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Tsinpen

est avec nous depuis le 31 août 2018 ❤️

Bio

Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
Repassez plus tard ?

513 commentaires

Voies réservées : le gouvernement veut coupler vidéosurveillance, fichiers et détecteur de passagers

Le 29/11/2018 à 16h 36






crocodudule a écrit :

Oui là avec tout ça on arrive enfin à un truc proportionné je trouve, la CNIL va pouvoir dire no problemo (bon s’ils pensent à la solliciter…)


Pour le name&shame sur le mur FB, peut-être, mais je ne suis pas certain qu’elle ait autorité au sujet des missiles sol-sol, hein, même si c’est juste des missiles de peinture <img data-src=" />

Et sinon, ça me fait penser, est-ce que ça existe enfin les drones capables de neutraliser toutes ces ptn de caméras qu’ils veulent installer partout ? genre des drones avec charges de peintures ou un truc comme ça ?
<img data-src=" />



Netatmo : quand les serveurs prennent froid les clients trinquent, les notifications publicitaires en question

Le 26/11/2018 à 19h 29






js2082 a écrit :

+1000
Ou comment faire de sa vie un enfer avec des gadgets technos.
Quand le cloud tombe en panne, tu peux plus:




  • bosser sur ton ordi, tous tes fichiers étant en ligne;

  • regarder tes vidéos, ta télé, écouter ta musique;

  • passer des coups de fils (surtout en entreprise);

  • utiliser/règler tes appareils ménagers: cafetière, frigo, aspirateur et même serrure connectée;
     - et désormais, chauffer ta maison et obtenir de l’eau chaude,
    etc…

    Bref, tu te retrouves bien con



    T’as oublié les caleçons connectés !
    <img data-src=" />



Des députés LR veulent taxer « la présence fiscale significative » des plateformes en France

Le 26/11/2018 à 18h 26






le podoclaste a écrit :

Ben non, le Royaume-Uni n’était pas dans l’espace Schengen, l’Irlande n’y est pas et à l’inverse, la Suisse et la Norvège y sont.



<img data-src=" />

Ce n’est pas ce que j’ai écris :



Tsinpen a écrit :

(…) il n’y a que 2 méthodes, la 1ère est de Brexiter à l’anglaise pour sortir de l’espace Schengen et retrouver la possibilité de fixer des droits de douane (…)



Pour réaliser un Frexit il faudrait que la France en sorte (cf. “socle commun”), peu importe que le RU y ait été ou pas.





le podoclaste a écrit :

wpayen a raison : c’est bien de connaître les institutions qu’on critique.



Dis-moi où aurais-je osé critiquer le Schmilblick ?
<img data-src=" />



Le 23/11/2018 à 17h 37






wpayen a écrit :

Le bénéfice imposé doit être celui avant paiement de redevance/location/frais vers une partie liée. Ou alors tu évalues ces frais au prix du marché et non au prix que la partie liée fixe pour sous-évaluer le bénéfice final.



Heu… lol ? Cela reviendrait à faire gérer la compta de chaque boite par un tiers qui déciderait d’écrire ce qu’il veut bien comme bénéfice, indépendamment de l’activité réelle ; et à permettre à des tiers de contracter au nom de et à la place de l’entreprise.
Quoique à la rigueur, interdire aux boites de gérer elles-mêmes leur compta pour les obliger à passer par un tiers indépendant pourrait être une idée qui marcherait pour réduire un peu le chômage, mais ça coûterait peut-être bien plus cher et ça ne changerait rien aux évasions/optimisations. <img data-src=" />



wpayen a écrit :

Autorise ces entreprises à retrancher des coûts réels basés sur le prix du marché de leur CA et on s’appercevra que Google France doit quelques piecettes à l’état Français.



<img data-src=" /> Mais comment est-ce que tu évalues ces “coûts réels” quand l’entité française est une captive commerciale d’une entité étrangère il n’y a pas de marché concurrentiel ni d’offre/demande pour équilibrer des choix économiques ?



wpayen a écrit :

Au passage, Shengen n’a rien à voir avec ça. (…)



Bien sur que non puisque cela à a voir avec le Brexit… l’UE est basé sur un “socle” ou “package” de libertés qu’il faut prendre en bloc ou refuser en bloc, donc l’un ne va pas sans l’autre, d’où ce que j’ai écrit. <img data-src=" />



Le 22/11/2018 à 17h 54






wpayen a écrit :

Problème Simple :
Le bénéfice taxé est celui généré par la filliale présente en France avant paiement de redevance interne au groupe. Finito.



Ne pas oublier qu’il s’agit de biens importés, historiquement les nations se protégeaient de ce type de filous au moyen du prélèvement de droits de douane calculés sur la valeur commerciale des biens importés au moment où ils passaient la frontière, ce qui incitait à réaliser le bénéfice après import et non pas avant.
Cela rend ce problème beaucoup plus compliqué : il n’y a que 2 méthodes, la 1ère est de Brexiter à l’anglaise pour sortir de l’espace Schengen et retrouver la possibilité de fixer des droits de douane ; la 2ième est de chercher une autre voie qui s’intégrerait aux principes du marché unique et qui se fonderait sur des idées comme la filouterie fiscale ou l’enrichissement injustifié.
Après tout on a bien des lois pour interdire les marges arrières… <img data-src=" />



Meptalon a écrit :

à quand la taxe sur le CA réalisé dans un pays donné pour que les gros contribuent à hauteur du pognon qu’ils se goinfrent ?


Ce n’est pas une solution, puisqu’il faudrait alors aussi taxer les autres boites de la même manière, et que le CA des gros que tu veux taxer est lui-même à l’étranger <img data-src=" />



Quand le droit d'auteur devient plus vigoureux que la lutte contre les contenus terroristes

Le 24/11/2018 à 18h 50






ragoutoutou a écrit :

Ou sur un ton plus léger: Starwars, qui fait l’apologie du terrorisme en nous montrant le parcours d’un jeune homme influençable vivant à la ferme et qui se fait recruter par un vieil illuminé pour rejoindre une secte, le film se terminant par un attentat contre une installation gouvernementale qui provoque des centaines de milliers de morts chez les forces de l’ordre.



Mais pas du tout du tout : il se fait recruter par l’hologramme d’une jeune prisonnière politique (transmis par un droïde), qui s’avèrera être sa sœur ! (edit: l’hologramme, pas le droïde <img data-src=" />) La secte se trouve être une ancienne institution séculaire, plus ancienne même que l’Empire au pouvoir, et quasi-dissoute par des manœuvres politiques dudit Empire. Et les centaines de milliers de morts à la fin sont en réalité des clones issus d’une expérimentation génétique, ce qui évidemment ne pouvait que choquer notre fermier par adoption, fervent défenseur des espèces rustiques.
<img data-src=" />



ragoutoutou a écrit :

L’aricle 13 c’est l’assurance d’un appauvrissement des plateformes et d’une systématisation du contrôle à priori de la liberté d’expression.



Mais pas du tout, cela va bien au-delà : les plateformes ne pourront pas vérifier par elles-mêmes l’authenticité des droits qu’elles devront défendre et ne pourront sanctionner que M-tout-le-monde.
Par contre, un éditeur pourra toujours monétiser la danse d’autrui à son insu et sans risquer ce filtrage a priori de l’article 13 puisqu’il a fort commodément (pour lui) choisi de ne pas diffuser son jeu au travers des plateformes (stores) et d’être ainsi son propre diffuseur sans intermédiaire !
Business as usual… 💰💲🤑



Sprint Drive : un boîtier pour suivre les déplacements, le style de conduite et l'état de santé d'une voiture

Le 24/11/2018 à 13h 34

Hergé -&gt; Tintin =&gt; l’acronyme français est nul, je recommande l’usage au moins occasionnel de l’acronyme anglais GDPR ou allemand DSGVO mais en néerlandais AVG ça ressemble à un éditeur d’antivirus tchèque du coup c’est le bordel <img data-src=" />

Le rapport avec la choucroute toulousaine, c’est qu’une grosse différence de prix influe sur la liberté de choix, et donc sur le consentement à la collecte de données personnelles (sur la conduite) par l’assureur (collecte requise pour pouvoir proposer la “ristourne”).
Et le rapport avec le cassoulet alsacien, c’est l’article 6, si j’ai bien lu, sans consentement valide (et ici je trouve ça douteux à cause de la multiplication par 3 du prix au point de faire 1/12è à peu près du revenu avant impôts d’un SMICard), il faut un intérêt légitime à la collecte de données et je disais donque qu’il ne suffit pas de dire/prétendre que ce genre de boitiers ressemble à une mesure de prévention efficace pour que ce soit vrai. <img data-src=" />

Et sinon de toutes façons j’ai pas entendu dire que couler de la glue dans le port OBD soit suffisant pour que le véhicule ne passe pas le CT, alors… <img data-src=" />


Le 24/11/2018 à 12h 16

GDPR ? avec la grosse différence de prix, reste à voir si c’est raccord avec le recueil du consentement ou si ça découle d’un intérêt légitime. Et pour ça je suppose qu’il faudra constater une baisse significative du nombre et de la gravité des accidents grâce au boitier espion, et ça demande déjà de mettre en place une méthodologie expérimentale fiable dans un environnement soumis à d’autres contraintes comme la transition écolo : est-ce que en ce trente-douze floréal 500 Mme Michudufutur a évité un accident mortel en levant le pied et en réfrénant son agressivité accélératoire parce qu’il y avait un boitier espion ou bien parce que les prix de l’énergie carburatoire ont explosé ?
S’pas gagné… <img data-src=" />


Le 23/11/2018 à 18h 35

Voyons le bon côté des choses : ils ne sont pas hégémonistes, on va pouvoir continuer à respirer <img data-src=" />


Le 23/11/2018 à 17h 58






Patch a écrit :

Je n’ai pas dit obligatoire mais “obligatoire”, nuance <img data-src=" />


Ha okay, mais t’avais pas non plus dit “Porsche 968”, et vu la décote de la prime, c’est louche : comment ça se pourrait économiquement pour les assureurs de diviser toutes les primes par 3+ si tout le monde prenait le boitier ? Soit c’est le prix sans qui est surévalué, soit c’est le prix avec qui est sous-évalué.
Je pencherait pour la 1ère hypothèse, vu que c’est un peu tape-à-l’oeil comme modèle. Ou alors ton collègue t’a caché qu’il avait un super-malus à 300% et que le boitier c’était pour ça <img data-src=" />
Mais ça montre bien une autre dérive de cette techno : 1100€/an pour pas se faire espionner <img data-src=" />, quasi un SMIC français entier, mais ça doit faire un salaire hebdomadaire là-bas ? snif…



Le 22/11/2018 à 20h 51

Euh, attention là, vu le public visé :

L’opérateur explique que son Drive permet ainsi aux parents de suivre la conduite et les déplacements des jeunes conducteurs.

