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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 23/11/2016 à 16h 48







maestro321 a écrit :



Non. C’est absolument faux. Tu peux avoir toute la créativité du monde et tout les capitaux du monde, si tu n’as pas la force de travail initiale pour en faire quelque chose tu n’en tirera rien.

Et tant que la force de travail est indispensable (et elle l’est encore pour un moment) elle doit être valorisée comme telle.





Elle est de moins en moins indispensable parce que « la force de travail » se réduit de plus en plus à un travail intellectuel. Quand l’intelligence sera artificiellement possible et suffisamment avancée, ce type de travail disparaîtra aussi. Restera le capital et les idées pour le faire fructifier. Peut-être que le travail aura d’autres formes, peut-être ne disparaîtra-t-il pas complètement. Qui sait. Mais sa valorisation restera toujours du domaine du contrat mutuellement acceptable et accepté : donnant-donnant, valeur pour valeur. Tout autre cas de figure est de l’escroquerie.









maestro321 a écrit :



Ça on en sait rien.. On peut le supposer tout au plus.

C’est quoi ce procès d’intention contre le marxisme? Faute d’arguments tu te réfugies dans la rhétorique fallacieuse?

Si demain il n’y avait plus de travail, la rémunération du capital serait tout aussi absurde puisqu’elle se fait sur le travail…<img data-src=" />





Tout juste une pique, pas de procès, le marxisme s’est pendu tout seul à l’aune de ses contradictions et son acte de décès a été prononcé par la réalité. Mes condoléances.

Je ne travaille pas (ou si peu) et pourtant je crée de la richesse. Le capital est son propre moteur avec les idées comme carburant. On peut choisir le travail pour avancer/évoluer comme on peut choisir la rente. Des richesses sont crées dans les 2 cas, le but est donc identique même si les motivation sont différentes.









maestro321 a écrit :



Ha! Tu nous ressorts le mythe libéral du salarié libre, indépendant, et en capacité de négocier au mieux son salaire en toute situation et en tout lieu.<img data-src=" />

Et pas besoin d’utiliser le terme “utilité”, qui n’est qu’une autre version de l’idéologie biaisée du “mérite”. C’est bien sur le papier mais très loin de la réalité du terrain.





Actuellement, il est vrai que le salarié est prisonnier du carcan réglementaire et normatif imposé par l’État et l’administration. Comme l’entreprise est encore libre ou non de l’embaucher, il est le seul perdant de ce système puisque ses atouts potentiels ne valent qu’en comparaison des inconvénients réels infligés par son embauche. Dans de telles conditions, seuls les plus intelligents d’entre eux peuvent parvenir à leurs fins. Les autres, les plus faibles, les moins éduqués, les plus pauvres sont les laissés-pour-compte (nos chômeurs). Heureusement que le système actuel est censé les protéger. <img data-src=" />

J’irai jusqu’à affirmer que soutenir un tel système plutôt que laisser la liberté de contracter d’égal à égal valeur pour valeur fait le jeu des méchants capitalistes que tu dénonces, et permet à ceux qui travaillent de se maintenir en place le plus longtemps possible par les faveurs qu’on leur accorde plus que par leur capacité. C’est une sorte de concurrence déloyale pour les autres mais on n’est pas à une incohérence près chez le croyant rouge qui attend toujours le grand soir.









maestro321 a écrit :



Du capital d’usage, du capital qui servira à acheter, une voiture, une maison, de la bouffe.. Encore heureux qu’il puisse y avoir droit c’est le fruit de son travail.

Ça n’a à voir avec la rémunération lucrative (qu’il est très difficile d’obtenir par le travail) qui ne sert qu’à accumuler encore plus de propriété lucrative.

Et le “mutuellement accepté” faut le dire très vite et oublier la pression social et économique qui pèse sur le salarié…servitude volontaire toussa toussa.





Du capital qui permet aussi d’acheter des moyens de production pour s’affranchir des méchants capitalistes exploiteurs ? Meuh non, autant rester un jusque-boutiste dans l’incohérence la plus totale. Il ne faudrait surtout pas que le salarié comprenne que lui aussi, il peut s’émanciper du joug de sa classe sociale où les gentils marxistes voudraient bien qu’il reste sagement cantonné pour leur permettre de continuer à débiter leurs sottises.









maestro321 a écrit :



Drôle de monde, ne pas travailler, mais être chef d’entreprise sans salarié tout en ayant mon capital rémunéré (sachant qu’actuellement c’est le travail qui le rémunère).<img data-src=" />





Tu es trop vieux pour ces conneries !









maestro321 a écrit :



<img data-src=" /> Et ça c’est du “tangible”, c’est du “réel”?

https://www.franceculture.fr/emissions/le-billet-economique/financeeconomie-reel… <img data-src=" />





Malheureusement pour les salariés, oui. Les banques centrales sont en train de ruiner l’économie réelle avec leur papier-monnaie qui ne vaut pas le prix du PQ. Mais que veux-tu, on n’obtient jamais que le résultat de ce que l’on sème. La financiarisation est récente (1970) ne doit son existence qu’aux États et à leurs banques centrales aux ordres pour les financer socialement à moindre coût, et qui font donc tourner les presses à billets toujours plus vite pour compenser les méfaits socio-économiques de l’injection massive d’argent frelaté dans la crise précédente. Il ne faut pas s’étonner que le système parte à vau l’eau avec des « capitaines » pareils qui ne se sont pas rendu compte que produire de l’argent à bas coût pour financer du social n’est pas rentable pour les banques. Bien la peine de se plaindre des méfaits dont on soutient les causes. <img data-src=" />


Le 23/11/2016 à 15h 56







OlivierJ a écrit :



Alors arrête de nous inonder de tes commentaires sans intérêt pour la plupart.

Vraiment. <img data-src=" />





S’ils ne t’intéressent pas ne réponds pas. Je réponds rarement aux tiens pour la même raison.









OlivierJ a écrit :





  1. Vu que ça fait longtemps qu’on essaie d’estimer les quantités extractibles (en pratique et à coût économique faisable) de minerais et métaux de toutes sortes, on commence à avoir une idée même grossière des capacités. Et la finitude n’est pas si lointaine.





    On sait effectivement estimer les réserves prouvées parce qu’on réalise des explorations pour cela. De là à estimer une finitude inconnue… Cette finitude n’intéresse de toute façon pas l’économi(st)e qui ne s’occupe que de ressources utiles, c’est à dire celles créées par et pour l’Homme. Discuter du sexe des anges n’a pas d’intérêt.







    OlivierJ a écrit :



  2. Tu te crois encore obligée d’aligner des qualificatifs péjoratifs… Je ne prédis pas l’avenir, mais il semble que le photovoltaïque voit vraiment son seuil de rentabilité changer depuis quelques années ; je ne sais pas quelle sera la part du solaire PV dans 20 ans, ni son impact final (écologique / CO² / pollution), mais ta phrase à l’emporte-pièce pourrait être fausse.





