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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 18/09/2014 à 13h 57







maestro321 a écrit :



Fausse non. <img data-src=" />

Mais attribuer ce pouvoir de libre arbitre à l’homme est très réducteurs, voir anthropocentrisme.

Le “libre arbitre” est peut-être à l’origine du bigbang, mais pour tout ce qui en découle on n’a aucune raison scientifique de l’attribuer à autre chose qu’a la causalité.





1/ Ce n’est pas un pouvoir, c’est une caractéristique partagée.

2/ Je ne fais pas dans le créationnisme. La causalité peut être recherchée entre 2 prémisses : cela n’engage en rien sur la validité des dites prémisses. Par ex., toute la construction des mathématiques est un ensemble de liens causaux alors que ses fondations ne sont que des axiomes (non démontrés donc). De la même manière, le libre arbitre est une donnée axiomatique : il en découle des faits mesurables et des liens causaux dans la réalité qui montrent que cette caractéristique a été posée de manière raisonnée, raisonnable et non arbitraire.


Le 18/09/2014 à 13h 46







Constrilia a écrit :



Je crois que tu rates quelque chose là.



Visiblement tu as une image monolythique de l’entreprise qui correspond, je suppose, à l’utilisation que tu en as.

Sauf que Google ce n’est pas qu’un moteur de recherche, c’est aussi une multitude de services via le biais de différentes acquisitions allant du shopping à la réservation de vols ou, toujours en cours d’évolution actuellement, à la réservation de voyages.



Tous ces services étant liés aux comptes adwords des clients, la question est de savoir si le moteur favorise d’une façon ou d’une autre ses propres clients / ses propres services - d’où la demande du Ministre allemand, demande n’ayant certes aucune chance d’aboutir et à l’image du dit Ministre, mais rendue légitime par la domination actuelle de Google au niveau du Search.





1/ Plutôt que de supposer incorrectement, pourquoi ne pas s’en tenir aux faits ?

2/ Oh, je n’étais pas au courant. Merci pour tes informations de première main.

3/ J’espère bien que Google met en avant ses propres services au détriment de la concurrence : Google n’est pas une entité philanthropique, c’est une entreprise qui fait du business en servant ses clients au profit de ses actionnaires. La concurrence n’a qu’à s’adapter si elle pense que Google fait mieux qu’elle-même.


Le 18/09/2014 à 13h 39







maestro321 a écrit :



On a pas dû se comprendre alors, je ne parlais pas (plus) de Google spécifiquement mais de la situation de monopole de manière générale.



Ceci dit tu as encore dévié la question.<img data-src=" />





Ah. Je dois deviner tes vagabondages de sujets.







maestro321 a écrit :



La liberté permet d’ouvrir le champs des possibles, mais ce champs des possibles peut très bien être dénué de libre arbitre pour exister.





La seconde partie de ta phrase contredit logiquement la première. Je ne peux rien répondre à une contradiction.


Le 18/09/2014 à 13h 31







maestro321 a écrit :



Heu non, c’est juste la mise en application d’une liberté, et la liberté ouvre le champ des causalité, mais ce n’est pas pour autant une preuve d’un quelconque “libre arbitre”.





Tu veux dire que tu reconnais l’existence du lien causal tout en affirmant que la prémisse à son origine est fausse ?


Le 18/09/2014 à 13h 26







HarmattanBlow a écrit :



Ce n’est pas la définition d’un monopole et Google en est évidemment un sur le marché de la recherche en Europe.





Aucune définition n’était demandée et une démonstration ab absurdo suffit dans ce cas pour montrer que non. Position dominante est ok.


Le 18/09/2014 à 13h 22







maestro321 a écrit :



Tu dévies encore la question, la question n’est pas de savoir si Google est en situation de monopole ou pas, mais de savoir si le monopole permet ou non le choix.





Il faut savoir ce que tu veux, je te cite :

mais de savoir s’il on l’a ou pas en situation de monopole.

Qui dévie quand la réponse ne convient pas ?



Mais pour répondre à ta nouvelle interrogation, un monopole naturel te permet toujours de décider ou ne pas décider de l’utiliser (merci le libre arbitre) : 2 choix sont donc a minima toujours possibles vis à vis de lui. On peut aussi ajouter le choix de créer toi-même.


Le 18/09/2014 à 13h 15







maestro321 a écrit :



<img data-src=" />

Oui, mais les liens de causalité peuvent être mis en évidence, le libre arbitre beaucoup moins (voir pas du tout pour le moment).





Au contraire. Par ex., le lien causal entre liberté économique (c’est à dire l’application de son libre arbitre en matière d’échange) et n’importe quelle variable mesurant même imparfaitement le bien être humain est clair parce que théoriquement expliqué et empiriquement observé. Note que, comme dans tout système causal, le contraire est aussi vérifié.


Le 18/09/2014 à 13h 03







maestro321 a écrit :



Ne dévies pas, la question n’est pas de savoir si c’est un choix valable ou non, mais de savoir s’il on l’a ou pas en situation de monopole.





Tout montre qu’il ne l’est pas (*). Problem solved!



(*) Il existe des dizaines de concurrents et le marché est ouvert.


Le 18/09/2014 à 13h 01







maestro321 a écrit :



Si je retire “les autres gens” ça n’aura pas d’influence sur ta vie on est d’accord (puisque tu es autonome par rapport aux autres)?