Je crains que tu ne t’avances un peu trop en disant que « Ce ne sont pas 3 freinages brutaux qui feront la différence. » <img data-src=" />

À propos des Suisses, tu as peut-être un lien ? Je n’ai rien trouvé d’obligatoire ?
Et au passage, en Chine, ils ont blablabla d’obligatoire avec caméras et tout, hein, tu connais la musique, non ?
<img data-src=" />






Patch a écrit :

C’est bizarre, je n’ai pas ce problème dans ma ville, c’est très rare quand je doive piler (…)


Oui mais c’est justement ça le problème : comment tu veux apprendre à un jeune conducteur qu’il lui faudra peut-être parfois piler si tu lui fourres un boitier espion dans l’OBD qui va vérifier qu’il ne le fait pas ?
<img data-src=" /> <img data-src=" /> <img data-src=" />



Le 22/11/2018 à 16h 37






Patch a écrit :

Mais tu as l’air de préférer les extrêmes (soit la conduite super agressive, soit l’escargot, pas d’intermédiaire possible).



Nan, c’est pas ce que je dis : je parlais de l’analyse faite par ces boîtiers qui ne peuvent pas savoir pourquoi tu piles 3 fois sur 5 kms, et qui y voient un “marqueur d’agressivité”, alors que le 1er coup de patin, c’était pour ne pas écraser un lapin ; le 2ème à cause de quelqu’un d’autre qui t’as coupé la route, et le 3ème au feu orange qui était plus mur que tu ne l’avais anticipé avec ta conduite “douce”.
<img data-src=" />



Patch a écrit :

(et c’est d’ailleurs de là que vient le fameux “jamais 203!” <img data-src=" /> ).



Mais un jour peut-être que tu auras un accrochage (voire un accident) à cause de quelqu’un de bien intentionné qui s’est acheté ce genre de boîtier pour obtenir une réduction de sa prime d’assurance, et qui du coup n’a pas osé piler assez fort et t’es rentré dedans. Juste parce qu’un statisticien a cru pouvoir assimiler n’importe quoi à de l’agressivité. STP, n’oublies pas de me re-dire ce que tu penses de ces boîtiers si ça t’arrives… <img data-src=" />



Patch a écrit :

Et le feu passe systématiquement au orange puis au rouge quand il ne te reste que moins de 15m à faire avant d’être dessous chez toi?



Oui, oui, et encore OUI nomdidiou !
C’est sur une avenue traversant une ville de part en part, avec de multiples carrefours et des feux à chacun. Le rythme de passage (changements de couleurs des feux) est variable selon l’heure de la journée pour s’accommoder de la circulation. Et du coup selon l’horaire exact de passage, c’est pas facile de prévoir si le 3ième feu sur les 8 va changer de couleur en rythme avec les 2 premiers ou bien avec les suivants ! Et comme c’est en pente (forte pente), dans un sens tu voudras maintenir ton accélération (si possible), et dans l’autre tu devras freiner fort, voire piler.
C’est un peu comme le train qui arrive toujours au passage à niveau juste avant toi/moi ! <img data-src=" />
(edit: même quand tu pars un peu plus tard, ce jour-là il est aussi en retard)



Le 21/11/2018 à 17h 01






Patch a écrit :

Tip : même en circulation dense et difficile, on n’est pas obligé d’accélérer pied au plancher et de freiner comme un con pour pas rentrer dans la voiture de devant.


Non ? Eh bien après essais, sur un tout petit parcours de quelques kms avec quelques rond-points, ça peut facilement prendre deux fois plus de temps, tout en générant une très intense fatigue nerveuse du fait des gens derrière qui klaxonnent pour que papy veuille bien rentrer dans le rond-point. <img data-src=" />

Je maintiens au sujet de « l’agressivité » qu’elle ne peut être déduite de la seule analyse de l’action des pieds sur le pédalier au mépris de l’environnement ; et que ce type de boitier-gadget se concentre sur certaines choses identifiées comme des marqueurs probables d’agressivité en négligeant que ce n’est qu’une probabilité (pas forcément élevée en plus), et en négligeant d’autres comportements plus agressifs (par exemple, rouler à cheval sur 2 voies ; ou bien doubler en frôlant l’autre véhicule ; ou bien coller avec les feux allumés ; …) et souvent plus dangereux.

C’est un peu comme de prétendre que le smiley RTFM serait toujours agressif au sens où son utilisateur aurait forcément l’envie réelle d’utiliser le manuel ainsi brandi comme une arme par destination, et ce quelque soit le contexte d’utilisation.
<img data-src=" />
Ce type de “raisonnement” ne tient pas la route. <img data-src=" />

Après, ça peut peut-être avoir d’autres usages, mais pas celui-là !



Le 20/11/2018 à 19h 37


Drive permet d’obtenir la position géographique en temps réel, de voir l’historique des déplacements et de recevoir des alertes en cas de conduite « agressive » avec des accélérations et des freinages brutaux, ou bien lorsque certaines limites de vitesse sont dépassées.


y’a que moi que ça choque ? Ils ont jamais pris un volant en ville ou quoi … ?
Le “freinage brutal” et les “fortes accélérations”, c’est peut-être juste le signe d’une circulation dense et difficile, et non pas une “agressivité” du conducteur… <img data-src=" />


La Norvège arrête de subventionner l'électricité des mineurs de cryptomonnaie

Le 24/11/2018 à 07h 44

Ou sinon comme pour les frigos on leur colle une étiquette d’efficience énergétique de A+++ à G— <img data-src=" />
Et pour les sites web blindés de trackers et de pubs, ce sera une lettre de plus par script, arrivé à triple Z on les envoie à l’Hadopi pour coupure de ligne <img data-src=" />


Vers une extension des procédures exceptionnelles à la lutte contre la contrefaçon, notamment

Le 23/11/2018 à 19h 29

Ce n’est qu’un détail, mais j’aurais plutôt pensé au Procès de Kafka puisque la réforme propose de pouvoir contester une perquisition faite à l’insu du perquisitionné.


Biométrie : le FNAEG en passe de devenir le nouveau fichier des « gens honnêtes »

Le 20/11/2018 à 18h 46

Merchi bien, maintenant on saura comment il est techniquement possible de créer des doublons, triplons et quadruplons ; mais ça ne dit toujours pas comment il serait humainement possible de le faire sans avoir au préalable subit une bonne rééducation mentale avec des rats !
<img data-src=" />


FNAEG : la CNIL s'alarme de l'extension du fichier national des empreintes génétiques

Le 17/11/2018 à 14h 22






crocodudule a écrit :

Aussi, on peut très bien demander au ministère de l’intérieur, qui refusera, puis saisir la CADA, un boulot pour NextInpact donc ^^ , Marc ? Xavier ?



Nan, c’est un boulot pour toi, puisque tu dis que t’es avocat, tu ne crains pas que le ministère pose des questions préjudicielles de ce genre :
En quoi la communication de données agrégées à propos du nombre de personnes fichées par motif et/ou par durée d’inscription relèverait-elle du registre des traitements du fichier au lieu d’être des données intrinsèques au fichier et qui ne seraient donc pas communicables en public ?

À mon avis, mieux vaut jouer au loto <img data-src=" />



Le 17/11/2018 à 10h 11

D’après ce que j’ai compris de la CADA, c’est pour demander des documents qui existent ! Mais quand on va voir sur la page Wikipédia du FNAEG, on découvre dans les notes de bas de page (#23 et suivantes) que les données de Wikipédia ne sont pas issues d’un document officiel, mais en fait obtenues suite à des questions parlementaires d’un seul député EELV Sergio Coronado, qui n’a pas été réélu en 2017.
Là, il s’agirait plus de mettre en place une procédure de curation du FNAEG, et un contrôle indépendant, sinon effectivement je vois mal comment on pourrait avoir des réponses fiables : aucun député ne semble avoir repris le flambeau ; et les derniers chiffres sont issus d’une annexe à un appel d’offre de maintenance, ce qui montre le peu de considération qui est porté à la publication de stats significatives et au contrôle de ce fichier ; hormis le contrôle de son coût lorsque la Cour des Comptes s’en mêle pour dire qu’il y a des doublons et que ça coûte cher (février 2017, voir page Wikipédia juste sous les stats)…
On notera d’ailleurs l’incohérence entre les chiffres de la CNIL (2,9m au 15/11/2018) et ceux de Wikipédia (3,4m en 2016) : d’où vient la grosse différence d’1/2m ? des demandes d’effacement ? des doublons retirés ?
Et d’ailleurs comment un fichier national automatisé peut-il en premier lieu avoir enregistré des doublons alors qu’il est destiné à être un outil pour permettre des recherches et des identifications ? comment se fait-il que l’effacement ne soit pas automatique dès qu’il est de droit ? je suis quasi sur qu’en cherchant un peu on va découvrir qu’ils ont oublié d’effacer les personnes décédées faute de demande de leur part…

Bref, même sans l’ajout de l’ADN dit “non-codant”, c’est déjà géré de manière dangereuse et il se disent que comme ça fait 20 ans que ça dure, autant faire encore pire <img data-src=" />


Le 17/11/2018 à 08h 50

Au-delà des maths, que représente le chiffre de « 400 personnes » ? Voici 3 comparaisons :

D’après les stats du recensement (INSEE publication de 2009, chiffres de 2006) on trouve en France à peu près 18 mille communes de 400 habitants ou moins, soit à peu près la moitié des communes françaises, pour à peu près 5,5% de la population (~3,5 millions de personnes).
Le FNAEG fiche, chaque jour depuis 20 ans en moyenne, l’équivalent d’une commune entière.
En termes de population, les 8 mille communes ayant de 200 à 399 habitants cumulent seulement 2,3 millions de gens, soit 600 mille personnes de moins que le FNAEG.

