact sur la concentration.
C’est logique que tu puisse penser cela dans la mesure ou la bonne utilisation des NTIC dans l’enseignement est précisément ce qui fait défaut.
Le fait est que l’on met entre les mains des gamins des gadgets qui favorisent cette déconcentration et ne permettent que difficilement de bons usages.
Par exemple, les tablettes et smartphone facilitent l’usage de réseaux sociaux mais éloignent autant qu’ils le peuvent tout concept de programmation de l’utilisateur.
Sinon, je suis surpris qu’on puisse encore penser à enseigner les maths sans la programmation quand on connait la puissance de ces deux outils réunis et le côté “vivant” que la programmation peut donner aux maths.
Le
15/09/2015 à
13h
59
Donyme a écrit :
Ce n’est pas un troll, quelle compétence apporte la possession d’une tablette, et l’usage que l’on peut en faire ?
La tablette peut apporter des compétences dans l’utilisation d’internet. Mais ce n’est que bien peu en comparaison de ce que permet un ordinateur : usage de vrai logiciels, création, programmation, etc, etc…
Le vrai problème, c’est que choisir des tablettes n’apporte aucun gain financier. Une tablette est un ordinateur privée de clavier et munie d’un Os limitant ses possibilités.
Dit autrement, pour le même prix, on peut avoir de vrais ordinateurs.
Distribuer des tablettes limitées n’a absolument aucun sens.
Le
15/09/2015 à
13h
48
DHKold a écrit :
Je me pose tout de même la question du lien de causalité entre l’utilisation d’ordinateur à l’école et résultats. Même en ayant écarté les critères socio-démographiques, qu’est-ce qui indique que c’est l’utilisation du PC qui est la cause de résultats moindres et non l’inverse ou un facteur commun?
Il faudrait faire l’expérience deux fois avec les mêmes élèves, avec et sans utilisation de PC.
Et voir peut-être aussi quel genre d’utilisation. Jeux, programmes spécifiques, surf?
Si on réfléchit un peu, il est logique que ceux qui font énormément d’informatique deviendront plus fort en informatique et moins bons dans d’autres domaines.
Est ce qu’on s’émeut qu’un gars qui passe tout son temps sur des maths soit rarement bon dans d’autres domaines ?
Le
15/09/2015 à
13h
38
Le fait de s’assurer que chaque élève atteigne un niveau de compétences de base en compréhension de l’écrit et en mathématiques contribuera davantage à l’égalité des chances dans notre monde numérique que le simple fait d’élargir ou de subventionner l’accès à des services et des appareils de haute technicité
Et si ces personnes réalisaient que l’informatique bien utilisée peut être un fabuleux outil pédagogique pour améliorer la compréhension des mathématiques et d’améliorer l’expression.
Pour moi, ce genre de commentaire est typique de gens qui n’ont pas encore compris comment se servir des ordinateurs d’un point de vue pédagogique.
Mais ils ont raison sur un point. C’est qu’il ne suffit pas de payer des ordinateurs et encore moins des tablettes et d’attendre que “ça se fasse tout seul”.
Le
15/09/2015 à
13h
31
Que les tablettes n’apportent rien, c’est évident : ce sont des outils de consommation, pas de création.
Par contre, sur la mesure de l’apport de la technologie, il faut faire attention aux critères de test utilisés.
La technologie apporte de nouvelles compétences qui ne peuvent pas être mise en lumière par un test basé sur des critères anciens.
Je suis en prof libéral et j’ai acheté environ 6 DD de 4To.
Quand j’ai vu la compléxité et la paperasse qu’il fallait remplir ( et chercher… ) pour se faire rembourser j’ai laissé tomber. Il est bien évident que c’est fait exprès.
Cette foutu redevance est d’une hypocrisie sans limite, ca dépasse l’entendement.
Pour un professionnel, le temps c’est de l’argent.
En faisant en sorte que cela coûte plus cher (en temps, donc en argent) de se faire rembourser, ils sont certains de décourager les petits qui ne font pas d’énormes volumes d’achats (mais qui représentent tout de même des sommes importante par leur nombre).