Ouais je sais, ce truc super abstrait que personne n’est capable de définir ni de prouver?

Perso faute de mieux, je reste sur les notions de causalité.<img data-src=" />





1/ Tu crois ?

2/ Bien t’en fasse. Mais comment prouver l’existence de tes prémisses qui supportent cette causalité ? Elles sont axiomatiques, donc non prouvables, comme le libre-arbitre.


Le 18/09/2014 à 12h 45







maestro321 a écrit :



Ouais mais ça suppose un choix (pour lequel il doit exister une alternative viable), choix qui n’est plus (peu) possible d’exercer en situation de monopole.



Mais bon on se répèpètete…





Non, ne pas choisir est aussi un choix valable. Et comme indiqué plus haut, dans un marché ouvert et porteur, la moindre tentative de prédation ou de fausser le marché aboutit à l’arrivée rapide de la concurrence bien trop heureuse de profiter du champ libre (1 seul concurrent). C’est tout l’avantage du mécanisme de marché : il s’autorégule.


Le 18/09/2014 à 12h 38







maestro321 a écrit :



Responsable vis à vis de qui/quoi et autonome vis à vis de qui/quoi?





Responsable de ma propre vis et autonome par rapport aux autres.

Tu sais, ce libre arbitre qui te permet d’écrire et répéter des sottises en public.


Le 18/09/2014 à 12h 36







Tarpan a écrit :



Et que ta petite personne change toute seule de moteur de recherche dans son coin, ça changera la place de ton entreprise dans les résultats de recherche de potentiels clients ?





Tu vas aussi me dire que si les sociétés de gestion des autoroutes abusent sur leurs tarifs tu n’as qu’à prendre les nationales, pas la peine que l’Autorité de la Concurrence ne se mêle des abus n’est-ce pas ?





1/ Tu supposes, sans preuve, que les résultats de placement ne reflètent pas une réalité économique qui n’est pas de toute façon pas accessible et objective de manière absolue : des choix (note ce mot) sont nécessairement faits pour le tri. Même à cette granularité économique, la certitude de refléter exactement la réalité économique n’est qu’une chimère impossible à atteindre. Autant laisser les acteurs gérer leur relation eux-mêmes. Et pour répondre à ta question, c’est oui.

2/ Abus par rapport à quoi ? Seuls les utilisateurs peuvent juger si il y a abus. Seuls les utilisateurs peuvent corriger cet abus en n’utilisant plus ces services. Les hautotorités ne font qu’abuser de leur pouvoir pour justifier leur existence parasite.


Le 18/09/2014 à 12h 20







maestro321 a écrit :



Va de ce pas changer les manuels d’éco et la page wiki consacrée au monopole alors.





Justement dans une situation de monopôle c’est pareil, tu n’as plus (peu) de choix.





Effectivement j’amalgame, mais ces situations découlent bel et bien du contexte d’un monopole.





1/ Les bouchers de la désinformation ne m’intéressent pas. Je prends les information à la source.

2/ Même si c’était vrai, d’un point de vue économique cela n’a aucune importance puisque les forces en présence sont libres de défaire ce qu’elles ont construit. Un marché, même sous forme de monopole, reste une somme d’échange dynamique et sujet in fine à la satisfaction réciproque des tierces parties. Si l’une refuse la transaction, alors il n’y a plus de marché (et de monopole).

3/ Une confusion reste une confusion et ne plaide pas pour ta compréhension des phénomènes économiques en présence. Répéter des erreurs ne les changera pas en vérité ou en fait pour autant.


Le 18/09/2014 à 12h 11







Constrilia a écrit :



Ah mais ne te justifie surtout pas: j’espère que tu continueras longtemps à suivre le troupeau, cela m’évitera d’avoir à me disperser pour mieux te cibler!

En plus si tu restes persuadé de garder ton libre arbitre, c’est une pure situation de win-win pour tout le monde <img data-src=" />





?


Le 18/09/2014 à 10h 48







maestro321 a écrit :



Bizarre, c’est pourtant l’inverse de ce que l’on apprend sur les situations de monopole.

Quand au fait qu’il soit transitoire, ça ne change pas grand chose, toutes les guerres sont transitoires, ce n’est pas pour autant qu’elles sont bénéfiques (à part pour le PIB <img data-src=" />)..



Ce serait donc de la croyance populaire de voir Google comme une entreprise en situation de monopole? <img data-src=" />





1/ C’est une fable populaire parmi d’autres.

2/ La petite différence est que dans un cas tu as le choix et tu ne risques pas ta vie, et dans l’autre on t’oblige à participer en la risquant,

3/ Ton biais est d’amalgamer maladroitement monopole, position dominante et distorsion de concurrence, une position non partagée par les économistes, mais si tu avais lu les papiers liés, tu l’aurais su :





Can predatory pricing be reproduced in a laboratory environment?

We report research motivated by this objective. We began with con-

ditions that, based on the literature, appeared to combine the fea-

tures this literature has suggested are favorable to the emergence of

predation. Next we operationalized what was meant by predatory

pricing in our design in order to compare prices with predictions

from alternative theories. Of 10 experiments, none evidenced pred-

atory behavior; most supported the dominant ?rm theory. The sec-

ond series of experiments addresses remedies for predation and

?nds that the effect is to increase prices and reduce ef?ciency.









The consensus view in the literature, and this is a view that has prevailed for several

decades now, is that traditional predation is difficult and hence frequently irrational.