D’après les chiffres de l’éducation nationale (2016-17) on trouve en France 7.100 collèges pour un total de 3.325.400 collégiens, ce qui donne une moyenne de ~468 collégiens par collège.
Le FNAEG fiche, chaque jour depuis 20 ans en moyenne, l’équivalent d’un collège presque entier.
En termes de population, le FNAEG contient au total 2,9 millions d’individus plus 480 mille traces, soit un cumul de 3,38 million de fiches, ce qui fait plus que l’ensemble des collégiens de France (~55 mille en plus, une ville moyenne).

On compte presque 68 millions d’habitants en France, donc le FNAEG contient ~4,25% de la population : cela représente 17 personnes sur 400 habitants. Selon la compagnie, l’aménagement intérieur et la version, un avion assez répandu comme le Boeing 747 embarque peu ou prou 400 passagers, donc sur chaque vol cela ferait à peu près 15 à 20 personnes fichées au FNAEG. Ou bien en moyenne sur 20 ans, l’équivalent d’un avion fiché chaque jour.






OB a écrit :

Moi ca m’étonnerais pas du tout:


Étonné ou pas, ça fait beaucoup. Comment est-ce que cela se compare avec les chiffres des condamnations réelles ? Où trouve-t-on les stats détaillés sur le contenu du FNAEG, c’est-à-dire le nombre de fiches pour chaque motif et durée d’inscription ?



Le 16/11/2018 à 18h 32






crocodudule a écrit :

(…/…) Néanmoins et depuis il est dans le fichier, restant dans l’attente de son effacement. (…)


Et ce genre d’histoire suffirait à faire à peu près 400 personnes fichées quotidiennement au FNAEG en moyenne sur 20 ans ?
(sachant qu’en réalité au départ ce genre d’histoire ne valait pas un fichage)



Le 16/11/2018 à 17h 21

Comment est-ce qu’il peut y avoir 2,9 million de profils dans le FNAEG en 20 ans d’existence ?
=&gt; ça fait un rythme de ~402 personnes par jour, dimanches et féries compris !?
:eek:
edit: semi-grilled <img data-src=" />


40 caméras de surveillance dans une commune ? Disproportionné, selon la justice administrative

Le 16/11/2018 à 15h 47






dematbreizh a écrit :

Je suis stupéfait de voir tant de commentaires allant dans le sens de “fliquons tout le monde”…
Une caméra va-t-elle empêcher les délits? j’en ai de forts doutes… une casquette, écharpe ou une cagoule, ça existe, faudrait pas l’oublier dans votre délire.


…prochaine loi : tout le monde en tenue d’Adam et Eve, alors ?

—–&gt;[ ]



Appel de Paris : pour la cyberpaix, Macron entre régulation et coopération avec les géants du Net

Le 14/11/2018 à 19h 59

<img data-src=" /> pour l’article !
Je suppose que du chemin a été fait depuis Échelon.

PS: euh… par contre, la photo <img data-src=" />


Bercy fouillera les réseaux sociaux pour dénicher les incohérences fiscales des contribuables

Le 14/11/2018 à 18h 19






krogoth21 a écrit :

Un petit principe dont il est bon de se souvenir : une mauvaise action n’en excuse pas une autre. Une grosse fraude n’excuse pas les plus petites.



Ce n’est pas parce que le fisc n’a pas les moyens (humains et/ou matériels et/ou juridiques, etc…) d’épingler les plus gros fraudeurs qu’il doit se priver d’épingler les moins gros.





« Ce n’est pas parce que mon gros 4x4 qui pue ne peut pas se permettre d’écraser les sangliers que je vais me priver d’aplatir les chatons de la voisine. »
<img data-src=" />



La Freebox v7 au-delà de sa date de lancement

Le 12/11/2018 à 20h 55






OB a écrit :

Et oui, toutes ces contraintes sont , en autre ce qui a motivé et démocratisé l’utilisation des smartphones comme accès au net au boulot….


C’est pas parce qu’on peut passer par la fenêtre que ça justifie de laisser murer la porte <img data-src=" />



Le 12/11/2018 à 17h 34

Moui, et donc pas de filtrage HTTPS sur le matos/réseau pro : soit c’est interne ; soit c’est sandboxé ; soit c’est interdit. Du coup quand JP de la compta va râler au sujet de ses chef sur le net en des termes très véhéments ; sa boite ne pourra pas l’espionner by design. <img data-src=" />


Le 12/11/2018 à 17h 33






brice.wernet a écrit :

Certaines boites font cela, pour que l’antivirus et les systèmes de sécurité par analyse du contenu de paquet fonctionnent.


Mouaip’, mais y’a aucun contrôle préventif, et le seul moyen de vérifier me semble être de demander à la CNIL, qui n’a probablement pas assez de personnel pour contrôler toutes les boîtes qui font ça ou feront ça à l’avenir. En clair : c’est open bar. <img data-src=" />



Le 12/11/2018 à 17h 33






OB a écrit :

Après je pense que le but est plus d’éviter les virus, cryptolocker, les liens à a con comme en mentionne SebGF. Un espion déterminé, il a un smartphone avec un appareil photo dessus, donc à partir de là, game over.


Ben regardons le résultat : comme tout le monde s’est habitué à ce que tout le monde utilise son smartphone, un espion n’aurait même pas besoin d’être déterminé, il serait indiscernable <img data-src=" />

L’exemple de l’enveloppe me semble toujours pertinent, surtout si on parle de virus. Actuellement les antivirus s’interposent au moment de l’accès aux fichiers, puisque l’OS permet cela. Et au niveau internet, rien de ce genre n’est donc prévu pour sécuriser les navigateurs en local sur le poste de l’utilisateur ?, ce qui amène des gens bien intentionnés à déporter cette sécurisation avec des bidouillages de flux sécurisés d’une part, et à dire qu’ouvrir les enveloppes d’autrui n’est pas bien grave voire légitime d’autre part. On marche sur la tête… et ils ne te rejoignent pas au sujet du “c’est temporaire” =&gt; ça fait longtemps, bien longtemps, que cette technique existe… <img data-src=" />



OB a écrit :

(…) c’est pas forcément la TPE du coin de la rue, il faut que le boulot soit assez sensible ou assez important


oui, mais est-ce vraiment le boulot qui motive la mise en place d’un tel dispositif d’intrusion ? Est-ce que les adminsys sont vraiment tous démoniaques ? Puisque tu parles d’airbus, est-ce que ce ne serait pas “un monde de normes” avec des audits, des certifs à présenter à l’actionnariat ? Quelle est la part de motivation technique réelle au final si tu risques de rater ton audit au cas où tu l’aurais pas fait et que tes clients exigent cette certif précise ?



Le 11/11/2018 à 19h 56

J’ai pas vraiment le temps de lire ces 2 liens tout de suite, mais jute une remarque à propos de celui de l’ANSSI : le titre dit bien “… lorsque c’est indispensable”.
ça a de quoi me faire bondir quand je relis ce qu’à écrit OB :





OB a écrit :

(…) Ce serait maintenant, je l’aurais juste pris sur le téléphone en 4G.


Donc il faut aussi filtrer le réseau mobile, ou le brouiller, voire carrément interdire aux employés d’avoir un portable (si la sensibilité/confidentialité le justifie).
Ceci étant dit, comme les navigateurs savent exécuter du code en local (javascript), ça doit pas être bien compliqué de crypter vite fait des données avant de les envoyer à travers le filtrage HTTPS ; donc il faut aussi en plus un filtrage des sites accessibles. Du coup, pas de facebook et autres, trop facile de cacher les données dans les métadonnées d’un jpeg. Et bien sur, en bloquant carrément le javascript, y’a plus rien qui fonctionne ou presque <img data-src=" />
Donc on en reviens toujours à la même chose : ça fait chr les gens normalement honnêtes sans pour autant empêcher un espion motivé de récupérer des données. De la poudre de perlimpinpin quoi… <img data-src=" />



Le 11/11/2018 à 18h 35






OB a écrit :

Sauf que normalement t’a signé la charte et que cette charte est censée indiquer ces faits.



“Bienvenue à l’armée, t’as signé, c’est pour en chier.”
Sinon, dans le monde réel, on répondra au sergent instructeur : Pas si simple…



OB a écrit :

Je trouve ça nettement moins gênant maintenant que presque tout le monde dispose d’internet sur son téléphone , là où il y a quelques années, l’accès internet du taf était les seuls accès des personnes.



Et si pour réfléchir à internet il suffisait d’arrêter de se focaliser sur internet avec des grosses œillères ?
Tiens, revenons aux années 60 quelques instants…
M. Michu, employé de bureau, a un courrier personnel privé important à faire sans délai et à poster. Il a le choix :




  1. il rentre chez lui le soir, rédige son courrier, retourne le poster, rentre à nouveau chez lui

  2. il rédige son courrier au taf à son bureau avant de partir, et passe le poster en rentrant chez lui

  3. il s’enferme dans les chiottes pour rédiger son courrier sans être vu, et passe le poster en rentrant chez lui
    … voilà, je te laisse deviner lequel de ces choix est le plus raisonnable…

    …est-ce que l’employeur peut se permettre de vérifier le contenu de l’enveloppe dans le cas n°2 ? dans le cas n° 3 ?
    Sachant que M. Michu, comme la plupart des employés de bureau, ne travaille pas sur des données ni sensibles ni spécialement confidentielles ? et que l’enveloppe contient bien un courrier privé et non pas les plans d’Airbus pour conquérir Jupiter… <img data-src=" />

    Le smartphone, même en 12G ultra-futuriste, n’a rien à voir avec la question de l’ouverture de l’enveloppe.
    <img data-src=" />



Le 11/11/2018 à 13h 56






brice.wernet a écrit :

Sauf à  décrypter et recrypter avec son propre certificat



C’est foireux avec les sites en HSTS


If the security of the connection cannot be ensured (e.g. the server’s TLS certificate is not trusted), the user agent must terminate the connection (RFC 6797 section 8.4, Errors in Secure Transport Establishment) and should not allow the user to access the web application (section 12.1, No User Recourse).


