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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 03/09/2015 à 16h 52







maestro321 a écrit :



Oui, c’est très intéressant, comme les romans d’anticipation en tout genre.

Mais ceux qui poussent dans “l’autre direction” et qui tendent vers des sociétés arbitraires n’ont pas forcément des fins plus heureuses..





Les “sociétés arbitraires” étant celles dans lesquelles les droits ne sont pas définis et/ou respectés, je ne peux qu’être d’accord.


Le 03/09/2015 à 16h 18







Faith a écrit :



Mais tu ne peux pas les empêcher de s’installer juste par “le pouvoir de la discussion”.

C’est ça le problème de toute organisation faible: sans moyen de se défendre (il n’y a pas que les solutions militaires), elle est une victime, même si c’est la plus belle de toutes les organisations.



Les moyens de se défendre ne sont pas interdits au contraire, ils sont laissés à l’appréciation de chacun selon ses besoins. Moi j’appelle cela une organisation économiquement, et donc sociétalement, optimale.

 





Faith a écrit :



Tu ne peux pas choisir l’anarchie et décréter que la dictature ne s’installera jamais. Si tu veux maintenir l’anarchie, il faut mettre en place un garant: elle ne se maintiendra pas juste parce que “c’est beau !”





Le processus ne nécessite pas “un garant” mais autant de garants qu’il existe d’individus. L’optimum de responsabilité : ni plus ni moins.


Le 03/09/2015 à 16h 10







ehnolfey a écrit :



Je ne suis pas sûr de te comprendre. Veux-tu dire que le droit n’est que la forme écrite d’une morale sous-jacente commune à tous les membres de la société ?





Le droit peut dériver d’une morale (la forme importe peu). Par ex. (une partie de) notre système juridique est basé(e) sur une morale de type bien/mal. Les individus qui reconnaissent cette morale comme la leur ont moins de soucis à accepter les droits sur laquelle ils sont fondés. Mais ce n’est pas général.


Le 03/09/2015 à 15h 53







maestro321 a écrit :



La société n’est pas figée, s’il s’avère que c’est une erreur et si cette société est autogérée, elle n’aura aucune difficulté pour changer ses “droits” à partir du moment où ils perdront leur justification morale.





J’avais lu un livre de SF dont j’ai oublié le titre qui traitait de ce sujet et où il était question d’une société égalitariste (à la moyenne). La société est apparemment très stable et aucune remise en question des normes, des règles, des droits ou de la morale ne survient parce que non nécessaire. La fin est tragique : disparition de l’espèce. C’est une féroce critique de l’amateurisme du constructivisme égalitariste.


Le 03/09/2015 à 15h 45







maestro321 a écrit :



Bha c’est le principe même du droit et de la justice, ce n’est pas là pour protéger les forts.<img data-src=" />

Sinon on appel ça un privilège..





Il se trouve que la Justice (quelque soit son mode opératoire) est là pour faire respecter les droits définis dans la Constitution. Elle se moque bien de la qualité du justiciable.







maestro321 a écrit :



Je crois que tu ne sais pas de quoi je voulais vraiment parler.<img data-src=" />





Un problème d’émetteur sans doute.







maestro321 a écrit :



Et l’incarcération, c’est pas une exclusion de la société?





Pas de la société, non. C’est un transfert d’un groupe d’individu vers un autre, une répartition différentiée. La société dans son ensemble n’a pas vu son nombre d’individu diminuer et l’objectif est quand même la réhabilitation au bout de la sentence.







maestro321 a écrit :



Ha! le fameux argument fallacieux des néoliberaux.

N’essayez pas de faire le bien, vous n’arriverez qu’a faire du mal.<img data-src=" />





Tu confonds doctrine politique et morale. Les 2 sont loin d’être superposables et encore moins équivalentes. Quant à l’argument proprement dit, on ne va pas passer la nuit à ressasser les mythes collectivistes :

“Reducing global inequality as a principle of state action, however suggestive of an impeccable moral conscience, may well require curtailing fundamental rights underpinning free societies; free societies generally being one and the same with rich ones. Justice in a free society means treating individuals according to identical rules of conduct. If we are to supplement or replace the classical principle of justice, which applies to individual conduct, with one of global “social justice” – or more precisely, “distributive justice” – wherein no one shall acquire more benefits than a designated authority deems justified by the prevailing distribution of global wealth, the authority will of necessity need to treat individuals according to vastly different rules of conduct.”