    Je reproche au renouvelable escrologiste (éolien et solaire donc) une large palette de méfaits qui dérivent tous de la pseudo-science climastrologique, autant être précise et les indiquer comme tels. Je les qualifierai positivement quand je leur trouverai des qualités. Dans un système de marché non subventionné, on réalise les analyses coûts/bénéfices avant de mettre le bien sur le marché. Ma phrase est actuellement justifiée.


Le 23/11/2016 à 14h 28







Vanilys a écrit :









Continue de batifoler dans les méandres de ta vacuité en tentant pathétiquement de justifier tes attaques à mon égard. Comme disent les anglais, mettre du rouge à lèvre sur un cochon ne fait pas disparaître le cochon.


Le 23/11/2016 à 14h 26







Vanilys a écrit :



Mon dieu …

Ha oui mais en fait, tu vas jusqu’au bout toi hein ? Dans tous les domaines ? No limit ?

Une petite Trump junior, en somme.

Purée ….





Note que je ne nie pas que les substrats physiques ont une finitude quelconque, seulement que cette finitude, en plus d’être quantitativement inconnue, n’a pas d’objet d’un point de vue économique (qui ne traite que des ressources - utiles - de toute manière).









OlivierJ a écrit :



T’as fait fort dans le n’importe quoi là (tout ton commentaire)





Cf au-dessus.









OlivierJ a écrit :



Et au fait, le renouvelable qu’est l’hydro-électrique, c’est une aberration ?





Pas quand il est économiquement rentable, mais son développement est très limité (rare projet dans le monde actuellement). Je pensais surtout aux pseudo-énergies vertes, archaïques, non rentables, aléatoires, redondantes, improductives et ruineuses que sont les trancheuses à oiseaux et les miroirs aux alouettes.


Le 23/11/2016 à 14h 14







OlivierJ a écrit :



Et en quoi tes discours récurrents ne font pas partie d’une paresse et d’un petit confort “intellectuel” ?

Je reconnais bien là le subterfuge grossier qui consiste à retourner au contradicteur son ou ses arguments et à considérer cela comme un argument. C’est pathétique.





[quote:5781934:OlivierJ]Encore une fois, ce n’est pas avec le ton que tu emploies que tu peux espérer convaincre du monde. Je ne sais pas si ça ne dépasse pas ton “petit confort intellectuel”…





Je te rassure, je n’espère convaincre personne : c’est bien plus intéressant et irréversible de les laisser se convaincre d’elles-mêmes.


Le 23/11/2016 à 14h 06







Vanilys a écrit :









Voilà de l’argumentation « béton » : faire un catalogue des mots employés, ça envoie du lourd, ça cautérise instantanément les plaies profondes que j’ai manifestement causées. J’ai dû couper des nerfs ce faisant.



Voilà ma réponse appropriée pour que tu saisisses, peut-être pas, le problème : « emporte-pièces » « abuse » « poncifs » « absolument rien dire » « mots fourre-tout » « anti-système » « hors système » « vide intersidéral d’absence d’arguments » « creux » « vide » « veut rien dire » « profonde inculture » « ridicule » « alakon » « dommage » « poncif » « cliché « veut rien dire »



Tu ne remarqueras pas que la densité de négativité et d’idioties sur ma personne dans ton texte dépasse largement le lisible, bien que j’ai fait l’effort dans un but strictement éducatif. L’absence de tout fond est compensée par une forme négative répétitive sur les qualités supposées de ma personne, et c’est bien normal car le propre de l’argumentation ad hominem est qu’on utilise quand on a zéro logique, zéro idée et zéro manière.



Je vois que tu sais quand même faire un copier-coller : merci de propager gratuitement mes idées sans les discuter.


Le 23/11/2016 à 13h 47







gavroche69 a écrit :



Et donner 25 millions de dollars pour éviter un procès concernant une université “trump” bidon qui n’était qu’une vaste escroquerie, c’est normal aussi ?

C’est ça la réussite et l’esprit d’entreprise ?



T’es vraiment prête à défendre n’importe qui, même les plus pourris, pour affirmer tes idées, du coup ça ne te rend pas très crédible… <img data-src=" />





Tu divagues. Où ai-je supporté ou défendu Trump ? Son élection n’est pas moins incompréhensible (sauf par l’élite de la pensée unique du kamdubien) que celle du capitaine de pédalo ici. Et donc pourquoi pas lui puisque il a au moins le mérite d’avoir financé sa propre campagne contre à peu près toute la clique des professionnels de la désinformation et de la politique (désolée pour le pléonasme) ? J’ai donc uniquement défendu son droit à se présenter, je n’est pas discuté ses idées. Les miennes n’ont pas besoin de la caution morale de quiconque : elles se suffisent à elles-mêmes.


Le 23/11/2016 à 13h 38







maestro321 a écrit :



Ce n’est pas que le travail deviens moins important (puisque toujours indispensable) c’est qu’il devient plus efficient.

Avec la même charge de travail on arrive à produire plus de richesses qu’avant.





Et ce gain est entièrement dû à la créativité et aux capitaux engagés pour la concrétiser. Ce qui démontre que le travail n’est en lui-même qu’un pis aller, un aléa temporaire de l’Histoire : la mécanisation, l’automatisation, la robotisation et enfin l’anthropomorphisation sera la ruine des idéologies rétrogrades. C’est pour cette raison que le marxiste n’aime pas les capitalistes et les rentiers : moins de travail = moins de fond de commerce.<img data-src=" />









maestro321 a écrit :



Si tu rémunères le capital (et non le travail) effectivement, plus le travail est efficient moins il sera payé…

Si tu rémunère le travailleur (et non le capital), plus le travail est efficient plus celui-ci s’enrichit.



Merci mais j’ai bien compris la logique.<img data-src=" />





J’en doute. L’efficience et les gains de productivité ne tombent pas du ciel (cf au-dessus). Que le travail, c’est à dire la mise à disposition temporaire de la propriété d’un corps, soit rémunéré de manière adéquate selon des dispositions mutuellement agréées par les 2 parties coule de source : eux seuls peuvent valoriser au plus juste leur « utilité ».









maestro321 a écrit :



Ça ne fait rien éclater du tout, au contraire, a continuer de rémunérer le capital comme dit plus haut les emplois seront de moins en moins rémunéré (et de plus en plus rares à cause de l’efficience de celui-ci). A long terme ça fait une énorme masse de pauvre (sans capitaux ni travail) exploitables pour une misère pendant que de richissimes propriétaires accumulent encore et encore (sans bouger le petit doigt)..

Ha tiens, ça me rappel quelque chose.



Sauf qu’il ne faudrait pas oublier que si un jour il n’y a plus de travail du tout ce n’est pas grâce au capitaux, ils ne sont que l’outil, mais bien grâce aux générations de travailleurs qui ont fini par suffisamment travailler pour ne plus avoir besoin de le faire.



C’est leur “héritage”, les détenteurs de capitaux ne feront que spolier cet héritage en s’en attribuant le mérite et le fruit..