Voir la RFC 6797 (en lien) : ton idée est considérée comme une attaque de l’homme du milieu puisque cela empêche le protocole de garantir la sécurité de la connexion. Un peu comme si un proprio d’immeuble mettait des digicodes à chaque appart qu’il loue, mais en se gardant un code perso qui ouvre tous les logements. <img data-src=" />

Le problème est que même certaines boîtes font ça, ce qui leur permet par exemple d’accéder en clair à l’ensemble du trafic de leurs employés, y compris quand c’est personnel (par exemple facebook ou autre pendant les heures de pause)… ☹



Le 09/11/2018 à 17h 31


Plus le temps passe, plus l’équation sera difficile à résoudre pour Iliad, dont les nouvelles Freebox devront non seulement étonner à leur lancement, mais aussi être parées pour le futur. Wi-Fi Gigabit ou plus, réseau à 10 Gb/s, Multi-WAN ou partenariats dans le streaming et autres services de « Cloud gaming » seront-ils au rendez-vous ?

Vu que le futur est aux réductions des consos d’énergies ; je verrais plutôt une box modulaire de la taille d’un smartphone et qui consomme 2 fois moins ; et pour les options on rajoute des modules genre un module “box cuivre”, un module “box fibre”, un module “serveur type NAS”, un module “wifi”, un module “player tnt”, etc.
Après tout, les voitures avec option cafetière ont fait un flop, mais pour plaire aux geeks, ça permettrait d’ajouter un module exprès <img data-src=" />


Les États européens divisés sur la taxation des géants du Net

Le 08/11/2018 à 16h 44






Faith a écrit :

Allez je suis gentil,  je répète: impossible de taxer au même taux, puisque l’assiette est différente.


Surtout, ne te demandes pas pourquoi j’ai parlé de bénef. Surtout pas. Surtout surtout surtout pas. <img data-src=" />
J’aurais du écrire « aux mêmes taux » au pluriel… ah ben en fait non, c’est drôle, ça change rien au sens !



Faith a écrit :

Il n’y a pas eu de fusillé. La première banque a faire faillite a été LB, l’état l’a laissée faire.
 Ce n’est pas une question de hasard ou de complot, c’est l’histoire du premier arrivée. (à moins que je me trompe et qu’une autre banque ait été sauvée avant LB pendant cette crise ? auquel cas, je pourrais être d’accord avec toi)


Oui tu t’es trompé : si l’état avait eu assez d’argent en caisse, il aurait renfloué LB sans hésiter. Mais comme tu veux (avec d’autres) que ce soit impossible de taxer par pur racisme envers les assiettes différentes, eh bah du coup il manquait d’argent pour le faire.
Donc la faillite de LB, c’est ta faute et puis c’est tout.
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Le 07/11/2018 à 19h 05

Aller, je suis gentil, je répète en articulant bien :





Tsinpen a écrit :

(…) même s’ils ont bien compris l’idée de taxer les entreprises selon le lieu de réalisation d’un bénef à la place du lieu d’établissement “officiel” ; il reste du chemin à faire pour les taxer au même taux que les autres entreprises.


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Le 07/11/2018 à 17h 33

Nan mais faut lire les phrases entières et citer des phrases entières au lieu de saisir le premier bout de fil qui dépasse dans le but de détricoter le pull. C’est raté, c’était pas un pull… <img data-src=" />
Tiens, re-v’la la suite si tu veux la relire :… à toi aussi il te reste du chemin à faire… <img data-src=" />





Tsinpen a écrit :

(…) même s’ils ont bien compris l’idée de taxer les entreprises selon le lieu de réalisation d’un bénef à la place du lieu d’établissement “officiel” ; il reste du chemin à faire pour les taxer au même taux que les autres entreprises.



Le 07/11/2018 à 16h 46


La France pousse ce projet, qui vise à ponctionner 3 % du chiffre d’affaires européen des entreprises affichant plus de 750 millions d’euros de CA mondial, et 50 millions sur le vieux continent.

C’est de l’arnaque, l’impôt sur les sociétés est plus élevé que ça ; même s’ils ont bien compris l’idée de taxer les entreprises selon le lieu de réalisation d’un bénef à la place du lieu d’établissement “officiel” ; il reste du chemin à faire pour les taxer au même taux que les autres entreprises.
Y’a aucune raison de leur faire une faveur pareille !… <img data-src=" />


Taxe sur les géants du Net : Londres se lance, des entreprises s'inquiètent en Europe

Le 06/11/2018 à 20h 42






tmtisfree a écrit :

C’est bien moins lisible, merci.


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tmtisfree a écrit :

« “révélations” de Bloomberg » : non confirmées à ce jour. La « dévaluation » n’est pas une prédiction mais une conséquence (basique) de la loi de l’offre et la demande qui prédate la théorie de quelques centaines d’années (quand même).


HS – l’habit ne fait pas le moine : pour caricaturer, on traite SuperMicro de sorcière, et ensuite on la met au bucher. Effectivement, ce sont des comportements quelques centaines d’années en arrière(*).
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tmtisfree a écrit :

« j’avais bien compris avant de te connaitre » : tu ne me connaissais pas que tu avais déjà des préjugés, classique. Note que tu ne perçois seulement que ce que je veux bien que tu perçoives. Rien ne dit en plus que ta perception est correcte.


HS – et c’est bien un constat.
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tmtisfree a écrit :

« l’existence de contraintes est un obstacle aux échanges libres » : cela va possiblement t’étonner, mais je ne suis pas en désaccord. Les contraintes sont une réalité tangible qui font le sel de la vie mais leur existence n’implique aucunement iniquité ou non liberté de l’échange : les agents intègrent automatiquement ces contraintes — au moins celles pour lesquelles ils ont des informations — quand ils échangent. Comme les contraintes (et le vécu, l’activité, etc.) ne sont pas les mêmes de part et d’autre, le « calcul » de la valeur est aussi différent, d’où sa nécessaire subjectivité. Le livre de D. Kahneman Système 1 / Système 2 est une bonne introduction pour comprendre sur quelles bases un agent économique prend des décisions.


HS – et (bis) l’habit ne fait pas le moine, etc.
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tmtisfree a écrit :

Pour conclure, la proposition qu’un bien/service échangé se fait sur la base de sa valorisation subjective est naturelle et permet d’expliquer un grand nombre de phénomènes observés dans le système fonctionnel spontané qui sert de moteur au développement économique.


HS – il ne suffit pas d’expliquer la nature.
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tmtisfree a écrit :

On a le droit de ne pas être d’accord, mais il faut le démontrer ou proposer mieux.


HS – et c’est faux, sinon ce serait toujours le meilleur programme politique qui remporterait les élections.
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(*) -&gt; eh bien je préfère avec smileys plutôt qu’avec sorcières. <img data-src=" />



Le 06/11/2018 à 18h 21

Moui, donc effectivement tu n’aimes pas les smileys, tu détestes les smileys, tu exècres les smileys, tu hais les smileys, etc. Comme je disais il y a quelques jours : c’est dommage.

Pour rester dans l’actualité pas trop vieille, celle à propos de SuperMicro et des “révélations” de Bloomberg, on a pu constater une dévaluation de SuperMicro par des gens qui comme toi n’aiment pas les smileys : si c’est ça que tu appelles être capable de prédictions vérifiées ; okay, j’avais bien compris avant de te connaitre ; ce n’est pas ce que quelqu’un de raisonnable appellerai de ses vœux au nom d’un dévoiement de la liberté.

Il y aurait tant à dire… Mais sans smileys je refuse :






Tsinpen a écrit :

Disons l’inverse : quand tu achètes un poireau, tu t’attends à ce que cela aie une retombée économique et sociale. Les “consommateurs de GAFA” (sic) ont déjà payé, et l’idée de ce genre de taxe est d’obtenir la part de ces retombées qui n’est pas arrivée du fait de leurs structures en multinationales, leur permettant des échappatoires fiscaux interdits aux producteurs de poireaux. Ledit producteur perçoit cela comme inéquitable, puisque lui n’a pas accès à ces échappatoires, et que pourtant il lui faut bien payer un smartphone à ses ados qui seront bientôt étudiants… et quoi plus de “laissez-faire” va rendre les poireaux plus agréables à ramasser : le sol sera toujours aussi bas, non ? <img data-src=" />



Bref, si, l’existence de contraintes est un obstacle aux échanges libres ; mais tu confonds cela avec d’autres idées, telles que l’équité ou le consentement mutuel à échanger ou la liberté.

…sans smiley, … vraiment ?



