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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 04/02/2016 à 10h 18







athlon64 a écrit :



<img data-src=" /> ca résume assez bien ce que je pense





En fait on peut voter, mais seulement avec ce bulletin. <img data-src=" />


Le 04/02/2016 à 10h 15







anagrys a écrit :



Récemment j’ai demandé un passeport pour moi et pour mon fils. J’ai vu que le PDF fourni sur le site service-public est remplissable, je me suis dit : “c’est cool, je vais préparer ça à l’avance, ça sera ça de fait”.

Arrivé en mairie, on m’a dit que “ils sont bien gentils avec leur formulaire mais ça passe pas au scanner, il faut que vous le refassiez à la main”.

Raté…





C’était déjà le cas il y a 3 ans quand j’ai refais le mien (dans une grande ville). De là à affirmer que c’est voulu. Et puis les délais de 5 semaines pour la délivrance, comment dire ? Heureusement que je connais l’adjoint au maire.


Le 04/02/2016 à 10h 12







Stel a écrit :



je pense pour ma part qu’un vote blanc est une bonne chose pour montrer à quel point on en a marre qu’on se foutent de notre gueule.





Voter blanc leur montre que tu soutiens le système. Mais comme ils incarnent ce système (« rempart contre le terrorisme, démocratie/république en danger, solidaritude, égalitence » et autres inepties politiciennes), le fait de voter (blanc ou autre) revient donc à les soutenir explicitement.


Le 04/02/2016 à 10h 04

Quasiment toutes ces mesurettes insignifiantes sont pour la fin de l’année voire pour l’année prochaine (« rentrée 2017 » !) : on va avoir droit à une news pré-électorale annoncée en grande pompe à chaque mise en œuvre réelle.



Marketing et propagande, les 2 mamelles du théâtre politique.

Le 03/02/2016 à 17h 13







Citan666 a écrit :



Eh bien, précisément que…

EDF devant prévoir une certaine capacité de livraison électrique instantanée à un moment donné…

Selon toute probabilité, le coût d’augmentation de cette capacité n’est pas linéaire…

EDF fournissant un service exploité, non seulement par les machines, mais également intensivement par les humains…

EDF utilise un modèle économique incitant ses clients à planifier et lisser autant d’usages que possibles la nuit, période à laquelle la consommation liée à l’activité humaine proprement dite est très nettement diminuée (vu qu’on est censé pioncer), afin de répartir plus uniformément la consommation sur une moyenne stable plutôt que de subir de gros pics à des périodes données (typiquement, le matin, le midi et le soir).



Ce qui amène une contrainte pour le client, mais raisonnable, qui évite sur le long terme à EDF de devoir gonfler les prix de base pour soutenir une expansion d’infra dédiée à ces pics.



Dit plus simplement, il s’agit d’un mécanisme qui repose sur une contrainte économique réelle, compréhensible, acceptable et acceptée par toutes les parties.



Tandis que la mécanique du tarif qui augmente mécaniquement au fil des visites de la même IP, quand bien même aucun autre facteur n’aurait changé (typiquement, aucune place ne s’est vendue entre temps), repose uniquement sur la volonté de faire cracher un max de blé à cet utilisateur à l’instant t, sans considération aucune de l’équilibre entre les intérêts des parties, et qui avilit le comportement normal et souhaité du consommateur dans le modèle que tu défends, qui est de comparer les offres pour favoriser la meilleure sur un ensemble de critères (ce qui requiert bel et bien de papillonner entre plusieurs sites avant de revenir à la meilleure).

Dit plus simplement, on est proche de l’extorsion électronique. <img data-src=" />





Humm. Ma comparaison avec EDF ne repose que sur la modulation des prix suivant les heures (pleines/creuses), pas sur le tracking IP. Prière de relire l’article où cela est bien spécifié comme étant différent. Et les motifs qu’EDF utilise pour différencier suivant les heures peuvent tout à fait s’appliquer à toute activité around the clock dont les contraintes de production et les charges sont aussi modulées en fonction de l’heure (salaire, bande passante, etc).


Le 30/01/2016 à 13h 30







Ricard a écrit :



Ha ben forcément, si tu y mets de la mauvaise volonté aussi…



PS: l’argument d’EDF est risible.<img data-src=" />





Pas d’argument autre que personnel, donc.



Sinon, sans mauvaise foi, quelle est la différence de principe ou de fond entre :



la modulation des prix en fonction de l’heure d’achat d’un bien, certains sites pratiquant des frais de réservation moins élevés durant les heures creuses.



et



la modulation des prix en fonction de l’heure d’achat d’électricité, EDF pratiquant des prix moins élevés durant les heures creuses.


Le 29/01/2016 à 23h 47







Ricard a écrit :



Ben sauf que dans ce cas, il a raison. Le fait d’accepter un CLUF (etc…) ne signifie pas que le-dit “CLUF” soit légal.

On fait pas ce qu’on veut, et encore heureux d’ailleurs.



Edit: Je citais le commentaire n°20. <img data-src=" />





Il n’a pas « raison » puisque :

1/ il n’a rien avancé de probant qui viserait à démontrer qu’un vendeur n’a pas le droit de changer ses prix à sa discrétion et dans les limites de la loi, ce qui est le cas ;

2/ la CNIL et le DGCCRF n’ont rien trouvé sur l’IP Tracking ;

3/ EDF adapte aussi le prix de son électricité en fonction des horaires ;

4/ l’amendement a été supprimé ;

5/ nous étions de toute manière pas en train de discuter des modalités des contrats.