Because firms will re-enter the market when the predator commences pricing at supra-

competitive levels, recoupment of the losses incurred in the predation stage is virtually

impossible. Hence, in order for the predation strategy to be successful, there must be

some type of barrier to entry that precludes entry from occurring when the predator prices

at supra-competitive levels.


Le 18/09/2014 à 10h 16







Tarpan a écrit :



@tmtisfree : donc si tu bossais dans une entreprise que tu juges compétente, bonne, voire bien compétitive mais que lorsque tu cherches des mots-clés concernant son coeur de métier dans google tu ne retrouves pas le nom de ton entreprise sur la première et deuxième page parce qu’elle ne fait pas partie des “amis” de google ou des usa, je pense que tu trouverais ça parfaitement normal et t’en satisferais (jusqu’à ton licenciement économique) <img data-src=" />



En tout cas tu nous fait tous bien rire, c’est déjà ça <img data-src=" />





1/ Non, pas vraiment. Je changerai de moteur de recherche. Mais c’est apparemment une possibilité qui demande un effort intellectuel trop élevé.

2/ Je défends absolument ton droit (et celui des autres concernés) à ricaner. <img data-src=" />


Le 18/09/2014 à 10h 12







maestro321 a écrit :



Qui n’est plus celui d’une entreprise en situation de quasi-monopole. <img data-src=" />



Après que le quidam utilisateur plébiscite volontairement Google à 90%, ne change pas grand chose à la réalité de la situation (de position dominante, et donc de distorsion de concurrence) de ce genre de multinationale.



Je ne remet pas en cause le succès de google, je souligne seulement le changement de paradigme économique (que tu sembles rejeter) qu’induit sa position dominante.





1/ Le marché n’en reste pas moins libre et concurrentiel (du moins tant que les gros doigts du régulateur ne l’ont pas dégénéré) ; tout monopole naturel est historiquement transitoire.

2/ Tu exportes ton biais ou ta croyance mais je ne suis pas client. Les économistes non plus (voir aussi les liens donnés plus haut).

3/ voir 2/


Le 18/09/2014 à 10h 02







Constrilia a écrit :



Si en plus les utilisateurs se mettent à les défendre, je crois qu’on va sortir le champagne au Marketing aujourd’hui!





Tu n’as pas saisi l’enjeu : je défend ma liberté à choisir ce qui répond le mieux à mes attentes dans la multitude d’offres qui me sont proposées. Je n’ai ni besoin ni envie qu’on fasse cet arbitrage à ma place en tant qu’être responsable et autonome. Celui qui soutient la position inverse reconnait explicitement qu’il n’est pas assez ou du tout responsable et autonome pour choisir selon ses besoins. Si c’est le cas, alors il ne l’est pas plus pour limiter le choix des autres. Google et sa position de leader n’est qu’un attrape-nigaud.


Le 18/09/2014 à 09h 46







joma74fr a écrit :



Voilà une vision idéalisée.

&nbsp;




  1. l’intérêt d’une multinationale serait la satisfaction de ses clients : oui dans une certaine mesure. Mais à ce niveau, c’est aussi une question de marketing, de publicité et de renommée.



  2. “le marché vous offre différentes possiblités” : pour développer un moteur de recherche à utilisation gratuite il faut une audience importante, donc un nombre d’utilisateurs importants pour gagner des ressources publicitaires. Ce n’est pas si facile de développer un nouvel acteur dans ces conditions sans régulation.



  3. Contrairement à ce que tu racontes, le “collectivisme” c’est une économie socialiste dont le capital appartient au prolétariat (aux salariés ou à une instance qui représente le peuple). Alors que la régulation est une pseudo-solution pour éviter le Monopoly du capitalisme qui finit par imposer un seul fournisseur hégémonique sur un marché. C’est sûrement perfectible mais ça contrebalance le pourvoir d’ “clown élu économique qui a décidé unilatéralement que son opinion en la matière primait sur celle des client de l’entreprise” consommateurs et des populations du pays.

    Regarde l’histoire de ATT dans les télécom US, de Microsoft à la fin du XXe siècle. Ou encore l’histoire de la Standard Oil et de Rockfeller au début du XXe siècle.





    1/ Toutes choses qui ne contredisent pas le principe de la satisfaction du client.

    2/ Le marché a résolu le problème de l’œuf et de la poule depuis longtemps. Sinon nous vivrions encore dans les arbres.

    3/ A part les monopoles d’État, aucun entreprise ne subsiste dans un marché libre si le nombre de ses clients est nul. Tous tes exemples ne démontrent rien qui n’ait pas déjà été déconstruit précédemment. Les gens confondent souvent prédation avec compétition (erreur de type I).


Le 18/09/2014 à 09h 21







Mme_Michu a écrit :



J’ai rien compris dans cette phrase…surement du délire de gauchiste..





Je vais te la refaire en mode marxiste culturel politiquement correct :



La réussite suspecte de Google (et des firmes IT aux ordres de l’impérialisme nord-américain en général) justifie l’intervention du chevalier étatique blanc, défenseur de l’intérêt général, énarque teuton formé au keynésianisme prolongateur de crise le plus pur et pouvant compter sur le soutien sans faille de ses pairs photocopiés de la grande social-démocratie électoraliste européenne (stras)bourgeoise en croisade contre l’exposition à cette liberté débridée d’une populace ignare et crédule, mais l’ayant tout de même élu.