Le 05/11/2018 à 17h 41

J’y suis pour rien si t’as pas les yeux en face des trous… même si tu n’es pas satisfait de ce que tu obtiens en me croyant à ton service, ce qui n’est pas le cas.
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Tu te démène pour trouver la formule “bien sentie”, sans répondre au moindre argument de fond, et j’en ai écris à la pelle : commence par y réfléchir, et pour ma part je ne te reprocherais pas l’absence de smiley dans ta réponse… s’il y en a une un jour qui soit autre chose que des ergoties ineptes.
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=&gt; La transitivité (en maths) s’applique à une relation binaire rationnelle. Or il se trouve que ta définition de la valorisation subjective n’est pas rationnelle. Par exemple, quand on compare la valeur d’un poireau à un autre poireau d’une part ; et la valeur d’un poireau à de l’argent d’autre part, les deux comparaisons ne se font pas avec le même opérateur subjectif, ce qui est pourtant nécessaire pour pouvoir parler de transitivité. C’est encore un contre-sens de ta part, on va finir par croire que c’est ta spécialité !
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L’indexabilité est un outil permettant d’associer à chaque objet comparé un index. Comme tous les index sont issus d’un même ensemble (à l’inverse des poireaux et des montres, par exemple), on effectuera ensuite les comparaisons sur les index, toutes avec le même opérateur rationnel (définit sur l’ensemble en question), donc l’indexabilité “contient” l’idée de transitivité.
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=&gt; J’ai déjà expliqué que ta notion de l’échange est incomplète, et tu ne fournis aucun argument de fond en réponse à cela : tu assène des définitions cycliques, c’est à dire des choses vraies parce que la définition que tu en donne dit qu’elles sont vraies. Et comme tu affirmes sans le prouver que tous les échanges sont libres, cela prouve au final que tu ne lis pas les actus de NXI, ou que tu ne les comprends pas : les exemples d’échanges non-libres foisonnent.
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=&gt; C’est une jolie pirouette que de me dire que historiquement certains ont appris à nager sans qu’on leur donne de cours ; mais même toi tu crains la noyade (alors qu’un peu d’eau dans le vin n’a jamais noyé personne) : est-ce que tu penses raisonnable d’interdire toute forme de cours de natation ?
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=&gt; Il y a encore une contradiction, entre d’un côté ta défense du “marché libre” où chaque agent, après avoir valorisé subjectivement les 2 parties d’une transaction déciderait de manière libre s’il accepte ou non l’échange ; et de l’autre côté le fait historique qu’il y ait eu des “lois commerciales spontanées” : s’il y a des lois, alors un agent peut être contraint par icelles d’accepter ou de refuser un échange, ce qui confirme qu’il y a bien des “échanges contraints” comme je te l’ai déjà dit : c’est toi-même qui vient d’ajouter à la discussion, avec ton PDF, que ce sont les “agents économiques” eux-mêmes qui souhaitent être contraints. Merci d’avoir abondé à mes arguments.
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Le 04/11/2018 à 16h 30

Mazette, c’est que je l’ignore bien volontairement, n’étant pas un illusionniste !
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tmtisfree a écrit :

C’est le b.a.-ba discursif si on espère au minimum être compris(e) ce qui est le but de la discussion elle-même il me semble. Sinon on passe perd son temps à monologuer, à courir après des éclaircissements, demander des définitions, etc. comme ici.



Une discussion n’a pas de forme précise obligatoire, et le dialogue en est une. Être compris revêt une ambiguïté forte : s’agit-il d’enseigner, d’éduquer voire de convertir autrui à une idée par la force de ses mots (liberté d’expression) que dans ces cas cela ressemble fort pour moi à une de ces “violences” qu’en tant que libéral tu me semblais rejeter (ie. légale mais illégitime). S’agit-il d’exposer ou d’expliquer que l’on se rapproche pour moi d’un échange social équitable.
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tmtisfree a écrit :

Le but est d’arranger ses propositions (= arguments) — si on en a — idéalement selon une ligne directrice ou idée maîtresse (la « mienne » étant ici que la valeur est nécessairement subjective puisqu’elle dérive d’une appréciation individuelle), puis de structurer son discours selon les règles de la logique pour éviter l’écueil de l’embrouillamini incohérent. (On apprend cela en 2nde-terminale.)



Un dialogue n’est pas un terrain de football, avec ses lignes délimitant l’espace de pensée dont l’accès est permis, et ses règles définissant les méthodes autorisées pour s’y rendre ; il s’agit au contraire d’une expression libre de chaque membre. Le cas présent du dialogue épistolaire offre des libertés supplémentaires : par la persistance des écrits, cela permet une sérendipité interdite à la fugacité des propos oraux. De ces détours et à côtés peuvent naître des idées, sujets ou pistes de réflexion inattendus, qui sont autant de buts éphémères et aussi peu de points finaux.
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tmtisfree a écrit :

Tu n’as pas été capable de capturer l’essence de tes idées pour exprimer en une seule phrase ta position (note que je ne demande même pas une argumentation à ce stade). Tu te contentes de lancer des fléchettes les yeux bandés avec le panneau dans le dos : ne t’étonne pas de ne pas faire mouche.



L’essence de mes idées est mienne, la capturerai-je pour te la donner que je la perdrais aussitôt ! Ces fléchettes sont autant de graines, elles ne font pas mouche par destination : c’est à toi de choisir si tu souhaites les cultiver en ton jardin intérieur pour une récolte future ou si tu souhaites les manger au risque d’en perdre le fruit ; je respecte ainsi ta liberté de pensée.
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tmtisfree a écrit :

(…)
Ce § aurait pu être intéressant, la 1ère phrase étant évidente (elle supporte la notion de marché) et la 1ère partie n’étant qu’une redite de mon point (la « perception de ce bien/service » étant exactement équivalent à une « valorisation subjective » qui est exactement la même chose que la « perception subjective de la richesse ».



La 1ère phrase ne supporte rien, ce n’est qu’un constat (d’où l’évidence).
La « valorisation » et la « perception » sont des concepts différents. La 2ème revêt d’un processus d’observation et d’appréciation effectué a priori ou sur l’apparence. La 1ère induit un résultat comparable (à une autre valorisation) après un processus de réflexion (rationnel ou non) fondé sur des éléments non-supposés (objectifs ou subjectifs). Ce résultat comparable peut toujours s’exprimer en des termes transmissibles et/ou compréhensibles par autrui, à l’inverse d’une perception pour laquelle la transmissibilité n’est pas systématique.
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Par exemple, je vois la lumière du soleil est une perception intransmissible à un aveugle de naissance ; je sens la chaleur du soleil est une valorisation transmissible au même aveugle. C’est le même soleil, mais sa lumière et sa chaleur ne sont pas la même chose. Ainsi de la différence entre la « valeur du bien/service échangé » (un morceau d’entreprise et de son avenir) et la « valeur de la perception de ce bien/service » (le cours du morceau dans un marché d’échange de morceaux).
🌞

L’indépendance réelle de ces deux valeurs est historiquement prouvée au-delà de tout doute raisonnable par différents cas d’entreprises en faillite dont le cours chuta en-deçà de la valeur immobilière des bâtiments possédés : le fait que différentes parties de l’entreprise soient cotées sur des marchés différents amène à des perceptions différentes de l’entreprise par les agents de ces marchés, et donc à des valorisations différentes qui ne sont pas dues à la subjectivité des agents mais à la nature de ce est perçu : c’est la multiplicité des appréciations similaires par différents agents qui amène à parler de perception, l’idée de subjectivité partagée par plusieurs aurait plus à voir avec le mysticisme.
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tmtisfree a écrit :

Cependant tu introduis à la fin une notion, semble-t-il en opposition, de « richesse elle-même », qui tombe comme un cheveux sur la soupe (car ad hoc et artificielle selon moi). J’en demandais donc la définition explicative avant de développer une réponse convenable, mais ta seule réplique se contente de partir en vrille (point 6/) avec un ricanement stupide qui ne présage rien de bon.



Ah mais ça n’a rien d’une vrille, je te le (re-)certifie : tu n’as pas besoin que je te définisse le “moche” pour apprécier le “beau”, ainsi le cerveau ne fait pas que des comparaisons comme tu veux le prétendre, il sait apprécier irrationnellement des idées à la fois relatives (l’opposition entre le “beau” et le “moche”) et irrelatives (la “beauté” dans un sens plus absolu, par exemple celle de l’être aimé que par l’aveuglement de/ou l’amour on ne compare à aucun autre).
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tmtisfree a écrit :

La question reste entière : qu’est-ce que la « richesse réelle » ? D’où vient-elle ? Qui la définit comme telle ? Pourquoi la mettre en opposition avec la définition usuelle de la richesse (qui est l’accumulation de valeur) subjective ?



Juste pour te taquiner, je remet le point sur le “i” : j’ai écris « richesse elle-même » et non pas « richesse réelle ». Cette 2ème formulation est différente, puisque l’idée de réalité infère une idée de matérialisme, ce qui pollue l’idée même de richesse, qui n’a pas lieu de rester ainsi enfermée dans un monde seulement réel, les artistes nous rappelant sans cesse à l’immense richesse de l’imaginaire.
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Tu me demandes donc la définition d’une chose que tu veux réelle mais qui a pourtant une part d’irréalité plus importante encore : cela n’a pas de sens, et je ne peux répondre, ce que tu as déjà confirmé depuis longtemps en parlant de la subjectivité.
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Comme je te l’ai déjà dit, tu n’as pas besoin que je te définisse la « richesse elle-même » pour comprendre le § que tu as pris en exemple ; et c’est là que je reviens sur ton propos initial sur le « b.a.-ba discursif ».
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Quelle serait l’utilité expressive pour moi de “réclamer” l’autorité de poser une telle définition alors que j’ai su formuler mon propos d’une manière qui exclut tout besoin d’une définition, ce qui résout ta question « Qui la définit comme telle ? » !
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Dans d’autres situations sur d’autres sujets je pourrais peut-être admettre qu’il faille une définition, mais pas sur ce point précis car toute définition contient une part de limitation, et comme il s’agit ici d’opposer une perception avec la chose perçue, ce serait hors-sujet de limiter la chose en question (en se concentrant sur la définition de la richesse au lieu de sa perception, objet des échanges).
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C’est pourtant le travers dans lequel tu échoies en parlant « d’accumulation de valeur » et de « valeurs subjectives comparables ». Voici un zeste d’algèbre : la comparabilité implique l’indexabilité (“X &gt; Y” et “Z &gt; X” implique “Z &gt; Y”) ; et l’accumulation implique une temporalité (si mardi j’ai X et que je ne l’échange pas, alors mercredi j’ai encore X).
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Mais comme tu veux que les valeurs soient subjectives, rien n’empêche un agent économique de décider, le jeudi, que dorénavant “X &lt; Y”, et qu’il peut “s’acheter” Y en l’échangeant contre X (et y gagner), qui était pourtant de moindre valeur le mardi… ce qui fait que l’autre agent qui avait pensé avoir accumulé Y se retrouve avec une valeur moindre à elle-même l’avant-veille même sans accepter l’échange pour peu que d’autres agents le fassent (ce qui rejoins l’idée de ce que j’avais appelé “échange contraint”, sous une autre forme de contrainte, l’influence tierce)…
:oui2:

…ça ne mène nulle part ! L’idée de subjectivité des comparaisons de valeurs contredit l’idée d’accumulation de valeur parce qu’il ne peut y avoir cumul que si et seulement si la valeur relative de la chose cumulée par rapport à toutes les autres valeurs du même marché est indépendante des comparaisons futures. Cela n’est possible que dans un marché fermé, par exemple celui du poireau en bottes de douze si considéré comme indépendant de tous les autres marchés du poireau, qu’il soit seul ou en bottes de six ou dix-huit, etc.
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Autrement dit, tu cherches et me demandes la définition d’une chose (la richesse) après avoir toi-même posé les concepts qui interdisent de la définir (du moins, au sens scientifique).
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D’où l’importance de saisir que les échanges dans un marché libre sont faits sur la base de la perception d’une valeur et sur l’appréciation de cette valeur, ce qui n’est pas une comparaison ni subjective ni objective (ce qui permet les transactions de demi-échanges, qui sont bien des réalités, comme l’exemple ci-dessus du cours d’une valeur qui baisse).
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Corollaire direct : comme les agents des marchés ne s’échangent que leur perception de la richesse et non pas la richesse elle-même, la « richesse réelle » que tu me demandais de définir n’existe pas elle non plus au sein des dits marchés libres (ie. en plus de la richesse tout court telle que tu as limité sa définition avec des théories subjectivistes), et ces lieux ne permettent ni création ni destruction d’autre chose que cette perception : si ou quand les actes réalisés dans un marché d’échange ont une influence en dehors de ce marché, cela ne peut qu’être du à une volonté extérieure au marché.
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Typiquement, cette volonté s’exprime sous la forme de règlements de commerce imposés par des états, sans lesquels nul entrepreneur sérieux (ie. pas les Bisounours) n’accepterai de son seul plein gré de céder sa boite à un prix dévalorisé au prétexte que le cours de son action a baissé, et nul marché ne pourrait l’y contraindre sans lui payer une contrepartie. Cela annulerait tout ou partie de la dévalorisation des agents du marché, et donnerait ainsi à l’entrepreneur autorité sur le marché et ses échanges : il ne pourrait être libre. Toujours convaincu que l’impôt/taxe, c’est du vol ?
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Par écho à la ligne mise en gras plus haut, je souligne que cette conclusion ne signifie pas que je supporte quoi que ce soit, ni qu’elle réfute mes propos précédents.
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Avec l’espoir que ce raisonnement soit présenté de façon globalement assez linéaire pour toi et avec suffisamment peu de détours et d’à côtés pour que tu ne t’y perdes pas,
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PS: je ne sais pas quand les commentaires ferment sur les news, mais si tu as d’autres questions aussi entières, il va falloir qu’on prévoie d’ouvrir un sujet sur le forum, nan ?
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Le 04/11/2018 à 08h 21

J’ignore qu’est-ce que tu appelles une “réponse argumentée”, ça doit être une notion formelle, encore. <img data-src=" />
Il y a quelques arguments dans ce que j’ai écris, mais il y a aussi des ouvertures : tu n’as répondu quasiment à aucun et aucune ; un peu comme un “client mystère” qui chercherai obstinément du poireau pas frais sur les étals du marché en ignorant tout le reste, pourtant comestible et de qualité au moins correcte. <img data-src=" />
Donc tantôt je coupe les cheveux et j’écris trop, tantôt je ne capte pas quand j’écris moins, c’est de là que te viens cette impression de vide ! <img data-src=" />


Le 03/11/2018 à 19h 07

Je constate que tu te fatigues pour rien, ce sont des réponses de forme ou des non-réponses, du verbiage, de la logorrhée, appelle ça comme tu veux. C’est dommage.

1/ non-réponse

2/ verbiage faux (et mensonger, dans l’hypothèse où tu serais plus futé que ça)

3/ & 4/ pure formalisation de ta part, il n’y a aucun oxymore dans cette expression. Ceci dit, ravi de lire que tu n’as rien trouvé à répondre <img data-src=" />

5/ je suis laïc, et ne répondrais pas à ça ! C’est complètement <img data-src=" />. Et pourtant c’était pas dur à comprendre.

6/ logorrhée ; argumentum ad nauseam 🤮

8/ En écrivant que « l’économie est une science sociale », tu sépares “économie” de “sociale” au moyen de 3 mots. Et il n’y a pas de “vice-versa” ni de “parce que”. Te voilà effectivement plus avancé <img data-src=" />

9/ L’exemple en question était un proverbe asiatique, peut-être chinois, sauf que j’ai remplacé le poisson par le veau et la pêche par l’élevage… Bah oui, qu’est-ce que tu voudrais qu’il fasse d’autre avec plusieurs veaux ? évidemment qu’il sait travailler ! 🙄. Bref, tu es cruel en fait : pour toi tout doit reposer sur la capacité de chacun à suspecter quelque chose d’inéquitable. J’espère pour toi que tu ne rencontreras pas un escroc plus futé que ce que tu te crois, mais c’est seulement parce que je doute qu’en rencontrer un te permette de comprendre quelle est ton erreur d’appréciation sur les capacités d’évaluation et de choix libre de chaque partie lors d’un échange…
…Mais tu vas probablement me répondre qu’un marché libre fait disparaître les escrocs ? et les arnaqueurs ? et les menteurs ?

10/ rhétorique simpliste, irréaliste, et absurde. C’est comme si tu disais que les individus n’ont pas le droit d’avoir des chars d’assaut et avions de combat ; donc les armées d’état ne devraient pas non plus. J’imagine vite les dégâts si on confiait de telles armes à des milices… et pourquoi pas, tant que tu y es, demander le droit pour toi et pour chaque autre individu d’avoir l’arme atomique avant d’autoriser les états à en avoir ? <img data-src=" />
…Mais tu vas probablement me répondre qu’un marché libre fait disparaître les guerres ? et les armées ? et les armes aussi ? et même les fous de la gâchette ?

11/ « on peut tout à fait redistribuer sans imposer/taxer » : c’est évident, en effet. Inutile par contre de fournir un autre PDF à ce point-là hors-sujet par rapport à ce que tu écris <img data-src=" /> L’étude que tu as citée ne porte que sur un segment très restreint de marché.
Le problème de la redistribution du marché par le marché est l’absence de toute possibilité de choix libre quand aux orientations sociales de cette redistribution.
C’est comme pour apprendre à nager : on ne jette pas les gens à l’eau pour ensuite sélectionner ceux qui ne se noient pas. Simple question de civilisation.
…Mais tu vas probablement me répondre que tout le monde sait nager dans un marché libre ? même les cul-de-jatte ? même les manchots ?

12/ Non, non, je ne confonds pas, c’est bien toi qui n’a pas saisi le sens, voir 2/

<img data-src=" />


Le 03/11/2018 à 12h 12

Bon mais vite fait alors, parce que le 🌞 est de retour <img data-src=" />

1/ Illustrer quoi ? un commentaire de la pensée d’autrui, une vulgarisation, un exposé d’une pensée propre ? OSEF, il vaut mieux être délié <img data-src=" />

2/ N’importe quoi. Par exemple, le cerveau n’est pas rationnel et sait apprécier des choses à la fois relatives et irrelavites telle que la beauté.

3/ & 4/ Les théories subjectivistes des échanges sont sombrement connues pour négliger les échanges contraints, on citera par exemple l’obligation d’assurer certains biens (logement, véhicule), mais surtout les obligations parentales. Ce qui est trivial, c’est qu’à l’époque de Ludwig von Mises, la convention des droits de l’enfant n’existait pas ! <img data-src=" /> Beaucoup d’autres choses ont changé et constituent autant de réfutations indirectes de ce type de théories : il faudrait pas croire que tout le monde va “perdre son temps” à tenter de répondre explicitement à ces discours quand il suffit d’écrire et d’appliquer des lois différentes…

5/ Mais non, c’est seulement que tu ne veux pas voir (ou admettre) que tous les échanges ne se font pas en regardant aux deux choses échangées. Si tu veux acheter ce magnifique chapeau qui t’a tapé dans l’œil, que c’est la 1ère fois que tu achètes un chapeau, est-ce que tu vas vraiment faire une étude économique complète du coût raisonnable d’un tel chapeau avant de l’acheter ? Non, certainement pas : l’émotion qui t’a amené à apprécier ce chapeau oblitère un part conséquente du choix rationnel, même subjectiviste.

6/ Tu as coupé la première moitié de la question <img data-src=" /> Il s’agit manifestement d’une question relativiste, ce n’est pas nécessaire de définir une notion absolue/objective de la richesse pour comprendre la différence entre elle-même et sa perception. Voir ci-dessus § 2/, la beauté.

7/ & 8/ Du tout, encore une fois tu négliges les échanges contraints (cf. 3/ & 4/) ainsi que les “demi-échanges” (cf. 5/)

8/ Plus précisément, ce 8/ est un excellentissime motif raisonnable pour ne surtout pas séparer “économie” et “sociale” (étant entendu que “sociale” n’est pas du tout “socialisme”) : il faut comprendre les échanges au sein des sociétés comme des actes sociaux, non pas économiques, pour se rendre compte que le subjectivisme dont tu fais l’éloge est une bien plus vaste entube que l’impôt/redistribution que tu décrie ! <img data-src=" /> (il suffit de regarder aux volumes d’argent dont il est question pour saisir l’idée de “vaste”…)

9/ Je te donne un exemple alors : si j’ai un million de veaux, et que mon voisin crie famine, je peux lui vendre un veau pour un prix qu’il accepterai, ce serait là un échange “volontaire et mutuellement bénéfique”, mais inéquitable : un échange équitable, dans cette situation, ce serait que je lui offre plusieurs veaux. D’où ce que j’ai écris : “L’équité d’un échange ne nait pas de la volonté d’accepter d’échanger” (sauf et seulement sauf si les 2 parties disposent d’une richesse infinie et n’échangent pas par nécessité).