La contrepartie mutuellement acceptée du travail est une rémunération, c’est à dire du capital. Donc non. Les capitaux ne sont pas moins un outil, c’est à dire une manière d’atteindre un but, que le travail lui-même. Quand il n’y aura plus de travail, au sens d’exploité où tu l’entends, tout le monde sera chef d’entreprise, inventeur, producteur et … capitaliste. Je te laisse imaginer les conséquences tragiques pour tes « idées ».









maestro321 a écrit :



Oui on est d’accord, mais même comme ça il sera inefficace de le rémunérer (idées y compris)..<img data-src=" />





Il est plus facile de rémunérer du tangible que de l’intangible parce que la duplication de ce dernier est à coût nul. Donc je ne vois pas comment on peut espérer prospérer en ne rémunérant pas le capital, même dématérialisé. L’école d’économie autrichienne explique avec amples détails la relation inter-temporelle entre celui qui met à disposition son capital contre rémunération par celui qui en dispose pour structurer le développement des moyens de production. Il ne peut pas exister d’économie large qui fonctionne sans capital, et l’existence même du capital implique sa multiplication à un moment ou à un autre, càd sa rémunération.









maestro321 a écrit :



C’est fou ce besoin d’auto-persuasion<img data-src=" />





Tu n’as pas encore fait ton deuil, j’ai seulement un peu de pitié, je suis humaine. <img data-src=" />


Le 23/11/2016 à 12h 59







carbier a écrit :



<img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />

Tiens un utopiste (pour être poli) qui croit encore à l’extension infini des richesses.

Juste pour savoir, tu les trouves où les ressources (les matières premières) pour fabriquer des robots pour remplacer la totalité du travail humain sur Terre. Tu comptes ouvrir une annexe sur la Lune ou annexer Mars ?

Et mieux encore l’énergie pour faire fonctionner tout cela, tu la pompes au niveau du noyau terrestre ou tu nous la joues à Matrix avec un parc d’humain inactif et donc sans valeur qui produiront de l’énergie en pédalant (ah non merde c’est pas possible, cela serait du traval… <img data-src=" />).





Les réserves de substrats naturels ou d’énergie sont suffisamment abondantes en quantité, rien que sur Terre, si évidemment on ne les gaspille pas comme c’est le cas actuellement dans l’aberration qu’est le renouvelable. Économiquement, elles sont pratiquement illimitées. Alors dans l’espace, c’est Byzance.


Le 23/11/2016 à 12h 53







carbier a écrit :



<img data-src=" />

Cela me fait toujours autant de bien de lire tes commentaires.

Donc Hollande est un incompétent… Pourquoi pas.

Par contre Trump un chef d’entreprise qui s’est enrichi légalement… (tu te présentes pour l’oscar du meilleur role comique ?)

Tu parles bien du type qui a hérité un empire de ses parents (qui eux mêmes avaient hérité). En effet quoi de mieux qu’un riche héritier pour diriger les USA ? héritier ayant utilisé le système américain pour ne pas payer d’impots pendant des décennies et a faillir faire faillite plusieurs fois.

La méritocratie suivant tmtisfree <img data-src=" />





Chez tout le monde (sauf toi apparemment), l’héritage n’est ni illégal ni du vol. Ne pas payer ses impôts légalement est … humm … légal. Faire faillite est tout à l’honneur de l’entrepreneur : il n’y a que les donneurs de leçons qui parasitent le système économique pour se permettre de juger comme les idiots qu’ils sont les péripéties de ceux qui le font vraiment tourner. La réflexion n’est pas manifestement pas un caractère héritable.


Le 23/11/2016 à 12h 44







gavroche69 a écrit :



Es-tu au moins consciente que tu fais exactement la même chose avec ton éternel “collectivo-gaucho-marxiste” que tu nous sors à la moindre occasion ? <img data-src=" />





Non, je ne visais que son empressement répétitif à crier au loup « ARGUMENT FALLACIEUX » sans articuler ou expliciter ce pour quoi mon argument le serait. Je pense que le minimum dans une discussion est de citer le point litigieux et d’expliquer pourquoi, selon soi, il l’est. Seulement faire de la parade est de la paresse intellectuelle.


Le 23/11/2016 à 12h 27







maestro321 a écrit :



Un joli pavé d’argumentation fallacieuse.. Je crois qu’il est inutile d’aller plus loin.<img data-src=" />





Ta retraite est respectueusement acceptée. <img data-src=" />


Le 23/11/2016 à 12h 25







maestro321 a écrit :



Ce qui produit de la richesse ce n’est pas le capital mais le travail, c’est lui et uniquement lui qui est lucratif.

Ton champs de patate ne se sème, entretient, récolte pas par magie mais bien par du travail. C’est donc le travail qui permet une valeur ajoutée au capital et uniquement lui.



Le jour où les 1% des plus riches assureront 99% du travail je n’aurait rien à redire. En attendant c’est du vol puisque la rémunération du capital (qui ne devrait pas exister, puisque c’est un non-sens) ne peut se faire que sur la valeur du travail des 99% autres travailleurs.





Mais oui, la richesse des 1% les plus riches n’est qu’une illusion tenace. Tout ceci est parfaitement légitime et mérité, le reste n’étant que bienpensance, obscurantisme et jalousie<img data-src=" />





Il ne peut y avoir de travail sans capitaux et sans idées préalables pour le permettre. Le travail ne dérive que de l’obligation historique temporaire de survivre dans un monde aux ressources utiles limitées pour cette survie. Plus ces ressources augmentent, c’est à dire plus le système économique est capable de produire des richesses, moins le travail devient important. La dématérialisation et l’extrême mécanisation (robotisation) des systèmes de production commence à faire éclater ce modèle et rendre ton discours aussi irréaliste et démodé que la ceinture pour se pendre. Seuls le capital (dématérialisé) et les idées resteront à terme. Ta cause est inéluctablement perdue.


Le 23/11/2016 à 12h 15







A-snowboard a écrit :



Il y a encore du monde qui répond à “tmtisfree” ici ? <img data-src=" />





Ceux qui restent ont au moins l’intelligence d’exposer leurs idées et de questionner les miennes. Pour cela, ils ont mon respect.



Les autres ont choisi l’auto-censure : le temps gagné à ne plus répondre à leurs âneries habituelles est apprécié à la mesure de leur paresse de ne pas remettre en question leur petit confort « intellectuel ».


Le 23/11/2016 à 12h 09







ledufakademy a écrit :



Pourquoi on devrait pas monsieur le censeur ?



<img data-src=" />





Et la vérité, c’est le mensonge. <img data-src=" />


Le 23/11/2016 à 12h 06







maestro321 a écrit :



Le décalage avec le réel il est pour ceux qui justifient les écarts de richesse aussi important par le “mérite”.

La rhétorique marxisme est toujours d’actualité, et si elle parait passéiste c’est tout simplement que le fond du problème n’a pas changé.





Parce que c’est un mythe néo-libéral, sans changer le système de propriété lucrative on ne ferra que reproduire les mêmes inégalités et la même tendance à la concentration des richesses.

C’est d’ailleurs pour ça que quel que soit le pays que l’on a colonisé économiquement on se retrouve avec les mêmes schémas d’exploitation (le capital se concentre et se rémunère sur ceux qui n’en ont pas, y compris dans les dictatures).