Le 18/09/2014 à 08h 53







maestro321 a écrit :



J’ai peut-être une vision étriquée, mais toi tu fais preuve de vision sélective.<img data-src=" />

T’as bien fait de retirer le reste de mon post, où je parlais de “position de force” et de “domination économique”, qui permet justement de fausser les règles du “jeu”.





Je compense naturellement ton champ de réalité distordue pour lequel défendre ses intérêts et ceux de ses clients non captifs dans un marché libre et concurrentiel est un motif de complainte négligemment montée en épingle sous des vocables économiquement non-sensiques qui ne satisfont que l’ignare patenté pendant que le quidam utilisateur plébiscite volontairement Google à 90% et plus.


Le 18/09/2014 à 08h 18







maestro321 a écrit :



Évidement que non, le but n’est pas de favoriser “toutes les parties” mais bien de favoriser ses propres entreprises/intérêts avant tout (à moins que la science économique ait été révolutionnée cette nuit).





Ta vision étriquée serait valable si la réalité économique (dans le monde réel) ne démontrait pas le contraire tous les jours : le jeu n’est pas à somme fixe.


Le 18/09/2014 à 08h 15







Tarpan a écrit :



Il est plus simple de fermer les yeux, de ne rien remettre en question et de se satisfaire de l’état des choses.



C’est effectivement l’objet de ma réponse : chacun est libre d’utiliser cet outil selon sa perception de son adéquation à ses besoins. Je n’autorise personne à entraver cette démarche volontaire, surtout quand elle émane de la pire espèce de menteurs, tricheurs et sociopathes (les poly-tocards, puisque certains ont du mal à suivre) ayant démontré sa capacité de nuisance en tout domaine, et particulièrement économique.

Donc oui, en tant qu’adulte responsable et autonome, je me satisfais pleinement de l’état des choses en ce qui concerne la satisfaction de mes besoins de recherches sur Internet, d’autant plus quand l’entreprise concernée répond à mes attentes. Je n’ai besoin de personne pour m’expliquer que cette entreprise essaie de gagner de l’argent en me proposant un service : c’est le but premier de toute activité économique.


Le 18/09/2014 à 07h 36







Tarpan a écrit :



Je crois que tu n’as pas tout compris ou alors que tu interprètes ça de manière très orientée.



Tu crois vraiment que les entreprises américaines ne sont pas ultra favorisées par leur gouvernement ?

Tu crois qu’il n’y a pas de protectionnisme aux usa ?

Tu crois que quand les usa négocient (imposent) des relations économiques avec par ex. l’Europe, ce n’est pas pour favorise leurs entreprises ?





1/ Tout le monde interprète de manière très orientée : la sienne.

2/ Les européens et les autres font exactement la même chose que les USA. Ils n’ont rien à se reprocher en matière de protectionnisme.

3/ “des relations économiques” qui “favorise(nt) leurs entreprises” est un truisme : il est vrai pour eux et toutes les parties puisque c’est le but recherché (à moins que la science économique ait été révolutionnée cette nuit)..









Tarpan a écrit :



On parle pas de cet aspect des choses mais du fait que celui qui soit paye plus cher, soit est très copain, soit est du même pays que Google sera présenté en premier dans la liste.

Et pourquoi pas que celui qui est en procés avec google ou qui est d’un pays pas copain du tout, sera relégué hors de la vue dans la liste.



Tout ce ci alors que l’algorithme de recherche est sensé t’afficher les résultats d’après un critère de pertinence. Or comme il est totalement opaque et que les faits montrent un comportement différent, il y a de quoi s’interroger.

C’est le sujet de l’article.





1/ Est-ce que cela a été démontré ? Le politicien allemand n’aborde aucun de tes points. Il se contente de dire sans aucune analyse économique “Quand un moteur de recherche a un tel impact sur ??le développement économique, c’est un problème que nous devons régler.” Il voit un problème là où il n’y en a pas, parce qu’en tant accapareur de pouvoir professionnel, le business que Google a créé tout seul (mauvais), n’est pas le sien (bon). La dichotomie est frappante mais tellement banale de nos jours que la corruption de la noble cause et l’hypnotisme étatique est devenu un argument per se.

2/ L’algorithme de recherche est sensé m’afficher ce que Google a décidé. Point barre. Je ne me fais aucune illusion à ce sujet, et cela me va parfaitement. Google est une firme privée pour qui son intérêt (la satisfaction de ses clients) passe avant tout. Si cette position ne convient pas, allez voir ailleurs : le marché vous offre différentes possibilités, dont celle de créer votre propre moteur. La mentalité collectiviste qui dicte qu’aucune activité économique ne peut exister sans régulation par quelque clown élu qui a décidé unilatéralement que son opinion en la matière primait sur celle des client de l’entreprise n’est pas la mienne. C’est le sujet de mon commentaire à l’article.


Le 18/09/2014 à 06h 41



Quand un moteur de recherche a un tel impact sur ??le développement économique, c’est un problème que nous devons régler.



Google (et les firmes US en général) fonctionne trop bien pour un poly-tocard nourrit de l’étatisme paternaliste de la socialie européenne, surtout quand on voit les résultats de leur ‘politique économique’.





Celui qui n’est pas en haut des résultats de recherche n’existe pratiquement pas



On appelle cela la sélection économique naturelle (capitalisme de marché) : il y a des premiers, et il y a des derniers qui disparaissent parce qu’ils sont trop mauvais et que la société a choisi de ne pas gaspiller ses ressources à les entretenir.