10/ Certains ont les cheveux plus fins que d’autres, c’est pas pour autant qu’ils sont coupés en quatre… <img data-src=" /> Il n’y a rien d’HS ni d’évident à essayer de t’expliquer que l’impot/redistribution n’est pas un principe socialiste, ni un principe voleur : ceux qui prétendent le contraire sont des farfelus qui se perdent eux-mêmes dans les méandres d’un rationalisme trop poussé, trop éloigné de l’humain, et cela justifierai l’emploi de bien plus de smileys <img data-src=" />


Le 02/11/2018 à 18h 22






tmtisfree a écrit :

Je ne vais pas répondre à tous ces pâtés


You are free
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tmtisfree a écrit :

(qui pense clairement devrait s’exprimer succinctement)


« Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement - Et les mots pour le dire arrivent aisément »
L’Art poétique (1674) de Nicolas Boileau-Despréaux
Il n’a jamais été question d’être succinct ! Un certain gascon te dirait qu’à la fin de l’envoi, il touche, avec volubilité et grand style (en tout cas plus que moi <img data-src=" />), mais sans être succinct ni manquer de clarté ; c’est là une bien meilleure référence que ta pseudo-citation outragée, brisée et martyrisée au point que j’ai dû la libérer moi-même !…
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tmtisfree a écrit :

et mes « approximations » ne sont (peut-être) qu’incompréhensions et/ou interprétations déficientes de ta part et donc une incitation à approfondir…


Mes pénultièmes et antépénultièmes paragraphes se terminent par des questions qui sont des invitations à parfaire mes failles et déficiences… <img data-src=" />



tmtisfree a écrit :

Je vais faire bref. Ton erreur principale, entre autres, est d’assimiler l’argent à la valeur, ce qui est une hérésie (cf [1], page 38). L’argent n’est qu’un moyen, il ne peut être un système de mesure de valeur, ce qu’on peut prouver aisément.


Mais que je m’en fiche de ton PDF, ce n’est pas à Ludwig von Mises que je m’adresse, mais à toi !
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Quand tu parles de l’argent comme d’un moyen, c’est cela que j’ai qualifié d’iceberg ; comme tu le dis ci-dessous :



tmtisfree a écrit :

Quand un maraîcher me vend un poireau, ce dernier vaut moins que le prix demandé pour le vendeur, sinon il ne le vendrait pas ; et il vaut plus que ce prix pour moi, sinon je ne l’achèterais pas.


Quand tu dis « plus que » ou « moins que », tu effectues bien les comparaisons dont j’ai parlé, peu importe que l’argent soit un moyen, une valeur ou même une farce ! Ce serait un troc sans argent, tu ferais les mêmes comparaisons et tu te rendrais vite compte que l’objet de la transaction n’est pas de comparer mais d’obtenir la chose troquée, ce qui amène à faire des trocs économiquement irrationnels, tout le contraire de l’énormité ci-dessous :



tmtisfree a écrit :

Laisse infuser (ou percoler) ce principe économique fondamental : l’échange ne se réalise que si la valorisation des 2 agents économiques est différente !


Une fois encore tu idéalises l’échange comme étant indépendant et libre d’influences tierces : cela n’existe pas, pas même chez les quelques rares tribus tribales amazoniennes coupées de toute « civilisation » occidentale…



tmtisfree a écrit :

Les modalités d’échange peuvent varier, mais ce principe reste toujours le même. Ainsi se crée la richesse, le différentiel entre les valorisations subjectives des agents économiques. Un marché n’est rien d’autre que l’agrégation de multiples transactions de biens/services relativement équivalents, dont le seul but/avantage est de renseigner les agents sur l’état relatif de leurs valorisations subjectives respectives par le montant approximatif, variable et en équilibre dynamique (= le prix du marché) qui dépend de l’offre et de la demande à un moment donné.


Comme je viens de le dire, les choix de ces agents dépendent des choix des autres agents ; ainsi la « valorisation subjective » n’est pas celle du bien/service échangé, mais celle de la perception de ce bien/service : la « richesse » échangée par de tels agents n’est donc que leur perception subjective de la richesse ; ce qui est très différent de la richesse elle-même, en conviendras-tu ?
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En plus, je parlais du marché des poireaux, pas du marché boursier : dans le 1er cas, les échanges ne sont pas réalisés par des « professionnels de l’échange », ce qui modifie en profondeur leurs méthodes de discussion, négociation, décision, choix, etc… !



tmtisfree a écrit :

À aucun moment je n’ai parlé d’argent car c’est inutile.


Eh bah en fait, moi non plus : j’ai parlé d’iceberg de l’argent ; celui-ci n’est que la partie émergée de celui-là. Et d’ailleurs, je n’ai pas non plus parlé d’économie, mais de retombées économiques et sociales, volontairement sans séparer: je doute qu’on puisse prêter un sens au premier indépendamment du second : peut-il y avoir une économie sans société ?
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tmtisfree a écrit :

Tout le reste (de l’économie à l’économie politique) découle de la compréhension de ce simple principe :
1/ la distribution (et donc la redistribution) de la valeur est automatique dans ce système ;
2/ elle est équitable puisque les agents ont échangé volontairement ;
3/ un impôt/une taxe est donc prélevé/e sur cette valeur et donc aux agents puisque 2/ ;
4/ un impôt/une taxe est donc du vol.


L’équité d’un échange ne nait pas de la volonté d’accepter d’échanger, sauf à imaginer que l’on n’achète jamais quoi que ce soit par nécessité. Mais si on dispose d’assez de richesses pour n’avoir aucune nécessité, alors on n’a aucun besoin d’échanger. Donc ton 2/ est précisément un non sequitur, une simple affirmation gratuite… (Pareil pour le 4/ d’ailleurs)
Mais néanmoins admettons ton 1/ : en quoi serait-ce équitable ou juste ou même ne serait-ce qu’humain qu’un tel automatisme gouverne l’accès des gens aux richesses (richesses éventuellement issues de leur travail) ?
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Le 02/11/2018 à 13h 47

Pfiouuu…. Il y a peu de risques que nous tombions d’accord, pour moi tu additionnes des approximations et des quiproquos sans pour autant parvenir à multiplier les poireaux !
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tmtisfree a écrit :

Non, la seule retombée que j’attends de l’achat d’un poireau est une meilleure soupe (par ex.) parce que la valeur que j’en ai obtenue en l’échangeant contre autre chose est plus élevée que cette autre chose (par définition sinon il n’y aurait pas eu de transaction), ce qui fait qu’en définitive ma soupe (par ex.) est bien meilleure maintenant qu’elle n’aurait été sans ce poireau. Et c’est pareil pour celui/celle avec lequel j’ai réalisé cette transaction. On peut généraliser à toute l’économie de marché qui n’est que la somme de ce principe de base (l’échange).


Sur les retombées, si, tu en attends effectivement d’autres, voir ma réponse à ton 3ième paragraphe plus bas.
Sur les généralisations, ça ne marche pas comme ça (dans le sens : ce que tu dis n’existe pas). Tu confonds deux idées de « l’échange ». D’un côté tu idéalises un échange ponctuel (achat d’un poireau une fois à un producteur) comme étant parfaitement libre et indépendant de toute influence extérieure. De l’autre côté, tu parles des échanges intégrés à un marché comme étant comparables à ce premier idéal, alors qu’ils ne sont ni indépendants (par exemple quantités offertes ou demandées et pouvoir d’achat), ni libres d’influences tierces (par exemple la pression concurrentielle).
Sur la transaction, tu échoues à éviter l’iceberg de l’argent, c’est-à-dire que tu imagines qu’il soit toujours possible de donner une valeur à ce que propose chaque partie à la transaction et qu’il soit toujours possible de comparer ces valeurs. Surtout il est faux de prétendre que l’objet d’une transaction soit la comparaison de ces valeurs, même dans le cas où elles existeraient et seraient commensurables, puisque cette supposition n’a rien à voir avec de l’économie, c’est plutôt du matérialisme.
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tmtisfree a écrit :

Donc ici, la « part de ces retombées » n’est qu’un euphémisme pour décrire ce qu’on qualifie plus simplement de vol, une manière d’extraire illégitimement (mais légalement) de la valeur sans aucun autre mérite que d’avoir utilisé la loi et la violence pour l’imposer.


Je parlais des enfants du producteur de poireaux : en effet, il faut imposer une instruction et une éducation d’une manière ou d’une autre, par exemple en France via l’école obligatoire ; sans quoi, par exemple, les gens deviennent trop facilement manipulables et exploitables par le premier beau parleur venu ; par exemple, ils ne peuvent envisager d’avoir un futur libre faute d’être capables de l’imaginer : s’ils ne connaissent qu’une seule variété de poireaux, ils ne cultiveront que celle-là et le premier parasite venu ou la première maladie venue détruira toute la récolte.
On a déjà testé de manières extensives et intensives l’absence de cette imposition et de beaucoup d’autres, ça s’appelait le Moyen Âge (sans caricature aucune). Une conclusion historique importante des évolutions des époques suivantes (Renaissance, Époque Moderne) reste qu’il est vain et mensonger de prétendre être le seul propriétaire des richesses issues de son propre travail dès lors que l’existence dudit travail dépend soit de l’existence d’autrui, soit de sa demande. Si tu cultives des poireaux uniquement pour te nourrir, alors il s’agit bien d’une richesse dont tu es le seul propriétaire, et par exemple libre ou non de la partager avec tes invités. Si tu cultives des poireaux pour autrui, ce n’est plus le cas puisque la quantité que tu cultiveras dépendra de la demande d’autrui, d’où l’on déduit manifestement que la quantité de richesse produite issue de cette culture n’est pas le seul fruit de ton travail, même si c’est toi qui le fournis.
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tmtisfree a écrit :

La traduction future est que cette taxe va rendre mes prochaine soupes moins bonnes puisque soit le poireau sera de moindre qualité pour compenser ce vol, soit je n’achèterai pas de poireau du tout, soit je le remplacerai par autre chose que j’aime moins, soit le producteur fera faillite parce que sa marge sera maintenant trop faible, soit, soit, soit : les possibilités des conséquences inattendues sont toutes négatives.