Le 29/01/2016 à 16h 22







Zorglob a écrit :









Peut-être que dans ton monde de pensée magique, ce qui n’est pas précisément autorisé est interdit, mais pas dans le monde réel où l’intérêt économique est laissé à la seule décision et appréciation des agents potentiellement contractants, et tes croyances, prescriptions, illusions ou vœux en la matière compte pour exactement 0.


Le 29/01/2016 à 09h 40







batoche a écrit :



Mais comme il suffit de changer d’IP pour se voir proposer un prix différent, les “modalités économiques” (pour reprendre ce jargon économiste) donnent à l’acheteur la désagréable impression d’être pris pour une truffe.





C’est exactement cela : une « impression », c’est à dire un manque de réflexion au niveau conscient.


Le 29/01/2016 à 09h 14







Zorglob a écrit :



… même si aucune autre réservation n’est faite (l’offre restant donc la même).



Comme tu n’as pas démontré ce point, tout ton château de cartes s’écroule logiquement. Mais même si tu pouvais le démontrer, cela ne change rien sur le principe : tant que le contrat n’est pas signé entre les 2 agents économiques, un prix reste libre d’être modifié dans le temps et l’espace selon des modalités économiques qui sont propres à chaque agent et dans la limite de la Physique (de Planck).



C’est le principe de base de la spéculation et ce qui fait tout son intérêt économique (auto-lissage des fluctuations temporelles de prix) : là il est appliqué à un niveau atomique (1 individu).


Le 29/01/2016 à 07h 58



Le prix n’est plus établi en fonction de la confrontation de l’offre et de la demande, comme le désirent nos amis libéraux, mais il fluctue en fonction de l’intensité du besoin de la personne.



Le pauvre choux n’a pas réfléchi que cela est fondamentalement la même chose, à l’échelle près. Nos amis anti-libéraux n’ont pas saisi la beauté intrinsèque et l’efficience global du système de prix.

Le 29/01/2016 à 07h 49

Il faut dire qu’ils montrent assez bien l’exemple sur le sujet du tracking, donc difficile de jeter la pierre pour des motifs bassement économiques à moins de paraître encore plus hypocrites qu’ils ne le sont déjà en ruinant le peu de vraisemblance de leurs propres justifications liberticides.

Le 03/02/2016 à 15h 06

La traçabilité totale de la viande sur pied est en route, évidemment pour son bien. À force de se faire dépecer de ses libertés, le troupeau réagira-il un jour ou se laissera-t-il cuire comme un bourguignon dans son jus social-démocratique ? L’objectif des bouchers est pourtant transparent.

Le 02/02/2016 à 14h 07

À quand un registre du lobbyisme électoral, financé avec notre argent plutôt que le leur, de ces pantins sans cervelles pour marketer leurs échecs récurrents et leur promesses non tenues sur le marché de la propagande élective (dite démocratique) ?

Le 02/02/2016 à 13h 48







Pictou a écrit :



Je pense que la différence de niveau entre nous deux sur le sujet est tellement grande que je n’arrive pas à saisir la subtilité de tes propos, je vais lire “The economy as a complex adaptive system” et “Complex adaptive systems” que tu as linké. A défaut de pouvoir bien te comprendre ou simplement pouvoir répondre de manière plus pertinente, j’apprendrai des choses, merci pour les liens.







Si ce type de sujet t’intéresse, ce très bon papier de revue replace les limites des théories économiques (classique, keynésienne et autrichienne) dans le cadre des systèmes complexes et permet de mieux cerner et comprendre un grand nombre de chose relatives au système de l’économie moderne (et à ses assauts) avec une conclusion qui s’est malheureusement vérifiée par le split entre d’un côté la quant (analyse financière quantitative) et de l’autre la behavioral finance. Il permet aussi d’illustrer à une autre échelle relative mon point plus haut que la complexité et la compréhension d’un tel système (ou d’un nœud particulier comme la bourse) est inaccessible (pour le moment ?). D’où ma prose plus haut sur la vacuité à commenter sur un lien causal inconnaissable.


Le 02/02/2016 à 11h 32







Pictou a écrit :



Oui mais là tu parles à un niveau de détail tellement élevé qu’il dépendrait de chaque cas étudié.



Dans tous les problèmes complexes il y a toujours des paramètres qui influent sur le résultat au premier ordre, c’est de ceux là qu’on parle généralement et qu’on pense en premier. Les millions de paramètres n’ont de sens que si tu as besoin de ce niveau de détail. Ici on dit ça monte ou ça descend, on ne dit pas, “c’est monté de 5.2% parce que… ” On dit, “c’est monté parce que …, et il se trouve que c’est monté de 5.2%”.



 Les modèles qui sont utilisés actuellement (dans leurs algorithme par exemple), ont besoin de ce niveau de précision car c’est une véritable course entre les différents traders et l’information la plus exacte permet de prendre la bonne décision et donc de gagner plus d’argent. Ici, on a pas besoin d’un tel niveau de précision, car on ne s’intéresse pas au pourquoi c’est monté de X%, mais on s’intéresse au fait que c’est monté, et ça suffit.