Et sinon, à part avec un argument fallacieux tu es capable de discuter?





Tu répètes avec aveuglement (mais enthousiasme) les théories marxistes sans voir plus loin que le bout de leur nez et sans chercher à comprendre le fonctionnement et les bases du système économique (et donc sur l’inutilité subséquente de la nécessité d’un quelconque système politique). C’est regrettable de rester ainsi dans le déni, alors que l’information pour espérer évoluer dans ses idées, ce qui devrait nous définir en tant qu’humain, est si facile et si peu coûteuse d’accès grâce à l’économie de marché que tu décries si inconséquemment. Finalement, la posture qui consiste à accuser un chien de la rage pour pouvoir l’abattre me fait toujours sourire : elle en dit plus long sur l’individu en question que bien de ses commentaires.


Le 23/11/2016 à 11h 53







maestro321 a écrit :



Oui l’opposé est vrai, 99% de la population possède 10% des richesses.

Mais ça ne règle pas le problème.. les 1% ne “méritent” pas 90% des richesses.



Redistribué naturellement?

Sachant que le capitalisme concentre naturellement les nouvelles richesses (via la propriété lucrative) il va falloir m’expliquer comment elle peut au même moment être redistribuées.<img data-src=" />

Et non, ça n’a rien de “naturel”, il a fallu de nombreuses luttes social pour faire valoir des droits aux fruits du travail sans quoi on en serait encore à l’esclavage/servage (l’état étant aujourd’hui garant de ces droits).



Heu oui… M’enfin libre ou pas, l’accès à la propriété se fait pas le capital. Et le capital ne sort pas de nul part.



Bha si, aux détenteur des capitaux, ne fait pas semblant de ne pas comprendre.





Que l’état garantisse la propriété privée d’usage ça me va, c’est bien la propriété lucrative le soucis (vol légal).

Enlever l’état ni ferra rien puisque comme tu dis, les propriétaires la garantirons eux-même.

C’est la propriété lucrative qu’il faut arréter si l’on veux stopper le vol légal, arréter l’état ne ferra que le jeu des propriétaire lucratif (qui n’auront même plus à redistribuer de force une partie de leur richesses par les impôts).





L’opposé est 90% de 0%, c’est toujours 0 parce qu’une propriété qui n’est pas lucrative (une contradiction dans les termes) produit, par définition, zéro richesse : ta cause est économiquement perdue.



Elle est de toute manière perdue sur tous les autres plans : la légitimité de la violence pour seule substitut ou justification à un enrichissement perçu comme inégal va dans le sens contraire de l’Histoire. Je ne me fais pas de soucis et les exemples abondent qui démontrent l’inanité de cette idée vérolée dans ses bases même.


Le 23/11/2016 à 11h 41







OlivierJ a écrit :



N’importe quoi. En plus, un point “bien-pensance”, le truc qui ne veut rien dire <img data-src=" /> .





Merci pour cet argument en carton.









OlivierJ a écrit :



Encore cette ineptie de “pensée unique”, c’est vraiment ridicule.<img data-src=" />



La pensée unique est censée être la pensée de tout le monde (sauf de celui qui use cette expression, puisqu’il n’en use que pour se mettre en valeur). Or c’est en vain qu’on chercherait quiconque se revendiquant de cette pensée unique, affirmant “et bien oui, je partage cette idée, et je l’assume”. La pensée unique a ceci de paradoxal que c’est la pensée de personne, en fait. Et bien le système, c’est pareil. Le système, c’est les autres. Or comme tout le monde est anti-système, le système c’est personne.





L’expression désigne le moutonnage politique, médiatique, scientifique, ou autre quand les données empiriques ne veulent pas suivent les modèles (de pensée) que ceux ayant une parcelle de pouvoir essaient d’imposer, de manière cachée, ou détournée voire même au grand jour, par la force plutôt que par la raison.



Elle est parfaitement compréhensible par tous, et n’est rejetée que par les tenants de ladite « pensée unique », dans un aveuglement qui prête certainement le flanc à la moquerie. Ce dont on ne se prive évidemment pas, merci de fournir cette occasion.



Le système, c’est l’individu. Le reste n’est que des illusions de sable bâties sur des marais idéalistes sans fonds, soumis aux vents incertains de l’avenir et ne résistant que par l’inertie du système, le poids des habitudes et de la propagande de la pensée unique. Tout a une fin.


Le 23/11/2016 à 11h 20







Vanilys a écrit :



Quand je vois dans un discours les termes de “bien-pensance”, “establishment”, “pensée unique”, “dogme”, médias traditionnels”, je suis à peu près sûr à 99% qu’il provient de quelqu’un prônant un extrême quelconque.. bien souvent l’extrême droite. Ca rate quasi jamais <img data-src=" />



Tiens, qu’est-ce que je disais ! <img data-src=" />





Il faut vraiment être d’une mauvaise foi sans borne ou d’une inculture politique sans fond pour faire une différence qualitative ou quantitative entre le socialisme de gauche et celui de droite. Merci pour ton moment de ridicule achevé et assumé en public.


Le 23/11/2016 à 11h 13







maestro321 a écrit :



Son propre argent gagné sur le dos des travailleurs.<img data-src=" /> Voir commentaire précédent. Va falloir arréter de justifier les grandes richesses par le “mérite”, c’est un discours qui ne tiens plus.





Il va falloir surtout évoluer un peu : la rhétorique marxiste poussiéreuse et obsolète, ça fait quand même assez salement passéiste et en complet décalage avec le réel. Pourquoi ne pas encourager les travailleurs soit disant « exploités » à devenir producteur, à créer et à s’élever soci(ét)alement ? Avec la dématérialisation, la facilité pour acheter et vendre à 7 milliards de clients potentiels n’a jamais été aussi simple et abordable.



Mais non, bien sûr que non, si la « modernitude collectiviste » perd le peu qu’il lui reste de son fond de commerce et ses illusions débiles, elle est bonne pour la casse finale : le cimetière des utopies ne fait pas de prisonnier. <img data-src=" />


Le 23/11/2016 à 11h 02







maestro321 a écrit :



Mais oui, les riches ne volent rien, si les 1% des plus riches concentrent 90% des richesses c’est grâce à leur travail acharné !

On se demande bien pourquoi les 99% autres travaillent s’ils ne produisent que 10% des richesses.



Le pillage légale ce ne sont pas tant les impôts (puisqu’ils sont censé être redistribués) que l’intouchable propriété privée lucrative qui permet de “créer” de la richesse sur le travail de ceux qui ne sont pas propriétaire de leur moyens de production / logements.

Et devinez qui est le premiers garant de la propriété propriété lucrative?