Voila comment le petit musicien se retrouve à payer pour ceux qui profitent de cette redevance.
Le
14/09/2015 à
14h
48
Le petit musicien qui paye une taxe sur ses outils de travail pour engraisser les gros, c’est ça la réalité de ce système.
Va falloir taxer les automates pour payer un revenu d’existence universel!
La vente de produits est déjà taxée par le biais de la TVA.
Mais ce n’est pas la seule solution possible.
L’argent n’étant qu’une abstraction, il y a de nombreuses possibilités.
Par exemple la création monétaire continue.
Il faut garder en tête que contrairement aux idées reçues du bon peuple, l’argent n’est pas le problème parce que c’est juste une abstraction pour répartir la valeur produite.
A partir du moment ou les machines produisent, le problème change de nature. Le problème n’est plus de produire, mais de répartir équitablement.
Le
11/09/2015 à
15h
23
L’automatisation, la robotisation, l’informatisation et l’internet sont en train de changer l’économie et le monde.
D’un côté il y a ceux qui ont compris qu’il fallait s’adapter et changer les règles du jeu, de l’autre les moines copistes qui veulent à tout prix faire perdurer l’ancien monde, par la force s’il le faut.
S’il faut subventionner les auteurs et distribuer les livres gratuitement, faisons le. L’accès à la culture y gagnera, le monde y gagnera.
De toute façon, d’ici peu il faudra distribuer un revenu citoyen et fournir des logements d’états pour faire face à la réalité : l’automatisation a détruit de très nombreux emplois et ce n’est que le début.
Aujourd’hui, il y a des millions de chômeurs. Ce sont des êtres humains qui ont droit à la vie comme les autres…
Dans les années a venir, nous verrons disparaître de nombreux emplois. Les employés de caisse dans les supermarché, les routiers et autres livreurs.
Nous verrons également quantité de petits commerces de proximité remplacés par des distributeurs automatiques. Par exemple, c’est déjà le cas des pompistes.
Autrement dit, l’état français abandonnerait aux entreprises privées ses prérogatives judiciaires.
Si j’ai bien compris le projet, les “ayant droits” seront habilitées à constater eux même les infractions et appeler leur petits copains du monde financier pour rendre la justice.
Ils décideront de la vie ou de la mort d’un acteur du web en passant complètement au dessus du pouvoir judiciaire.
Rappelons quand même que le principe de la séparation du pouvoir judiciaire est la base d’un système démocratique.
Qui est bien entendu la seule solution, il n’y en a pas d’autre. Et c’est le seul problème auquel le FN répond et pas les autres.
…
Malheureusement, je crains qu’il n’y a pas vraiment d’autres solution réaliste.
L’économie Européenne ne fonctionne pas.
L’Europe politique ne fonctionne pas.
Ceux qui pensent qu’on peut y remédier rêvent.
La réalité, c’est que la construction de l’Europe s’est faite sur de mauvaises bases et l’antagonisme entre les pays paralyse toute avancée.
L’Europe intègre maintenant trop de pays pour que des changement radicaux soient possibles.
A l’heure ou la robotisation va demander de gros changements sociétaux, l’Europe impose des paradigmes qui s’opposent au changement.
Mieux vaut se retirer de l’Europe et nouer des alliances commerciales qui nous arrangent comme nous le faisions par le passé.
Il est dommage que le FN soit un des rare grand parti à soutenir le projet d’une sortie de l’Euro. Rien que pour cela, il récupère les suffrages de beaucoup de souverainistes qui n’ont en réalité rien à faire dans ce parti…
Le
10/09/2015 à
16h
00
TaigaIV a écrit :
Le FN a sensiblement la même couverture médiatique que le PS et les Républicains, il est présenté comme la seule alternative aux deux charlots alors qu’une bonne partie de sa politique est fondamentalement de droite et du même tonneau que celle des deux cancres. Avec une pub pareil je ne suis pas étonné que les gens mal informés le prennent pour la seule alternative, mais ce n’est pas une raison pour laisser ce mensonge se répandre.
C’est bien ce que je pense aussi.