Bref, on ne traite pas du même problème je pense.



Quand à ton résumé du problème (au moins sur la manière de le poser) on fait la supposition que l’effet ne va que dans un sens (vers la gauche pour le premier cas, vers la droite pour le second).





Je ne parle que de relier 2 informations et de l’absence de justification sur ce lien autre que « le sentiment » ou les « attentes » toujours donnés a posteriori quelque soit le sens de la fluctuation. Cette information a zéro valeur explicative et n’est que de la justification ex post facto. Tu n’as jamais vu écrit qu’un commentateur s’est trompé, parce qu’il y en existe forcément toujours assez pour couvrir l’espace des probabilités.



Les systèmes complexes n’ont pas encore de théorie physique mature universelle, et les interactions entre économistes et physiciens sont récentes, les derniers faisant souvent preuves de leur arrogance coutumière en face des premiers qui ont une large histoire et corpus de recherche analytique, explicatif et qualitativement prédictif. Tout cela pour dire que puisqu’on ne sait pas théoriquement, on laisse sous-entendre sans le dire que le lien existe pratiquement alors qu’on n’en sait rien puisqu’on ne peut pas justifier l’existence et encore moins la direction de la flèche (ou des flèches) de causalité.


Le 02/02/2016 à 10h 46







Pictou a écrit :



Rien ne t’empêche d’expliquer comment ça marche ou ta manière de voir les choses et donc nous instruire au passage, moi je ne dis jamais non quand je peux apprendre.





Le hic est que je ne peux pas : les relations entre tel ou tel évènement qui dépendent chacun de millions de causes possibles et non connues (qui elles-mêmes dépendent de causes possibles et non connues, qui etc) ne sont pas facilement et ni même possiblement « établissables ». Tu pourras toujours tenter d’établir des corrélations statistiques mais elles ne fourniront aucun pouvoir prédictif parce que le socle de causalité est epsilonesque ou inexistant. Les rares relations trouvées montrent surtout les biais de comportement (effet meute, surtout avec les réseaux sociaux et l’infos temps réel), mais sont loin d’établir un lien causal. L’évolution historiques des modèles de formation de prix illustre la problématique : on est passé de modèles purement mécanistiques aux modèles actuels basés sur les agents et leur comportement, mais le mur est resté le même : l’agrégation statistique ne permet pas de déterminer de lien causal (l’information diluée est perdue). Une solution possible (bottom-up) serait d’obtenir les informations a priori d’un large échantillon d’agents et de procéder à une renormalisation afin d’extraire les informations pertinentes. Mais modéliser cela est difficile.



Le problème se résume à ceci : les marchés influencent-ils les décisions et commentaires ou les décisions et les commentaires influencent-elles les marchés ? Intuitivement les 2 réponses semblent valides. Et donc désintriquer les liens causaux est un challenge.


Le 02/02/2016 à 09h 46

Le métier de commentateur économique est vraiment simple : il n’exige de connaitre que 4 cas de figure réductibles à 2 possibilité de commentaires.



Les résultats sont soit bons soit mauvais et le cours de bourse est soit en hausse soit en baisse, ce qui laisse in fine des probabilités que les résultats sont soit conformes soit déçoivent les attentes à 50%-50% en moyenne, auxquels cas on adapte le discours par les phrases de convenance pré-établies.



Et voila ! Vous avez une explication ex post facto ad hoc rationnelle pour tous les cas de figure et fait passer avantageusement le commentateur économique pour un prodige de la prédiction. Ce monde est magique.

Le 01/02/2016 à 18h 10







maestro321 a écrit :



Oui, c’est vrai, comparer notre pollution à celle de l’univers c’est tellement pertinent. L’homme vit partout dans l’univers c’est bien connu.<img data-src=" />





C’est fait exprès en fait : tu n’a pas dû lire ce à quoi je répondais…







maestro321 a écrit :



Rien compris.<img data-src=" />





Mes respects pour cette jolie défausse ! <img data-src=" />


Le 01/02/2016 à 17h 37

« à 𝞮 prêt » =&gt; « à 𝞮 près »









ActionFighter a écrit :



Et pourtant, certains pays capitalistes commencent à lorgner du côté de thèses communistes pour espérer maintenir un niveau de vie décent avec un chômage structurel important auquel on va devoir de plus en plus faire face, avec par exemple des essais de revenus de base.





Ces « certains pays » ne sont que les sociales-démocraties proto-communistes en faillite à force d’avoir étouffé leur économie par la dette, l’inflation, la bureaucratisation, la taxation/imposition et la régulation à outrance à l’aide, justement, des recettes communistes du planisme et de l’étatisme forcené.



Il est vrai que pour le collectiviste, tant que le système ne s’est pas totalement saboté et effondré sous propre le poids, tout est qualifiable de « capitaliste ». <img data-src=" />







ActionFighter a écrit :



Et concernant l’efficacité du capitalisme, si l’on prend en compte l’impact écologique, pas sûr qu’à très long terme (parce que pour l’instant, l’histoire du capitalisme, c’est que dalle comparé à l’histoire de la planète), elle soit toujours aussi vantée.