  • Benn Steil and Manuel Hinds, 2009. Money, Markets & Sovereignty, p53.


Le 03/09/2015 à 15h 25







ehnolfey a écrit :



Que veux-tu dire par sans morale ?





Sans valeurs morales.







ehnolfey a écrit :



Entends tu qu’il faut que tous les individus partagent les mêmes valeurs morales pour que les règles collectives deviennent superflues (et donc passent de explicites à implicites) ?





Fort possible dans les groupes avec un nombre d’individus limité càd qui permette des interactions sociales entre tous (cf nombre de Dunbar), mais difficile de répondre à cette question de manière générale. Mon point était plutôt qu’il n’est pas possible de bâtir un système de droits cohérent sans une morale pour le soutenir. Par exemple on pourrait imaginer une société qui soutient une morale qui prône la moyenne absolue en tout et à partir de là définit des ‘droits’, puis des règles pour y adhérer. Intuitivement, le résultat risque à terme de ne pas être à la hauteur des attentes.


Le 03/09/2015 à 14h 59







maestro321 a écrit :



Ou comment utiliser la justice (dont le but théorique est de rééquilibrer les forces/dommages etc…) en utilisant la loi du plus fort (meilleur avocat).





L’égalité dans les affaires humaines est une vue de l’esprit. Plus on cherche à l’imposer, moins on en fabrique.







maestro321 a écrit :



C’est souvent comme ça, les plus fort sont d’accord avec l’idée de justice tant que la balance penche quand même de leur coté.<img data-src=" />





Les plus faibles aussi.







maestro321 a écrit :



Oui, un faux droit ça s’appelle un privilège.<img data-src=" />

Droit de propriété toussa…





Tu n’as pas de droit sur ta personne et tes biens ? Tu n’as donc pas besoin de police, justice, etc pour les protéger. Comme tu ne reconnais pas les droits des autres, ils n’ont pas besoin non plus de police, justice etc pour les protéger. Le résultat attendu n’est-il pas la description de TA loi de la jungle ? Of course.







maestro321 a écrit :



Ce n’est pas MA solution, c’est un fait. L’exclusion (voir la mort) n’est cependant que la forme extrême de la sentence.





Et pourquoi pas l’incarcération, le paiement d’une rente, des TIG, etc. Si tu es d’accord pour laisser les sociétés définir leurs propres règles, alors laisse-les définir les sentences appropriées à leur non respect et les moyens d’y parvenir. Sinon tu n’es pas logique.


Le 03/09/2015 à 14h 44







Faith a écrit :



La solution à ce problème est classique: il s’agit de former des groupes de défense.  

En général, ils se créent autour des liens du sang (car plus simple d’inciter ses enfants à la cohésion qu’un inconnu).





Le lien du sang est un peu passé de mode. Plus proche en revanche sont les groupes de voisins vigilants relié directement à la police, ou les groupes de personnes vivant en domaine sécurisé.







Faith a écrit :



Ce qui n’est qu’un groupement de personnes devient  rapidement un groupe de pouvoir, et une hiérarchie se dessine, souvent guidée par l’ancienneté au sein du groupe (laissant donc la part belle aux fondateurs) 

On connait la suite.





Il existe des solutions effectives et triviales pour ces débordements : arbitrage, médiation, etc. Ces supposés problèmes sont abordés pragmatiquement par D. Friedman dans son fameux ouvrage The machinery of freedom







Faith a écrit :



La difficulté est de faire en sorte que tout le monde reste en anarchie, car c’est un mode d’organisation faible.





Les modes d’organisation forte ont historiquement la couleur du sang. À tout prendre…


Le 03/09/2015 à 14h 29







maestro321 a écrit :



Oui effectivement, je suis d’accord avec toi. L’autogestion collective n’empêche en aucun cas l’autogestion individuelle.



Ces mode de gestions entrent en conflit uniquement lorsque l’autogestion individuelle refuse les règles établies par l’autogestion collective.





Oui. L’autogestion collective (dans une société anarchique) n’est que la somme de l’accomplissement (relation, échange, etc) des autogestions individuelles.