Non !! Ne me dite pas que c’est l’état avec l’argent des impôts !!<img data-src=" />





Comme tu l’a si bien dit, la propriété permet de créer de la richesse. Il ne semble pas t’être venu à l’esprit que :

1/ l’opposé est aussi vrai, et qu’il vaut mieux 10% de quelque chose que 90% de rien ; on montre cependant que 96-97% de la valeur sociétale des biens/services produits est redistribuée naturellement, signifiant par là que l’État n’est qu’un gouffre absurde ;

2/ l’accession à la propriété et aux moyens de production est libre sauf quand l’État la restreint ou l’interdit, auquel cas la création de richesse s’annule et la misère arrive (Venezuela) ;

3/ les moyens de production dérivent de la créativité humaine : leur existence n’est donc réservée à personne en particulier ;

4/ si tu ne veux pas que l’État garantisse la propriété avec les impôts, supprime l’État. Cela fera d’une pierre 2 coups : la propriété sera quand même garantie par les propriétaires aux-mêmes (elle prédate l’État) et le vol légal disparaîtra à l’avantage de tous. Il va sans dire que j’approuve ce programme.


Le 23/11/2016 à 10h 42







gavroche69 a écrit :



Ouais mais est-il souhaitable que seuls des gens plein de fric puissent se présenter à des élections ?



Je crois qu’il est bien avéré que la richesse n’est pas forcément synonyme de compétence et d’intégrité, très loin de là même…



Sur ce principe on est plus vraiment élu mais on achète sa fonction comme on s’achète une bagnole de luxe et je ne trouve pas ça terrible…



Cela dit, je n’ai pas non plus de solution idéale et je ne sais pas s’il en existe une… <img data-src=" />





Est-ce plus souhaitable qu’un incompétent puisse se présenter et qu’il soit élu comme actuellement en France ?

Est-ce qu’on peut affirmer qu’un individu qui s’est enrichi légalement a, a minima, eu assez de compétence pour ce faire ?

Est-ce qu’on peut reconnaître, finalement, que si on a besoin d’un système politique pour élire un Président afin de guider une société et son économie, le moins mal placé n’est-il pas un chef d’entreprise ?


Le 23/11/2016 à 10h 26







maestro321 a écrit :



Il n’y a qu’un néo-libéral pour trouver qu’une élection “ploutocratique” tient du bon sens.<img data-src=" />

Quand au mérite il n’a rien à voir là dedans.<img data-src=" />



http://www.liberation.fr/futurs/2015/09/14/de-la-ploutocratie-en-amerique_138243…

Voir chapitre : Pourquoi les démocrates n’ont-ils pas fait davantage pour contrecarrer les politiques pro-riches des républicains ?





Je ne sais pas de que « néo-libéral » veut dire, merci de fournir une définition cohérente appropriée.



Utiliser son propre argent relève certainement plus du mérite que de le prendre en permanence aux travailleurs (et futurs électeurs). Aussi incroyable que cela puisse paraître, les étatistes-collectivistes ont réussi le tour de force de convaincre une bonne partie de leurs « sujets » que leur voler leur argent était une bonne chose. Ça en dit long sur le matraquage de désinformations de la machine de propagande (aux ordres ou aux subventions) des pouvoirs politiques.



Toute les formes de systèmes politiques actuels sont ploutocratiques à un degré ou à un autre, du fait de la définition artificielle et mentalement dérangée du pouvoir étatique-collectiviste (toute tendance politique confondue, même au Venezuella) : la négation de l’individu et sa subordination à une chimère inexistante (bien commun). Tant que cette croyance persistera, le joug de la ploutocratie aussi.



Il n’y a que les bigots pour croire que le cancer collectiviste se réglera avec plus d’aspirine collectiviste. <img data-src=" />


Le 23/11/2016 à 10h 11







gavroche69 a écrit :



Que le système français soit discutable et loin d’être parfait ça ne fait aucun doute…

Mais le système américain est loin d’être un exemple puisque clinton a obtenu plus de 2 millions de voix de plus que trump mais c’est trump qui est élu malgré tout grâce à ces fameux grands électeurs…

Pas vraiment de quoi donner des leçons de démocratie aux autres donc…





Je me bornais à faire la seule comparaison qui me semble possible : celle du financement.



Personne ne doute qu’il n’existe aucun système électif exemplaire, parfait, absolu, équilibré ou même souhaitable pour la bonne, simple et fondamentale raison que le plus petit dénominateur connu à même de connaître, respecter et faire respecter les droits de chacun dans une société est l’individu lui-même. Celui qui délègue ses droits, de manière forcée ou de plein gré, ne devrait pas s’étonner que d’autres en profitent. La Nature a horreur du vide.


Le 23/11/2016 à 10h 01







Ami-Kuns a écrit :



On est encore loin de dépenser un milliard pour une élection en comptant tout les candidats.





À quoi penses-tu que servent tous les milliards engloutis dans le social (plus d’13 du PIB) sinon contenter (pour un temps avec quelques croûtons) les futurs votants en leur faisant croire que les minimas sont leur seul espoir - puisque les riches le sont devenus uniquement en les volant, c’est bien connu, que la redistribution de leurs richesses pourra seule compenser ce mankagagner et que donc il faut des chevaliers blancs au service du bon peuple pour ce faire ?



Je ne voudrais pas dissiper tes illusions et ruiner ton mercredi, mais quelque soit ta position dans ce système, tu es perdant soit par crédulité aveugle, soit par pillage légal (sauf si tu parviens à rejoindre l’élite parasite de l’énarchie et consorts, il va sans dire).


Le 23/11/2016 à 09h 36







Ami-Kuns a écrit :



Bientôt en France aussi, il suffira de claquer au moins une centaine de millions pour se faire élire.<img data-src=" />





Pourquoi utiliser le futur ? Ton commentaire aurait été encore plus réaliste en remplaçant le mot « millions » par « milliards d’argent public volé à ceux qui travaillent ». Les américains ont au moins le bon sens d’utiliser leur propre argent ou celui des dons pour élire leur Président. Le mérite est récompensé.



Cette différence de financement en dit long sur la caricature de système politique qu’est devenue le système français, les élites locales privilégiant leur intérêt de caste en le finançant par la ponction coercitive. La connivence est récompensée.


Le 23/11/2016 à 09h 22

Facebook fait un bouc émissaire facile, maintenant que Clinton a perdu. Elle aurait gagné, on aurait souligné l’importance de la véracité et de l’objectivité de l’information diffusée par les médias traditionnels au bon peuple éclairé toujours aussi assoiffé de bien-pensance sociale-démocrate (et de l’assistance financière électorale de justice sociale qui va avec).



Mais non, face à la raclée de l’establishment de la pensée unique, pas de remise en question du formatage et des dogmes ; le bon peuple s’est magiquement transfiguré en populiste ignare et ce n’est pourtant pas la désinformation outrancière des médias traditionnels qui serait à blâmer quand seule une 20aine de médias avait appelée à voter Trump face à plus de 500 pour Clinton ?



Allons. Il faudra un jour penser à retirer ses verres rougissants : les couleurs de la réalité ont un spectre bien plus large. (Et le noir les absorbera toutes.)

Le 21/11/2016 à 12h 20







carbier a écrit :



Ben si car cela montre que ta propre position religieuse de principe est basée sur une méconnaissance scientifique pleinement assumée.





Ma seule « position de principe » est de justement respecter la méthode scientifique et le scepticisme qui va avec, à l’inverse des croyants. Donc m’accuser du contraire est d’un ridicule achevé, un état permanent chez toi heureusement connu et reconnu.