Et qu’est-ce que représente notre soit-disant impact écologique comparé au reste de l’Univers ? Les 4 lettres du mot « rien » sont sans doute déjà infiniment exagérées pour en quantifier l’augmentation d’entropie.


Le 01/02/2016 à 17h 08







ActionFighter a écrit :



mais imaginer un système de gouvernance autre, qui soit efficient et avec des gardes fous, et un système économique plus égalitaire qui tienne la route, c’est un poil plus complexe.





Tes prémisses garantissent à terme l’auto-destruction d’un tel système.







maestro321 a écrit :



Oui, sauf que les marges sont aussi calculées en fonction du marché existant et de la concurrence. Hors si la concurrence paye 5 fois plus de charges, la marge sera d’autant plus facile à créer pour celui qui n’en paie pas.

Dans ce cas, dans les deux cas, le pognon sort bien de la poche du client. Cependant, dans le premier cas les taxes/impôts lui reviennent (théoriquement) en service, alors que dans le second cas les marges (la différence par rapport au concurrent) s’envolent en vacance sur une ile mystérieuse.



Donc même si le client paie dans les deux cas, c’est malhonnête de dire que ça revient au même pour lui.<img data-src=" />





C’est vrai, je le reconnais humblement, j’aurais dû ajouter « à 𝞮 prêt ». Il faut vraiment être naïf pour croire que la pratique suit la théorie dans ce domaine. La dilution est telle que l’𝞮 n’est pas mesurable. Donc mon point reste valable.


Le 01/02/2016 à 15h 59







Gemini_Power a écrit :



Et ce n’est pas vrai que de dire que faire payer l’impôt rebasculera l’augmentation sur le consommateur.





C’est toujours le le cas. Une firme n’est qu’un outil qui ne consomme pas (pas de TVA par ex., elle fait seulement tourner ses moyens de production). Les charges (impôts et taxes compris) sont intégrées au prix de vente pour pouvoir déterminer la marge des produits/services dont les consommateurs sont les utilisateurs finaux. Ils payent donc ces taxes et impôts directement.







Gemini_Power a écrit :



Une partie des bénéfices viennent quand même de la quantité de ventes qui peut être maintenu que par des prix compétitifs.





La phrase correcte aurait été de dire : « la totalité des bénéfices vient quand même de la quantité de ventes qui sont maintenues par des prix compétitifs. » car par définition, ce qui n’est pas compétitif n’est pas vendu.


Le 01/02/2016 à 15h 47







pentest a écrit :



Y a quand meme un gros probleme dans la repartition des richesses dans ce monde.





Pas pour ceux qui savent pourquoi (mais cela implique de faire l’effort d’obtenir les informations adéquates). J’ai cru comprendre que tu préférais ne pas savoir.


Le 01/02/2016 à 13h 27







pentest a écrit :



A bon, moi qui pensait que cela servait a augmenter sa marge de benefice, racheter des start-up et rincer les actionnaires.





Il faut creuser un peu plus loin dans le business cycle pour faire apparaitre le lien : s’arrêter en chemin permet de conclure erronément par manque de données et vision globales.







pentest a écrit :



Merde alors j’ai loupe les dernieres promo ou l’on m’offrait un yacht pour l’achat d’une villa deja a 50% !





L’absence d’informations est une terrible erreur/faute (cf au-dessus), mais c’est toute la différence entre la réussite et la stagnation (c’est à dire l’appauvrissement).



La règle est pourtant simple : ton avenir dépend de tes choix qui dépendent de ton niveau d’information. La recette du vrai pouvoir libérateur est là.


Le 01/02/2016 à 12h 31







Arystos a écrit :



Ce que je trouve aberrant c’est que les petits gens (vous, moi) payons des impôts assez élevé (parfois plus d’un mois de salaire) , sans moyen d’y échapper légalement, alors que ceux qui brassent des milliards perdent des clopinettes en impôts …





Ton aberration est mal placée : les impôts que ces firmes ne payent pas, ce sont des prix moins chers ou services gratuits dont tu profites : tous les impôts/taxes individuelles et de société sont payées in fine par le consommateur d’une manière ou d’une autre, ces firmes ne faisant pas dans la philanthropie.


Le 01/02/2016 à 12h 26







Silenus a écrit :



petite forme pour un lundi…. <img data-src=" />





Désolée pour les fautes, j’étais trop occupée à essayer d’arrêter mon fou rire devant le lamentable spectacle du nullissime Moscovici en train de faire, en français, des leçons d’économie, toute honte imbue.


Le 01/02/2016 à 10h 58

Les conséquences de ces taxations accrues par le degré 0 de l’éducation économique (Moscovici) sont faciles à évaluer :



1/ fraudes en augmentation,

2/ délocalisation dans les pays plus avantageux,

3/ augmentation de la taxations/impositions des ménages (elles sont toujours payées par le consommateurs),

4/ diminution de la consommation, ralentissement de l’activité économique générale,

5/ pertes d’emplois,

6/ et on recommence.



Bref, le cercle vicieux du collectivisme va se renforcer un peu plus, et le pauvres et classes moyennes vont payer les traitements de princes et les futures retraites de ces crapules pendant que les riches pourront voguer à leur activité favorite : regarder ces voyous se faire à nouveau représenter par leur crétins d’électeurs.

Le 01/02/2016 à 15h 39







Dr.Wily a écrit :



Donc, internet respecte à présent les droite de l’Homme… CQFD…





Ils ont été neutralisés, comme Internet. Donc non.