Le 03/09/2015 à 14h 22







ehnolfey a écrit :



Ce “système de droits cohérent” (et qui doit donc s’appliquer à tous je suppose) ne vient-il pas restreindre l’autogestion des individus ?





Dans l’absolu, càd sans morale, oui.


Le 03/09/2015 à 14h 15







maestro321 a écrit :



Bravo! Tu viens de comprendre que l’individu à des droits “naturels” et qu’il en perd une partie lorsqu’il fait parti d’une société (le fameux contrat sociale).





J’ai surtout exposé la contradiction. <img data-src=" />







maestro321 a écrit :



Mais ce que tu as oublié c’est que (appliqué de manière justifiée) ça lui en fait gagner d’autres par la même occasion! Si, si, c’est incroyable!





Les faux droits sont la gangrène de cette société et l’amputation généralisée n’est pas une solution à un problème de vol avec violence et préméditation (légalisé ou non).







maestro321 a écrit :



Les sociétés tendent à détruire (ou en tout cas réduire le champs d’application) de la loi du plus fort (loi de la jungle).

Dans le cas contraire, Teddy Riner serait déjà en train de violer ta femme pendant que tu ramasses tes dents!



Alors tu préfères que la police te protèges et puisse “à l’occasion” te mettre en prison ou bien laisser ta femme se faire violer par des hommes plus forts/intelligents que toi?





Je préfère choisir des moyens de défense appropriés à mes besoins ou éventuellement sélectionner moi-même les personnes pour ma défense comme je le fais avec mon avocat. Le coût économique et social de mon choix est moindre et clair pour tous.









maestro321 a écrit :



Un individu qui ne respecte pas les règles/normes sociales (en particulier celles qui sont nécessaires et justifiées) en est rapidement exclu, qu’il le veuille ou non.





Si les “règles/normes sociales (en particulier celles qui sont nécessaires et justifiées)” sont issues des interactions sociétales non du diktat législatif d’une élite, la sentence pour leur non respect sera choisie de la même manière, ie l’exclusion n’est que TA solution.


Le 03/09/2015 à 13h 57







ledufakademy a écrit :



Putain : t’écris avec le dico à côté toi !!!



“incontroversabilité ” no comprendo loqué dicé el gringo !





Hummm. Le substantif n’existe peut-être pas. Mais le qualificatif oui. Je te laisse faire le rapprochement. <img data-src=" /><img data-src=" />


Le 03/09/2015 à 13h 56







maestro321 a écrit :



L’anarchisme ne dit pas que l’individu doit s’autogérer, il dit que la société doit s’autogérer, et c’est cette autogestion collective qui permettra le maximum d’émancipation des individus qui la compose (que les individus soient soumis uniquement aux règles nécessaires et justifiée à la vie en société).





Une certaine interprétation de l’anarchisme dit cela. L’anarchisme en tant que mot ne prescrit rien de tel et laisse à chacun la responsabilité de vivre sa vie, sans autre autorité supérieure que sa conscience et sa raison, comme bon lui semble dans le respect des droits des autres.







maestro321 a écrit :



Si tout le monde s’autogère individuellement (aucune règle collective imposée par la société même si elle sont nécessaires et justifiées) ça n’est pas bien différent de la loi de la jungle..





Les 2 ne sont pas incompatibles ou même opposés : on peut tout à fait mener sa barque librement et respecter les traditions, us, coutumes, règles, codes, lois communes, etc qui émergent au cours du temps du fait de l’interaction des individus dans un système de droits cohérent. Il se trouve même qu’empiriquement, la satisfaction des besoins résultant de la liberté d’échanger des produits/services par des individus qui s’auto-gère individuellement (homo economicus) est tout naturellement associée causalement avec un apaisement sociétal complètement l’opposé de ta supposition législative animale.


Le 03/09/2015 à 13h 26







Faith a écrit :



Alors je ne l’ai pas compris, mais un compliment est toujours bon à prendre. 

  Merci ;-)





Ne t’emballe pas. Le compliment ne portait que sur la cohérence, pas sur l’incontroversabilité de ta position.


Le 03/09/2015 à 13h 19







maestro321 a écrit :



Sans la société, peut de chance que tu ai des enfants et qu’ils survivent..