Comme je disais plus haut, ce paragraphe montre que tu attends des retombées économiques et sociales lorsque tu achètes un poireau. Ces retombées sont que tu souhaites pêle-mêle qu’il y ait d’autres poireaux à l’avenir, qu’ils soient aussi bons voire meilleurs, que d’autres que toi, lorsqu’ils t’invitent à diner puisse aussi en acheter pour t’en servir, que tes enfants puissent aussi en acheter, que le producteur puisse vivre de ces poireaux, etc.
Autrement dit, tu n’achètes pas « juste un seul et unique poireau une seule et unique fois à un seul et unique producteur que tu ne rencontres qu’une seule et unique fois au cours de ta vie et de la sienne parce qu’il sort d’une lampe magique qui ne fonctionne qu’une seule et unique fois pour l’ensemble de l’humanité passée présente et future ». C’est la seule situation où il n’y aurait réellement aucune retombée économique et sociale (et encore, c’est à condition que le poireau acheté soit pour te nourrir toi seul).



tmtisfree a écrit :

C’est une manière d’illustrer que l’imposition/taxation est une perte pure pour celui qui la subit, et par généralisation pour la société entière. Bien sûr les imposteurs et les corrompus qui soutiennent une telle iniquité se drapent dans les oripeaux de l’égalitarisme pour justifier leurs exactions, alors que le résultat sera la déliquescence un peu plus avancée de la société dans son ensemble.


Effectivement, l’imposition/taxation seulement subie et sans contrepartie est une pure perte pour celui/celle qui se trouverait dans cette situation (typiquement, il s’agira du SDF qui paie la TVA sur ce qu’il achète avec le pécule de sa mendicité, sachant que ni les douches publiques, ni les hébergements d’hiver ne sont financés par cette taxe) ; mais ce n’est pas une généralité : presque tout le monde préfèrera payer pour le retraitement de ses ordures plutôt que de vivre dans des dépotoirs. Il n’y a donc pas d’imposture dans l’existence d’une taxe obligatoire à ce sujet : ce qui peut être discuté, c’est son montant, son assiette, son utilisation précise, etc. Et la déliquescence serait plus importante sans structures sociales pour organiser cela : les poireaux qui poussent dans de bonnes terres sont meilleurs que ceux qui poussent dans des sols pollués.



tmtisfree a écrit :

S’il y a des « échappatoires fiscaux », c’est sûrement que les enfers fiscaux existent. Et si les producteurs de poireaux s’y font malheureusement plumer, il n’y a aucune logique à préférer le nivellement par le bas pour compenser, surtout quand on voit le lamentable état et échec socio-économique de ceux qui pratique la taxation/imposition à outrance (ie France). À qui profite le crime ? Ce ne sont pas aux Français en général, sinon on ne les entendrait pas se plaindre autant.


Tu négliges la redistribution pour arriver à la conclusion qui t’arrange, mais qui est fausse ! Les français (et les étrangers dans leurs pays aussi) se plaignent à peu près autant de ce qu’on leur prélève trop que de ce qu’on le leur redistribue mal. Il y a donc non pas un mais trois thèmes à ne pas mélanger pour sortir de l’enfer : 1/le prélèvement obligatoire et imposé ; 2/la redistribution de la collecte du prélèvement ; et 3/l’équilibre entre le prélèvement et la redistribution.
Pour que le producteur de poireaux puisse installer son étal de vente, il lui faut une place voire une halle, qu’il faut construire et entretenir. Il faut aussi que les mangeurs de poireaux puissent venir, à pied, en voiture, en transports en communs, etc. Toutes ces infrastructures coûtent aussi cher que l’exigence des gens à ne pas marcher dans la boue pour faire leurs achats. Qui décide si on met du bitume ou si on offre des bottes à tout le monde, sachant que le bitume est probablement plus cher que les bottes mais que dans ce 2ième cas on ne peut plus rentrer chez soi sans ôter ses bottes ?
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tmtisfree a écrit :

Le laissez-faire implique un taux d’imposition non confiscatoire (nul optimalement) qui permettrait au producteur de pouvoir s’acheter des machines pour planter et ramasser ses poireaux plutôt que de se casser le dos parce qu’on le lui interdit en lui volant (in)directement le fruit de son travail par des taxes et des impositions. QED.


Quod Erat Debilis, tout à fait d’accord. <img data-src=" />
Contrairement aux apparences que tu as bien décrites, la mécanisation ne permet pas que le sol soit moins bas. Ce paradoxe est assez complexe à comprendre par le menu et à expliquer dans le détail. Le seul effet de la mécanisation est sur la quantité de travail humain par unité produite (on suppose cette quantité diminuée mais ce n’est pas forcément vrai : dans certains domaines il y a seulement un déplacement de ce travail humain depuis la production finale vers la réalisation/production des machines, ce qui explique une part de l’augmentation des emplois disponibles créés par la mécanisation car ces derniers nécessitent des compétences et qualifications au moins différentes, sinon plus élevées). Bien saisir la différence entre quantité et qualité : si les machines sont mal faites, le producteur n’ayant pas payé d’impôts sera livré en pâture à leurs défauts et à l’appât du gain de leur fabricant/vendeur (sauf s’il s’agit d’un bon samaritain, ce qui n’est pas la situation la plus répandue) ; alors que dans une société équilibrée le producteur ayant payé des impôts aura accès à des structures lui permettant d’obtenir réparation. L’éventuelle irréalisation partielle voire totale de cet équilibre ne peut justifier à elle seule que l’on dise confiscatoire toute imposition ou taxe : de toutes façons, on n’invente ni ne fabrique de telles machines sans avoir des structures éducatives solides, donc il faut bien que le producteur de poireaux ou quelqu’un d’autre ait payé quelque chose : pourquoi serait-il mieux que ce ne soit pas un impôt, sachant qu’il s’agit là de financer quelque chose dont la redistribution ne touche que la génération suivante, voire celle d’après ?
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tmtisfree a écrit :

Mais tant qu’on n’a pas été travailler dans les champs parce qu’on est un urbain biberonné (comme 90 % de ceux qui réclament plus de taxes) à la sociale-pseudodémocratie redistributive de la valeur volés à ceux qui travaillent, on ne peut pas le savoir.


C’est toute l’importance de la séparation tripartite que j’ai faite plus haut : il n’y a rien de discutable dans le paragraphe que tu as écris ci-dessus car il n’y a pas d’argument, c’est une sorte de prurit mélangeant un peu tout et n’importe quoi. Mais on ne peut pas faire d’une soupe, même aux poireaux, une conclusion ! Ce serait là bafouer toutes les coutumes séculaires de la gastronomie, et peut-être même de la civilisation!
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Le 01/11/2018 à 14h 37

Disons l’inverse : quand tu achètes un poireau, tu t’attends à ce que cela aie une retombée économique et sociale. Les “consommateurs de GAFA” (sic) ont déjà payé, et l’idée de ce genre de taxe est d’obtenir la part de ces retombées qui n’est pas arrivée du fait de leurs structures en multinationales, leur permettant des échappatoires fiscaux interdits aux producteurs de poireaux. Ledit producteur perçoit cela comme inéquitable, puisque lui n’a pas accès à ces échappatoires, et que pourtant il lui faut bien payer un smartphone à ses ados qui seront bientôt étudiants… et quoi plus de “laissez-faire” va rendre les poireaux plus agréables à ramasser : le sol sera toujours aussi bas, non ? <img data-src=" />


Trimestre en fanfare pour Apple, qui ne dévoilera plus ses volumes de vente d'iPhone, iPad et Mac

Le 02/11/2018 à 15h 28


« C’est comme lorsque vous allez à la caisse du supermarché. Le caissier ne vous demande pas “combien d’articles vous avez dans votre chariot ?”. Ce qui importe ce n’est pas le nombre de produits dans le chariot, mais la valeur de l’ensemble »


« Achetez un iTruc© ; devenez un iCaddie© ! »
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 Windows 10 October 2018 et Freebox v7 : finalement, ce ne sera pas pour octobre

Le 01/11/2018 à 13h 39

Rhââ… je cherchais des infos sur une Moto Guzzi V7 Racer de 2010, et je tombe sur cette news combinée sur W10 et la Freebox V7…. Nân mais faut arrêter le mélange des actus, ça fait foirer les algos de recherche <img data-src=" />


Au Sénat, une proposition de loi contre le « cybersquat » et le « typosquat »

Le 01/11/2018 à 12h 48

Sauf qu’il existe des biblio de code open-source permettant de classer les caractères de différents alphabets, par exemple pour le tri lexicographique, donc ces subtilités sont les plus simples à repérer (c’est automatisable de manière fiable, si la biblio est bien faite, bien implémentée <img data-src=" />).

Et sinon, “agir en amont”, c’est une idée futuriste : si tu tapes “gouv.fr” tout court dans ta barre d’adresse, ça ne mène nulle part ; alors que l’exemple de l’article “gouve.fr” mène effectivement quelque part… <img data-src=" />

Même la formulation est foireuse, puisqu’elle se limite au 2ème niveau, ça autorise de réserver “mi.nistre.fr” ou “ely.sée.fr” ou que sais-je encore… <img data-src=" />

…ou “next.inpact.fr”, tiens <img data-src=" />