Le 01/02/2016 à 11h 32

Tiens, on dirait qu’Internet a été nationalisé en douce par la patrie des droits de l’Homme.

Le 31/01/2016 à 11h 44







wanou2 a écrit :



Ensuite, j’ai un peu peur de l’avenir même de wikipedia. Son système “démocratique” de cooptation pourrait à terme , il me semble, lisser le “contenu autorisé” vers une idéologie, une pensée qui serait unique.







C’est déjà le cas en pratique : s’il n’existe pas d’équivalent collectiviste à Wikibéral, c’est que les collectivistes trouvent leur compte dans Wikipédia. Wikibéral ne dit pas autre chose d’ailleurs:





Pourquoi une encyclopédie à part, alors que Wikipédia (cofondé par un libertarien américain, Jimmy Wales) existe et pourrait avoir vocation à recevoir des articles sur les mêmes sujets que Wikibéral ?



Wikipédia, malgré sa recherche de la “neutralité de point de vue”, ne traduit en dernier ressort qu’une opinion dominante, obtenue soit par consensus autour d’une position “moyenne”, soit par l’influence d’une majorité qui réussit à gommer ce qui lui déplaît et qui s’écarte trop d’une norme implicite. Si la neutralité est facile à atteindre dans certaines matières qui ne donnent pas lieu à discussion, elle est souvent illusoire dans les sciences sociales, en politique ou en philosophie.



Las des nombreuses et interminables guerres d’édition auxquelles Wikipedia donne lieu, et constatant que la pensée dominante que délivre Wikipédia dans sa version francophone est plutôt collectiviste, les contributeurs de Wikibéral préfèrent s’exprimer sur leur espace propre, dédié au libéralisme. Certains contribuent ou ont contribué à Wikipédia, mais de manière beaucoup moins active dans les domaines politiques. Illustration des tropismes antilibéraux de Wikipédia, un article sur un parti fictif d’extrême gauche n’a été supprimé que de justesse, les votants ayant votés uniquement par réflexe politique, sans même lire l’article, Nouvelle alternative prolétarienne, créé par un membre de liberaux.org



La version anglophone de Wikipédia semble poser moins de problèmes aux libéraux, certains articles relatifs au libéralisme ayant même été nominés pour leur qualité, et d’autres pouvant s’apparenter à ce que propose Wikibéral, exposant clairement le point de vue libéral sur une question. Bien sûr, il n’est pas question de faire passer un point de vue pour une vérité encyclopédique, les points de vue sont présentés comme tels.


Le 30/01/2016 à 20h 13







hurd a écrit :



C’est un point de vue que je ne partage pas. Je ne dit pas que c’est faux, juste que c’est invérifiable et donc très discutable.





La raison en est que ta position est absolutiste. Heureusement que les scientifiques ont passé ce cap depuis longtemps avec l’axiomatique, les postulats de Physique, etc, sinon on en serait encore à gratter du bois pour se chauffer.







hurd a écrit :



C’est pas toi qui parler de ne pas généraliser il y à peu ?

Bref,je ne vois point d’argumentation dans ton commentaire, c’est dommage.





Pas nécessaire puisqu’une affirmation régressive à l’infini ou circulaire contient sa propre réfutation.


Le 30/01/2016 à 16h 48







hurd a écrit :



Humm…

Déjà la proposition 1 +1 = 2 est vrai à condition que toi et ton interlocuteur partage un même bagage (je dirait même une ontologie). À partir du moment ou le bagage lui même indique par définition des règle qui veulent que justement 1 + 1 = 2, c’est pas difficile. Bref, bonne chance pour trouver pareil ontologie communément admise pour prouver d’autres chose bien plus sujet à controverse.





La véracité de la proposition ne dépend pas de « bagage » (ou autres artifices similaires et propres au relativisme constructiviste de la mythologie collectiviste) et encore moins des a priori et je ne sais quelles autres croyances des personnes qui en parlent.







hurd a écrit :



Et même si tu y arrive, rien ne dit que pareil ontologie à un fondement objectif <img data-src=" /> .





Les pseudo-arguments circulaires et/ou régressifs qui tendent vers l’infini sont généralement le signe d’une position bancale, irraisonnée et, pour tout dire, non naturelle qui ne conduisent à rien que des postures épistémologiques sans intérêt.


Le 30/01/2016 à 16h 12







hurd a écrit :



Le problème est toujours le même : L’objectivité n’est qu’une vue de l’esprit.

Ce n’est pas parce que tu dit quelque-chose qui semble consensuel que c’est objectif de même que l’inverse.





C’est une position absurde et facilement réfutable : 1 + 1 = 2 est une proposition que l’on peut démontrer comme étant vraie à partir de critères objectifs (logique, cohérence, non contradiction, reproductibilité, etc). Critères que l’on peut réutiliser et qu’on réutilise par ailleurs.







hurd a écrit :



En tout cas, c’est plutôt drôle de te voir parler en mal de wikipédia comme d’un système bureaucratique, alors que l’initiateur est un adepte de Ayn Rand. <img data-src=" />





Ce n’est pas moi qui l’affirme, mais l’article que je cite. Et on peut apprécier Ayn Rand tout en restant critique.