Non sequitur. ~Personne ne refuse la société.







maestro321 a écrit :



Tout comme l’enfant ne signe pas de contrat avec ses parents qui l’on mis au monde et l’élève, l’individu ne signe pas de contrat avec la société qui lui permet de vivre.





Raison pour laquelle l’autorité parentale se suffit à elle-même et n’a pas besoin de reconnaissance ou de subordination par autrui. Il est grand temps qu’on reconnaisse les mêmes possibilités à tous les individus et que la mystification du contrat social soit enfin reconnue pour ce qu’elle est : une extorsion non écrite implicite des droits de l’individu.







maestro321 a écrit :



Si tu ne veux pas subir la moindre influence de la société humaine, tu peux toujours essayer de retourner à l’état sauvage.





Non sequitur. Encore une fois, tu vogues vers des extrêmes qui ne sont pas nécessaires. On peut très bien ne pas accepter soumission, autorité ou pouvoir illégitimes/illégales/non voulus/coercitifs/etc sans pour autant refuser les relations sociales. Eh ! il existe même un système de production de richesses qui ne fonctionne que comme cela…


Le 03/09/2015 à 13h 05







Faith a écrit :



Encore un qui s’essaye à comprendre mon pseudo et qui se plante complètement.





C’était plutôt un compliment.


Le 03/09/2015 à 13h 03







js2082 a écrit :



Ce qui fait qu’il est impossible de prouver que cela est “naturel”.

 

 Tu comprends donc pourquoi cette théorie n’a aucun fondement, si ce n’est que celui de faire accepter  plus facilement aux gens le fait de se faire manipuler et soumettre 

  .

<img data-src=" />





Comme il est aussi impossible de prouver que cela est 100% culturel.



Aucune de ces 2 affirmations ne contredit la possibilité que le comportement soit le résultat de la combinaison du développement d’un organisme et de son environnement. De manière peu étonnante, l’éthologie l’a déjà démontré depuis belle lurette.



Je te laisse conclure.


Le 03/09/2015 à 12h 52







maestro321 a écrit :



Non, les parents ne sont pas libre de faire tout et n’importe quoi avec leurs enfants et une société anarchiste ne le permettrais pas non plus.

Les parents ne doivent pas se justifier à eux-même mais bien à la société.<img data-src=" />

Dans le cas contraire, c’est de l’anarchisme individualiste, encore que..

Et dans la théorie, l’anarchisme individualiste n’a grand chose à voir avec l’anarchisme collectiviste (l’anarchisme “classique”)..



Combien de contrat avec “la société” ai-je signé pour élever mes enfants ? Zéro. Je n’ai donc rien à justifier à “la société”, d’où l’expression “autorité et responsabilité parentale” : l’autorité parentale est auto-suffisante, auto-contenue et opposable.







maestro321 a écrit :



Tu peux très bien ne pas te soumettre à l’autorité en question, cependant tu devras justifier de cette non-soumission.

Si tu n’as pas de justification à apporter c’est que l’autorité est légitime et nécessaire au bon fonctionnement de la société qui l’a mise en place.



Et si tu n’acceptes pas l’autorité et que tu considères que tu n’as pas à te justifier à la société pour cette non-soumission c’est de l’anarchisme individualiste.





QED et d’où mon commentaire.


Le 03/09/2015 à 12h 43







Ricard a écrit :



Ha ouais, t’en es encore là ?





Au moins son pseudo est cohérent avec son discours.


Le 03/09/2015 à 12h 39







js2082 a écrit :



Sur ce point, je demande à voir une étude sérieuse.

 Affirmer est une chose, démontrer en est une autre, surtout pour un tel sujet.



C’est trop demander à la génétique, la sociologie et la psychologie. Plus simplement, le leadership est un comportement humain, et de ce fait il est fonction de la personne et de son environnement (cf la formule de Kurt Z. Lewin). Aller plus loin que cela est difficile.


Le 03/09/2015 à 12h 21







maestro321 a écrit :



Bien sur que si, l’autorité que tu as sur un enfant (par exemple en lui empêchant de traverser la route) est tout à fait justifiable.