Le 20/11/2016 à 17h 47







wanou2 a écrit :



Si on parle jute de l’envoi de la fusée elle rejette principalement de l’eau…





Il faut voir cela avec l’auteur de l’affirmation initiale « Bonjour le bilan CO² (sic) ». Ma réponse concernait son réflexe pavlovien de juger négativement toute activité humaine à l’aune de son idéologie primitive. Que sa position religieuse de principe soit pertinente ou pas n’est pas le point.


Le 20/11/2016 à 10h 36







Lebarbu82 a écrit :



760 T pour 3 T de CUtile <img data-src=" />



Bonjour le bilan CO² <img data-src=" />





C’est excellent pour le verdissement de la planète, merci pour elle.



Cela remet aussi les pendules à l’heure en terme d’ordres de grandeur pour les escrolos-menteurs, les médias ignares et le public naïf sur les mesures débiles, contreproductives et coûteuses de limitations non contraignantes et minimales d’émissions imposées dans le cadre d’accords globaux inutiles (voire pire de soustraction atmosphérique) quand on mesure les bienfaits d’un tel enrichissement, non seulement pour la Nature mais pour l’Homme, mais surtout quand on observe les énormes émissions naturelles (océans, forêts) et humaines (Chine, Indes) qui ne font l’objet d’aucunes récriminations particulières de la part des éco-catastrophistes annonciateurs d’un futur thermageddon qu’on attend encore. Leur dogmatisme anti-scientifique est frappant.


Le 07/11/2016 à 09h 43







joma74fr a écrit :



Comme toujours, lorsqu’on ne connait pas un domaine, on trouve la chose soit inutile, soit néfaste (voire dangereuse).





Je ne vois pas d quoi tu parles.







joma74fr a écrit :



Béni soit donc le système de marché libre ! (j’admire l’éloge que tu en fais)

 

Et que la tendance/le résidu de friction négligeable puisse l’être autant que possible, ça réconfortera les perdants (ou ça les motivera) dans leur malheur – malheur causé par l’interventionnisme d’État ou par la corruption bureaucratique, j’entends bien (le marché libre n’y étant absolument pour rien, ce dont je me permets légèrement de mettre en doute).





C’est bien de douter mais ce n’est pas un éloge, juste la description du système observé. « Le résidu de friction » ne sera jamais nul pour diverses raisons (calcul économique imparfait, établissement des prix en temps différé, asymétrie d’informations, horizons temporels et préférences des agents non recouvrables, incertitude qualitative et quantitative quant aux besoins, etc).



D’un point de vue strictement mécanistique, ces « imperfections » ne sont pas des limites mais des opportunités : elles offrent à d’autres agents économiques, aux entrepreneurs, aux startups, etc, la possibilité, si elles sont découvertes, adaptées et acceptées, d’améliorer le système (le profit potentiel est un formidable motivateur). D’un point de vue humain, si jamais l’État devait avoir un rôle à jouer, ce pourrait être de tout faire (càd le moins possible) pour diminuer le temps de transition des ε.


Le 05/11/2016 à 15h 43







IhazHedont a écrit :



Donc tu dis merde à tous les métiers d’artisanat/artistique ?





Je me trompe peut-être mais chez la plupart des humains que je connais, les mains ne sont pas (encore) autonomes… quoique certains écrivent de telles âneries que je me demande si je ne devrais pas réactualiser mes connaissances sur ce sujet intéressant mais éminemment secondaire…


Le 05/11/2016 à 12h 58







Z-os a écrit :



Oui, la baguette ne pèse pas 1 kilo :)





Les chiffres cités dans mon commentaire #19 ne sont pas de moi mais d’un historien qui ne donne pas ses sources, sauf le dernier où l’erreur est manifeste



J’ai complété et différentié les séries suivant les sources pour plus d’homogénéité, même si toutes ne se recouvrent pas (un grand classique) :



Temps nécessaire pour acheter un kg de pain en (1) :

1709 : 180 minutes

1901 : 72 minutes

1985 : 17 minutes



Prix du kg de pain / taux horaire en (en F / F/h pour 10 h de travail journalier) (2) :

1800 : 0.45 / 0.20 soit 135 minutes

1850 : 0.40 / 0.30 soit 80 minutes

1900 : 0.50 / 0.50 soit 60 minutes



Prix du kg de pain / taux horaire en (en F / F/h) (3) :

1900 : 0.38 / 0.30 soit 76 minutes

1910 : 0.40 / 0.33 soit 73 minutes

1920 : 1.02 / 1.80 soit 34 minutes

1930 : 2.16 / 3.30 soit 39 minutes

1940 : 3.15 / 6.00 soit 31.5 minutes

1950 : 35.4 / 93.0 soit 22.5 minutes



Prix du kg de pain / SMIC en (en € / €/h) (4) :

1970 : 0.31 / 0.52 soit 35.5 minutes

1980 : 0.93 / 2.10 soit 27 minutes

1990 : 1.60 / 4.70 soit 20 minutes

2000 : 1.91 / 6.31 soit 18 minutes

2010 : 2.44 / 8.86 soit 16.5 minutes

2016 : 2.60 / 9.67 soit 16 minutes



Sources :

(1)http://www.jbnoe.fr/Les-annees-de-misere-quand-la-vie

(2)http://www.boulangerie.net/forums/bnweb/prixbaguette.php

(3)http://noisy93160.histoire.free.fr/documents/2013-01-17_prix_et_salaires_19_&amp…

(4)http://france-inflation.com/prix_depuis_1900_en_france.php

(4)http://france-inflation.com/smic.php


Le 05/11/2016 à 11h 33







Z-os a écrit :



Pour un kilo de pain à 3 euros (4 euros à paris, donc un peu moins ailleurs) qui correspondrait à 6 minutes de travail, cela fait 30 euros de l’heure net. 40 euros bruts de l’heure, soit 1400 euros bruts pour 35 heures de travail. C’est déjà un bon salaire d’ouvrier…



… A moins que tu n’aie le même boulanger que Copé ? :eek:



Edith : J’ai bien repéré l’erreur que tu as faite <img data-src=" />





Effectivement il y a un problème sur les 2 derniers chiffres.



Prix du kg de pain/SMIC en (€ / €/h) :

1970 : 0.31 / 0.52 soit 35.5 minutes

1980 : 0.93 / 2.10 soit 27 minutes

1990 : 1.60 / 4.70 soit 20 minutes

2000 : 1.91 / 6.31 soit 18 minutes

2010 : 2.44 / 8.86 soit 16.5 minutes

2016 : 2.60 / 9.67 soit 16 minutes



Merci pour m’avoir permis de rectifier. Le point demeure cependant.


Le 05/11/2016 à 10h 57







joma74fr a écrit :



Si production = besoins de consommation, alors c’est un raisonnement exact.

Malheureusement, ce n’est que rarement le cas (et c’est pour cela qu’il y a des perdants).

Effectivement, on nage bien en pleine utopie.