Le 30/01/2016 à 14h 45







kwak-kwak a écrit :



Et pourtant Wikipedia est très souvent beaucoup moins BS, que n’importe que bon nombre de sites de presse, de sites émanant d’une association quelconque ou blog privé.





On ne peut pas généraliser. On doit seulement vérifier à partir de critères objectifs.







kwak-kwak a écrit :



Cela dit je constate que bien souvent les gens qui s’insurgent contre Wikipedia sont des extrémistes de leurs idéologie ne supportant pas une vérité autre que la leur.





Ce sont ceux pour qui le coût de contribuer à un tel projet est le moins élevé et qui peuvent et ont noyauté le projet : pas étonnant qu’on en retrouve quasi-systématiquement le biais dans Wikipédia.







kwak-kwak a écrit :



Après rien n’interdit de croiser ses sources (ce que énormément de personnes ne savent pas faire), chercher soit soi même l’information (ce qu’encore moins de monde sait faire, confondant “information” et “blog conspirationniste”), le tout avec beaucoup d’esprit critique. Cela dit, très souvent, l’article Wikipédia constitue une bonne synthèse d’introduction sur un sujet particulier.





Encore faut-il connaitre et comprendre les critères pour pouvoir trier, sélectionner et recouper les informations : ce n’est pas à l’école qu’on apprend ces principes fondamentaux qui permettront plus tard de naviguer à son aise dans la société pour décrypter les boniments, semi-vérités et mensonges qu’on nous sert à longueur de journée.


Le 30/01/2016 à 14h 36







numerid a écrit :



C’est toujours le risque de ce genre de projet. Les lecteurs ont des cerveaux qu’ils s’en servent. Par ailleurs, un article de Wikipedia doit normalement contenir des liens externes qui permettent d’accéder aux sources et de les vérifier.

Bref Wikipedia a des défauts, mais le défaut principal réside dans les lecteurs qui ne croisent pas les informations, ne vérifient pas les sources et avalent tout crû ce qu’ils lisent et ça, Wikipedia n’y est pour rien.

Cela dit dans les domaines que je maîtrise vraiment, je trouve rarement de grosse âneries dans Wikipedia.





Pour pouvoir vérifier, il faut les références des sources. Une étude l’année dernière montrait que sur un échantillon des 5000 1ers articles anglais les plus lus, 85% des références étaient correctes et standardisées, mais que seulement 12-13% de ces références étaient accessibles, ce qui ramène à même pas 10% le nombre de références vérifiables.



Dans ces conditions, il faut vraiment avoir du temps pour vérifier toutes les affirmations avancées : combien le prennent ?


Le 30/01/2016 à 14h 14







Quiproquo a écrit :



Il n’est pas impossible que ça soit lié au fonctionnement des publications scientifiques. Il y a un seuil au delà duquel l’accès à la connaissance devient très onéreux, ce qui réduit le nombre de contributeurs potentiels.





C’est vrai, mais il y a aussi un biais de sélection parmi les contributeurs qui inévitablement remonte la pyramide administrative, éditoriale et décisionnelle de Wikipédia, et finalement la parasite : ceux avec des croyances fortes sont plus motivés (et donc plus aptes à en supporter le coût) pour les délivrer. Malheureusement, ce n’est pas un critère de vérité.


Le 30/01/2016 à 14h 03

« ses réussites, ses combats » et ses limites : à part pour la partie scientifique pure et dure (et encore, elle est rapidement polluée par de la crackpottery pseudo-scientifique), tout le reste est sujet à questionnement quant à l’objectivité de la rédaction, des parti-pris discutables voire souvent une vision idéologique biaisée et orthodoxe où le déni est élevé au rang de dialectique.



Wikipédia n’a rien de démocratique. Un récent article d’analyse comparait Wikipédia à une bureaucratie pesante de l’ère prénumérique, avec des normes abstraite et conservatrices et une gouvernance éditoriale opaque.



Bref, sur Wikipédia il n’y a qu’une règle à respecter : assume BS.

Le 31/01/2016 à 11h 05







SebGF a écrit :



Avec une marchandise qui est identifiée constamment et des EAN scannés tous les 2 mètres l’automatisation totale d’un entrepôt c’est loin d’être de la SF et ça ne m’étonnerait pas qu’on finisse par y venir.

Le plus chiant pour ça, je pense, restera les petits produits qui sont stockés en rayons ou en vrac dans un carton et rendraient potentiellement la tâche difficile pour une machine… Mais après sur le principe c’est rien de plus qu’un immense jukebox.

Jukebox qui doit savoir prendre en compte la notion de restockage <img data-src=" />





On a déjà atteint ce point en agriculture ou dans le médicament depuis au moins 20 ans. Par ex. il existe énormément d’entrepôts de pièces détachées agricoles entièrement automatisés (en Allemagne surtout). Le cas le plus impressionnant (diversités des formats) est chez les grossistes pharmaceutiques où le contrôle se fait en continu par la pesée des bacs. Plus près de nous chez le pharmacien, les robots tout automatiques (rangement, optimisation et délivrance) sont de plus en plus présents.



Il n’y a donc aucun doute qu’à terme la distribution suivra le mouvement.


Le 31/01/2016 à 10h 43







Pictou a écrit :



Je ne m’y connais donc pas assez alors. Pourrais-tu expliquer pourquoi il n’y a aucune relation entre les deux?