De la même manière certaines personnes/groupes peuvent être en possession de l’autorité/pouvoir sur d’autres à la seule condition que ce soit justifié.

Par exemple, que les pompiers/ambulances/police puissent être prioritaires sur la route est tout autant justifiable.

Et il est tout aussi justifiable que des policiers puissent sanctionner un usagé de la route (tant que les règles de conduite et la sanction soient justifiables).





Les parents sont libres de définir ce qui est “justifiable” ou non vis à vis des enfants dont ils sont responsables (autrement, ils ne seraient pas des parents mais des tuteurs). Il n’y a donc pas de contradiction avec ma position.



Tous tes autres ex. présupposent l’existence d’un consentement a priori qui n’est pas nécessairement explicite ni même moralement requis et en dérivent un lien de subordination inexistant. Par ex. je peux ne pas reconnaitre l’autorité du gouvernement ou de certaines lois de cet espace artificiel appelé ‘pays’, dont il découle que je ne reconnais pas non plus l’autorité de leurs hommes en armes. Par conséquent ces derniers n’ont aucun pouvoir légitime sur moi et leur pseudo-autorité de façade n’est pas plus rationnellement ou moralement “justifiable” que celle d’un malfaiteur.


Le 03/09/2015 à 10h 44







gavroche69 a écrit :



Tout à fait d’accord mais je crois aussi que c’est complètement utopique…



Il suffit de regarder l’histoire où on voit que c’est toujours une petite poignée d’individus qui décident de la guerre ou de la paix et donc de la vie ou de la mort de millions de personnes.

Ces individus laissent leur nom dans l’histoire et sont souvent vénérés comme des héros voire des quasi-dieux.

En France Napoléon est un très bon exemple de ça et ça vaut pour tous les pays/ethnies…



C’est pareil pour le showbiz et le sport même si les conséquences sont généralement moins lourdes ça relève de ce même besoin absolu d’avoir quelqu’un à idolâtrer.



Ça doit être dans les gènes de l’espèce je suppose… <img data-src=" />





Non, un simple arbitrage économique de groupe l’explique.


Le 03/09/2015 à 10h 40







maestro321 a écrit :



Ha non.<img data-src=" />

L’anarchie n’est pas fondamentalement contre le pouvoir ou l’autorité.

Elle est contre les pouvoirs et l’autorité non justifié, d’où le rejet des aristocraties, castes, religions, etc..



Par exemple une anarchie n’est pas contre le pouvoir et l’autorité d’un syndicat (tant que c’est dument justifié)..





En théorie, oui. En pratique, la nature humaine fait que tout pouvoir ‘délégué/représenté/etc’ est rapidement utilisé à des fins non prescrites, ie “non justifié”es. Il n’y a pas de pouvoir justifié en pratique, que celui restreint à l’individu.


Le 03/09/2015 à 09h 18







js2082 a écrit :



Supprimer cette mentalité de la soumission, ce serait déjà faire un grand pas en avant.





Autant demander de supprimer le politique. Oh !


Le 03/09/2015 à 09h 15







Ph11 a écrit :



Surtout encore plus de problèmes avec l’exécutif…





La démarchie propose de séparer les pouvoirs, l’anarchie de les supprimer. S’affranchir de l’idée écœurante que la pleine jouissance de soi-même n’est possible qu’en en soustrayant coercitivement une partie à d’autres est une nécessité louable, souhaitable et un but atteignable. Sinon quel intérêt à avancer ?


Le 03/09/2015 à 08h 43

La formule gagnante n’est pas loin du discours, autant l’écrire clairement :



démocratie - représentation = anarchie (avec un passage par la démarchie ?)


Le 03/09/2015 à 10h 00







PtaH a écrit :



Je pense qu’il y a aussi moyen de se faire de petits plaisirs avec le mode ludicrous de la Tesla ;)





J’imagine, mais le design Tesla est un peu trop bateau (relativement bien sûr). Alors que l’autre, j’ai craqué.


Le 03/09/2015 à 09h 24







PtaH a écrit :



Si je devais rouler à l’electrique aujourd’hui, vu mes besoins, le seul véhicule envisageable est la Tesla S, et de loin.





Les besoins ne sont pas tout. Un ‘petit’ plaisir peut largement compenser le trou dans le compte bancaire.