Essayerais-tu d’affirmer que globalement les producteurs sont si imprévoyants et si négligents pour leurs affaires qu’ils ne basent pas leur production sur les besoins réels ? Si c’était le cas, cela impliquerait des pénuries et des excédents à répétition, et donc des faillites permanentes, ce que l’on n’observe pas (ou très peu) en pratique dans un système de marché.



Bien au contraire, les producteurs ont tout intérêt à caler leur production (en biens physiques) au plus près des besoins pour optimiser leurs profits. Pour les services, le problème ne se pose pas puisque par définition la production est strictement égale à la consommation. Globalement comme les services devraient (ou ont déjà ?) supplanter les biens physiques en valeur, la tendance se rapproche donc de l’optimum :




                                               Production ===  Consommation   





Ironiquement, les seuls exemples où la production (biens et services) diffère durablement des besoins en consommation sont retrouvés en système socialiste de production centralisée (le Venezuela est un bon ex. actuel). Ce n’est pas comme si on avait pas déjà démontré l’impossibilité du calcul économique en système collectiviste depuis ~un siècle. <img data-src=" />



Pour conclure, on pourra dire que plus le système de marché pourra s’adapter rapidement aux besoins, ce qui est complètement équivalent à dire que plus le système de marché sera libre, plus le nombre de perdants tendra vers 0. Évidemment le système n’étant pas parfait, il restera un résidu de friction à ε perdants qu’on peut de facto négliger.


Le 05/11/2016 à 09h 35







Trix100 a écrit :



C’est beau les utopies !

 

  Les humains avec de bonne capacité intellectuel et/ou manuel, ça fait 30% aller 50% des gens!

Et vous oubliez l’informatisation/algorithme …

Donc, vive le revenu universel ! :(





L’utopie est déjà en cours depuis environ 150 ans, et il suffit d’observer sur cette période l’évolution des métiers avec la disparition progressive des activités manuelles et physiques au profit de celles de la supervision, de la gestion, de la recherche et des activités intellectuelles en général, pour se rendre compte que les robots n’en sont que le prolongement logique et inexorable (mais lent).



En moyenne, cette évolution a été bénéfique (un ex. : en 1709, un ouvrier devait travailler 3 heures pour s’acheter un kilo de pain. En 1901, l’ouvrier ne devait plus travailler que 1,2 heure pour l’acheter. En 1985, c’est 17 minutes. En 2015, c’est 6 minutes.) Mais comme ce n’est qu’une moyenne, personne ne nie qu’effectivement il y aura ε perdants (ε car l’évolution est lente). Mais ne considérer que cet ε revient à considérer un arbre au lieu de la forêt.



Mettre en place un revenu universel n’a donc pas de sens (en plus d’être non finançable). La chose qui devrait avoir le plus de valeur pour l’Homme, ce n’est pas l’argent ou les biens matériels : c’est son temps. Le libérer (par la robotisation) est donc une aubaine.



En attendant le jour béni où plus personne ne travaillera (pour un autre), nous avons d’abord à régler nos problèmes d’infestation parasitaire conduisant à un chômage de masse structurel bien entretenu dans ce beau pays des grenouilles de bénitier étatiques


Le 04/11/2016 à 17h 07



L’Angle éco : le travail, c’est fini !



Non, pas plus que les machines-outils n’ont diminué la quantité de travail disponible dans l’industrie. Le travail a simplement été déplacé ailleurs, dans des emplois moins fatigant, mieux payés (services). La quantité de besoins de l’humain augmentant plus vite que la population, la quantité de travail disponible suit aussi cette tendance lourde.



Les robots prendront en charge la partie la plus facile à automatiser, càd la moins intéressante dans une perspective de management du capital humain (ce qui est intéressant chez l’Homme, ce n’est pas ses mains mais sa tête). Tout ceci ne se fera bien entendu pas en une année, mais sur une période longue de quelques décades.



Le résultat attendu est le remplacement du travail humain physique par un travail (plus) intellectuel (oui je sais, pour certains cela va être très dur) et producteur d’innovation, d’idées nouvelles et, finalement, de progrès pour tous. Comme disais je-ne-sais-plus-qui, les idées sont au progrès ce que le sexe est à l’évolution.

Le 04/11/2016 à 11h 38

Ah ! voilà ce qu’on appelle de la politique de faveurs au service des lobbies ! On n’en attendait pas de moins du sinistère de la Kulture du Kampdubien !



Ne reste plus qu’à autoriser les ayants-droits à rapprocher leur liste noire avec la liste TES, et la (parodie de) justice pourra faire son office : un bel instant fasciste en perspective.

Le 04/11/2016 à 09h 45

À quand la mention « Politicien corrompu » sur la photo de ces crétins paternalistes ?



Il faudrait éviter l’idéalisation de l’image du polytocard…











carbier a écrit :



En gros tu n’as rien compris.

Tendre vers un idéal n’est pas un problème en soi.

Le problème c’est quand l’idéal vers lequel tu veux tendre n’est pas “réel” mais complètement artificiel. Le but de cette loi est donc de permettre de mieux mettre en avant ce qui est réel et ce qui ne l’est pas.



Il y a bien des commentateurs ici qui pronent une économie libertaire et ultra libérale: c’est tout aussi ridicule de croire qu’elle serait idéale…





La notion d’un « idéal » qui est « “réel” mais complètement artificiel » est le prototype de l’argumentation circulaire oxymoresque, surtout quand l’exemple donné est frappé du coin du non sens : la description de la réalité (libérale) n’a pas besoin d’un idéal, elle se suffit à elle-même pour qui possède une once de bon sens.


Le 03/11/2016 à 16h 34







wanou2 a écrit :



Les boites qui vont bien se financent auprès des banques pour des tarifs défiants toutes concurrence.





Ce sont elles (ces entreprises et ces banques) qu’on retrouvera à la prochaine crise pour mendier de l’aide auprès des pouvoirs publiques (nous donc) parce que l’argent ZIRP/NIRP ressemble à un cadeau (empoisonné) : que deviendront les projets actuellement rentables quand les taux remonteront, ou quand les banques centrales imposeront des réserves supplémentaires aux banques commerciales, coupant ainsi l’accès au cash facile et pas cher ?


Le 03/11/2016 à 14h 53

La muselière est bien en place, il n’y a plus qu’une corde fiscale à passer et le patient sera confortablement prêt pour la saignée. Pour son bien, il va sans dire.



L’État s’intéressant à la blockchain pour les bons, c’est un peu le Vatican s’intéressant au cunilingus pour augmenter les offrandes dominicales.

Le 03/11/2016 à 16h 25







UtopY-Xte a écrit :



Tu cites des mecs qui ont des projets d’exploiter des meteorites proches. De un, ils en sont encore loin, et puis des meteorites j’appelle pas ca l’espace, mais des morceaux de cailloux aussi gros qu’une poussière a l’échelle de la terre, ca fait un peu minus et cortex.





Oui, c’est moins cher pour des essais. La NASA a aussi envoyé une sonde sur un astéroïde lointain pour y miner des prélèvements. Moi j’appelle cela une conquête de l’espace en cours. Ne t’en déplaise, l’espace ne se résume pas à Mars.