Il suffit d’observer les cours de bourse et les réactions des commentateurs qui trouvent toujours la même explication circonstancielle circulaire à la hausse comme à la baisse (déception du marché ou le contraire par rapport à ses attentes). Tout ce que l’on peut affirmer, c’est que le cours de bourse à un instant t est l’exact reflet de l’offre et de la demande à cet instant. Les motivations des agents (acheteurs et vendeurs) sont inconnues et toutes différentes les uns des autres (histoire, stratégie, attente, etc). En pratique, il est donc impossible de rapprocher telle fluctuation de bourse de telle ou telle information (sauf cas extrêmes).







Pictou a écrit :



Pour l’irrationnel je pensais notamment au fait que des gens perdent beaucoup d’argent sur la base de rumeurs, d’informations non vérifiés, de non-dit plutôt que des déclarations concrètes ou éléments solides. Généralement on ne fait pas n’importe quoi avec son capital, mais à la bourse… wow…





Le point est un peu le même que mon § juste au-dessus. On ne connait pas les motivations des agents, donc difficile de corréler ceci avec cela. De plus, l’idée d’un agent économique en tant qu’entité purement rationnelle n’a jamais été très satisfaisante quand on connait le nombre de biais qui affectent l’humain.







Pictou a écrit :



Des boites sont côtés à des millions alors que l’entrepreneur n’arrive même pas à payer ses salariés. Bref, c’est sûrement lié au premier point, je ne m’y connais pas assez pour voir la logique rationnel derrière.





Tu vois bien toi-même qu’il n’y a pas de relation entre le cours de bourse et l’entreprise à un instant t. Le cours de bourse reflète la moyenne des valeurs attendues (futures) de l’entreprise par les agents.







Pictou a écrit :



Quand à ton dernier paragraphe, j’avoue ne pas l’avoir compris.





On trouve irrationnel un CA de 100 000 000 000 € pour une entreprise qui satisfait les besoins de millions de personnes (puisqu’elles dépensent volontairement leur argent là et pas ailleurs), mais pas irrationnels les 2 100 000 000 000 € de dettes souveraines qui sont cramés en pure perte économique (subventions, allocations et assurances sociales, etc) pour satisfaire l’intérêt personnel d’une clique politique vivant à crédit pour acheter son futur électorat qui devra fatalement les rembourser : qui est irrationnel ici ?


Le 30/01/2016 à 20h 02







Pictou a écrit :



Irrationnel au niveau de la bourse et de son fonctionnement, pour ne citer que ça. La réaction des traders face à des rumeurs, les algorithmes utilisés, les techniques utilisés, on est bien loin des raisonnements rationnels.





L’irrationnel, ici, est de penser qu’il existe une relation quelconque entre d’un côté les résultats (CA) et de l’autre le cours de bourse. Ce n’est pas faute de le répéter pourtant à chaque article qui présente cette relation comme un fait.







Pictou a écrit :



Gagner de l’argent non, mais la façon de le faire, là… c’est la folie.





Oui, mais encore ? Parce qu’à part répéter, je ne vois pas d’argument.







Pictou a écrit :



“Par contre en dépenser pour asseoir son électorat aux frais des générations futures à la hauteur de 2000 milliards de dettes en augmentation, là cela ne dérange personne. On se demande pourquoi…” Cette partie va quand même à l’encontre de ton premier paragraphe.





Oui, et c’est pour me faire ressortir que la « folie » ordinaire à plus de 2 100 000 000 000 € de dettes improductives semble échapper au quidam pour cause d’habituation (la grenouille est cuite) ou de désinformation (tout cela est pour votre bien).


Le 30/01/2016 à 19h 48







Kwaïeur a écrit :



J’ai du sauter une ligne, entre l’annonce du CA impressionnant d’Amazon qui entraîne pourtant une chute en bourse, et les politiques qui achètent l’électorat <img data-src=" />





Normale, c’est toute la différence entre d’un côté business bien conduit et utile et pour qui les gens ont voté avec leur argent, et de l’autre les magouilles d’imposteurs ne survivant que grâce au vol des premiers pour acheter le vote du restant.


Le 30/01/2016 à 14h 50







saladiste a écrit :



C’est la sainte démocratie <img data-src=" />





Une expression rénovée pour la loi du plus fort : consent et tais-toi.


Le 30/01/2016 à 13h 41







Pictou a écrit :



Oui enfin c’est ce qu’il veut empêcher en ayant un système un peu moins fou et qui ne soit pas complètement irrationnel.





Irrationnel à quel niveau ? Le nombre du CA dépasse votre entendement ? Pour y remédier c’est facile, comptez en puissance de dix : 100 000 000 000 =&gt; 10¹¹ et voilà.



Gagner de l’argent n’a rien d’irrationnel. Par contre en dépenser pour asseoir son électorat aux frais des générations futures à la hauteur de 2000 milliards de dettes en augmentation, là cela ne dérange personne. On se demande pourquoi…


Le 29/01/2016 à 23h 55







Walden Schmidt a écrit :



Il devient urgentissime de faire quelque chose pour réfréner l’avidité des spéculateurs parce que trouver que 100 000 000 000 $ de CA et un bénéfice doublé en un an c’est pas suffisant, c’est totalement démentiel. Si rien n’est fait pour arrêter cette folie furieuse, la prochaine crise financière va être apocalyptique.