D’autres partis ont des discours lourd et compliqués impliquant des efforts et des remises en cause, c’est sur que c’est moins facile à suivre quand tu rentres du boulot et que tu as une grosse journée de boulot dans les pâtes.
C’est clair qu’exploiter les préjugés des gens et leur aigrissement/haine, c’est tellement plus facile d’un point de vue marketing.
Et c’est hélas très vrai qu’après une dure journée de travail, la capacité (et l’envie) de réfléchir sont très limités.
Le
10/09/2015 à
15h
45
TaigaIV a écrit :
Affirmation fausse mais ce n’est pas bien grave.
Oui, c’est vrai qu’ils ne sont pas les seuls.
Mais au fond, on a quand même les deux grands partis PS et l’UMP qui mènent exactement la même politique de droite.
Elle est juste vendue dans un emballage marketing différent et avec des mensonges différents.
Le
10/09/2015 à
15h
29
neokoplex a écrit :
C’est bizarre que les gens deviennent FN à mort comme ça sans raison… A oui c’est vrai, c’est la faute de la télé et des médias. C’est vrai en même que de voir un gosse crevé sur une plage et la campagne généralisé depuis des années de promotion de l’immigration ça donne envie de voter FN…
Non, ce n’est pas un hasard.
Il faut bien reconnaître que le FN est le seul parti à dénoncer certains problèmes et à réaliser que l’Europe ne va nulle part.
L’ennui, c’est que quand on gratte un peu, ils n’ont pas mieux compris que les autres parti d’ou viennent les difficultés économiques actuelles. Ils sont donc tout aussi inaptes à proposer des solutions.
Mais le problème rédhibitoire du FN, c’est que c’est un parti dont les idées ne sont pas bien définies. C’est un mélange de souverainistes et d’identitaires.
Le FN peut nous vendre du souverainisme pour gagner les élections et ensuite mener une politique identitaire une fois les élections gagnées.
Pour moi, ce qu’on observe dans les villes conquises par le FN ne me dit rien qui vaille.
Sinon, tout à l’heure il y avait plein de pleureuse des droit de l’homme parce que je parlais des pays golf, mais là l’Inde et son système de caste n’a l’air de poser de problème à personne…
Il n’a pas non plus affirmé que l’Inde était un bon modèle pour tout.
Le
10/09/2015 à
15h
06
athlon64 a écrit :
les italiens et espagnols sont blancs, merci, au revoir " />
Ca ne les a pas empêché de subir le racisme à une certaine époque…
Mais bon, quand tu va dans certaines régions françaises, tu comprends jusqu’ou peut aller le racisme quand on t’explique que ceux du village à côté, c’est tous des cons et que la grande ville d’à côté, c’est l’étranger… " />
Sauf qu’en pratique il ne faut pas modifier la sensibilité dans le jeu car en diminuant la sensibilité il divise le nombre de pixels parcourut, du coup au lieu de faire 20 pixels tu fais 6.67 pixels, du coup il y a un petit problème pour le déplacement…
Non, il n’y a pas de problème.
D’abord il faut savoir que dans un jeu du type FPS, un déplacement de la souris ne produit pas un déplacement d’un pixel, mais produit une rotation de la caméra d’une fraction d’angle.
Et suivant la distance de l’objet, cette fraction d’angle représente plus ou moins de distance.
En pratique, un jeu vidéo multiplie (ou divise) le compteur de position de souris par un facteur.
Donc avec une formule du type Compteur * Facteur, si tu as 800 DPI et un facteur de 1, tu obtiendra le même déplacement avec 1600 DPI et un facteur de 0.5, mais une bien meilleure précision angulaire.
D’ailleurs si les dpi étaient vraiment synonyme de précision certains joueurs ne joueraient plus sur les fameuses intellimouse optical 1.1 et intellimouse explorer 3.0. J’avais vu une liste de joueurs qui utilisaient encore ces souris, j’ai plus vraiment les noms tout ce que je sais c’est que fatal1ty en utilise une.
Parce que tout dépends du style de jeu.
Ces souris étaient excellentes. Je peux en témoigner pour avoir joué longtemps sur un stock d’intellimouse optical.