UtopY-Xte a écrit :



Après le texte du sénat US est un texte pour inciter les  sociétés privées a exploiter le filon commercial de l’espace (surtout a but touristique proche, ou de colonnies sur des planetes telluriques de notre systeme solaire qui sont par ailleurs plutot hostiles), Il peut inquieter, mais en l’état de la technologie et des connaissances des limites de la physique, va falloir s’accrocher encore quelques siecles pour avoir l’espoir de vouloir conquérir l’espace, parce que c’est pas en ayant une base sur Mars, un hotel en orbite de la Terre et un tracteur sur des cailloux dans le coin qu’on peut se targuer d’avoir conquis l’espace.





Rome ne s’est pas faite en un jour non plus. Une conquête est un processus long, et il faut bien commencer petit (que pas du tout).


Le 03/11/2016 à 15h 49







the_frogkiller a écrit :



ah bon elles ne se font pas la guerre? piratage, sabotage ça rentre dans quelle catégorie?





La métonymie mal employée n’a jamais fait un argument.


Le 03/11/2016 à 15h 04







WereWindle a écrit :



ce qui mènera tout naturellement à une jolie guerre (je vois mal la Chine ou la Russie reconnaître la force d’une loi américaine)





À la différence de la Terre, l’espace est ouvert et immense et ce sont vraisemblablement des machines d’entreprises privées qui exploiteront l’espace et ses ressources, pas les États au bord de la ruine financière. À la différence des États, les entreprises privées ne se font pas la guerre, elles se concurrencent.


Le 03/11/2016 à 14h 46







UtopY-Xte a écrit :



Il ne faut pas parler de “conquête de l’espace” mais d’ “exploration spatiale”.





Quand on est à la ramasse ou à la traîne, oui ! Quand on est devant les autres, on publie une loi autorisant ses citoyens à s’approprier l’espace et ses ressources.





This is the single greatest recognition of property rights in history. This legislation establishes the same supportive framework that created the great economies of history, and will encourage the sustained development of space.”




  • Eric Anderson, Co-Founder and Co-Chairman, Planetary Resources, Inc.





    “A hundred years from now, humanity will look at this period in time as the point in which we were able to establish a permanent foothold in space. In history, there has never been a more rapid rate progress than right now.”

  • Peter H. Diamandis, M.D., Co-Founder and Co-Chairman, Planetary Resources, Inc.



    Cela ressemble fort à une conquête maintenant.


Le 03/11/2016 à 13h 41

Quand on voit les réussites des USA dans le domaine spatial et celui de l’Europe qui cumule amarrage raté et crash récemment, cela laisse songeur aux capacités futures respectives pour la conquête de l’espace.



En tout cas une bonne première partie de mission pour la sonde New Horizons qui a toute ses chances de faire un doublet maintenant !

Le 03/11/2016 à 15h 43







manu0086 a écrit :



Je pense au contraire à l’opposé de toi, le désintérêt ne vient pas des coups tordus, il vient d’une société de fainéants, d’assistés qui veulent qu’on leur mâche tout le travail, qui pensent que tout leur est du, que le système est “magique”, que ça marche à minima et donc on s’en moque du comment.

Les coups tordus, les mauvaises gestion viennent du simple fait qu’il n’y a personne pour les empêcher, on ferme les yeux et ensuite on gueule quand on découvre les “dégâts”.





Logiquement pour qu’il existe des « assistés et fainéants » qui survivent d’une élection à l’autre, il faut des assistants pour les nourrir avec de l’argent volé à d’autres. Tant que le système permettra que ces assistants (les politiques) soient élus par leurs « assistés » (chômeurs, fonctionnaires, « pauvres », etc) dans un conflit d’intérêt généralisé qui ne dérange apparemment personne puisque comme le faisait remarquer l’économiste politique F. Bastiat, l’État est la grande fiction dans laquelle tout le monde vit aux dépends de tout le monde, ce système ne produira rien que de la racaille politique (les plus mauvais étant les mieux placés pour finir en haut du Ponzi électoral, malheureusement), du néant législatif contre-productif et liberticide, et la ruine à petit feu pour tous les autres, les tentatives de redistribution pour cacher la misère se heurtant à l’implacable loi de Bitur-Camember.



Voter pour un tel système revient à le légitimer et à en devenir complice.


Le 03/11/2016 à 14h 59







thomgamer a écrit :



Autant je suis d’accord sur l’élite politique qui au final ne change jamais et se protège, mais dire que tous les maires sont dans le même panier,  bof, y a de très bons maires affiliés à aucun parti, mais c’est une question d’échelle, c’est valable pour les petites villes, je serai curieux de voir le %age de maire de grande ville non-affilié à un des grands parti politiques français …





Tu noteras que je n’ai pas parlé de parti politique, mais simplement de « coups bas, (d’)intérêt personnel en priorité et (de) dépenses sans compter ».



L’altruisme (« l’intérêt général ») est une idée théorique formidable mais avec un seul gros problème : il n’existe pas en pratique quand il n’est ni individuel ni responsable. La et le politique survit sur ce mensonge.


Le 03/11/2016 à 14h 33







manu0086 a écrit :



Ils seront réélus si les gueulards présents ici en nombre continuent de rester confortablement installés dans leur petite vie et criant leur mécontentement sur des forums au lieu de se bouger le derrière.



Y’a du monde pour gueuler dans son fauteuil devant la tv/l’ordinateur/le bar, mais y’a personne pour se rendre ne serait-ce qu’aux réunions communales… là où tout commence dans notre pays.

La majorité d’entre vous ne s’intéresse même pas à la vie de sa propre commune et ça se permet de gueuler à tout va contre des décisions qu’ils ne comprennent pas et ne peuvent pas comprendre étant complètement à l’ouest. C’est comme parler défiscalisation avec un sdf…





Il y a une bonne raison à ce désintérêt : les mêmes coups tordus et les mêmes engeances sont à la barre dans les communes (jusqu’aux plus petites). Ce n’est que coups bas, intérêt personnel en priorité et dépenses sans compter. La politique tout en bas de la pyramide est la même que tout en haut. Comment pourrait-il en être autrement puisqu’il faut bien que les futures zélites parisiennes se « forment » un jour sur le terrain de jeu provincial.



Alors oui en tant qu’individu non votant mais participant à la société économiquement, j’ai toute légitimité à critiquer un système corrompu, voleur, violent et hypocrite, ses élus psychopathes pourris jusqu’à la moelle et ses électeurs imbéciles et ignares (ou vice versa).


Le 03/11/2016 à 13h 48







carbier a écrit :



Pourquoi écrire ce pavé ?

Tout est résumé dans le 1er paragraphe.





Parce que l’auteur est un journaliste consciencieux qui fait son travail en profondeur plutôt que de fournir du prémâché à des limités cérébraux ?



Merci à M. Rees pour ce décorticage en règle et l’exposition de tous ces menteurs, qui seront, n’en doutons pas une seule seconde, réélus complaisamment un jour ou l’autre en dépit de leurs forfaitures.