Le 18/09/2014 à 08h 02



2 milliards de capitalisation partis en fumée



Non. Cela reflète le prix de la transaction à cette période (plutôt que la valeur économique de l’entreprise (qui dépend de ses revenus futurs et qu’on ne peut qu’estimer si elle n’est pas à vendre maintenant).

Le 14/09/2014 à 07h 05

Une icône Netflix est apparue récemment sur la PS3. On dirait que Netflix a trouvé au moins un moyen d’arriver chez les consommateurs sans passer par les box des FAI.

Le 13/09/2014 à 22h 00

Le phénomène décris plus haut a été démontré en 1970 (en prenant comme exemple des voitures d’occasion) par Akerlof dans The Market for “Lemons”: Quality Uncertainty and the Market Mechanism (et lui a valu le Prix Nobel d’Économie en 2001).

Le 13/09/2014 à 21h 50







lateo a écrit :



Soit je me suis mal exprimé, soit quelque chose m’échappe.

Il me semble que moins d’acheteurs de biens immo entrainerait mécaniquement une diminution du volume des ventes, et donc à terme une baisse des prix de vente.





Tu donnes la réponse dans ton post suivant : pas de corrélation entre prix des loyers et prix du bien. Les propriétaires préfèrerons souvent retirer leurs biens du marché parce que les pertes locatives sont moins importantes et possiblement temporaires, que les pertes de patrimoine en cas de vente précipitée. Pour cette raison, les politiciens les contraignent à remettre sur le marché leurs logements vacants en les pénalisant plus durement encore. Pour prendre mon propre ex., j’ai acheté un appartement il y a 5 ans pour des raisons professionnelles, mais dont je ne me sers plus. L’appart. est vide et je rembourse l’emprunt tous les mois sur mes revenus propres parce que j’ai estimé que le loyer potentiel est trop faible au regard des contraintes de location. Mon bien n’est plus sur le marché comme des milliers d’autres, mais je ne veux pas le vendre parce la perte de capital serait plus importante encore. Il est cependant possible que le mécanisme que tu avances contrebalance celui que je décris, mais il est difficile de prévoir l’issue à terme.







lateo a écrit :



Je me suis arrêté avant volontairement, c’est un terrain savonneux <img data-src=" />

J’aurais plutôt insisté sur les «coups de pouce au bâtiment»… mais oui, au final c’est souvent les «bonnes intentions» mal calculées (ou autres raisons purement électoralistes ou liées aux pressions de groupes trop écoutés) qui créent des problèmes insolubles là où il n’y avait que des difficultés (probablement terribles pour les personnes concernées, je ne nie pas ça).



Le problème, c’est que trop souvent, et sur bien des domaines, les solutions proposées sont pires que le mal.

Pour que tout le monde capte, pensons hadopi : le téléchargement est manifestement un problème pour certains, mais hadopi est une «solution» ridicule et parfaitement inappropriée saupoudrée de bons sentiments et de bienpensance : une catastrophe.





Je ne peux qu’être d’accord.


Le 13/09/2014 à 12h 46







lateo a écrit :





  • une tension à la baisse du prix des biens immo (moins de demande). Est-ce bien ou mal, j’ai du mal à trancher.





    Peu probable : la raréfaction de l’offre (comme tu l’a bien compris) ne peut que faire monter les prix. Les propriétaires qui auraient voulus louer ne le feront plus, accentuant ainsi la pénurie (l’État aura à ce moment beau jeu de dire que le marché ne répond pas à la demande), et ceux qui chercheront à vendre vont basculer leur moindre gain locatif sur le prix de vente.







    lateo a écrit :



    Après il faut je pense recadrer le problème : pourquoi les loyers sont-ils aussi chers?

    Parce que les biens immobiliers se vendent bien trop cher (bulle).

    Pourquoi? etc, etc. Le jeu des causes et conséquences ne blague pas.





    Tu n’expliques pas la véritable cause du problème, qui est structurel et le résultat d’une politique publique collectiviste imposée de longue date. Le jeu du marché immobilier est torpillé depuis des décennies par le logement social et plus récemment (vu que l’État est ruiné) par l’obligation qu’ont les collectivités locales à en construire. Ce type de logement sape les bases du marché immobilier :

    1/ en captant la clientèle à l’aide de prix qui ne reflètent pas le marché (= subventionnés) ;

    2/ en faisant payer la facture aux contribuables et propriétaires qui se voient ainsi obligés d’augmenter leurs prix pour rentrer dans leurs frais (cf le rapport La vérité sur le Logement social, 2011) ;

    3/ donc en décalant le reste du marché vers des prix plus rémunérateurs ;

    4/ les pauvres étant maintenant logés par l’État, leur demande n’influe plus sur le marché ;

    5/ de plus, étant pauvres, ils n’épargnent pas et restent donc pauvres (marché captif = monopole) ;

    6/ je n’aborde même pas le renchérissement astronomique des coûts de construction grâce aux normes toujours plus grotesques qui sont pondues d’années après années, ou les délais infinis pour obtenir le moindre permis, etc



    Au final, les pauvres s’appauvrissent, et ne deviennent jamais propriétaires, tout en modifiant le rapport offre/demande en soustrayant au marché la demande des plus modestes et ce faisant tirent le marché vers le haut. Un comble !