Le 03/09/2015 à 09h 02







TheDidouille a écrit :



je pense qu’il y a beaucoup de com autours de SpaceX, ils n’ont jamais réussi à faire revenir correctement un seul de leurs lanceurs, alors que c’était leur différence pour baisser les coûts.  De plus on ne sait pas grand chose de la rentabilité potentiel du programme sur le long terme, c’est facile (pas tant que ça) de faire un énorme tour de table auprès des investisseurs, de ne pas être rentable et de casser les prix, mais il y a un moment faut être rentable…

 

 Ariane 5 date de 1992 (je crois), l’Europe n’investi pas grand chose par rapport à ce que SpaceX consomme comme cash. Je rappelle aussi que Tesla est valoriser plus que Renault, en vendant moins de 40000 voitures… Les investisseurs n’ont pas toujours la tête sur les épaules.





La réflexion n’est pas entièrement fausse, mais en ces temps de ZIRP et autres politiques contra-économiques généralisées, qui leur en voudrait d’essayer de placer leurs billes dans des “projets d’avenir” ? D’aucuns appelleraient ces “investisseurs” de “méchants spéculateurs”.



(*) ™®© folklore collectiviste


Le 03/09/2015 à 09h 28







Salinne a écrit :



Il n’était pas du tout ironique.





… et encore moins argumenté.


Le 02/09/2015 à 14h 37

Des sujets intéressants : exhibition forcée sur la voie publique, lobbying, viol en association, prohibition, extorsion de fonds, escroquerie, … la politique comme au bon vieux temps.

Le 02/09/2015 à 13h 51

A quand une loi contre l’abus de lois liberticides ?

Le 02/09/2015 à 13h 48







ledufakademy a écrit :



ca fait partie du plan.



Il ferait quoi sinon ces hommes et femmes QUE NOUS AVONS élu pour faire le boulot à notre place, ces sous-traitant ?







“NOUS” ? Sans façon, merci.


Le 02/09/2015 à 13h 42

L’inefficacité en action : le politicien passe, l’administration reste.



Tout cela pour obtenir une loi à son nom qui sera oubliée dans quelques années (si les décrets en sont jamais publiés).



Et pendant ce temps-là le contribuable est dépouillé pour nourrir ces cancres.

Le 02/09/2015 à 12h 55







Northernlights a écrit :



On ne parle nullement d’autarcie, mais juste de gestion locale sur un thème donné.

Et oui ce n’est (évidement) pas intéressant économiquement, mais le but de l’éducation nationale n’est pas de faire de l’argent, mais préserver et distribuer un savoir faire.





Personne ne parle d’autarcie. On parle d’économie, son opposé.



“Ce n’est (évidement) pas intéressant économiquement” : oui, triplement car une telle politique appauvrit toutes les parties (celui qui a payé trop cher pour un plus mauvais produit + celui qui n’a pas vendu un meilleur produit moins cher + le gaspillage de ressources humaines et financières qui s’en suit) et comme “le but de l’éducation nationale n’est pas de faire de l’argent, mais préserver et distribuer un savoir faire”, qu’elle laisse donc les professionnels faire leur métier pour que son gouffre budgétaire ait au moins un semblant de justification.


Le 02/09/2015 à 12h 07







Northernlights a écrit :



Le problème c’est pas de se faire de l’argent/des économies, c’est de ne pas faire une subvention qui profitera qu’a des entreprises étrangères.

 

Le besoin serais très spécifique, donc autant que ça soit géré en interne.





L’origine des fonds ne change rien à l’inanité du protectionnisme, puisqu’en dernière analyse ils nous ont été extorqué directement ou indirectement (taxes/impots ou inflation/dette). Cette croyance populiste obsolète est une totale aberration économique.


Le 02/09/2015 à 10h 23







Northernlights a écrit :



Il faudrait que ce genre de subvention ne marche que pour les produits 100% francais.

Ca pourrais facilement faire vivre une filière, plustot que de subventionner les entreprises étrangères.





Cela fait quand même 2015-1776=239 ans (au minimum) que l’on sait que le résultat économique net du mercantilisme est négatif. Autant creuser des trous pour les reboucher (avec un peu de chance on pourrait tomber sur une nappe de gaz de schistes).