Mais la faible résolution est clairement un handicap quand il s’agit de tirer de loin. C’est d’autant plus vrai avec la résolution des écrans actuels.
Ce n’est pas un problème pour les joueurs dont le style de jeu s’en accommode parce qu’ils privilégient le tir de près.
Personnellement les capteurs laser et leur accélération fait que je n’achèterais plus jamais de souris a capteur laser, jamais réussit à m’y habituer dans les jeux…
4322 commentaires
Après Windows 10, SafeDisc et SecuROM ne fonctionnent plus sur Vista, Windows 7 et 8
26/09/2015
Le 26/09/2015 à 08h 48
Bonne décision de la part de Microsoft.
Les protections n’ont pas à se greffer au coeur d’un système d’exploitation. Parce que c’est une solution malpropre qui peut toujours engendrer des problèmes…
Mais il serait appréciable que les éditeurs de ces jeux n’en profitent pas pour essayer de nous les faire payer une nouvelle fois. Ce serait un bien mauvais signal envoyé à ceux qui ont eu l’honnêteté de payer ces jeux.
Bien sûr, certains diront qu’en cherchant un peu, on peut trouver des “cracks”, mais ce n’est pas une solution acceptable car ils peuvent contenir des virus et autres malwares et ne sont pas légaux dans tous les pays.
Et de toute manière, on n’achète pas un jeu officiel pour en être réduit à cela.
Je pense qu’il faut que les internautes et la presse se mobilisent pour que les éditeurs fournissent des patchs officiels.
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Le 21/09/2015 à 23h 32
23 % du catalogue pour 0,9 % des joueurs
Le pourcentage, ils s’en moquent pour l’instant.
Ce qu’ils veulent, c’est développer le marché. Et ils s’attendent à ce que cela prenne un peu de temps.
D’ailleurs, ils ne le font pas pour rien,
Steam était un précurseur. Et Microsoft fut long à s’y mettre…
Mais le bon temps est désormais fini. Et tous les jeux de Steam se retrouveront fatalement dans les stores intégrés aux OS.
Entre ça et les consoles, il est facile de comprendre que s’ils ne créent pas un nouveau marché maintenant, leur avenir est sombre.
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Samsung avait pourtant le soutien de grands noms de l’informatique, qui voyaient la réussite d’Apple comme une menace au système des brevets.
De fait, comme nous arrivons à l’hégémonie mondiale de quelques grandes boites issues principalement des mêmes pays, le système des brevets est appelé à tomber un jour ou l’autre.
Simple question de temps.
Car le brevet renforce les phénomènes d’hégémonie des plus gros industriels et des pays les plus forts.
Ce déséquilibre majeur produit un monde à deux vitesses qui débouche lui même sur des phénomènes migratoires, des guerres, etc…
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Et si ces personnes réalisaient que l’informatique bien utilisée peut être un fabuleux outil pédagogique pour améliorer la compréhension des mathématiques et d’améliorer l’expression.
Pour moi, ce genre de commentaire est typique de gens qui n’ont pas encore compris comment se servir des ordinateurs d’un point de vue pédagogique.
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Ashley Madison : les mots de passe navrants de banalité
14/09/2015
Le 14/09/2015 à 16h 03
On ne rappellera jamais assez qu’un bon mot de passe est unique et contient des lettres minuscules et majuscules, des chiffres ainsi que des symboles.
… pour arriver à des mots de passes tellement compliqués que les gens les écrivent sur des post it collés sur le bord de leur écran. " />
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S’il faut subventionner les auteurs et distribuer les livres gratuitement, faisons le. L’accès à la culture y gagnera, le monde y gagnera.
De toute façon, d’ici peu il faudra distribuer un revenu citoyen et fournir des logements d’états pour faire face à la réalité : l’automatisation a détruit de très nombreux emplois et ce n’est que le début.
Aujourd’hui, il y a des millions de chômeurs. Ce sont des êtres humains qui ont droit à la vie comme les autres…
Dans les années a venir, nous verrons disparaître de nombreux emplois. Les employés de caisse dans les supermarché, les routiers et autres livreurs.
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