    Le même mécanisme (mais inversé) existe d’ailleurs avec les salaires : tu décrètes un plafond minimum de salaire, et mécaniquement tu augmentes le nombre de chômeurs peu qualifiés parce que ceux-ci ne peuvent plus justifier de compétences assez élevées pour le prix minimum (mais au-dessus du marché donc) que tu as l’obligation de leur verser.

    Au final les plus pauvres sont exclus du marché du travail par ceux-là même qui t’assures qu’ils savent ce qu’ils font.







    lateo a écrit :



    Et pour en revenir à la problématique du locataire, je ne suis pas persuadé que l’État ait les moyens de se lancer dans de grands programmes de construction… ni que ce soit une idée géniale de faire sortir de terre des quartiers de tours (ou de barres). On voit bien ce que ce genre de ghetto donne après quelques décennies.

    Donc il n’y a pas vraiment d’alternative aux contrats privés en cette période de disette budgétaire.





    Comme écrit plus haut, l’État a trouvé la parade (loi SRU loi Gayssot) : imposer la construction de logements sociaux par les collectivités et des pénalités en cas de non respect des quotas. Double avantage : on ne peut plus l’accuser de dilapider directement l’argent publique et si jamais cela ne fonctionne pas on accusera le marché de profiter des conséquences de leurs propres erreurs.







    lateo a écrit :



    Bon ça doit déjà faire un joli pavé, j’arrête là <img data-src=" />





    J’avais commencé à écrire aussi 3 ou 4 § (complétement HS de l’article donc, qui, à la réflexion se sont transformés en 1 seule phrase (toujours aussi complétement HS de l’article, mais bien moins voyante <img data-src=" />).


Le 12/09/2014 à 21h 40







lateo a écrit :



Ce point est discutable.

L’intention derrière l’encadrement des loyers est bonne, mais gare aux effets de bord…





Ce ne serait pas la première fois où la noble vision court-termiste d’un/e politicien/ne zélélectoraliste paternaliste œuvrant pour l’intérêt général conduit à la ruine un secteur entier.


Le 12/09/2014 à 17h 24







Algent a écrit :



Avoir une SSII (à son nom <img data-src=" />) l’aide sans doute à voir mieux ce qu’il faut défendre ainsi que la réalisabilité des projets dans ce secteur.



Bon par contre il est contre l’encadrement des loyer tout en venant d’Annecy, une ville pourtant chère. Enfin bon on ne peut pas être d’accord sur tout.





1/ On ne peut pas reprocher aux politiciens leur méconnaissance totale du monde économique et dans le même temps aussi leur reprocher d’en faire partie la rare fois que cela arrive.

2/ Être contre l’encadrement des loyers suggère qu’il possède des bases économiques et/ou, a minima, historiques.


Le 12/09/2014 à 20h 57







hurd a écrit :



C’est vrai, jusqu’à ce qu’elle explose.





C’est possible , c’est pas pour autant que la zone est habitable et encore moins exploitable pour quoi que ce soit.

Tu peut à la rigueur t’y balader avec un compteur Geiger en étant vigilant mais pas beaucoup plus.

La présence animale et végétale ne veut pas dire que celle-ci est “en bonne forme” , c’est plutôt la non-présence humaine qui amène à ce phénomène.

Non, la zone de tchernobyl est bien une zone “perdu” pour l’humain.



Bon ce sera tout pour moi.

Ton ton suffisant et hautain me suffit. Quand à te démontrer tout cela, de la part de quelqu’un qui croit que fukushima n’a fait aucun mort… comment dire.

Lire les études c’est bien, raisonner c’est mieux.





1/ C’est vrai aussi du Soleil : on vit à côté et quand il explosera, on sera mort (ou pas).

2/ Il ne me semble pas qu’on manque de terre là-bas en particulier (ou sur Terre en général), et les écolos, toujours prompts à défendre la place sans cesse plus envahissante de l’Homme sur leur Nature idéalisée devrait être les premiers à se réjouir des conséquences bénéfiques de ces accidents pour la biodiversité (enfin, pour ceux qui pensent que la biodiversité est réellement intéressante per se et pas une nouvelle chimère de nos alarmistes habituels).

3/ Répéter une erreur ne la changera pas en vérité, et raisonner à partir de données fausses conduit nécessairement à des conclusions du même acabit. Pas 1 mort, pas 1 malade.



Je laisse le mot de la fin aux enquêteurs de l’UNSCEAR à propos de Fukushima :





“Radiation exposure following the nuclear accident at Fukushima-Daiichi did not cause any immediate health effects. It is unlikely to be able to attribute any health effects in the future among the general public and the vast majority of workers.”




  • United Nations Scientific Committee on the Effects of Atomic Radiation, 2014.


Le 12/09/2014 à 20h 17







hurd a écrit :



Le tien non plus.



Genre faut être spécialiste pour comprendre le risque d’un truc pareil.

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Un Tsunami détruit mais ne laisse pas une zone inutilisable pendant des siècles.



Place toi à côté d’une centrale nucléaire alors. Se faire détruire son habitat est une chose mais que son lieu de vie deviennent un désert en est une autre.

Un terrain touché par la radioactivité est perdu.





Des maisons ça se reconstruit, on sait faire.

Réparer une centrale nucléaire non. Il s’agit de tonnes de rustines qu’on essaye de mettre pour “éviter le pire” . Selon les cas de figures ça peut coûté un prix humains et financier immense.