La prochaine crise viendra tout bonnement comme la précédente : elles ne sont jamais que le réajustement naturel des marchés aux tripatouillages régulatoires et monétaires des politiques.



Mêmes causes, mêmes effets.


Le 29/01/2016 à 14h 44

On ne peut que féliciter Mr Bezos pour son talent, son opiniâtreté et la réussite de son entreprise bien méritée.



En attendant, les petites couineuses jalouses qui ne pourront jamais en faire autant répandent inutilement leur fiel.

Le 28/01/2016 à 17h 39







Pochi a écrit :



Quand tu dis l’observation de l’un définit l’observation sur l’autre, c’est une notion d’égalité ? Les deux sont dans le même état et le changement d’état de l’un sera reproduit à l’identique sur l’autre ? Encore que le reste de ton paragraphe tend à contredire ceci, du coup je visualise pas la notion de liaison entre les deux.





La liaison est simplement une corrélation établie lors de l’évènement (contact, interaction ou origine) entre les 2 entités (particules) : en gros et pour simplifier, avant une mesure si la probabilité que l’une ait telle propriété (par ex. son spin ou moment) est P, alors la probabilité pour l’autre est 1-P : l’information réelle ne peut pas être connue. Plus tard et/ou plus loin, si on mesure le spin de l’une des particules, alors le spin de l’autre sera connu à 100%. Il n’y a rien de magique.


Le 28/01/2016 à 16h 59







ledufakademy a écrit :



Ce n’est pas de moi mais c correctement expliqué … je trouve !



Le principe est de partir avec un qbit à transmettre sans le faire voyager tel quel (sinon c’est pas de la téléportation :p).

Un qbit est une unité d’information quantique (comme le bit informatique), et peut être réalisé par tout un tas de moyen (photon, atome ultra froid, …)



On utilise aussi un ebit (pour entangled-bit), qui consiste en deux qbits intriqués (l’intrication quantique a bien été décrite pas AlexF).



Le principe de la tp quantique (en restant simple) est que si chacune des deux personnes réalisant l’expérience a une moitié de l’e-bit, il est possible de transférer l’état du qbit d’une personne à l’autre, et ce de manière fiable et exacte.



Pour cela, l’émetteur A prend le qbit qu’il veut transmettre et sa moitié d’ebit, et réalise ce qu’on appelle une mesure de bell, qui va détruire les deux qbits et donné en résultats deux bits.



Par le fait d’avoir fait sa mesure sur sa moitié d’ebit, A va produire un changement au niveau de l’autre moitié en possession de B, et ce peut importe la distance.

Le truc par contre, c’est que B ne peut rien en faire juste avec son bout d’ebit.

Par contre il peut modifier sa moitié d’ebit d’une façon décrite par les deux bits produits du coté de A, pour ainsi reformer le qbit initial.



Donc au final il se retrouve avec le qbit originel (la mécanique quantique nous dit que deux objets ayant le même état ne peuvent pas être différenciés), mais comme on a besoin de transmettre des bits classiques pour se faire, on ne peut pas transmettre d’information plus vite que la vitesse de la lumière.

Et comme la mesure de Bell détruit les qbits, on ne peut pas dupliquer l’état quantique originel, ce qui respecte le théorème de non-clonage quantique, on ne fait que “téléporter” l’état.





L’intrication n’est juste qu’une corrélation effectuée au moment de l’évènement qui a conduit à la séparation des 2 entités et qui n’est révélée qu’après une mesure. Pas besoin d’utiliser des termes de vulgaire sci-pop (« téléportation ») pour impressionner le quidam.


Le 28/01/2016 à 13h 59

Pour ceux que cela intéresse, les « études » du MIT sur les comportements sexuels de leurs propres étudiants ne sont que des enquêtes dont les biais méthodologiques sont si nombreux que je me demande comment on peut les prendre au sérieux.



Pour l’ensemble des campus de l’État du Massachusetts, les statistiques montrent 285 cas de viols (essentiellement des femmes) sur 12 ans, soit un chiffre très faible (~4) rapporté par campus et par année : il suffit d’un acte supplémentaire pour faire exploser les statistiques.



Conclusion : enquête bidon et évolution des statistiques inconclusive. Proposition rejetée.

Le 28/01/2016 à 13h 19



comme le prouve une étude publiée par un professeur du MIT le 26 juillet 2005 dans le Wiley InterScience Journal)



« Wiley InterScience » est le nom de l’éditeur : même pas fichu de citer le nom du journal correctement, et donc impossible d’aller vérifier une étude d’il y a 10 ans (ce qui ressemble à du cherry-picking à première vue).

Le 28/01/2016 à 13h 07







ActionFighter a écrit :



Pourquoi peu altruiste ? A t’entendre, je refile tout ce que je gagne aux impôts <img data-src=" />





Je taquines ta sensibilité … (insère ici l’adjectif approprié à ta sensibilité … (etc)), mais j’en connais qui limitent leur temps d’activité à 3 jrs/semaines juste pour cette bonne raison.







ActionFighter a écrit :



Égalitariste ?



J’avais autre chose en tête, mais on ne va pas commencer un fight food HS.