Le 02/09/2015 à 06h 28







Drepanocytose a écrit :



Je ne raisonne pas positivement la plupart du temps. Tu ne feras pas sans, je ne m’interdis pas d’imaginer.



FYP

<img data-src=" />



Intéressant, cela en révèle plus sur toi que sur moi.


Le 01/09/2015 à 09h 54







MuadJC a écrit :



on dit objective quand on veut exprimer quelque chose et non faire simplement des phrases compliquées.





Je raisonne négativement la plupart du temps. Tu feras avec, j’imagine.


Le 01/09/2015 à 09h 17







tazvld a écrit :



Présenter la pyramide pour invalider ses propos n’était pas forcément plus intelligent, ni même ces propos non plus. Fait gaffe aussi de ne pas utiliser les outils que tu reproches autrui d’utiliser contre toi. Essaie au moins de réassurer le niveau pour que l’argumentation soit intéressante.





Il n’y a pas vraiment de méthode totalement non subjective pour indiquer un propos fallacieux ou une non-argumentation que de les pointer comme tels (la pyramide est juste un outil, comme je mets aussi des liens qui expliquent pourquoi tel ou tel propos n’est pas logique).



Ce faisant, tu portes néanmoins un jugement envers l’autre partie, ce qui fait fatalement tomber ta propre argumentation, comme tu l’a bien compris. Cependant, c’est le but ultime du sophiste que d’arriver à ce point où la discussion dégénère : il croie sottement que l’argument de départ a été réfuté parce qu’on n’en discute plus.


Le 31/08/2015 à 23h 33







Railblue a écrit :



blabla symptomatique





Eh ! on ne va tout de même pas me reprocher aussi de m’adapter au niveau du commentariat local. Si tu veux du top niveau, pratique-le déjà toi-même.


Le 31/08/2015 à 20h 46







Reznor26 a écrit :



Tu nous divertis, au mieux.





Comme si ton jugement de psychologue de comptoir et cette vaine tentative ridicule de te dissoudre dans la masse pouvaient masquer ou exonérer la vacuité du propos. <img data-src=" />


Le 31/08/2015 à 20h 04







Reznor26 a écrit :



Ce n’est pas une attaque, mais un trait d’humour auquel tu aurais pu répondre facilement sans chercher à tout ramener à une espèce de combat pitoyable dont je me contrefous mais alors d’une force…





Cette défausse éculée jusqu’à la trogne est lamentablement grossière. Je ne vois pas d’humour quand on m’accuse de vouloir “changer de peuple” alors que tout mon historique de commentaires confirment la position contraire. Autant pour mes messages “toujours empreints d’idéologie” dont la teneur t’aura manifestement échappé.







Reznor26 a écrit :



Tu crois vraiment que j’espère une seule demi-seconde te convaincre de quoi que ce soit ? <img data-src=" />





Difficile sans argument. C’est comme écouter radio Pyongyang pour se convaincre des bienfaits du capitalisme.

 





Reznor26 a écrit :



Et tu crois que toi tu aurais pu me convaincre de quoi que ce soit ? <img data-src=" />





Je considère que les individus sont assez intelligents pour déterminer et modifier eux-mêmes leurs convictions. Si tu veux du prosélytisme, embrasse une religion.







Reznor26 a écrit :



On ne discute pas dans des fils de commentaires sur internet, on passe le temps. Nuance.





Seul un esprit ouvert peut déterminer que les deux ne sont pas incompatibles : ta “nuance” est une illusion auto-entretenue.


Le 31/08/2015 à 18h 54







Reznor26 a écrit :



À aucun moment, relis bien s’il le faut, je n’ai attaqué tes propos en tant que tels. J’ai simplement dit que tes messages étaient toujours empreints d’idéologie, ce qui n’est pas un jugement de valeur sur le fait que celle-ci soit bien ou mal (ça chacun en jugera).







Mais exactement là se situe ton problème de sophisme : plutôt que d’attaquer la substance de mes propos, tu t’attaques à ma personne.


Le 31/08/2015 à 17h 38







Railblue a écrit :



Dont tu connais bien les quatre premiers échelons en partant du bas. Les suivants, par contre…





Ah ! les enfantillages, toujours un succès au paradis du low-cost intellectuel.