La catastrophe de Tchernobyl par exemple à été un gouffre financier pour l’URSS.

C’est entre 600 000 et 800 000 liquidateurs qu’on à amener pour s’occuper de ce problème .

Alors certes, la technologies est peut être plus sûr, mais qui sait si on ne sera pas obliger de mettre tout les moyens de l’état et plein des nôtres au casse-pipe la prochaine fois ?



Risquée par rapport à quoi ? …

La probabilité est peut être faible voir même très faible mais les conséquence sont sans commune mesure.

La radioactivité n’est pas un événement ponctuel comme un tsunami ou une éruption, c’est un poison qui met des siècles à disparaître.





1/ Puisque tu le soutiens, démontre-le.

2/ Soit être un spécialiste, histoire de connaitre son sujet plutôt que de supputer incorrectement, soit s’être renseigné auprès de sources crédibles (revues scientifiques ou spécialisées, etc) pour se forger sa propre opinion plutôt que de bêler au vent avec les désinformateurs patentés.

3/ Selon l’étude mise en lien, vivre à côté d’une centrale est moins risqué que toute autre activité. Si tu n’est pas d’accord, cherche les données qui démontre le contraire et poste-les.

4/ Non. Les études faites à Tchernobyl montrent qu’en fait, il existe plus d’espèces animales et végétales après la catastrophe qu’avant sur les terres contaminées.

5-7/ Bla bla

8/ C’est le sel de la vie : on n’en sait rien, et cela n’empêche personne de vivre.

9/ Lit l’étude, c’est indiqué.

10/ Et ?

11/ Et ?



Comme d’autres avant toi, tu t’es fait rouler. Les données pour l’Europe sont similaires.


Le 12/09/2014 à 18h 52







hurd a écrit :



Il faut être bien naïf pour penser que la radioactivité lié à cet accident n’a pas déjà fait de victimes.



Quand bien même il n’y aurait pas de mort (ce dont je doute beaucoup), il y à des cancers et autres joyeuseté qui vont arrivée tôt ou tard du fait de ces radiations.



De plus je ne pas du nombres de morts en particulier.

Même sans aucun mort, un catastrophe de la sorte est un désastre, un gâchis immense.



Personnes déracinés, lieu abandonnée , récoltes bonnes à jeter ,etc…

Et que dire, des moyens immenses pour essayer de contenir ce qu’il reste de cette radioactivité ? Tous cet argent juste pour «réduire» un peu les dégâts.



Non, franchement , il faut être fou pour penser que le nucléaire est un risque qu’on peut se permettre même dans une économie libérale.





1/ C’est un fait : ton avis non informé n’a aucune importance.

2/ C’est une prévision de non spécialiste : idem.

3/ ?

4/ Oui, le tsunami a été une catastrophe.

5/ C’est le pendant de toute catastrophe naturelle. Les japonnais sont pragmatiques et apprennent de leurs erreurs pour avancer.

6/ Combien coutera le tsunami au total, comparé à ces “moyens immenses” ?

7/ La propagande des bonimenteurs ne fonctionne plus depuis qu’on a accès à la recherche en la matière : il se trouve que le nucléaire électrique est l’activité la moins risquée parmi toutes celles testées. Quelque soit la métrique utilisée, il n’y a pas plus sûr qu’une centrale nucléaire pour produire de l’électricité. Deal with it.


Le 12/09/2014 à 17h 12







moxepius a écrit :



Ni indiquer le contraire, et pour cause.





Indiquer le contraire revient à publier ce qu’ils ont publié.


Le 12/09/2014 à 16h 08







zempa a écrit :



Ne te laisse pas faire par ces bolchéviques.



Je croyais que c’était réglé après la chute du mur de Berlin.

Mais que nenni ! Ils sont encore là!



Comme disait Jean, sache que je te soutiens à 100% !





Ils savent qu’ils ont perdu non seulement le mur mais aussi la ‘bataille’ des idées. Marx est bien enterré.

Ils ne leur restent donc plus que leur agressivité maladive : elle est la signature de leur défaite.


Le 12/09/2014 à 15h 52







Drepanocytose a écrit :



Le verbe est bien choisi.

Une recherche qui dérive aussi loin, en général on appelle ca un égarement <img data-src=" />







Je te laisse le bon mot (éculé) de la fin.


Le 12/09/2014 à 15h 49







Drepanocytose a écrit :



Non, le parallèle n’est pas injurieux, il est juste idiot.

Surtout quand l’idée de départ qui a amené le soi disant “mécanisme opératoire” est fausse en soi.



Un parrallèle idiot sur une idée fausse… GG.





Ce qui ne t’empêche pas de les commenter. On a vu mieux comme forme de désintérêt





Aucun souci, t’inquiète <img data-src=" />





1/ D’“injure”, tu passes allègrement à “idiot” sans coup férir (qui pour le coup est une injure). Heureusement, la logique ne t’est pas étrangère.

2/ Ton interprétation erronée.

3/ Tu confonds avec quelqu’un d’autre.


Le 12/09/2014 à 15h 44







A33 a écrit :



N’exagérons pas. Entre utiliser des labels réducteurs et coller des étoiles jaunes, il y a encore une marge. Heureusement. Ton propos, c’est exactement ce que tu leur reproches : tu suggères que ce sont des nazis ou des chrétiens, sans le dire. C’est plus subtil, certes.

Tout le monde fait de la réduction par label, même les gens de ton camp : suffit d’aller faire un tour sur Lib.org pour le voir. Ça ne vole pas toujours haut.

C’est pénible, mais c’est tout.





1/ Non. J’ai écris qu’il y en a avant eux qui ont utilisé le même mécanisme pour la même fin (bien sûr, l’échelle n’est pas la même). Cela ne veut nullement dire qu’ils leur sont comparables ou assimilables.

2/ Je n’ai pas de camp : mes idées dérivent de mes seules recherches.


Le 12/09/2014 à 15h 38







Drepanocytose a écrit :



Tu fais exactement dans la seconde ligne ce que tu critiques à la première ligne.

GG ! En 2 lignes tu te décrédibilises et tu montres ton gros défaut de logique, quand il t’en faut plus en général pour se rendre compte de ta philosophie disons…. surprenante…



Là t’es en train de traiter tes opposants de nazis : vachement pratique pour ne pas “eviter toute argumentation”…



Edit : surtout que le mec que tu cites me repond en me disant d’arrêter de te traiter de troll, alors que s’il savait lire et si toi tu savais lire 2 pages de commentaires (ce que tu reproches aux autres de ne pas savoir faire, en passant), tuy te serais rendu compte (car bien que taré, tu restes intelligent) qu’il se fourvoie totalement (c’est moi même que je traitais de troll) et donc, toi aussi en allant dans sons sens…







1/ Ton commentaire est mal venu et ta confusion évidente : faire un parallèle pour souligner le même mécanisme opératoire n’est pas injurier.

2/ Je n’ai pas suivi vos petites orgies verbales inutiles, vu le désintérêt totale qu’elle m’inspire.


Le 12/09/2014 à 15h 31







Khalev a écrit :



Source?





Mes capacités de recherche et de réflexion, toutes fonctions basiques qui apparemment t’échappent.


Le 12/09/2014 à 15h 28







GierrePattaz a écrit :



<img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />



Un acronyme pour te contredire : CICE <img data-src=" />







Ce CICE-là ? Une mesurette de plus dans la cacophonie médiatique de ce qu’ils appellent en bombant le torse leur ‘politique économique’, mais qui n’est rien de plus que du pédalage à vue dans la semoule de leur ignorance crasse de ce qu’est et comment fonctionne une entreprise. Pas étonnant quand au siège, à Bercy, quasiment aucun fonctionnaire auteur ou en charge de cette ‘politique’ n’a été chef d’entreprise ou y a même travaillé assez longtemps pour les comprendre. Bref, ce sont les seules usines à gaz inutiles et couteuses qu’ils seront jamais capables de construire.


Le 12/09/2014 à 15h 04







fullero a écrit :



source ???





Déjà répondu. Je ne vois pas pourquoi je perdrai mon temps à répéter quand on est trop paresseux pour lire 2 pages de commentaires.


Le 12/09/2014 à 15h 02







A33 a écrit :



Elle est sincère. Ce n’est pas un troll. À force d’appeler tout le monde troll, vous perdez de vue la possibilité de discussion.



En revanche, pour zempa, je suis dubitatif. Les conneries sont tellement énormes.





Tu as bien saisi que pour éviter toute argumentation, il suffit de mettre un label. Les mêmes avant eux eux ont mis des étoiles jaunes : ils n’ont rien inventé.


Le 12/09/2014 à 14h 59







moxepius a écrit :



J’avais compris “Les échantillons d’eau”, mais dans tes deux documents aucune recherche de produits pouvant provenir des liquides de fracturations, aucune analyse indépendante des produits de fracturations avant injection n’a été permise par les compagnies pétrolière, hors c’est bien ça qui pose problème.





Les 2 études sont indépendantes et réalisées par des entités publique, et nulles part il est indiqué qu’on ne leur a pas permis de chercher ce pour quoi ils ont été mandaté. Pas la peine de botter en touche et d’inventer de faux prétexte : tu n’a pas évité la sortie de route.


Le 12/09/2014 à 14h 54







hurd a écrit :



Heureusement que ce genre de conséquence n’arrive jamais dans des systèmes non collectivistes et non planifiés comme par exemple le japon.



… Oh wait !



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On t’aura désinformé. Les seuls morts au Japon ont été dû au tsunami.


Le 11/09/2014 à 21h 44







7BG a écrit :



Je ne sais pas dans quoi vous travaillez, mais j’espère que votre shop fermera ou que votre emploi sera aboli.







Très aimable, mais j’ai pris des dispositions locales pour que cela n’arrive pas, et lointaines pour le cas où, malheureusement pour ceux qui resteront, la servitude forcée aura été imposée par les zélites malveillantes (résilience, résilience).


Le 12/09/2014 à 16h 31







amikuns a écrit :



Une petite enquête sur chaque élu à la fin de leur mandat pour vérifier, qu’ils n’ont pas abuser de leur position j’aimerai bien perso. Bien sur cela s’appliquerai aussi aux élus d’association et de syndicats.





Au début et à la fin. Les apprentis escrocs seraient alors bien moins nombreux pour tenter de nous piller sous couvert de pédo-terrorisme ou autre grossier subterfuge de leur invention. Il n’y a vraiment qu’en politique où on se permet d’embaucher du personnel non qualifié pour postuler à une fonction sensée être le pinacle de l’activité publique.