Le 31/08/2015 à 16h 55







Reznor26 a écrit :



C’est sûr que si, sur une news concernant la télé, tu remontes à la propagande depuis 2000 ans….  <img data-src=" />  <img data-src=" />



Et puis bon c’est assez comique que ce soit toi, qui respire l’idéologie pure et dure à chaque post, qui vienne reprocher ça aux médias.





Une réponse éclairante de bas de pyramide.


Le 01/09/2015 à 09h 45







Agent Orange a écrit :



Le logiciel propriétaire est l’émanation d’une industrie qui soutient (et profite) de l’économie de la rente. On attendrait logiquement d’un gouvernement socialiste qu’il prenne ouvertement et clairement parti pour une économie du logiciel qui privilégie le revenu du travail.





Les IP et autres faux droits apparentés sont des faveurs injustifiables économiquement (donc à nos frais), mais instaurées et garanties par l’État (donc aussi à nos frais) à “l’économie de la rente” (quelle que soit la signification de cette expression, le cas échéant).

Un “gouvernement socialiste” est à la redondance ce que “gouvernement anarchique” est à l’oxymore.

L’État maitre d’œuvre prend clairement partie pour “l’économie du logiciel qui privilégie le revenu du travail” quand on voit le désastre financier des projets Louvois, ONP, Genesis, etc



Enfin, ce n’est pas grave puisque c’est l’État qui paie. <img data-src=" />


Le 31/08/2015 à 22h 19







hurd a écrit :



Analogie foireuse, toujours et encore.

C’est d’ailleurs amusant de râler à la fois par le côté “artificiel” des lois et de faire une analogie avec les virus ou autre maladie, dont on ne peut parler de construction artificielle et qui pour le coup ne fonctionne pas dans un système très contrôlé et auquel peutde monde sera d’accord pour une sorte de “libre-circulation” .



Cette vision idéologique qui veut qu’un système artificielle serait mauvais et qu’un système soit disant naturel serait bon est de l’ordre de ce que tu appelle “l’infection idéologique”, cela n’a aucun rapport avec quelconque réalité.





De la métaphore seulement, tout le reste est issu de ta fertile imagination/interprétation.


Le 31/08/2015 à 16h 49







carbier a écrit :



J’adore cette façon d’inverser les problème: du grand art <img data-src=" />

Ce n’est pas Uber qui ne rentre pas dans les petites cases: c’est UBER qui se sert sciemment des failles du système. Car oui, dans une société il faut un minimum de règles, n’en déplaisent aux adeptes de la loi du plus fort…





Il n’y a pas de système bureaucratique sans failles, c’est même précisément à cela qu’on les reconnait et pour cela qu’ils perdurent, grossissent, métastasent (et détruisent finalement leur hôte dans les pires cas d’infection idéologique). Ces constructions artificielles et inutiles ne sont qu’un outil coercitif au service de l’intérêt des usurpateurs et de leurs majorettes cancanantes : les règles économiques existaient déjà bien avant leurs prises de pouvoir sanglantes et leur survivront naturellement, n’en déplaisent aux débiteurs autoproclamés de fadaises risibles









carbier a écrit :



<img data-src=" /> Bonne idée: UBER devrait de préférence aller exercer son activité dans les paradis fiscaux et délaisser le vieux continent: je suis sur que ses bénéfices n’en seront que meilleur <img data-src=" />





L’intelligence ne se décrète pas et les dirigeants d’Uber n’ont manifestement pas besoin de tes tuyaux percés pour réussir même dans le panier de crabes local. Tes maitres en ont d’autres qui ont compris que pour un parasite, le meilleur moyen de perdurer à l’ombre était de traire à petit bol. D’où les petites cases.


Le 31/08/2015 à 13h 08







k43l a écrit :



Ouais enfin UBER est problématique partout ou il est implanté même aux USA sont pays.

Dans tout les pays y’a des règles, des droits et des devoirs. Et c’est pas “l’innovation du web 2.0” qui doit y déroger.







“problématique” peut-être parce qu’Uber ne rentre pas dans les petites cases ? D’où la solution évidente : faire entrer Uber dans d’autres petites cases, voire dans toutes les petites cases. Kafka serait fier.